Vous êtes dans : Accueil > applications mobiles >
Le 11 juillet, la Cnil a annoncé la création d’une nouvelle équipe chargée de l’analyse économique des choix de régulation de la protection des données personnelles et a publié son programme de travail.
Suite à la publication le 30 mars dernier d’un décret sur les modalités d’application de la prise en charge anticipée des dispositifs médicaux numériques et des activités de télésurveillance médicale, la Sécurité Sociale prendra en charge ce dispositif à hauteur de 100 %. En anticipation de ce décret, l’Hôpital Fondation Rothschild propose déjà à ses patients trois programmes de télé-accompagnement, l’un en cardiologie et les deux autres en diabétologie.
La présidente de la CNIL a rappelé à deux organismes procédant à des recherches médicales leurs obligations légales.
Fin octobre, Humans Matter et l’Institut du cerveau ont annoncé le lancement de projets communs sur des thérapies digitales de nouvelle génération à destination des personnes victimes de lésions cérébrales et des professionnels de santé. Quatre projets sont d’ores et déjà en cours d’expérimentation.
Fin juin, la HAS a publié État des lieux et critères de qualité du contenu médical pour le référencement des services numériques dans l’espace numérique de santé et le bouquet de services professionnels.
À la suite de l'annonce du président de la République de l'ouverture de la vaccination aux 18 ans et plus à partir du 12 mai pour des rendez-vous encore disponibles le jour même et le lendemain, NEHS DIGITAL a travaillé avec les équipes de l'ingénieur Guillaume Rozier, créateur du site ViteMaDose pour faciliter la recherche de ces créneaux de vaccination.
Comment fluidifier et hiérarchiser les communications dans les établissements de santé pour les rendre plus efficaces ? Comment assurer des échanges conformes au règlement général sur la protection des données ? Face à ces enjeux de transformation des usages et de protection des données de santé, le groupe d’hospitalisation privée Vivalto Santé mise sur l’application Quarness de Dedalus.
Suite à la décision de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) du 07/12/2017(1) entraînant de nouvelles obligations règlementaires concernant la qualification des LAP (Logiciels d’Aide à la Prescription) en DM (Dispositif Médicaux) selon la directive 93/42/CEE, le DPI Osiris (Dossier Patient Informatisé) est devenu un DM de classe I(2).
Maela et ses équipes ont donc équipé la totalité des hôpitaux du Luxembourg ainsi qu’une plateforme centralisée de la direction de la santé permettant de suivre à distance tous les patients COVID+ ne nécessitant pas d’hospitalisation, et ceux de retours à domicile après hospitalisation.
En 4 semaines, plus de 40 établissements sur la France ont été formés et ont déployé rapidement le télésuivi des patients COVID-19. Un grand nombre d’autres structures de santé sont en cours de dé-ploiement en prévision d’un engorgement du système de santé et du pic épidémique à venir.
Fin février, Eurasanté a annoncé les résultats du concours SmartHealth qui récompense dix start-up répondant aux problématiques numériques d’établissements de santé en France et au Royaume-Uni.
Sans se lancer dans une quelconque théorie du complot ou toute autre polémique anti-Gafam, l’évolution du business modeldu géant américain et de ses produits mérite vraiment de s’interroger. Les données, et en particulier les données de santé, ont aujourd’hui beaucoup plus de valeur que n’importe quelle licence logicielle, ce que savent pertinemment Google ou Facebook, qui, à défaut de les exploiter, auraient probablement mis depuis belle lurette la clé sous la porte.
Face à l’augmentation alarmante du nombre de patients européens exposés à des médicaments falsifiés, la directive 2011/62/UE « Médicaments falsifiés » va mettre en œuvre un code communautaire destiné à lutter contre la fraude. Début 2019, l’application de cette directive sera effective. Une nouvelle contrainte réglementaire prise en compte par les solutions de Computer Engineering.
CEGI dévoile sa nouvelle gamme Next, pensée comme une suite d’applications mobiles centrée sur le patient et les différents acteurs intervenant dans le cadre du parcours de soins. Explications.
Ces tout derniers mois, la solution de télémédecine Covalia de Maincare Solutions a été retenue dans le cadre de trois projets d’envergure : le déploiement de la télédermatologie en mobilité sur l’ensemble de la région Hauts-de-France, la modernisation de la plateforme de téléradiologie dans le Grand Est et, il y a quelques semaines, le référencement par le Resah dans le cadre du premier marché de télémédecine.
Les rançongiciels chiffrant, sont déjà depuis plusieurs années dans le spectre des équipes SI et SSI. En effet, quel établissement de santé peut se vanter de ne pas avoir eu à faire, ne serait-ce qu’une fois à l’une de ces attaques lors des cinq dernières années. L’infection de 81 hôpitaux britanniques par le ransomware Wannacry en mai 2017, en est sûrement l’exemple le plus marquant(1).
Au terme d’une procédure d’appel d’offres de près de 6 mois, la MGEN a choisi la plateforme intégrée de PHM (Population Health Management) de Maincare Solutions pour généraliser son programme de santé connectée VIVOPTIM, jusqu’alors en phase d’expérimentation depuis 2 ans. La plateforme de Maincare Solutions, véritable solution industrielle, sécurisée en mode HDS et contractualisée en mode SaaS, couvrira l’ensemble des besoins du programme, c’est-à-dire les portails WEB et les applications mobiles pour les adhérents au programme et le PRM (Patient Relationship Management) pour la plateforme médicalisée et les coachs santé (Infirmière, diététicien, tabacologue, éducateurs médico-sportifs).
L’AP-HP, en partenariat avec la Fondation de l’AP-HP pour la recherche et avec le soutien du laboratoire MSD France et de La Fondation du Souffle crée à l’hôpital Bichat – Claude-Bernard, la première plateforme d’évaluation et d’analyse des objets connectés en santé, le Digital Medical Hub (DMH). En janvier 2018, le DMH lancera sa première étude auprès de patients transplantés pulmonaires – EOLE-VAL avec DOCAPOST, filiale du Groupe La Poste.
En France, les taux d’obésité sont parmi les plus bas de l’OCDE, mais ils ont augmenté de façon régulière. Environ une personne sur 10 est obèse et presque 40 % de la population française est en surpoids. Les projections de l’OCDE révèlent par ailleurs que les taux de surpoids augmenteront de 10% dans les 10 prochaines années (1).
Les 8 et 9 septembre derniers s’est tenue la 1ère Université d’été des déserts médicaux et numériques. Organisée à Auzon, entre l’Allier et la Nièvre, l’événement a rassemblé plus de 100 personnes – élus locaux et nationaux, industriels des télécoms, agences régionales de santé, représentants des usagers de santé et des consommateurs – pour échanger de manière pragmatique sur le développement de la télémédecine et de la santé connectée dans les régions rurales alors que ces dernières souffrent de fracture numérique mais également du manque, voire de l’absence, de professionnels de santé. Retour sur ces deux journées riches en échanges et en dialogue.
DOCAPOST, filiale du Groupe La Poste, et le Groupe Tactio, leader mondial en solutions de santé mobile, s’associent pour accélérer le développement de la e-Santé en France.
Le GCS eSanté Archipel 97-1 renforce l’ofre de services de l’Espace Numérique Régional de Santé (ENRS) « Courbaril ». De nombreux projets voient le jour pour favoriser les échanges entre professionnels de santé et assurer un meilleur suivi et une meilleure prise en charge des paients de Guadeloupe et des îles du nord.
La nouvelle version de www.bcbdexther.fr est aujourd’hui l’outil idéal et complémentaire de la base BCB Dexther intégrée aux logiciels métiers. Cette plateforme est adaptée aux pratiques du pharmacien hospitalier moderne, grâce à de nombreuses fonctionnalités lui assurant une information exhaustive, mise à jour quotidiennement et accessible aux établissements déjà abonnés sans reparamétrage.
Alors que le ministère des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes a publié le 16 janvier le rapport du groupe de travail 28 (GT28) du Comité stratégique de filière Santé sur les objets connectés et applications de santé, l’Alliance eHealth France (FEIMA, LEEM, LESISS, SNITEM et SYNTEC Numérique) appelle à la mise en oeuvre d’un référentiel en association avec les parties prenantes.
Pour les établissements privés, les services numériques apparaissent de plus en plus comme des moteurs d’attractivité et de personnalisation des parcours patients à l’heure où la prise en charge en ambulatoire a vocation à se développer. DSIH revient, avec ce dossier, sur quelques innovations remarquables annoncées en 2016, comme celle de l’Hôpital privé du Confluent, à Nantes[1], qui vient d’ouvrir un espace ambulatoire high-tech. Fanny Séguin-Loisance, directrice Marketing et Relation Client de l’établissement, revient sur cette inauguration.
Comment donner aux personnels hospitaliers la possibilité de disposer d’une information médicamenteuse exhaustive, via un site personnalisable et muni d’outils de recherche avancée ? En s’abonnant à la nouvelle version de www.bcbdexther.fr, l’accès Web à la Base Claude-Bernard donne accès à l’ensemble des informations sur les médicaments et produits de santé, tout en valorisant le livret thérapeutique de l’établissement.
Les obstacles au développement des usages en santé mobile tombent petit à petit. Tous les acteurs de l’écosystème s’y mettent, des mutuelles à la Haute Autorité de santé en passant par les établissements de santé. Retour sur les initiatives les plus marquantes de ces derniers mois.
Les approches disruptives du marché ou du management créent une nouvelle chaîne de valeurs et finissent par remplacer l’économie dominante sur un marché. Peu importe que l’innovation porte sur un produit ou un service, l’ubérisation voire la blockchain imposent leur loi !
Aruba Networks, une entreprise HPE, anticipe les besoins de l’hôpital de demain en misant sur le développement du wifi. Exemple du CHU de Toulouse.
VIDAL a créé, en 2012, en partenariat avec le Conseil National de l’Ordre des Médecins (CNOM), l’« Observatoire des usages numériques en santé ». Fin 2015, l’Observatoire a réalisé la 4e édition de ce baromètre auprès de 1402 médecins utilisateurs de smartphones (étude réalisée par questionnaire adressé par e-mail). De nouvelles questions ont été rajoutées pour mieux cerner les attentes en matière d’applications mobiles santé et objets connectés.
Après le succès de la 1ère session, l’association FORMATICSanté, pionnière dans le domaine de la e-formation et la e-santé, anime à partir du 25 avril 2016 la saison 2 du MOOC* « Initiation à la e-santé », avec 2 parcours
L’Organisation mondiale de la santé vient de publier un rapport consacré aux progrès réalisés en matière d’e-santé dans la zone Europe, un état des lieux sur lequel s’appuient ses recommandations pour intensifier l’action publique dans les pays concernés.
Wellfundr et IBM annoncent le lancement de HealthShapr, le premier programme de financement et développement des innovations en santé mobile et connectée dédié aux professionnels de santé et aux patients. HealthShapr repose sur un accompagnement global : du développement à la mise à disposition sur les stores pour les applications mobiles de santé, jusqu’au prototype pour les objets connectés de santé, en passant par le financement du projet lui-même.
Toutes les applications de santé en langue française peuvent concourir gratuitement aux Trophées de la Santé Mobile 2016 !
Maincare Solutions annonce le lancement de sa nouvelle solution mobile Linxap, innovation dédiée aux professionnels de santé, à l’occasion de sa Réunion Annuelle des Utilisateurs, les 17 et 18 novembre 2015 à Paris, Espace Cap 15.
C’est un des programmes de e-santé les plus ambitieux au monde, ont souligné les partenaires de Vivoptim, à l’occasion de son lancement par la MGEN (Mutuelle Générale de l’Education Nationale), le 9 novembre.
Le National Health Service (NHS) d’Angleterre avait commencé à référencer, en mars 2013, des applications mobiles de santé afin de les mettre à disposition du public et des professionnels via le portail NHS Choices. Cette « Health Apps Library » a fermé mi-octobre après qu’une publication de Biomedcentral (BMC) ait montré que les apps certifiées n’étaient pas exemptes de failles en matière de protection des données.
Les solutions d’aide à la décision ou « systèmes interactifs d’aide à la décision » (SIAD) constituent un ensemble d’outils et de pratiques permettant l’exploitation précise des données. Big Data appliqué aux données de santé ou de gestion, exploration en masse, les usages sont en permanente évolution. CEGI Santé offre des solutions adaptées à ces besoins en mutation. Entretien avec Laurent JAMET - Chef de projet – Département Décisionnel.
Dans le cadre des restructurations dont font l'objet les établissements sanitaires, de plus en plus de personnels de santé sont nomades. Resip a conçu pour eux l'application BCBDexther, qui leur donne accès aux informations dont ils ont besoin, partout où ils se trouvent.
Après trois ans d’évaluation collaborative (et bénévole), la start up dmd santé annonce mettre en œuvre un process de labellisation (payant) des solutions de santé connectée (sous le nom de mHealth Quality).
Accenture évalue à 6 milliards de dollars les économies qui auraient été réalisées sur 2014, aux Etats-Unis, grâce aux solutions numériques mobiles en santé. La société de conseils a analysé l’impact des systèmes approuvés par la FDA (Food and Drug Administration), dispositifs et logiciels à finalité médicale, utilisés notamment pour faciliter l’observance des traitements, accompagner des modifications de comportements ou pour contribuer à réduire les passages aux urgences.
Les objets connectés « bien-être et santé » sont au premier rang des contrôles prévus par la Cnil cette année. La Commission nationale informatique et libertés a annoncé fin mai qu’elle donnait un coup d’accélérateur à ses procédures de contrôle puisqu’elle en prévoit environ 550 pour l’année, contre 421 l’an passé.
Dans un point d’information destiné aux utilisateurs et consacré aux logiciels et applications mobiles de santé, l’ANSM renvoie les patients à l’expertise des professionnels de santé (1).
Le programme Hôpital Numérique aura permis d’accélérer la mise en place des dossiers patients informatisés. L’Atlas des SIH 2014, publié en mai dernier, l’attestait déjà : l'informatisation du Dossier Patient était alors bien engagée, avec un taux de projets achevés ou en cours supérieur à 75%. La prochaine édition devrait confirmer encore le mouvement. Rien de plus logique donc que Medasys, éditeur historique des établissements de santé, s’engage dans le développement de solutions mobiles permettant de faciliter le recueil et la consultation du dossier patient.
La e-santé, c’est encore une affaire de professionnels aux yeux des Français, comme en attestent les résultats du baromètre santé annuel de Deloitte.
Les Echos Etudes ont présenté le 9 avril dernier les premiers résultats d’une enquête menée auprès de 641 médecins, hospitaliers et libéraux, qui évalue leur perception de la santé connectée et de son intérêt(1). Elle confirme que le numérique finit par prendre place peu à peu dans la relation médecin – patient.
Micro6 conçoit des solutions génériques, personnalisables pour chacun de ses clients. Dominique CACLIN, son Directeur, parle de la philosophie de cette société, des spécificités de développement de DIAMM, des projets en cours et des valeurs de cette entreprise à taille humaine.
Dans le cadre des restructurations dont font l'objet les établissements sanitaires, de plus en plus de personnels de santé sont nomades. Resip a conçu pour eux l'application BCBDexther, qui leur donne accès aux informations dont ils ont besoin, partout où ils se trouvent.
15 recommandations (ci-dessous) sur un total de 118, un projet « emblématique » : le rapport Lemoine, commandé par Bercy en janvier dernier pour analyser les leviers de « la transformation numérique de l’économie », est loin d’avoir négligé la santé.
Le think tank Renaissance numérique a exploré le potentiel des outils numériques à transformer le système de santé français en un modèle préventif. Il en ressort une analyse de plus de 120 pages et une série de 16 propositions (1).
Les plus lus