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Les patients pris en charge au sein des établissements de santé membres du Groupement Hospitalier de Territoire de Maine-et-Loire commenceront à bénéficier à partir de 2022 d’un nouveau Dossier Patient Informatisé. Le GHT 49 s’appuie sur le Groupement d’Intérêt Public SIB et sa solution de DPI Sillage qui sera déployée au sein de ses 10 établissements engagés dans ce programme. Au-delà des nombreux bénéfices pour les professionnels de santé, ce DPI partagé permettra de faciliter les prises en charge et la communication entre les différents établissements de santé et la médecine de ville (médecins généralistes, spécialistes et officines).
La eSanté se développe rapidement sous la forte impulsion des pouvoirs publics, dans un contexte de crise sanitaire, au bénéfice des professionnels de santé. L’adoption de ces solutions par le plus grand nombre de patients et d’aidants constitue aujourd’hui l’enjeu majeur auquel font face les professionnels de santé, les autorités, les établissements et les industriels de la eSanté.
Le 7 octobre, la Cnil a adopté un référentiel qui recense les finalités de la collecte et du traitement dedonnées à caractère personnel dans les entrepôts de données de santé.
On en était arrivé à croire que l’offre d’hébergement de données de santé était devenue une simple commodité. Face à plus de 100 hébergeurs agrées, difficile pour les clients de faire sereinement un choix les engageant souvent pour de nombreuses années. Quelques incidents les ont cependant conduits à réfléchir sur leurs choix. Venez découvrir comment ces solutions holistiques peuvent apporter de la valeur ajoutée à l’hébergement de données, dans le cadre d’une nouvelle session des jeudis du Numérique proposée par DSIH.
France Assos Santé a sorti en juillet une étude sur « Les Français et la e-santé » qui montre notamment que, au-delà du boom de la pratique pendant les confinements, la télémédecine s’ancre dans les habitudes des Français.
La semaine dernière, l’Agence du numérique en santé a tenu sa conférence de rentrée à la Fabrique événementielle, dans le 10e arrondissement de Paris, et sur les réseaux. Elle était animée par Charlotte Savreux et Lionel Reichardt.
Pour la troisième année consécutive, l’ANS met la doctrine du numérique en santé en concertation jusqu’au 16 novembre, pour proposer une version mise à jour au plus proche des réalités du terrain.
Le programme SUN-ES pour « Ségur Usage numérique en établissements de santé » est le volet consacré au développement du numérique dans les établissements de santé identifié à la suite du Ségur de la santé.
En externalisant l’hébergement des données de santé auprès d’un prestataire certifié HDS, les acteurs du secteur de la santé réduisent leurs coûts de fonctionnement et leur charge de travail liés au suivi réglementaire et opérationnel d’un hébergement dans un datacenter privé.
Tessi et Dapsys ont signé un accord portant sur l’intégration de la startup eSanté, dans le programme d’accélération Pépites Shaker de Tessi. Les deux sociétés, qui proposent des solutions complémentaires pour la Santé, se rejoignent sur une vision commune de l’innovation au service des parcours patient.
Depuis quelques jours, l’info fait le buzz, « Office 365 est désormais interdit aux acteurs publics » par la DINUM !
Le 14 septembre, l’Inca a annoncé la création de l’association « Filière Intelligence artificielle et Cancer », un partenariat public/privé pour accélérer l’innovation et la recherche au bénéfice des patients.
Le 14 septembre, l’ANS a annoncé la tenue d’un Projectathon sur les usages des messageries sécurisées de santé, les 16 et 17 novembre 2021, pour les éditeurs, les professionnels de santé et les établissements de santé des régions de La Réunion et du Grand-Est.
Établissement de référence en santé mentale en Bretagne figurant parmi les cinq plus importantes structures françaises de psychiatrie, le Centre Hospitalier Guillaume Régnier renouvelle son dossier patient informatisé (DPI). Le DPI Sillage, édité par le groupement d’intérêt public SIB, a été retenu par les utilisateurs fortement impliqués dans le projet. Ce nouveau dossier patient va permettre d’accompagner l’établissement dans la mise en œuvre des objectifs de son Projet d’Etablissement 2021-2025 : poursuite du virage ambulatoire, renforcement des filières de prise en charge, facilitation du parcours patient et des échanges de données en amont et en aval de la prise en charge au Centre Hospitalier Guillaume Régnier.
À travers le volet numérique du Ségur de la santé, le ministère des Solidarités et de la Santé entend généraliser le partage fluide et sécurisé des données de santé entre professionnels et avec l’usager, pour mieux prévenir et mieux soigner.
Le 8 septembre, dans le cadre du Ségur du numérique en santé, l’ANS a organisé un webinaire sur la sécurité des systèmes d’information. Il est accessible dans son intégralité sur le site de l’ANS.
Le Pilier 2 du Ségur de la santé mettait en avant « la nécessité d’investir massivement dans le numérique pour rattraper le retard de la France dans la modernisation, l’interopérabilité, la réversibilité, la convergence et la sécurité des système d’information en santé*. » Le volet numérique du Ségur en fixe les grandes lignes, les moyens et les objectifs et met à disposition des établissements une enveloppe budgétaire conséquente. Entretien avec Paul Leroy – Directeur chez WELIOM
Le 27 août 2021, l’Organisation mondiale de la santé a publié un document d’orientation à l’attention des pays et des partenaires chargés de la mise en œuvre des exigences techniques concernant la délivrance des certificats numériques pour la vaccination contre le Covid-19.
Dans le cadre du volet numérique du Ségur de la santé, la DGOS a publié au Bulletin officiel du 16 août une instruction d’application immédiate relative au lancement opérationnel du financement forfaitaire des établissements de santé pour l’atteinte de cibles d’usage.
Fin juillet, la Délégation ministérielle du numérique en santé et l’Agence du numérique en santé ont publié les modalités des 2 milliards d’euros d’investissement du volet numérique du Ségur de la santé : le financement à l’équipement et le financement forfaitaire à l’atteinte des cibles d’usage.
Cet été, l’Agence du numérique en santé (ANS) semble ne pas avoir fait de pause. Fin juillet, elle annonçait l’ouverture du Service européen de santé en ligne (Sesali) qui permet aux professionnels de santé de consulter les données de santé de patients européens. Par ailleurs, le portail Convergence a été mis à jour avec de nouvelles fonctionnalités et la nouvelle version du serveur multi-terminologies a été mise en production.
Le décret relatif à la mise en œuvre de l’Espace numérique de santé a été publié au Journal officiel du 7 août dernier. Il ouvre la porte aux expérimentations avant généralisation en 2022.
Extens, premier fonds français dédié aux éditeurs de logiciels de santé et Sham Innovation Santé (conseillé par Turenne Santé), structure d’investissement de Sham (groupe Relyens) dédiée aux entreprises innovantes de santé, s’associent afin d’accélérer la croissance de Keenturtle, pionnier et leader dans l’édition de logiciels d’aide à la décision en pharmacie clinique.
Avec le référentiel Maturin-H, prochainement disponible, et la version V2020 de la Haute Autorité de santé (HAS) structurant la certification des établissements de santé, c’est un nouveau paradigme qui se met en place. Pour aider les établissements à préparer ces certifications, GPLExpert – société informatique spécialisée en santé depuis 13 ans – a développé un accompagnement transversal et sur mesure qui s’appuie sur la connaissance du terrain de ses consultants.
Au-delà de son aspect purement réglementaire, face à la recrudescence des cyberattaques, le RGPD représente un levier d’amélioration de la sécurité des données de santé pour les établissements sanitaires et médico-sociaux. Entretien avec Charlotte BAL, Consultante WELIOM
Proginov a profité de son audit de suivi annuel avec l’AFNOR (Agence Française de NORmalisation) pour étendre sa certification, de son hébergement de données de santé et hébergement de logiciels tiers, à l’hébergement de son ERP Santé.
Le 23 juin 2021, l’Agence nationale de sécurité des médicaments et des produits de santé ainsi que le Health Data Hub annonçaient la signature d’une convention-cadre pour favoriser le partage des données, faciliter l’accès de tous aux données sur les médicaments et assurer une plus grande transparence en privilégiant l’Open Source.
Vendredi 18 juin, le Conseil du numérique en santé a dressé un point d’étape sur la mise en œuvre opérationnelle du Ségur du numérique en santé destiné à généraliser le partage fluide et sécurisé des données de santé entre professionnels et usagers pour mieux soigner et accompagner.
Aujourd’hui, le monde de la santé n’a jamais autant produit et échangé de données de santé. Il est devenu primordial pour les établissements de pouvoir accueillir et traiter cette nouvelle amplitude d’informations avec une contrainte forte de sécurité et de confiance.
Début juin, le Health Data Hub et Santé publique France ont annoncé leur soutien à la création de DIPoH, une structure européenne pour mieux contribuer à l’amélioration de la santé des populations.
Aujourd’hui, faire entrer l’innovation à l’hôpital n’est pas chose aisée. La faute notamment à un modèle d’intégration qui peine à répondre à des enjeux d’usages et de déploiement rapides, à la fois du côté des hôpitaux que des solutions de e-santé.
Un webinaire de 75 minutes, le 17 juin à 11h00 avec le retour d’expérience de l’AP-HP et des Hôpitaux Universitaires de Strasbourg, interrogés par l’APSSIS
La pandémie l’a mis en lumière : pour faire progresser notre système de soins, il faut accélérer de manière significative sa transition digitale. Ce constat se reflète dans la place historique accordée au numérique dans le cadre du Ségur de la Santé. Ce sont ainsi près de 2 milliards d'euros d'investissement prévus sur 3 ans pour permettre de rattraper le retard « dans la modernisation, l’interopérabilité, la réversibilité, la convergence et la sécurité des systèmes d’information en santé ».
Le 18 mai dernier, la Cnil a publié pour 2020 son 41e rapport annuel qui pointe une activité fortement marquée par la crise sanitaire, mais également par les nouvelles règles sur les cookies, la cybersécurité et la souveraineté numérique.
Avec sa solution de reconnaissance vocale Dragon Medical One, l’éditeur Nuance aide les structures de soins à accélérer leur trajectoire vers l’atteinte de plusieurs objectifs de la nouvelle certification des établissements de santé pour la qualité et la sécurité des soins de la HAS.
Dans les trois prochaines années, la hausse prévue du marché de l’e-santé est de 160 %, d’après l’analyse du Leem. Pour Les Entreprises du médicament, qui représente l’industrie du médicament et des dispositifs médicaux, le secteur, composante essentielle de la modernisation et de l’efficience du système de santé, suscite légitimement un intérêt grandissant des pouvoirs publics (PariSanté Campus, Health Data Hub, feuille de route ministérielle du numérique en santé…) et positionne la France comme un leader mondial du numérique en santé dans la course à l’innovation.
Depuis le 1er janvier 2021, pour éviter les erreurs de traitement des données de santé, la Loi impose d’utiliser l'Identité Nationale de Santé (INS) dans tous les logiciels. Les centres d’imagerie médicale mettent en place ce nouvel accompagnement pour les patients.
Nuance Communications, Inc. annonce aujourd’hui le déploiement de sa solution de reconnaissance vocale Nuance Dragon Medical One au sein du pôle imagerie duCentre Hospitalier Universitaire (CHU) de Lille. La solution, portée par le Cloud, permet désormais aux médecins de renseigner le dossier patient en temps réel, depuis n’importe quel appareil, où qu’ils soient, en utilisant la voix.
L’Agence du numérique en santé (ANS) revisite son animation régionale du déploiement des stratégies MSSanté et DMP, avant les autres services socles.
La décision de certains députés européens de s'opposer aux décisions d'adéquation du Royaume-Uni ignore les implications réelles pour la santé européenne.
Les établissements de santé font face à un grave problème de ransomwares et ce n’est pas près de s’améliorer. Au cours de ces dernières semaines, des attaques par ransomwares ont paralysé des hôpitaux à Villefranche-sur-Saône et à Dax, ce qui a eu pour conséquence le ralentissement, voire l’arrêt du fonctionnement de ces établissements.
La Cnil accompagne des projets innovants dans le domaine de la santé, comportant des enjeux emblématiques en termes de protection de la vie privée dans une démarche de « bac à sable ».
Le groupe de travail Comité stratégique de filière des industries et technologies de santé (CSF-ITS) a remis une série de recommandations portant sur l’usage des données en vie réelle dans l’aide à la décision.
Aujourd’hui, plusieurs questionnements subsistent autour des messageries sécurisées de santé : Pourquoi devenir opérateur MSSanté ? Messagerie On Premise ou en mode SaaS ? Différents types de boites aux lettres : que choisir ? Comment échanger avec des non professionnels de santé ? Que dit la législation ?
Bio Logbook, la start-up nantaise spécialisée dans la médecine de précision remporte avec le CHU de Liège l’appel à projets européen COVID-X. Une subvention de 150 000 euros va permettre d’accélérer la mise à disposition de sa solution. Destinée aux médecins elle détecte de manière précoce les patients atteints du COVID-19 les plus à risque, grâce à son algorithme prédictif et son logiciel d’aide à la décision.
L’identification d’un patient est le garant de la qualité et de la sécurité de sa prise en charge. C’est le premier acte de son parcours de soins. La multiplicité des parties prenantes et des logiciels utilisés, le manque d’harmonisation et de compatibilité des procédures internes existantes et jusqu’à encore récemment, l’absence de règlementation adéquate, a participé à la diversité des méthodes de collecte des données d’identité et au déficit d’informations sur les risques encourus.
Voilà un an que l’épidémie Covid-19 a bouleversé les pratiques médicales et favorisé l’émergence rapide de solutions de e-santé. Pour réduire le risque d’exposition et faciliter l’accès des patients à une consultation, Pulsy a accompagné les professionnels de santé du Grand Est dans le déploiement de la télémédecine. Retour sur une année singulière, qui a marqué l’histoire de Pulsy… et de la télémédecine.
Les Agences Régionales de Santé (ARS) sont impliquées dans l’organisation de la prise en charge des malades, la réorganisation des hôpitaux, la politique de tests à grande échelle et le suivi des personnes ayant été en contact avec un malade de la Covid-19 (contact tracing).
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