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Déjà sous pression depuis plusieurs années, le secteur de la santé a subi de plein fouet les conséquences de la crise sanitaire mondiale, affichant une détérioration encore plus marquée des conditions de travail dans l’hôpital. Sans parler des risques psychosociaux et fortes exigences émotionnelles qui alourdissent l’environnement des soignants.
Il y a déjà 10 ans, WELIOM s’attachait à accompagner les établissements de santé sur la thématique Gestion du Système d’Information de la HAS en faisant notamment le lien entre 12 critères du manuel de certification et les indicateurs du programme Hôpital Numérique.
Le 22 mars 2024, l’Agence du numérique en santé a annoncé la diffusion des versions de prépublication du système ouvert et non sélectif Dossiers patients informatisés et Plateformes d’intermédiation.
Depuis des mois, un large travail d’analyse du risque cyber qui pèse sur les établissements de santé et une priorisation des mesures correctives à mettre ont été mené avec l’ensemble des acteurs de l’écosystème (fédérations hospitalières, DSI et RSSI d’établissement de santé, ARS, Grades...). Ce travail a permis de lancer le 18 mars, deux guichets de financements portés par l’ANS et destinés aux Etablissement de santé. Il s’agit dans un premier temps de :
L’Agence du numérique en santé a annoncé la mise en concertation, du 22 novembre au 17 décembre 2023, de la nouvelle édition de la doctrine du numérique en santé.
« Dans la santé, l’informatique ne se résume pas à la technique. C’est de l’humain et des projets à construire et consolider. » En plus de 20 ans de carrière, Thierry Jacquemin a eu plusieurs vies. Tour à tour directeur des systèmes d’information en établissement hospitalier, chargé de mission en ARH ou consultant en organisation, il a eu l’occasion d’accomplir de nombreuses missions, de la gestion d’appels d’offres au pilotage d’expérimentation, en passant par la gestion d’un service… Il nous dit tout de son métier, appelant la jeunesse en quête de sens à s’y intéresser.
Mercredi 20 septembre, s’est terminée la phase de déploiement de la « vague 1 » du programme Ségur numérique SONS, pour les logiciels du secteur sanitaire, lancée durant l’été 2021.
La Délégation au numérique en santé (DNS), l’Agence du numérique en santé (ANS) et la Caisse nationale de l’Assurance maladie (Cnam) ont souligné, le 21 septembre lors d’une conférence de presse, le « succès » de la première étape du Ségur du numérique marquée par le déploiement des mises à jour des logiciels « Ségur vague 1 »
Alors que le partage d’images médicales est une des priorités de la vague 2 du Ségur Numérique, Maincare annonce le lancement de M-DRIMbox, première solution depuis son rachat par Docaposte, la filiale numérique du groupe La Poste, s’appuyant sur la complémentarité des savoir-faire de Docaposteet Maincare. La solution permettra aux établissements et plateaux d’imagerie médicale de se connecter au réseau national de partage d’images DRIM-M quel que soit leur RIS / PACS. Au-delà des services attendus dans le cadre du Ségur, M-DRIMbox proposera également des fonctionnalités supplémentaires à forte valeur ajoutée pour les professionnels de santé.
L’Agence du numérique en santé a annoncé que les préparateurs en officine peuvent s’enregistrer dans le Répertoire partagé des professionnels intervenant dans le système de santé depuis le 17 juillet.
L’utilisation secondaire des données s’est progressivement imposée comme une nécessité, en particulier depuis les travaux ayant précédé la Loi de santé du 24 juillet 2019, ayant constitué la Plateforme des Données de Santé ou Health Data Hub.
L’Agence du Numérique en Santé renforce la co-construction avec les éditeurs de solutions de e-santé dans le cadre du déploiement de Pro Santé Connect
Services socles (DMP, MSS), INS, RGPD… un jargon nouveau et autant de notions, parfois abstraites, à acquérir pour les ESMS dans le cadre de la mise en conformité de leur DUI et du Programme ESMS numérique. Mieux comprendre les usages et les processus : Thierry PERRIN, Directeur de l’ESMS le Florilège à Férel et membre du Comité stratégique (COSTRAT) de l’appel à projet ESMS numérique du GCSMS Morbihan, revient sur les sessions de formation organisées le 19 janvier dernier pour les référents de la grappe.
Simple d’utilisation, Efficience garantit l’obtention rapide de données médicales fiables et pertinentes pour la prise en charge des patients en s'appuyant sur les services socles nationaux de la e-santé. Elle sera présentée à l’occasion du Congrès Urgences.
Le référentiel d’exigences applicable aux solutions numériques de téléconsultation devrait généraliser la coconstruction de normes secteur par secteur et faciliter tant la lisibilité que l’appropriation des règles par les acteurs concernés. Il est mis en concertation jusqu’au 25 juin 2023.
Plusieurs responsables informatiques d’établissements de santé ont témoigné de leur expérience concernant la mise en œuvre de la feuille de route Ma Santé 2022 et du Ségur du numérique, lors d’une table-ronde organisée le 25 mai à l’occasion du salon Santexpo.
A l’occasion de Santexpo 2023, Benoit Bresson et Jonathan Lotz, respectivement directeur et directeur adjoint du collectif des GRADeS, ont présenté sa nouvelle gouvernance.
La vague 2 du Ségur du Numérique, dont le déploiement est prévu en 2024-2025, va intégrer de nouvelles professions médicales et paramédicales, a expliqué Clara Morlière, directrice de projets TF Hôpital Ségur numérique à la Délégation ministérielle au numérique en santé, lors d’une présentation sur le stand de l’éditeur Maincare (F47) à l’occasion de Santexpo.
Le développement de la coordination ville-hôpital est l’une des clés de la simplification et de l’optimisation des parcours de soins. Cegedim Santé y contribue largement avec la suite de services Maiia. Comment ? Nos équipes et partenaires vous donnent RDV sur SanteExpo stand I-53 du 23 au 25 mai à Paris Porte de Versailles Hall 1 pour vous le faire découvrir !
Le 24 avril 2023, l’Agence du numérique en santé a annoncé la publication de quatre volets d’interopérabilité liés au Ségur du numérique en santé dans le cadre du projet Data Radiologie, Imagerie médicale & Médecine nucléaire.
Le 14 mars dernier, WELIOM assistait aux Journées nationales du numérique à l’hôpital, l’occasion de débattre du bilan du programme HOP’EN et du nouveau volet SUN-ES, en compagnie de l’ANS, de la DGOS, de l’ANAP et d’autres acteurs opérationnels.
Le SEGUR Numérique s’annonce tout aussi intense en 2023 qu’il l’a été en 2022. La Vague 2 se profile à l’horizon avec l’ambition de poursuivre la généralisation du partage fluide et sécurisé des données de santé entre les Professionnels de Santé et avec les Usagers. S’il est encore un peu tôt pour se faire une idée précise des futures cibles d’usages qui seront à atteindre, du côté du SONS en revanche, les tendances de ce qui va être au programme des éditeurs s’affirment.
L’agence du numérique en santé (ANS) a organisé les 14 et 15 mars à Paris ses troisièmes Journées nationales du numérique à l’hôpital. Elles ont été l’occasion de présenter le chemin parcouru par les programmes HOP’EN et SUN-ES dédiés à la transformation numérique et la modernisation des établissements de santé.
Le 20 février 2023, dans le cadre du Ségur du numérique en santé, l’ANS a annoncé que 95 % des officines sont éligibles à la prise en charge par l’État après le référencement de la majorité des logiciels de gestion d’officine.
Le programme ESMS Numérique est promu dans l’action 21 de la feuille de route « Accélérer le virage numérique ». Ce programme repose principalement sur le déploiement d’un Dossier de l’Usager Informatisé (DUI). Toutefois, l’expérience sur le terrain du cabinet de conseil, WELIOM, tend à prouver que, sans préparation, le déploiement d’un DUI est à risque. Et ce, d’autant plus que le nombre de structures est grand, que le champ d’activité est varié et que la maturité digitale est faible. Comprendre son environnement numérique, répondre aux interrogations, voire aux appréhensions des utilisateurs, susciter l’envie et s’approprier les usages des services socles… sont autant de prérequis à maitriser. Avec Nathalie Bessis-Levy, Consultante WELIOM
Depuis janvier 2022, l’espace numérique de santé « Mon Espace Santé » a remplacé ce que l’on appelait avant DMP (ou dossier médical partagé). Destiné à simplifier autant le parcours santé des usagers que leurs échanges avec les professionnels de santé, la finalité est surtout d’optimiser la prise en charge en permettant le stockage des données dans un seul et unique espace. C’est dans ce contexte que la gestion de la donnée de santé évolue de plus en plus vite et se digitalise. En 2021, c’est l’application « Appli carte Vitale » - qui a été testée dans plusieurs départements - avait pour objectif une généralisation dans tout l’hexagone d’ici la fin 2023.
Le programme de Financement Ségur des établissements SUN-ES est organisé autour de quatre fenêtres d’atteinte des cibles d’usage. La DGOS a partagé courant décembre 2022 les résultats de la 1ère Fenêtre du programme SUN-ES (janvier - septembre 2022) pour les 879 établissements candidats. Verdict : comparé à la moyenne nationale, les établissements ayant choisi Lifen comme PFI sont proportionnellement plus nombreux à avoir atteint leurs cibles d’usages.
Docaposte, filiale numérique du groupe La Poste, est entrée en négociation exclusive en vue de l’acquisition de Maincare, un des leaders de l’accompagnement de la transformation numérique des hôpitaux en France, auprès de ses actionnaires (Montagu Private Equity). Ce rapprochement structurant s’appuie sur le partage de valeurs communes et la vision d’un projet industriel ambitieux de long terme. En associant les actifs de Maincare avec son expertise en confiance numérique, Docaposte créera un leader technologique souverain au service de la transformation numérique des acteurs de la santé.
En facilitant l’achat à ses adhérents de la solution LIFEN d’envoi de documents médicaux dématérialisés par MS Santé Professionnelle et Citoyenne et d’alimentation du DMP, le GCS e-santé Pays de la Loire ambitionne d’accélérer le déploiement des usages liés au Ségur numérique.
L’Agence du numérique en santé (ANS) a présenté le 9 novembre de nombreux usages développés par les 150 établissements pilotes qui se sont lancés dans la démarche Mon espace santé. Leurs retours d’expérience sera bientôt accessible.
Les établissements de santé ont jusqu’au 30 novembre pour choisir leur plateforme d’intermédiation, afin que cette plateforme bénéficie du financement à l’équipement proposé par l’Etat (programme SONS).
L’Agence du numérique en santé continue ses concertations même au cœur de l’été. La première d’entre elles concerne Mon espace Santé ainsi que les spécifications des API d’interopérabilité, et la seconde les volets CI-SIS du projet de diffusion d’imagerie médicale du Ségur du numérique en santé.
Fin juillet, L’ARS Île-de-France a présenté le bilan de la phase d’instruction de la fenêtre 2 du programme SUN-ES.
Un arrêté publié le 5 juillet 2022 au Journal officiel détaille les critères que doivent respecter les éditeurs désireux de référencer leurs services et outils numériques dans le catalogue d’applications de l'espace numérique de santé (« Mon Espace Santé »). Ils ont trait notamment à la sécurité, à l'interopérabilité et à l'éthique.
Nous n’avions pas encore eu le temps de l’évoquer, mais en avril dernier l’ANS a publié un corpus documentaire qui a fait l’objet de pas mal de discussions entre les experts du secteur : le référentiel d’identification électronique[1].
Dicsit Informatique est éditeur de logiciels de gestion pour les professionnels de santé à domicile avec la gamme DOMILINK. Leader sur le secteur de l’hospitalisation à domicile (HAD) avec 160 établissements équipés de la solution DOMILINK HAD (anciennement antHADine.net), c’est le 1er Dossier Patient Informatisé spécialisé pour les HAD à obtenir le référencement SEGUR sur les 3 DSR (Dossier de Spécifications de Référencement) du couloir hôpital : DPI (Dossier Patient informatisé), PFI (Plateforme d’Intermédiation) et RI (Référentiel d’Identité).
Le GHT Yvelines Sud a déployé la plateforme d'intermédiation (PFI) de Lifen afin de compenser les difficultés liées à la convergence des SI. Un choix triplement gagnant : cet outil leur a permis d'améliorer la coordination au sein du GHT ; d'atteindre les objectifs liés au programme HOP'EN ; et à l'annonce du Ségur du numérique, d'avoir un temps d'avance pour avancer vers ses nouvelles cibles. Stéphane Harnisch, DSI du centre hospitalier de Versailles, nous détaille ce projet.
L’éditeur français Tessi, spécialisé dans l’externalisation des processus de dématérialisation et d’envoi de documents, a annoncé le 18 mai à l’occasion de SantExpo le lancement de DOKIDOC, une solution d’émission multicanale de documents spécialement conçue pour les établissements de santé.
La Délégation du numérique en santé (DNS) a organisé le 18 mai, à l’occasion du salon SANTEXPO 2022 qui se tient jusqu’au 19 mai à Paris, une agora consacrée au Ségur du numérique. L’occasion notamment de faire le point sur le nombre, à date, de solutions référencées et de commandes signées.
A travers ce partenariat stratégique avec Docaposte, référent des services de confiance numérique, Maincare souhaite renforcer l’accompagnement des établissements de santé dans leur transformation numérique.Ce partenariat se concrétise par l’intégration de services numériques fournis par Docaposte à l’offre de Maincare. La première étape est de proposer aux établissements de santé la digitalisation du bulletin de paie notamment avec la solution Digiposte opérée par Docaposte. La seconde étape sera de proposer de nouvelles solutions à valeur ajoutée pour les établissements de santé : la signature électronique, la vérification d’identité à distance et l’interconnexion au DMP.
Un arrêté daté du 26 avril 2022 et publié samedi au Journal officiel fixe la liste des documents soumis à l’obligation d’alimentation du dossier médical partagé (DMP) par les médecins et les biologistes et d’envoi tant aux professionnels de santé qu’aux patients par le biais des messageries sécurisées de santé.
Des retours d’expérience des pilotes Ségur pour les champs personnes âgées, personnes en situation de handicap et domicile très prometteurs
Damien Porquet, co-fondateur et directeur technique d’icanopée (filiale de Docaposte), dresse un panorama des avancées du Ségur. Il pointe notamment plusieurs aspects prioritaires à améliorer afin que tous les acteurs concernés soient en ordre de marche. L’enjeu est de passer le cap de l’alimentation automatique pour aller vers la consultation du DMP, c’est-à-dire la vague 2, à l’horizon 2023.
Le groupement hospitalier de territoire de Dordogne (11 établissements, 4 000 lits) a entamé une étroite collaboration avec Lifen depuis 2020 et déploie progressivement sa plateforme d’intermédiation. Une décision dictée par la volonté de participer au déploiement de l’identité nationale de santé et d’accélérer l’envoi de documents médicaux vers la messagerie sécurisée de santé et le dossier médical partagé dans le cadre du programme Hop’en. Choix gagnant et surtout parfaitement adapté au lancement du Ségur du numérique. En effet, les établissements équipés sont d’ores et déjà non seulement capables de répondre aux exigences du Ségur, mais aussi d’anticiper ses prochaines évolutions.
Le Ségur du Numérique en Santé a pour ambition de généraliser et de fluidifier le partage sécurisé des données de santé entre professionnels d’une part et avec les usagers d’autre part. Programmes, spécificités, calendriers : Olivier Mahieu, Consultant chez WELIOM, en décrypte les points-clés.
Enovacom répond à toutes vos questions sur le Ségur lors d’un webinar dédié le jeudi 10 mars 2022 à 10h30.
Le numérique pour le secteur social et médico-social : une feuille de route coordonnée pour accélérer son déploiement en 2022
Le dispositif d’animation régionale qui accompagne les régions dans la construction des feuilles de route de déploiement des MSSanté et du DMP continue de se structurer pour accélérer la mise en place des services socles.
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