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Nous avons récemment eu droit à une liste de prévisions (à lire au préalable ici[1]) du directeur général d’OpenAI (Sam Altman) concernant le futur de l’IA. Certes, la futurologie est un exercice délicat, mais certaines de ses prédictions tournent clairement à la bisounourserie façon guimauve et chouquette à la fraise des bois. Huit prédictions, huit analyses, une par une. On terminera par celles de votre serviteur, subtilement nuancées comme d’habitude.
Les mots, rien que les mots : le langage est fait de mots et les mots recouvrent les idées et les concepts. Petit voyage en terre presque connue.
Il s’en passe des choses en ce moment : est-ce le printemps ou la fin d’un hiver pourri ? Toujours est-il que l’on ne sait plus où donner de la tête.
Au cœur des écosystèmes de santé, les SATT jouent un rôle clé dans la dynamique d’innovation du monde hospitalier afin de toujours mieux répondre aux enjeux de santé publique et de contribuer à la création de l’hôpital de demain. Alors que la mission du gouvernement pour la rénovation de la recherche biomédicale doit rendre ses conclusions prochainement, le Réseau SATT confirme son engagement en faveur de l’émergence des innovations en santé et partage l’ambition d’une recherche renforcée pour le maintien du leadership et de l’attractivité internationale de la France.
L’inauguration du tiers-lieu BOpEx (Bloc Opératoire Expérimental) et de la plateforme Prim3D (Prototypage et Réalisation d’Innovations Médicales en 3D) s’est déroulée le 27 mars 2024 au sein de l’ancien hôpital Broussais. Ces deux initiatives vont contribuer à accélérer l’innovation en santé, en favorisant l’émergence de nouveaux outils au service de la prise en charge des patients au bloc opératoire. Un futur campus chirurgical viendra également accompagner ces mutations en formant les futures générations de professionnels.
Le guide des 42 mesures d’hygiène de sécurité de l’Anssi est un document que je tiens pour essentiel dans la démarche cyber.
Le Health Data Hub (HDH) annonce les cinq nouveaux projets lauréats de l'appel à manifestation d'intérêt (AMI) portant sur la Bibliothèque ouverte d'algorithmes en santé (BOAS) et le lancement de la sixième vague du programme. BOAS est une démarche initiée depuis 2021 qui vise notamment à soutenir le développement, la sophistication et la validation d'algorithmes de "ciblage" dans la base principale du Système National des Données de Santé (SNDS) : des outils essentiels à la réalisation d'études fiables à partir des données de santé de l'Assurance Maladie.
Lors de la 4ème cérémonie des Talents de la e-santé 2023 organisée par l’Agence du Numérique, La Réunion s'est distinguée en remportant une récompense majeure dans le domaine de la cybersécurité avec le label NouVey. Lancé fin 2022 par l’ARS La Réunion, TESIS et le Groupement Hospitalier de Territoire (GHT) Réunion, ce programme vise à sensibiliser les acteurs et professionnels de santé de La Réunion aux enjeux de la cybersécurité pour le maintien des activités de soin et l’intégrité des données des patients.
Quand on termine la lecture de Dette, 5 000 ans d’histoire de David Graeber (aussi connu pour avoir écrit Bullshit Jobs), deux idées viennent immanquablement en tête. La première, c’est : Waouh ! Nom d’une brouette en inox, combien de temps lui a-t-il fallu pour pondre un pavé pareil (plus de 600 pages écrites en tout petit) truffé d’anecdotes, de références historiques et bibliographiques, bref, quasi le travail d’une vie ? Et la seconde, c’est que l’on ne comprend plus rien à ce qu’est véritablement une dette – je suis tout à fait sérieux, j’avais eu exactement la même impression en terminant L’Irrésistible Ascension de l’argent de Niall Ferguson, comme quoi ces concepts ne sont pas aussi triviaux qu’il n’y paraît. Et encore moins à la question : Qui doit quoi à qui ?
Mardi 12 mars, la délégation française du CATEL, présente au salon HIMSS, organisait un duplex en direct d’Orlando avec le congrès de la Société française de pharmacie clinique (SFPC) qui se tenait en même temps à Toulouse. D’un côté et de l’autre de l’Atlantique, les pharmaciens hospitaliers ont pu échanger autour des enjeux de transformation de la filière « Pharmacie à Usage Intérieur » (PUI) induits par les (r)évolutions numériques.
Filiale de Docaposte et marque de La Poste Santé & Autonomie, Maincare lance, en partenariat avec l'éditeur Thera Soft, M-RIS, une solution RIS novatrice et complète répondant aux besoins évolutifs des professionnels de l’imagerie médicale. Conforme aux exigences du Ségur, M-RIS offre une gestion complète des activités d'imagerie médicale, combinant mobilité, intelligence artificielle et outils de pilotage avancés. Ce lancement s'inscrit dans la dynamique engagée par Maincare avec le lancement récent de M-DRIMbox et ceux à venir de M-Viewer et M-PACS, démontrant ainsi l'engagement de l'entreprise à devenir un acteur de premier plan dans le domaine de l’imagerie médicale.
Le 8 mars 2024, le Health Data Hub a annoncé le lancement du projet européen Quantum destiné à développer un label de qualité pour l’utilisation secondaire des données de santé dans l’UE. Il mobilise 30 partenaires de 14 pays européens.
En 1152, la reine de France Aliénor d’Aquitaine faisait annuler son mariage avec le roi Louis VII. Elle quittait Beaugency pour le Poitou afin de se marier avec Henri Plantagenêt. Sur le chemin, elle subit deux tentatives d’enlèvement (l’une par Geoffroy, le frère d’Henri, l’autre par le comte de Blois). Il semble que cette pratique était courante au xiie siècle : celui qui aurait réussi à l’enlever aurait pu l’épouser. On ne juge pas : c’était juste la version Tinder de l’époque.
Vendredi 8 mars, le Winship Cancer Institute d’Atlanta, clinique spécialisée en oncologie, recevait la délégation française portée par le CATEL pour une visite de ses bâtiments flambant neufs et une présentation de leur parcours de prise en charge à la pointe de l’innovation technologique et organisationnelle. Organisé autour du patient et d’une vision holistique de la prise en charge, nous avons vu hier comment la technologie accompagnait cette révolution. Continuons notre visite avec un focus sur la pharmacie hospitalière et une analyse de l’acceptabilité de l’innovation par les utilisateurs. Et posons ensemble la question de la transposition au modèle français. (2/2)
Imaginez un jeu de cartes, un jeu de tarot ou de belote, cela n’a aucune espèce d’importance. Chacune des cartes est biface et la face avant porte les valeurs classiques (as, roi, dame, valet, 10, 9, etc., pour finir par le 2), alors que l’autre face est colorée entièrement soit en bleu, soit en rouge. Une carte prise au hasard pourra afficher sur l’une de ses faces une dame et sur l’autre face la couleur rouge, par exemple, une autre carte le duo valet/bleu. Vous ne connaissez pas la règle qui a prévalu au choix de la couleur de la seconde face de chaque carte, si tant est qu’il y en ait une.
Le regroupement des hôpitaux en Groupement Hospitalier de Territoire (GHT) représente un défi complexe pour les établissements publics de santé à l’échelle d’un territoire, mais cela représente également une formidable opportunité pour faciliter le parcours du patient et optimiser la gestion des établissements de santé. Au-delà de l’impératif de garantir la sécurité des données de santé, la question de l’identité des patients émerge comme l’une des solutions clés pour améliorer son parcours de soin.
Les services des urgences traversent une crise profonde, confrontés à une affluence exponentielle en regard du sous-dimensionnement de leurs équipes et infrastructures.
Jeudi 15 février, le groupe Dedalus France accueillait dans les locaux de son siège social à Artigues-près-Bordeaux, la 1ère édition des Rencontres d’ALLIS-NA, pôle de compétences de Nouvelle-Aquitaine. Consacrée au développement de l'IA dans les établissements, la matinée a réuni un parterre d’acteurs régionaux autour de ses enjeux et des moyens d’accélérer son intégration dans les SI hospitaliers, en présence de Françoise JEANSON, vice-présidente Santé & Silver économie au Conseil Régional de Nouvelle-Aquitaine et de Christian FILLATREAU, président d’ALLIS-NA.
NIS 1 a vécu : le décret de 2016 est remplacé par sa seconde mouture publiée en décembre 2022, dont nous commençons à voir les contours au gré des conférences et débats en tout genre. Cette seconde mouture sera vraisemblablement la deuxième si l’on en juge par certaines dispositions qui laissent entrevoir une NIS 3 dans les prochaines années.
Depuis le dernier trimestre 2023, l’Institut de Cancérologie de Lorraine (ICL) gère son circuit de prescription/préparation/administration des chimiothérapies avec l’application Chimio 6.0 de Computer Engineering. Comment s’est passé ce changement, avec quels effets ?
A la une de DSIH 41 | Février 2024 #Le bloc opératoire du futur : On assiste à une explosion de solutions numériques qui ne demandent qu’à franchir les portes du bloc. L’IA sous toutes ses formes, y compris les modèles de langage, l’enregistrement de bout en bout d’une intervention pour améliorer les pratiques ou encore les lunettes de réalité virtuelle pour préparer une opération, dévoiler au chirurgien ce que l’œil seul ne voit pas et guider son geste… Des freins demeurent à leur mise en place. Décryptage et projections à retrouver dans notre dossier consacré à la chirurgie 4.0.
Pour s’adapter à l’évolution des technologies, des usages et de l’organisation des hôpitaux, les trois filières Ingénierie biomédicale, Biologie et Santé digitale & numérique d’UniHA, premier acheteur public dans le secteur de la santé, travaillent désormais de concert au sein d’Unibiotech pour construire les marchés pour lesquels les données et l’intelligence artificielle sont devenues les moteurs de l’optimisation diagnostique et thérapeutique.
La réussite du parcours de soins d’un patient repose sur la communication et la coordination entre les différents professionnels de santé. Au CHU de Reims, l’engagement en faveur du lien ville-hôpital a conduit l’établissement à se tourner vers Parceo, le service régional de coordination porté par Pulsy. Cette solution numérique assure une communication continue et fluide entre les différents acteurs du parcours de soins du patient, à l’hôpital comme en ville, notamment à travers une messagerie instantanée sécurisée.
Récemment, un incident s’est produit dans mon établissement : un fournisseur a envoyé, par mail et en pièce jointe, un fichier Excel (sans mot de passe) avec la liste des serveurs télé-administrés… et les couples ID/Password de plusieurs d’entre eux. J’avoue, j’ai vu tout rouge. J’avoue, le message que j’ai transmis à l’encadrement du technicien fautif était un tantinet caustique. C’est mal, hein ? Mais il s’agissait d’une erreur d’inattention, pas de malveillance ni d’incompétence, et si l’on coupait l’extrémité d’un doigt de chaque ingé ou tech qui commet des bourdes, je serais présentement en train de taper sur mon clavier avec mon pif : c’est la raison pour laquelle, l’affaire n’est pas allée plus loin. D’ailleurs, l’encadrement du fournisseur en question a rapidement réagi – et je me permets de rappeler qu’on détecte les bons dans chaque domaine non parce qu’ils ne commettent aucune erreur, mais parce qu’ils savent très rapidement en corriger la root cause.
Impossible d’être passé à côté : depuis quelque temps, ce sont des vidéos en mode deepfake qui fleurissent sur les réseaux sociaux. Nous avons ainsi vu des hommes politiques apparaissant plus vrais que nature dans La Fièvre du samedi soir (déhanchements en prime), voire se faire ébouriffer les cheveux au beau milieu d’un discours (réel) par des personnalités du showbiz (réels eux aussi, mais qui n’étaient pas présents à l’allocution pour autant qu’on le sache). Et carrément Taylor Swift dans un « film de genre », ce qui est nettement plus infamant pour l’artiste.
Alors que, jeudi 25 janvier, Dedalus réunissait à Paris ses partenaires et clients pour la 6ème édition du D4Evolution, le groupe est revenu sur ses dernières actualités et en a profité pour présenter sa nouvelle gouvernance. Début janvier, Guillem Pélissier, transfuge d’Atos, prenait la tête de la direction générale France pour accompagner les ambitions européennes du fournisseur de solutions logicielles. Au programme de cette journée : la souveraineté européenne et la co-construction au service de la transformation numérique.
Le projet "Platform For Data In Primary Care" ou P4DP est un projet ambitieux qui réunit les acteurs clés français du numérique et de la recherche en soins primaires, afin de créer le premier entrepôt de données de santé de médecine générale à l'échelle nationale. Trop peu exploitées en France, les données de médecine de ville constituent des outils stratégiques pour améliorer la performance de notre système de soins grâce à la mobilisation de la communauté médicale.
Computer Engineering poursuit son développement dans ses deux domaines de prédilection que sont l’oncologie et le circuit du médicament. L’an dernier a vu l’accélération du déploiement de la version 6.0 de ses applications, et notamment Chimio, et la mise en production de plusieurs solutions innovantes.
Ça y est, Noël est passé, le petit Jésus, la crèche, les crises de foie, les repas de famille avec le tonton acariâtre juste à votre gauche. Il est largement temps de se changer les idées avec un petit quiz aux questions subtilement nuancées. Une seule bonne réponse par question, on compte les points à la fin.
Récemment[1] dans ces mêmes colonnes, je faisais part de mon étonnement eu égard à l’empressement des pouvoirs publics à quitter les messageries instantanées réputées « non sûres », telle WhatsApp, pour contraindre les membres du gouvernement (et des deux chambres, et des assistants parlementaires, et des membres des cabinets, etc.) à passer sur Olvid.
La télésanté regroupe les activités de santé médiées par un outil numérique : téléconsultation, téléexpertise, télésurveillance, téléassistance, télérégulation, télésoins... En mettant en relation les patients et les professionnels de santé ou les professionnels de santé entre eux, elle permet la réalisation de nombreux actes : établissement de diagnostics, suivi renforcé de patients à risques, sollicitation d’avis spécialisés, prescription de produits ou d’actes, surveillance de patients à domicile, actes de rééducation...
Bon, OK, je vais mélanger quelques news des deux côtés du 31, mais c’est pour la bonne cause.
Les conseillers financiers nous abreuvent à chaque début d’année de prévisions boursières (qui seront aussi fausses a posteriori que l’étaient celles de l’année précédente), aucune raison que je n’aie pas moi aussi le droit de « prospectiver » et d’allègrement me planter.
2023 se termine et comme chaque année c’est l’heure du bilan. Sans prétention aucune bien entendu.
L’APSSIS a le plaisir d’annoncer la publication de la 3ème version mise à jour de l'opus 2 des Guides Cyber-résilience sur les cyberattaques à destination des professionnels du secteur. Conçus et élaborés par Cédric Cartau, RSSI/DPO du CHU de Nantes et Vice-président de l’APSSIS, ces guides se veulent à la fois accessibles, techniques et pratiques.
Cher Père Noël, comme chaque année je t’écris car j’ai été encore hypersage, bien plus que les années précédentes. Non, ce n’est pas l’âge, c’est juste que je deviens un peu plus philosophe – oui bon, OK, c’est l’âge.
Mostafa Lassik, Directeur Général du Mipih et Olivier Morice-Morand, Directeur Général du SIB, officialisent le rapprochement des deux groupements d’intérêt public (GIP) pour constituer le premier acteur public du numérique en santé.
A l’occasion du Conseil du Numérique en Santé et de l’anniversaire de Paris Santé Campus, Aurélien ROUSSEAU, ministre de la Santé et de la Prévention, Roland LESCURE, ministre délégué chargé de l’Industrie, ont annoncé 10 nouveaux lauréats de l'appel à projets « Accompagnement et soutien à la constitution d'entrepôts de données de santé hospitaliers » et 9 nouveaux lauréats de l'appel à projets « Evaluation du bénéfice médical et/ou économique des dispositifs médicaux numériques ou à base d'intelligence artificielle ».
Impossible de passer à côté : la Première ministre, Élisabeth Borne, a demandé aux membres de son gouvernement de supprimer les messageries instantanées « classiques » du genre WhatsApp ou Signal pour les remplacer par Olvid. Ite, missa est. Ceux qui me lisent peuvent témoigner que je bouffe du Gafam plus souvent qu’à mon tour et, a priori, la décision de flinguer WhatsApp au sein de l’exécutif semble tomber sous le sens. Sauf que plusieurs aspects interrogent tout de même.
Aux termes du rapport d’audit de la visite de certification V2020 de la Haute Autorité de Santé, le Centre Antoine Lacassagne est certifié avec la mention la plus élevée « Haute Qualité des Soins ». Ce très bon résultat garantit que le Centre Antoine Lacassagne satisfait aux exigences demandées par la HAS en termes de qualité et de sécurité des soins. Cet excellent résultat est le fruit d’une culture qualité partagée et mise en oeuvre par tous les professionnels du Centre Antoine Lacassagne au profit des patients.
La Quadrature du Net est une association qui « promeut et défend les libertés fondamentales dans l’environnement numérique ». Dans un article récent[1] (relayé d’ailleurs sur des chaînes d’information généralistes), ce think tank s’attaque à ce qu’il titre « Notation des allocataires : l’indécence des pratiques de la CAF désormais indéniable ». Contrôle ? Notation des personnes ? Mon sang de DPO n’a fait que 99 tours, je suis allé voir derechef.
Transporter, soulever, déplacer, convoyer, remorquer : les robots mobiles autonomes (Autonomous Mobile Robot, AMR) sont aujourd’hui capables de se déplacer seuls de façon sécurisée dans l’hôpital pour transporter des charges lourdes, du matériel médical (médicaments, dispositifs médicaux, des échantillons d’analyse…), des chariots ou des bacs. UniHA propose à ses adhérents une nouvelle offre permettant l’automatisation des flux logistiques dans l’hôpital.
Le consortium P4DP, Platform for Data in Primary Care, a annoncé le 22 novembre ses objectifs pour le premier semestre 2024.
Il n’y a pas que les sujets de fond, il y a aussi l’actualité dans la cyber.
Même quand on est dans le ventre mou de l’actualité cyber (entre Halloween et Noël ou entre Noël et le ski), il se passe toujours quelque chose sur la planète des données et leur protection.
L’Institut Universitaire du Cancer de Toulouse-Oncopole (IUCT-O) et l’éditeur InterSystems ont développé un partenariat fort lors du déploiement du dossier patient informatisé (DPI) TrakCare et de la plateforme de coordination de soins HealthShare. Véronique Flanzy, Directrice médicale des systèmes d’information et de l’e-santé à l’IUCT-O, Denis Jeannelle, DSIO du même Institut, et Olivier Desvernois, Directeur des opérations InterSystems France, décrivent comment cette collaboration a permis d’améliorer la prise en charge des patients.
Récemment, je suis tombé sur un article[1] qui disait, en substance, que les pires ennemis du RSSI étaient les dirigeants : DG, DAF, DRH, etc. Et que, dans le même temps, les RSSI (Ciso dans le monde anglo-saxon) se retrouveraient (toujours selon l’article) de plus en plus en ligne de mire des juges en cas de manquement grave aux bonnes pratiques cyber. Bref, c’est nous (les RSSI) les gentils au milieu de tous ces méchants qui font rien que nous empêcher de cybersécuriser en rond.
Les IA génératives et les large language models ont propulsé l’intelligence artificielle dans la sphère publique. Elle commence aussi à prendre sa place dans les établissements. Même si, comme beaucoup le disent, cette technologie ne reste qu’un outil, elle risque de transformer en profondeur les pratiques des médecins et plus largement des acteurs de l’hôpital. Décryptage et projections à retrouver dans notre dossier consacré à l’IA.
Si les girafes ont un long cou, c’est parce qu’elles ont dû aller chercher leur repas en hauteur dans les arbres. Les girafes à petit cou n’ont pas survécu ; elles n’ont donc pas pu se reproduire avant de mourir et ainsi transmettre les gènes du petit cou (bon, c’est un peu plus nuancé que cela, mais c’est en gros l’idée générale).
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