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Depuis plusieurs semaines, l’ensemble des 133 établissements français du groupe Ramsay Santé, l’un des leaders européens de l’hospitalisation privée et des soins primaires, est mobilisé dans la lutte contre l’épidémie de Covid-19. Le groupe qui accueille à ce jour près de 1 500 patients atteints par le nouveau coronavirus dans ses lits, sur tout le territoire national, a également souhaité s’engager dans la surveillance des patients à distance. Il a pour cela choisi d’intégrer le dispositif Covidom. Ce dispositif de télésuivi des patients porteurs du Covid-19 va être déployé dans la majorité des hôpitaux et cliniques de Ramsay Santé de France.
PandaLab a développé un outil de messagerie instantanée sécurisée de Santé pour les professionnels de santé. A ce jour, la solution est utilisée par plus + de 5.000 utilisateurs professionnels de santé pour plus de 300.000 messages mensuels échangés. Cette opération permet à Malta Informatique et à la Division Solutions pour Établissements Sanitaires et Médico-Sociaux du Groupe Pharmagest de renforcer leurs offres de solutions pour une meilleure coordination des parcours patients.
Depuis une semaine, l’application de vidéo-conférence Zoom fait couler de l’encre à n’en plus finir dans le domaine de la sécurité. Si personne ne vous a encore demandé un accès à cet outil dans votre établissement, ça ne devrait pas tarder, sauf si… un utilisateur l’a déjà utilisé à votre insu. Après avoir commencé à recenser quelques informations pertinentes sur le sujet [1], et vu qu’il y de la matière, j’ai pensé qu’il serait intéressant de les partager avec vous, sous forme de synthèse dans ce billet.
Figurant parmi les régions les plus touchées par la pandémie, la région Grand-Est déploie un plan de bataille unique en France pour absorber le flux des patients et optimiser la coordination ville-hôpital.
Alors que l’épidémie progresse, le secteur hospitalier se concentre sur les cas les plus lourds et la ville prend en charge l’immense majorité des patients qui ne nécessitent pas une hospitalisation. Pulsy propose, en lien avec l’Agence Régionale de Santé (ARS) Grand Est, des solutions de télémédecine pour garantir à tous les patients l’accès aux professionnels de santé.
La situation inédite que nous vivons aura amené de nombreuses entreprises, institutions, administrations, sans oublier nos établissements de santé, pas toujours prêts, à mettre en place du télétravail, conformément à la volonté du gouvernement. Cette semaine, nous avons décidé de croiser nos plumes, préalablement désinfectées par friction hydro-alcoolique, pour réfléchir sur le sujet. Cédric s’étant penché sur le volet « usage », je vous propose de nous intéresser au volet « technique ».
Pour accompagner les établissements de santé dotés du dossier patient informatisé (DPI) Sillage, le SIB y intègre une nouvelle fiche facilitant la prise en charge des patients atteints ou suspectés du Covid-19. L’ensemble des données recueillies seront exploitables dans l’entrepôt de données du DPI.
L’Agence du numérique en santé, l’ex-Asip, s’est réjouie, le 12 mars dernier, de la 100e certification pour l’hébergement de données de santé.
MiPih, éditeur public français de logiciels e-santé, et l’Union Régionale des Professionnels de Santé (URPS) – Médecins Libéraux Occitanie s’engagent contre la propagation du Covid-19 en rendant accessible gratuitement leur outil de téléconsultation Medicam à tous les médecins de France. Entièrement sécurisée, conforme à la règlementation encadrant l’acte médical, la plateforme entend prévenir des risques et dérives autour de la protection des données de santé.
Relyens, groupe mutualiste européen de référence en assurance et risk management auprès des acteurs de la santé et des acteurs territoriaux, renforce son approche globale des risques en proposant des solutions de prévention s’appuyant sur l’utilisation de la data et de l’intelligence artificielle. Ces nouvelles solutions sont proposées grâce à cinq partenariats exclusifs noués avec des acteurs technologiques de premier plan et focalisés sur 3 zones de risques : les cyberrisques et leur prévention via CyberMDX et aDvens, les risques cliniques et médicaux via Caresyntax et CLEW, les risques de personnel via Amalfi. Ces partenaires partagent avec Relyens le même engagement : sécuriser les activités de tous les acteurs de la Santé et des Territoires qui agissent au service des patients et des citoyens.
La Croix-Rouge française et la Fondation Roche ont sélectionné les deux jeunes pousses qui vont bénéficier d’un accompagnement pour améliorer le parcours de soins des patients : Arkhn et Jalgos.
À l’ère du numérique, quel établissement de santé, s’il n’a pas encore franchi le pas, n’a jamais songé à mettre en place une solution de prise de rendez-vous en ligne pour ses patients ? Gain de temps pour les secrétaires médicales, redynamisation de l’image de l’établissement et confort pour les patients sont de véritables arguments de persuasion.
La France est entrée en phase 2 de l’épidémie de Coronavirus et doit faire face à une évolution rapide de la situation. Ce contexte de crise exceptionnel nécessite une mobilisation de tous les acteurs, y compris des professionnels qui constituent la première ligne de prise en charge et d’accompagnement des patients. C’est à ce titre que CompuGroup Medical, leader des solutions numériques à destination des professionnels de santé libéraux, a décidé de proposer à tous les médecins, en France comme en Europe, de bénéficier gratuitement pendant toute la durée de l’épidémie, de la solution de téléconsultation CLICKDOC.
Le 19 février, la Commission européenne a publié sa stratégie pour les données, qui prévoit notamment de créer neuf espaces européens uniques des données, dont un consacré aux données de santé.
Après plusieurs mois d’échanges, de concertation publique, la doctrine technique du numérique en santé est publiée et disponible sur le site de l’agence du numérique en santé. Riche de plus de 250 contributions de l’ensemble des acteurs de l’écosystème de la e-santé, la doctrine technique est à l’image de la démarche de co-construction souhaitée lors de la présentation de la feuille de route « Accélérer le virage numérique » le 25 avril dernier.
Depuis le 20 janvier 2020, l’Identité Numérique La Poste est la première identité numérique déclarée conforme par l’agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (Anssi) au niveau de garantie substantiel, selon les exigences du règlement européen eIDAS.
Le logiciel de contrôle à distance TeamViewer est très populaire de par sa simplicité d’utilisation. S’il peut s’avérer pratique pour dépanner l’ordinateur de tatie Micheline qui habite à l’autre bout la France, le voir apparaître dans le système d’information de son établissement n’a pas de quoi réjouir un RSSI.
Mercredi 19 Février 2020, l’Agence Régionale de Santé de Guyane annoncera officiellement le lancement du projet « PEPITES », nom donné à sa « Plateforme d’Echange et de Partage Informatisée Territoriale En Santé » du territoire guyanais, intégrant une solution de Dossier Patient Informatisé portée par l’éditeur Softway Medical.
Il est évident que l’interopérabilité va jouer un rôle fondamental pour la santé de demain. En 2020, la taille des données liées au secteur de la santé dans le monde entier devrait atteindre un chiffre astronomique de 2,3 milliards de gigaoctets. Les sources et la nature même de ces données seront différentes : des signes vitaux pour la surveillance des pathologies aux images haute résolution pour l’établissement d’un diagnostic, en passant par les dossiers de pharmacie pour la prescription de médicaments.
En 2019, le MiPih, acteur public du numérique en santé, a engagé une stratégie d’évolution de son offre, en lien avec la transformation du système de santé et le décloisonnement du parcours de soins, impulsés par Ma Santé 2022. Porté par une forte croissance, l’éditeur français, leader des SIH, ambitionne de devenir un acteur incontournable de la e-santé. Retour sur les succès qui ont fait 2019.
le 13 février 2020 – Après l’inauguration de 12 écoles à travers toute la France, Microsoft France annonce aujourd’hui l’ouverture d’une toute nouvelle Ecole IA Microsoft powered by Simplon, financée par la Région Grand Est et hébergée au sein du Centre Hospitalier Régional Universitaire de Nancy. Les apprenants de cette 13ème Ecole IA Microsoft s’apprêtent à devenir les premiers techniciens de la data et de l’IA de l’Ecole qui seront spécialisés sur un secteur, celui de la santé.
Un peu plus de 18 mois de travail, des investissements substantiels (salles informatiques aux normes, bureaux de la DSI sécurisés, outillage logiciel adapté) et beaucoup de volonté ont conduit le GCS Infotech 36 à la certification Hébergeur de données de santé. Accompagnée par Yves Normand et Vincent Trély, l’équipe a su faire face au défi que représentait le projet, porté par Maïlys Michenaud, DPO et cheffe de projet Certification, et Matthieu Kernanet, RSSI du centre hospitalier de Châteauroux.
OVHcloud, fournisseur européen de cloud alternatif, annonce l’évolution de son offre d’Hébergement de Données de Santé. Celle-ci repose sur des modifications majeures telles que la mise à jour des tarifs et la diversification du catalogue Healthcare, pour aider les entreprises à développer un Système d’Information de Santé.
Le 4 février à Paris, le MiPih a remporté le Prix national des Bonnes Pratiques dans la catégorie des Entreprises de Taille Intermédiaire. Ce Prix, attribué par France Qualité, récompense la Forge logicielle : une pratique collaborative et innovante au service de la qualité de l’ERP Prodige.
Lors du Forum International de la Cybersécurité (FIC) à Lille, Apicem Sarl s’est vue remettre, pour la troisième fois, en présence de Monsieur Dominique Luzeaux, ingénieur général de l’armement, le label "France Cybersecurity" pour le système de messagerie sécurisée en santé Apicrypt®.
Depuis 2016, le monde de la santé est entré dans une phase de mutation, avec la mise en place d’une nouvelle territorialisation qui se concrétise par la création des 136 Groupements hospitaliers de territoire (GHT), rassemblant les 898 établissements qui existaient auparavant. La réussite de cette réorganisation repose avant tout sur la collaboration et le travail en réseau des différents établissements publics de santé. Cette réorganisation permet à chaque région de disposer de son propre GHT, ainsi l’ensemble des acteurs du secteur peut soigner les patients de manière plus effective et ce à moindre coût. L’hôpital étant au centre du système de soins pour bon nombre de patients, cette centralisation du système cristallise de nombreuses attentes.
Dans ce webinar de 45 minutes, découvrez comment partager vos documents en toute sécurité grâce aux différents outils dédiés à la collaboration et l’importance de s’appuyer sur un entrepôt de données de santé neutre. Choisissez le créneau qui vous convient : Jeudi 23 janvier 2020 ou Mardi 28 janvier 2020 de 11h00 à 12h00.
Dans le cadre de son nouveau marché « Fourniture, déploiement, maintenance d’un Progiciel de Dossier Patient Informatisé et prestations annexes », le GIP RESAH a référencé la plateforme territoriale de production de soins Maincare IC.
Le 25 novembre dernier, Docaposte a organisé sa première édition des 3 Sphères, un événement dédié à l’e-santé et aux professionnels du secteur avec une question iconoclaste : « La e-santé peut-elle rendre plus heureux ? »Interview de Régis Sénégou, directeur du marché e-santé chez Docaposte.
La difficulté pour les start-up qui veulent développer des solutions d’intelligence artificielle destinées au parcours de soins est d’accéder aux données des systèmes d’information des établissements de santé. Lever cet obstacle passe par l’interopérabilité. C’est ce que nous explique François Decourcelle, directeur adjoint de l’innovation chez Enovacom. La filiale d’Orange Business Services est par ailleurs engagée dans des projets d’entrepôts capables de mobiliser et de consolider plusieurs sources de données.
Le numérique se déployant, et la CNEDiMTS* évaluant de plus en plus de dispositifs médicaux connectés, la question de l'accès au remboursement de ceux qui utiliseront l'intelligence artificielle va se poser. Afin de fluidifier l'instruction de ces dossiers – et ainsi permettre aux patients un accès rapide à l'innovation – la HAS publie aujourd'hui un projet de grille d'analyse des algorithmes auto-apprenants. Cette initiative contribue à cerner ce champ nouveau en pleine expansion. Elle est soumise à consultation publique jusqu'au 20 janvier 2020 pour recueillir les suggestions de tous les acteurs concernés.
Mieux comprendre pour mieux soigner… L’analyse de l’histoire singulière des patients et de leur parcours de soins, à l’échelle d’un établissement, d’un territoire ou encore populationnelle, se nourrit des multiples données de prise en charge stockées dans des entrepôts. Des outils d’interopérabilité sont indispensables pour abonder ces bases comme pour les consulter.
Le Grand Est est la première région de France à publier son appel d’offres e-Parcours. Dès 2020, le Grand Est pourra ainsi offrir aux acteurs de la santé, du médico-social et du social de la région un bouquet de services numériques de coordination, facilitant la prise en charge du patient et de l’usager dans son parcours de soins. La démarche e-Parcours du Grand Est s'inscrit pleinement dans la continuité de la stratégie de transformation du système de santé « Ma santé 2022 ».
En avril dernier était présentée la feuille de route « Accélérer le virage numérique » du plan Ma Santé 2022, une présentation suivie quelques mois plus tard par la mise en concertation des premiers éléments de sa doctrine technique. En phase avec l’ambition et les fondamentaux de cette feuille de route, Maincare Solutions a présenté lors des Journées e-Santé 360 les principaux points d’alignement de sa stratégie avec les orientations et les actions de la doctrine nationale.
Dans un contexte où les Big data du secteur de la santé ne sont plus un « fantasme » mais une réalité quotidienne pour les praticiens, les chercheurs, les patients et toutes les parties prenantes du secteur, le Healthcare Data Institute(1) a mis l’accent sur les pistes d’amélioration de l’accès et de l’exploitation de ces données sous la forme d’une prise de position officielle (3 recommandations et 1 proposition) lors de son événement annuel (HDI Day 2019).
L’ASIP Santé a publié une partie de ses travaux au terme d’une étude de 18 mois sur la télémédecine.
Publié le 10 octobre 2019 au Journal officiel, un décret a modifié les dispositions relatives à l’utilisation du numéro d’inscription au répertoire (NIR) en tant qu’identifiant national de santé (INS), pour les mettre en conformité avec la loi n°78-17 du 6 janvier 2018 modifiée relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés, dans sa rédaction résultant de l’ordonnance n°2018-1125 du 12 décembre 2018.
Récemment, j’ai participé à une discussion au cours de laquelle l’un des protagonistes mentionnait certaines mauvaises habitudes de ses utilisateurs, notamment l’usage de la messagerie WhatsApp pour échanger des données de santé.
Harmoniser un système d’information à l’échelle d’un groupement hospitalier de territoire implique des coûts et un temps de mise en œuvre importants. Il faut pouvoir consolider les données de manière globale, quelles que soient leurs sources, et les mettre à disposition des utilisateurs. Une fois de plus (1), tout est affaire d’interopérabilité, comme le montre bien François Decourcelle, directeur adjoint de l’innovation chez Enovacom.
Avec ses milliers de patients, le monde hospitalier génère des quantités phénoménales de données. Le stockage de cette data est donc une priorité informatique pour ces structures de santé. Cependant, les hôpitaux sont confrontés à des contraintes budgétaires et les solutions de stockage sont onéreuses.
Face à une problématique de réactivité et d’efficacité à la mobilisation d’équipes en situation d’urgence, le CHU Saint Pierre a souhaité moderniser ses équipements afin d’améliorer le quotidien des pompiers et des ambulanciers. Pour ce faire, ils ont fait appel à Enovacom, éditeur de logiciels français dédié à l’échange et au partage sécurisé des données de santé et plus particulièrement à son logiciel Enovacom Surycat.
Dans un entretien accordé à DSIH Magazine (1), Cédric O, secrétaire d’État chargé du numérique (2), nous livre son analyse de la transformation numérique en examinant ses conséquences à l’échelle de la France, mais aussi des citoyens et du secteur de la santé. Au cœur des préoccupations gouvernementales : l’emploi, la fracture numérique et la régulation. Morceaux choisis.
Prudemment mais sûrement, le Gouvernement s’est emparé de la question en lançant un programme d’investissements d’avenir (PIA), devant permettre de ’’tester sur le terrain, par des applications concrètes, le potentiel l’IA’’(Cf. communiqué de presse commun de la Dinsic et de la DITP).
Ils sont actuellement 48 à avoir décroché la certification hébergeurs de données de santé, d’après le site de l’Asip Santé, le dernier en date étant, sauf erreur, le groupement de coopération sanitaire GCS Tesis (La Réunion et Mayotte), premier groupement régional d'appui au développement de l'e-santé (Grades) de la liste des hébergeurs pour son datacenter, et qui en plus couvre les 6 activités du référentiel.
Sans se lancer dans une quelconque théorie du complot ou toute autre polémique anti-Gafam, l’évolution du business modeldu géant américain et de ses produits mérite vraiment de s’interroger. Les données, et en particulier les données de santé, ont aujourd’hui beaucoup plus de valeur que n’importe quelle licence logicielle, ce que savent pertinemment Google ou Facebook, qui, à défaut de les exploiter, auraient probablement mis depuis belle lurette la clé sous la porte.
Comme un fait exprès, dans la même quinzaine nous tombons sur deux news, apparemment sans rapport, mais à y regarder de plus près en fait de rapport il y a.
La mise en place des groupements hospitaliers de territoire (GHT) implique, au plan numérique, une convergence des systèmes d’information (SI) des établissements parties du groupement, l’objectif étant d’aboutir à un SI commun.
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