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Aujourd’hui, les GPU ou cartes graphiques jouent un rôle central dans le domaine de l’Intelligence artificielle avec la puissance de calculs que nécessitent ces nouvelles technologies. Hôpitaux, CHU, Universités scientifiques… Découvrez comment développer l’IA au sein de vos établissements avec vos ressources GPUs, et leur rôle prépondérant dans l’intégration de ces nouvelles technologies.
À l’occasion d’un évènement organisé par le Ministère de la Santé et de la Prévention et le Health Data Hub, le 3 avril 2023 à PariSantéCampus, le Gouvernement a annoncé les lauréats de la première vague de l’appel à projets « Accompagnement et soutien à la constitution d’Entrepôts de Données de Santé (EDS) hospitaliers » soutenu par France 2030 pour un montant d’aide global de près de 40 Millions d’euros. L’Entrepôt de Données de Santé NOVA (EDS NOVA) a été sélectionné par un jury d’experts en données de santé comme un des six lauréats de la première vague de cet appel à projets. L’EDS NOVA porté par le groupement de coopération sanitaire NOVA (GCS NOVA) associe le CHU de Bordeaux, le CHU de Limoges et le CHU de Poitiers.
La news a été diffusée par plusieurs médias spécialisés : le dossier patient (DP) de Pierre Palmade à l’AP-HP a été consulté à de multiples reprises par des personnels n’ayant rien à voir avec la prise en charge médicale de l’humoriste… voire travaillant dans l’un des établissements de l’AP-HP où il n’était pas hospitalisé. Il s’agit d’un accès indu au DP (ou de curiosité malsaine en langage courant). C’est illégal et c’est puni par la loi. Cela étant, le sujet est très complexe. Décryptage.
Les séries TV fleuves vous ennuient ? Les histoires avec le méchant JR et le gentil Bobby Ewing vous font bâiller à vous en décrocher la mâchoire ? Essayez ChatGPT.
Le CHU de Saint-Étienne a sélectionné la solution de stockage flash Pure Storage pour améliorer son système d’information. Le déploiement, mené en quelques semaines avec Axians, s’est traduit par une réduction de la latence des applications et une baisse notable de la consommation électrique, ainsi que par un renforcement de la protection contre les cybermenaces.
Porté par le CHU de Toulouse, avec ses partenaires Collective Thinking et le Health Data Hub, le projet APSoReN vise à croiser les données du CHU de Toulouse avec celles du Système National de Données de Santé afin d’identifier les patients susceptibles de “décrocher” de leur parcours de soins et d’améliorer la prise en charge des 150 000 nouveaux cas de patients victimes de traumatismes crâniens recensés en France tous les ans.
Ça y est, c’est le printemps, il est largement temps de se changer les idées avec un petit quiz pas du tout orienté ni poil à gratter – pas mon genre. Une seule bonne réponse par question, on compte les points à la fin.
De nombreux pharmaciens spécialisés en oncologie avaient fait le déplacement le 2 mars dernier, à Bordeaux, pour découvrir la version 6.0 de l’application Chimio de Computer Engineering. L’éditeur a présenté toutes les évolutions de son logiciel phare.
Emmanuel Mougeotte, Directeur Général France de Dedalus, leader européen des logiciels en santé, a inauguré jeudi 16 mars, le nouveau siège social de l’entreprise en France, à Artigues-près-Bordeaux. Alain Garnier, maire d’Artigues et vice-président de Bordeaux Métropole, Stéphane Delpeyrat, vice-président du développement économique et de l’emploi - Enseignement supérieur et Recherche de Bordeaux Métropole et Alain Rousset, président de la Région Nouvelle-Aquitaine ont fait l’honneur de leur présence ainsi que Françoise Jeanson, Vice-présidente santé silver économie du Conseil régional de Nouvelle Aquitaine, entourés de nombreux acteurs locaux clés et de près de 200 collaborateurs de Dedalus. A cette occasion, le numérique en santé a été mis à l’honneur à travers les activités phare de l’agence bordelaise qui abrite un important département de Recherche et Développement et place l’innovation au coeur de son activité. Mais l’implantation de Dedalus France en Nouvelle-Aquitaine ne date pas d’hier. En effet, le nouveau siège social regroupe les activités d’ex Web100T (initialement basé à Mérignac) racheté en 2019 et d’ex Agfa HealthCare, racheté par le groupe en 2020. Le groupe poursuit ainsi son intégration et sa croissance sur le territoire.
Impossible d’être passé au travers tant l’info a fait le tour de l’actualité cyber : jeudi dernier le CHU de Brest était la victime d’une attaque cyber. Soyons clair : à ce stade, même si la communauté des RSSI hospitaliers dispose de plusieurs éléments techniques, impossible de divulguer quoi que ce soit dans un média ouvert sur ladite attaque pour des raisons évidentes de protection des SIH.
Le Green Data for Health, plateforme référençant des données environnementales, et le Health Data Hub, plateforme hébergeant des données de santé, ont annoncé aujourd’hui les quatre projets lauréats de l’appel à projets qui seront accompagnés humainement et financièrement sur 18 mois minimum. Cette annonce a eu lieu dans le cadre de la 2e édition de la Communauté de la donnée en santé-environnement. Cette journée, visant à fédérer et animer une communauté de la donnée au service des enjeux de recherche en santé environnement, s’inscrit dans le cadre du quatrième Plan national santé environnement.
Lors d’une journée d’échanges organisée le vendredi 3 mars à Lille, le réseau national France Biotech est venu à la rencontre des acteurs de l’innovation santé des Hauts-de-France. Dans le contexte favorable du Plan Innovation Santé France 2030, créer des ponts et des synergies entre parties prenantes, quelles soient publiques ou privées (structures de recherche, établissements de soins, structures de formation, entrepreneurs,…) est essentiel. Cette journée a été l’occasion de partager les résultats du Panorama national de la Healthtech réalisé par France Biotech et de souligner les atouts de l’écosystème des Hauts-de-France ainsi que la force de son collectif, comme l’illustre la candidature lilloise à l’AMI Biocluster, porté par plus de 120 structures du territoire.
Une des qualités premières pour prétendre à une carrière de RSSI, c’est de garder ses yeux d’enfant. C’est ce que l’on se disait récemment, mes 52 printemps et moi-même. Illustration.
Récemment, une discussion entre amis a doucement dérivé vers les théories complotistes.
On pourra toujours se rassurer – Coué, Coué, Coué – en lisant dans les derniers rapports de l’Anssi qu’il y aurait eu moins d’attaques en 2022 qu’en 2021, il n’empêche, de mémoire de vieux croûton, je n’ai jamais connu un tel début d’année.
Theranexus, Inria, l'Université Claude Bernard Lyon 1 et les Hospices Civils de Lyon annoncent aujourd’hui la création d’une nouvelle équipe-projet de recherche publique/privée, AIstroSight. Cette équipe-projet a pour objectifs de développer des méthodes numériques innovantes pour la recherche de nouveaux médicaments candidats destinés à traiter les maladies du cerveau, en particulier certaines maladies neurologiques rares.
Dans un récent et excellent article de La Tribune[1], Marc Sztulman, conseiller régional d’Occitanie et délégué au Numérique pour tous, s’interroge sur ce que sont ou ne sont pas la souveraineté et la confiance, en particulier autour des notions de Cloud. À titre personnel, je n’avais même pas connaissance de la différence entre ces deux idées (confiance versus souveraineté) car – selon moi – elles se recouvrent totalement. Il semble tout de même important de revenir sur quelques concepts.
La routine, vraiment la routine.
L’éditeur Dedalus a organisé le 26 janvier à Paris la cinquième édition de sa traditionnelle journée D4Evolution. Si les thèmes mis en avant étaient les défis de la Data Driven, du cloud et de la qualité de vie au travail, un sujet transverse est apparu : le manque de personnel dans les établissements.
Le Groupe Dedalus, principal éditeur de solutions logicielles pour la santé et le diagnostic en Europe, a dressé le 26 janvier le bilan de son année 2022, marqué par une forte croissance de son chiffre d’affaires et par la poursuite de la transformation de son organisation, à l’occasion de la journée D4Evolution 2023.
L’APSSIS a le plaisir d’annoncer la publication du 6ème opus des Guides Cyber-résilience à destination des professionnels du secteur. Conçus et élaborés par Cédric Cartau, RSSI et DPO - CHU de Nantes - du GHT 44 et Vice-président de l’APSSIS, ces guides se veulent à la fois accessibles, techniques et pratiques.
Le programme de Financement Ségur des établissements SUN-ES est organisé autour de quatre fenêtres d’atteinte des cibles d’usage. La DGOS a partagé courant décembre 2022 les résultats de la 1ère Fenêtre du programme SUN-ES (janvier - septembre 2022) pour les 879 établissements candidats. Verdict : comparé à la moyenne nationale, les établissements ayant choisi Lifen comme PFI sont proportionnellement plus nombreux à avoir atteint leurs cibles d’usages.
Incroyable, le nombre de vidéos qui fleurissent sur les réseaux sociaux – même BFM TV titre dessus pour vous expliquer que Google a quelques soucis à se faire, c’est dire. Passé les premières séances de jeu avec l’interface où l’on se prend à poser les questions les plus bizarres sur les sujets les plus divers. Il y a ce que ChatGPT fait, ce qu’il ne fait pas, ce qu’il peut faire et ce qu’il ne fera jamais, en tout cas dans sa version actuelle.
Bon, apparemment, tout le monde se marre entre la poire et le fromage en posant les questions les plus diverses à ChatGPT. Tout le monde sauf moi, et cela ne peut pas durer. J’ai donc décidé, moi aussi, de tester la bête, mais attention, pas n’importe comment : un test rigoureux, pas du tout orienté, basé sur un corpus de questions sélectionnées par un comité représentatif de moi-même, bref que du lourd. Allons-y.
Philosophons un peu en ce début de semaine.
L’année s’est achevée : 2022 restera comme l’année d’après (Covid) et surtout l’année « pendant » (l’explosion des attaques en crypto, tout le monde en aura pris sa part et pas seulement les hôpitaux). Petit bilan.
Il est assez rare, dans la vie d’un ingénieur, de tomber sur un produit qui effraye autant, duquel on pense qu’il signe peut-être la fin des haricots.
Gérald DARMANIN, ministre de l’Intérieur et des Outre-mer, François BRAUN, ministre de la Santé et de la Prévention et Jean-Noël BARROT, ministre délégué chargé de la Transition numérique et des Télécommunications ont organisé ce jour une réunion de travail sur la cybersécurité des hôpitaux, avec l’ensemble des services mobilisés et les principales fédérations hospitalières.
Cher Père Noël, comme chaque année je t’écris car j’ai été encore hypersage, bien plus que les années précédentes. Non, ce n’est pas l’âge, enfin si quand même un peu.
Il y a une actualité qui empêche de dormir et qui fait le buzz dans les chaumières ces derniers temps, non ce n’est pas une histoire de ballon rond et de petit filet : c’est l’affaire Camaïeu.
À la date d’écriture du présent article, la phase de concertation d’un nouveau référentiel HDS (commenté dans un récent article[1]) est terminée depuis quelques jours ? Pour mémoire, ce référentiel définit les exigences de la certification s’imposant aux termes de l’article L1111-8 du Code de la santé publique à « toute personne qui héberge des données de santé à caractère personnel recueillies à l’occasion d’activités de prévention, de diagnostic, de soins ou de suivi social et médico-social, pour le compte de personnes physiques ou morales à l’origine de la production ou du recueil de ces données […] ». Dans le même temps, une version 2022 de la doctrine du numérique en santé a été mise en concertation[2] et a créé l’émoi chez ceux qui s’inquiètent de la suppression de l’exemption au régime relatif à l’hébergement de données de santé qui y figurait – sous conditions – pour les établissements d’un groupement hospitalier de territoire (GHT). L’objet du présent papier est d’éclairer le lecteur sur ce dernier sujet, du point de vue juridique d’abord, puis selon la vision opérationnelle du RSSI.
Les participants, issus des établissements de santé et médico-sociaux de la région, ont échangé sur l’identité nationale de santé (INS), son déploiement dans leurs structures et les enjeux de son utilisation pour une meilleure prise en charge du patient..
Les membres de l’Assemblée Générale d’UniHA ont procédé au renouvellement du conseil d’administration et porté Pierre Thépot, Directeur Général du Groupe Hospitalier Littoral Atlantique, à la présidence du GCS. Le mandat du nouveau conseil d’administration commencera le 2 janvier 2023.
Le 30 novembre 2022, Synapse Medicine annonce le déploiement de sa plateforme de conciliation médicamenteuse à Gustave Roussy, centre de lutte contre le cancer de Villejuif.
Une norme ISO est un objet fascinant de réflexion, tant la pratique peut en modifier la vision. Un débutant ne vous parlera certainement pas de l’ISO de la même façon qu’un RSSI aguerri, un RSSI de la même façon qu’un consultant, etc. C’est bien toute la richesse du concept que d’évoluer en même temps que ses possibilités d’interprétation. Je souhaitais partager avec vous quelques réflexions autour de la 27001 – et il faut bien garder en mémoire que ces thèmes mêmes de réflexion et la façon de les traiter auront certainement changé dans un an ou deux
En facilitant l’achat à ses adhérents de la solution LIFEN d’envoi de documents médicaux dématérialisés par MS Santé Professionnelle et Citoyenne et d’alimentation du DMP, le GCS e-santé Pays de la Loire ambitionne d’accélérer le déploiement des usages liés au Ségur numérique.
Il est de ces sujets qui paraissent anodins, tellement anodins que vous les voyez rarement évoqués en tant que tels dans une réunion d’huiles ou tout simplement d’experts.
Quelquefois, entre deux réunions avec moi-même ou à la sortie d’une énième conférence encore consacrée à ce que l’on sait déjà depuis des lustres, je me mets à rêvasser à des fins de partie, ENDS OF GAME dans la cyber. Il y a une petite vingtaine d’années, Guillaume Bigot s’était essayé à l’exercice lors du très remarqué Les Sept Scénarios de l’apocalypse, qui mêlait joyeusement guerre nucléaire, attaque bactériologique mondiale, et j’en passe. Tant qu’à faire, autant se lâcher.
Le numérique (tous secteurs confondus) est aujourd’hui responsable de près de 3,5 % des émissions mondiales des gaz à effet de serre (1). A titre d’exemple : le nombre total de mails envoyés et reçus par jour dans le monde était de plus de 306 milliards en 2020. Selon l'organisation Carbon Literacy Project, un mail standard génère environ 4 g de CO2 et avec une pièce jointe volumineuse, il produit jusqu'à 50 g de CO2. Faites donc le calcul… Si les établissements de santé sont déjà fortement engagés dans une démarche « verte » pour réduire leur impact sur l’environnement (énergies renouvelables, rénovation de bâtiments moins énergivores, recyclage des déchets…), comment cela peut-il s’appliquer à l’utilisation du numérique ?
Le CHU de Montpellier, Dedalus et l’Université de Montpellier ont annoncé le 25 octobre lors d’une conférence de presse le lancement officiel d’ERIOS (Espace de Recherche et d’Intégration des Outils numériques en Santé), un lieu d’expérimentation sur les usages des logiciels en santé faisant travailler ensemble l’industrie et les professionnels de santé.
Pour Tessi, spécialiste de la digitalisation des parcours et de l’automatisation des processus métiers, la « plateformisation » de la relation professionnel / usager est l’un des enjeux majeurs des prochaines années. Sa plateforme DigitalCare by Tessi, qui permet d’intégrer dans un parcours usager cohérent l’ensemble de ses services, est l’une des réponses à ce défi.
Récemment, je suis tombé sur une émission d’Affaires sensibles[1] consacrée à une affaire judiciaire célèbre mettant en jeu la pathologie psychiatrique d’une protagoniste : le syndrome de Münchhausen par procuration, SMPP pour les intimes. Petite explication en guise d’introduction : le syndrome de Münchhausen (SM) consiste à simuler une maladie plus ou moins grave pour s’attirer la sympathie de son entourage, alors que le SMPP consiste à prétendre qu’un proche (souvent un enfant) est affecté d’une maladie grave, ce qui le maintient dans un état de dépendance (il est fréquemment soumis à un traitement lourd de longue durée, voire incapacitant) tout en attirant la sympathie des proches pour le « soignant »[2][3] eu égard au (prétendu) calvaire qu’il endure.
Autant le préciser tout de suite, il s’agit de la citation d’une formule que j’ai entendue récemment : je pensais que ce type d’imbécillité avait disparu des organisations modernes, mais en fait non. D’où le nécessaire décryptage, qui va aider plus d’un DSI et plus d’un RSSI. Et plus d’une MOA pour le même tarif. À partager largement, c’est cadeau.
Une fin d’octobre chargée, petite revue de presse/d’actualité/de réflexion/de ce que vous voudrez.
Aujourd'hui, les établissements de santé s’engagent sur la protection des données médicales. Ce besoin provient initialement de la nécessité de faire respecter l’éthique, de protéger les données personnelles hautement confidentielles. Pour rappel, ces données sont stockées dans le Dossier du Patient Informatisé (le DPI) et reflètent l'historique médical de chaque patient.
Je ne l’avais pas vue passer, mais dans sa délibération 2022-100 du 21 juillet[1] dernier, la CNIL nous a décrit son positionnement sur la question des mots de passe.
Du 19 septembre au 30 septembre 2022, durant la semaine européenne du développement durable, s’est déroulé le 1er challenge national de suppression d’e-mails inutiles lancé par la Fédération hospitalière de France. Un petit pas pour sensibiliser les hôpitaux aux enjeux de la transition écologique en santé.
Le RSSI et le DPO sont souvent consultés pour des sujets bizarres, voire carrément étrangers à leur périmètre. Mais après tout, c’est le lot de pas mal de professions transverses, surtout dans le conseil.
Avec la chaire industrielle E-LoDi, lancée le 23 septembre, la pharmacie centrale du CHU de Lille expérimente des technologies innovantes.
Je n’avais pas prévu ce genre de billet, mais vu ce qui vient d’arriver la semaine dernière dans mon établissement, il m’a semblé être une bonne idée de le partager avec vous. 23 ans d’hôpital, dont 13 dans la cybersécurité, et je n’avais jamais vu cela. Je vous fais la version courte, car il m’a fallu plusieurs jours pour tout détricoter et reconstituer le fil de l’histoire, et déjà la version courte risque de finir par vous donner mal aux cheveux.
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