Vous êtes dans : Accueil > amoa >
La routine, vraiment la routine.
Tessi avec le Grades Bourgogne – Franche-Comté organisent un séminaire sur « l’archivage et la numérisation des archives hospitalières en région Bourgogne – Franche-Comté », le 15 novembre, à Dijon.
Le RSSI et le DPO sont souvent consultés pour des sujets bizarres, voire carrément étrangers à leur périmètre. Mais après tout, c’est le lot de pas mal de professions transverses, surtout dans le conseil.
Missions et positionnement d’un GRADeS au sein d’une vaste région… et vision du futur !
Dans un billet récent, un point intéressant a été soulevé et consisterait à considérer la sécurité cyber comme relevant de la mission régalienne, au même titre que la sécurité de l’espace aérien, des routes, etc. Poursuivons un peu dans la même veine.
Des questions et réponses indispensables pour les équipes hospitalières.
Calendrier du programme, impacts sur les DSI hospitalières et les éditeurs, choix du DUI, AMOA : entretien à 360° avec Myriam Danyach-Deschamps, directrice du programme ESMS numérique à la Direction des établissements et services médico-sociaux – Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA).
Dans le cadre de la structuration des GHT, les établissements supports ont porté la réalisation de schémas directeurs de convergence des SI lancés en 2017 et 2018. Ces travaux ont été accomplis sur la base de projets médicaux et de soins partagés réalisés dans des délais contraints, avec une projection initiale souvent théorique des fonctionnements coopératifs et des besoins métiers. Ces SDSI devaient aussi s’atteler à la mise en place d’une gouvernance commune des systèmes d’information, sous la forme d’une commission stratégique du système d’information (CSSI), nommée par le comité stratégique du GHT. Dans les faits, si cet organe de gouvernance en charge du pilotage du SDSI n’est pas toujours opérationnel, il est pourtant essentiel en tant que maîtrise d’ouvrage déléguée et reconnue, dotée de pouvoirs et au service d’un « collectif » donneur d’ordres.
Le GHT du Centre Bretagne, composé des centres hospitaliers du Centre Bretagne et de Guémené-sur-Scorff ainsi que de la maison d’accueil spécialisée de Guémené-sur-Scorff, a fait le choix de LockTransfer, solution de chiffrement de l’éditeur français LockSelf, pour sécuriser le partage de données avec les acteurs non éligibles aux messageries sécurisées de santé participant aux parcours de soins des patients et des résidents.
Un peu plus de 18 mois de travail, des investissements substantiels (salles informatiques aux normes, bureaux de la DSI sécurisés, outillage logiciel adapté) et beaucoup de volonté ont conduit le GCS Infotech 36 à la certification Hébergeur de données de santé. Accompagnée par Yves Normand et Vincent Trély, l’équipe a su faire face au défi que représentait le projet, porté par Maïlys Michenaud, DPO et cheffe de projet Certification, et Matthieu Kernanet, RSSI du centre hospitalier de Châteauroux.
Le mot « télémédecine » est certainement l’un de ceux que l’on prononce le plus dans les discours sur la santé ces derniers temps. À tel point que l’on pourrait se croire à l’aube d’une nouvelle ère. Effet de mode ? Pas seulement, et ce numéro de DSIH le montre bien.
Depuis quelques mois, le sujet « RGPD » sature la bande passante des canaux d’information des DSI et des RSSI de santé. Son application en mai 2018 (c’est bientôt), ses 99 articles et 173 considérants (c’est épais), les montants des amendes pour non-conformité (élevés) et l’ampleur du travail estimé (important) font partie des sources d’angoisse générées.
En avril dernier, en plein congrès de l’Apssis, je commettais déjà un premier article(1) sur le sujet expliquant que l’obtention de l’agrément HDS nouvelle mouture (qui sera effectif en 2018) coûterait au bas mot deux à trois fois plus cher que l’obtention de l’ancienne version, ce qui faisait déjà une sacrée note.
Ramsay Générale de Santé, premier groupe d’hospitalisation privée en France, structuré en 22 pôles territoriaux et 121 établissements de santé, nomme :
Pas une semaine ne se passe sans qu’on lise, dans la presse spécialisée, des articles à qui mieux mieux sur les difficultés de mise en œuvre des GHT, laquelle va être compliquée, voire impossible sans fusion, etc.
Les GHT de A à Z : pour son numéro 20, DSIH Magazine se concentre sur la mise en œuvre des systèmes d’information territoriaux issus de la création des groupements hospitaliers de territoire (GHT).
L’année dernière, à l’occasion de la première édition de l’audit de certification des comptes, je m’étais fendu d’un article dithyrambique[1] sur son impact – positif – pour les RSSI dont je suis.
Les établissements de santé de petite taille sont nombreux à ne pas avoir de DSI. GPLExpert se propose d'assurer cette fonction en l'externalisant, mais aussi de les accompagner dans tous types de projets liés au système d'information. Thomas Breton, dirigeant de cette société, nous en détaille les champs d'action.
La norme ITIL, dans sa version 3, réserve une place spécifique à la sécurité du SI. On retrouve le découpage classique en roue de Déming (PDCA) et les items habituels de planification, implémentation, audit, etc.
Les bonnes pratiques enseignent qu'un fournisseur, qui doit accéder en télémaintenance aux équipements matériels ou logiciels qu'il supervise, ne doit pas disposer d'un accès à ces équipements sans contrôle. Pas d'accès de type 24-7-365 ouvert en permanence, nécessité d'une validation explicite du client avant l'accès, rapport envoyé par le fournisseur après l'intervention, etc.
La loi de santé 2015 concernant les systèmes d'information a au moins un mérite : cela de dire – sans vraiment le dire – qu'il faut arrêter de gérer les DSI à la grand papa et que les services informatiques de 5 ou 10 agents c'est terminé, fini, kaput, over.
Les fonctionnalités d'Hôpital Manager pour la gestion multi-sites et la mutualisation des informations patients ont convaincu la Direction de la Croix Rouge française de sélectionner la solution éditée par Softway Medical pour la gestion de l’activité de ses 18 établissements à dominante SSR. L'éditeur a, de plus, été choisi pour héberger l'ensemble des données de santé produites.
Pour la rentrée, ENOVACOM organise un nouveau cycle de webinars à destination des professionnels de santé. La première session portera sur les échanges inter-applicatifs : « Comment bien mener une démarche d'urbanisation du SIH ? ».
Un appel à projets « Territoires de soins numériques » a été lancé fin 2013 dans le cadre des Investissements d’avenir et de la Stratégie nationale de santé. 80 millions d’euros seront attribués pour cinq projets innovants et pilotes en matière d’usage du numérique, au service de la modernisation du système de soins.
Le 28 Novembre dernier, avec le soutien de l’Agence Régionale de Santé, le GCS TéléSanté Centre a organisé une journée régionale autour du projet de mutualisation d’imagerie médicale. Un public varié d’établissements et de structures publics ou privés ont participé à une présentation du projet.
Le Groupement de Coopération Sanitaire (GCS) Esanté Poitou-Charentes, sous le pilotage stratégique de l’Agence Régionale de Santé (ARS), met à disposition de ses adhérents un certain nombre de services destinés faciliter les échanges numériques entre acteurs de santé. Par ailleurs, le GCS Esanté accompagne le déploiement de programmes et projets nationaux et régionaux dans le domaine de systèmes d’information en santé, tels que la télémédecine ou le dossier médical personnel (DMP). Une soirée, organisée par le Logis des Francs avec le soutien du GCS Esanté, sur le déploiement du DMP sur le bassin de Niort aura lieu le mercredi 4 septembre au Logis des Francs, commune de CHERVEUX (15 kms de Niort), à 20h30.
Le Groupement de Coopération Sanitaire (GCS) Esanté Poitou-Charentes, sous le pilotage stratégique de l’Agence Régionale de Santé (ARS), met à disposition de ses adhérents, au travers d’un portail Web, un certain nombre de services destinés faciliter les échanges numériques entre acteurs de santé.
Le Groupement de Coopération Sanitaire (GCS) Esanté Poitou-Charentes, sous le pilotage stratégique de l’Agence Régionale de Santé (ARS), met à disposition de ses adhérents un certain nombre de services destinés faciliter les échanges numériques entre acteurs de santé. Par ailleurs, le GCS Esanté accompagne le déploiement de programmes et projets nationaux et régionaux dans le domaine de systèmes d’information en santé, tels que la télémédecine ou le dossier médical personnel (DMP). Une journée régionale, organisée par le GCS Esanté, sur la thématique de l’hébergement des données de santé aura lieu le mardi 11 juin à l’hôtel Mercure de Niort.
Afin de valoriser et de mieux faire connaître ses missions et ses projets, le Groupement de Coopération Sanitaire (GCS) Esanté Poitou-Charentes réalise une émission vidéo. Le tournage est prévu jeudi 14 et vendredi 15 février dans la région. Ce travail est mené en collaboration avec le magazine des Systèmes d’Information Hospitaliers (DSIH) et le concours de Dominique LEHALLE, journaliste spécialisée dans le domaine de la Esanté.
Utilisée par 75 services HAD sur 300 en France, la solution AntHADine – développée par la société DICSIT – est née de l’informatisation d’un dossier patient « papier » de très grande qualité. L’idée : ne pas imposer sa conception mais répondre aux exigences des professionnels de santé dans des contextes médicaux et administratifs bien particuliers.
esante-poitou-charentes le 13/12/2011 Suite à son dépôt de dossier le 4 juin 2010, le GCS, avec le soutien de l'ARS, a été retenu par l'ASIP dans le cadre de l'appel à projets Emergence qui "vise à favoriser la structuration des MOA régionales en participant au financement de prestations nécessaires à l’émergence ou au renforcement de la structure". Dès janvier 2011, les travaux menés conjointement avec le cabinet Stream Consulting ont permis au GCS de fixer ses missions et ses actions au travers d’un plan directeur pluriannuel en vue de répondre aux enjeux régionaux et aux orientations nationales en termes de SI Partagés de santé.
Les plus lus