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Les cyberattaques contre les établissements de santé ne faiblissent pas. Début avril, c’est le Centre hospitalier de Bourg-en-Bresse dans l’Ain qui en a fait les frais. Avec l’obligation pour les hôpitaux de réaliser un exercice de crise cyber, les pouvoirs publics tentent de renforcer les capacités de réponse de chacun face aux menaces. D’autres dispositifs existent ou sont en cours de définition pour accompagner les établissements. À retrouver dans notre dossier consacré à la cybersécurité.
Pour améliorer le parcours coordonné entre l’hôpital, l’ESMS et la médecine de ville, il y a mieux que les messageries de type Whatsapp ou les SMS : la suite de services de Cegedim Santé simplifie le suivi du patient dans un cadre sécurisé tout en s’adaptant aux besoins des différentes structures.
Les systèmes de santé produisent de plus en plus de données et les exigences concernant leur usage augmentent proportionnellement aux besoins de santé publique. Malgré une politique publique française volontariste, et un consensus sur l’utilité de l’exploitation des données de santé pour la santé publique, les données hospitalières sont encore sous-exploitées. Convaincu que ces données représentent une opportunité importante de moderniser les approches classiques de santé publique tout en et assurant la soutenabilité de notre système de santé, le Healthcare Data Institute (HDI) s’est emparé du sujet pour dresser un état des lieux des usages des données hospitalières, identifier les leviers et proposer des recommandations pratiques et stratégiques pour accélérer l’usage de ces données.
Aujourd’hui, les GPU ou cartes graphiques jouent un rôle central dans le domaine de l’Intelligence artificielle avec la puissance de calculs que nécessitent ces nouvelles technologies. Hôpitaux, CHU, Universités scientifiques… Découvrez comment développer l’IA au sein de vos établissements avec vos ressources GPUs, et leur rôle prépondérant dans l’intégration de ces nouvelles technologies.
Le ministère de la santé et de la prévention, le syndicat national de l’industrie des technologies médicales (Snitem), France Digitale et France Biotech ont signé un protocole d’accord instaurant la création d’un comité de suivi relatif à la mise en œuvre de l’entrée dans le droit commun de la télésurveillance et de son déploiement sur le territoire.
Les séries TV fleuves vous ennuient ? Les histoires avec le méchant JR et le gentil Bobby Ewing vous font bâiller à vous en décrocher la mâchoire ? Essayez ChatGPT.
Le CHU de Saint-Étienne a sélectionné la solution de stockage flash Pure Storage pour améliorer son système d’information. Le déploiement, mené en quelques semaines avec Axians, s’est traduit par une réduction de la latence des applications et une baisse notable de la consommation électrique, ainsi que par un renforcement de la protection contre les cybermenaces.
Ça y est, c’est le printemps, il est largement temps de se changer les idées avec un petit quiz pas du tout orienté ni poil à gratter – pas mon genre. Une seule bonne réponse par question, on compte les points à la fin.
Les solutions réseau d’HPE Aruba Networking pour les établissements de santé tirent parti de la technologie SD-WAN. Elle simplifie la gestion des sites distants et optimise les communications entre eux, en utilisant des technologies logicielles pour diriger le trafic de manière dynamique. Avec à la clef, plus de résilience, de flexibilité et d’économies.
Lors d’une journée d’échanges organisée le vendredi 3 mars à Lille, le réseau national France Biotech est venu à la rencontre des acteurs de l’innovation santé des Hauts-de-France. Dans le contexte favorable du Plan Innovation Santé France 2030, créer des ponts et des synergies entre parties prenantes, quelles soient publiques ou privées (structures de recherche, établissements de soins, structures de formation, entrepreneurs,…) est essentiel. Cette journée a été l’occasion de partager les résultats du Panorama national de la Healthtech réalisé par France Biotech et de souligner les atouts de l’écosystème des Hauts-de-France ainsi que la force de son collectif, comme l’illustre la candidature lilloise à l’AMI Biocluster, porté par plus de 120 structures du territoire.
Le Groupement des Hôpitaux de l'Institut Catholique de Lille (GHICL), quatrième acteur de santé des Hauts de France, a déployé Hopital Manager de Softway Medical en remplacement de son DPI. Le chantier a été marqué par la collaboration étroite entre les équipes de l'éditeur et du GHICL, ainsi que par l'intégration de start-ups de l'écosystème de santé.
Dans sa trajectoire de forte croissance, le Groupe Softway Medical - leader de l’informatique en santé labellisé Happy at Work – ouvre 114 postes en CDI de développeurs, techniciens et infrastructures à Paris, Lyon et Aix-en-Provence.
Les attaquants derrière le cheval de Troie Qbot (aussi connu sous le nom de Quakbot) utilisent depuis longtemps des fichiers Word ou Excel avec des macros servant à télécharger et exécuter la charge malveillante.
Si cela semble en surprendre certains, le fait que les attaquants s’intéressent de près aux hyperviseurs VMWare ESXi n’est pas vraiment quelque chose de nouveau. Souvenez-vous l’été 2021, de nombreux opérateurs de rançongiciels s’en prenaient déjà aux serveurs VMWare [1], dans un but bien précis, gagner du temps en chiffrant « à la source » les serveurs virtuels des systèmes d’informations de leurs victimes. En 2022, le groupe derrière le rançongiciel LockBit avait d’ailleurs procédé ainsi lors de l’attaque ayant ciblé le CH Sud Francilien.
En France, 90% des consultations de médecine générale aboutissent à une prescription médicamenteuse*. En raison de la complexité de cet acte et de l’augmentation constante de la connaissance sur les médicaments, les logiciels d’aide à la prescription (LAP) se positionnent comme des outils indispensables pour épauler les médecins dans leur pratique.
Composé de 4 sites utilisant différents DPI, depuis l’arrivée de son nouveau DSI, ils ont entamé une stratégie de transformation digitale de convergence axé sur l’unification d’un seul DPI sur l’ensemble du GHT afin d’améliorer son usage par les soignants. Dans ce cadre, ils ont lancé plusieurs projets pour améliorer l’expérience patient ainsi que la qualité de vie au travail des soignants.
L’année s’est achevée : 2022 restera comme l’année d’après (Covid) et surtout l’année « pendant » (l’explosion des attaques en crypto, tout le monde en aura pris sa part et pas seulement les hôpitaux). Petit bilan.
S’il y a encore quelques années, nous n’étions qu’une poignée d’acteurs passionnés à nous préoccuper des sujets de sécurité numérique en santé, l’importante médiatisation de chaque incident vécu par une structure de santé fait qu’aujourd’hui, tout le monde a un avis, de bons conseils et des solutions pour lutter contre ce fléau que sont les rançongiciels prenant en otage nos établissements de santé, mais dans les faits malheureusement, les attaquants arrivent toujours à compromettre les SI de santé de nos établissements.
Les 13, 14 et 15 juin 2023, l’APSSIS organisera son 11ème Congrès National de la SSI Santé, le #CNSSIS2023 ! 180 participants sont attendus à l’espace culturel des Quinconces du Mans pour 3 jours de conférences, de débats, de tables-rondes et d’échanges. Cette 11ème édition s’articulera autour de 3 thématiques : le pilotage par l’Etat de la cyber en santé, les attaques sur les SI de Santé et les façons de se préparer, et les sciences et technologies au service de la riposte opérationnelle.
À la date d’écriture du présent article, la phase de concertation d’un nouveau référentiel HDS (commenté dans un récent article[1]) est terminée depuis quelques jours ? Pour mémoire, ce référentiel définit les exigences de la certification s’imposant aux termes de l’article L1111-8 du Code de la santé publique à « toute personne qui héberge des données de santé à caractère personnel recueillies à l’occasion d’activités de prévention, de diagnostic, de soins ou de suivi social et médico-social, pour le compte de personnes physiques ou morales à l’origine de la production ou du recueil de ces données […] ». Dans le même temps, une version 2022 de la doctrine du numérique en santé a été mise en concertation[2] et a créé l’émoi chez ceux qui s’inquiètent de la suppression de l’exemption au régime relatif à l’hébergement de données de santé qui y figurait – sous conditions – pour les établissements d’un groupement hospitalier de territoire (GHT). L’objet du présent papier est d’éclairer le lecteur sur ce dernier sujet, du point de vue juridique d’abord, puis selon la vision opérationnelle du RSSI.
Dans un contexte d’accélération des logiques de modernisation des solutions numériques dans les établissements de santé, Maincare renforce ses actions pour faire bénéficier les utilisateurs de logiciels hospitaliers aux derniers standards technologiques, de sécurité et conformes aux exigences des programmes et référentiels nationaux.
La transformation numérique est plus que jamais un enjeu majeur pour les établissements de santé. Avec la dématérialisation totale des outils de production de soins, certains hôpitaux précurseurs cherchent à gagner en réactivité, à supprimer les tâches inutiles, et à redonner du temps aux médecins et aux soignants tout en maitrisant les coûts et le retour sur investissement. Les défis à relever n’en demeurent pas moins complexes et peuvent parfois virer au casse-tête selon la structure et l’organisation de chaque établissement.
Il est de ces sujets qui paraissent anodins, tellement anodins que vous les voyez rarement évoqués en tant que tels dans une réunion d’huiles ou tout simplement d’experts.
Quelquefois, entre deux réunions avec moi-même ou à la sortie d’une énième conférence encore consacrée à ce que l’on sait déjà depuis des lustres, je me mets à rêvasser à des fins de partie, ENDS OF GAME dans la cyber. Il y a une petite vingtaine d’années, Guillaume Bigot s’était essayé à l’exercice lors du très remarqué Les Sept Scénarios de l’apocalypse, qui mêlait joyeusement guerre nucléaire, attaque bactériologique mondiale, et j’en passe. Tant qu’à faire, autant se lâcher.
La start-up Aqemia, qui s'appuie sur des algorithmes et sur l'intelligence artificielle pour inventer des candidats médicaments en prédisant leur efficacité thérapeutique, utilise le cloud d'Amazon Web Services (AWS) pour répondre à ses besoins intensifs de puissance de calcul. Son CEO et co-fondateur, Maximilien Levesque, témoigne auprès de DSIH des atouts de ce service.
Dans la continuité de la Proposition de Règlement européen établissant des règles harmonisées concernant l’intelligence artificielle (« IA »), publiée le 21 avril 2021 (l’« AI Act »)[1], la Commission européenne a publié deux nouvelles propositions de directives, visant à adapter les régimes de responsabilité existants au numérique et à l’IA. Décryptage avec Marguerite Brac de La Perrière, associée du cabinet LERINS, experte en Santé Numérique et Anne-Sophie Legluais, collaboratrice au sein du cabinet LERINS.
L’imagerie médicale est, depuis plusieurs années, l’un des domaines de la médecine où la révolution numérique provoque les plus grands changements. Désormais, une large partie des solutions PACS est proposée en usage Cloud, ce qui offre de nouvelles possibilités de consultation et d’usage, au niveau des groupes de radiologues publics et libéraux, mais aussi des cliniciens et des médecins généralistes. 2 semaines après les JFR, retour sur les grandes évolutions de l’imagerie.
# Smart hôpital : l’adaptabilité en temps réel. Utiliser en temps réel les données produites dans un établissement de santé afin d’en optimiser l’ensemble des process de fonctionnement, telle serait la définition du Smart hôpital, autrement dit l’hôpital intelligent. Dans un contexte de transition écologique et énergétique, et à l’heure des tensions en approvisionnement énergétique, le concept prend tout son sens…
Les établissements de santé sont des producteurs incessants de données. Ils en sont également des collecteurs. Que l’on parle de comptes-rendus médicaux, de résultats d’analyses de biologie, d’interprétations d’images, mais aussi de cartes d’identités, de passeports, de numéros de cartes vitales ou de coordonnées des patients, les SI des établissements de santé concentrent des millions d’informations, presque toutes sensibles au sens de la production de soins mais aussi de la réglementation associée au RGPD. Comment les qualifier, les protéger et s’assurer de l’inviolabilité des données les plus sensibles ?
La quatrième édition de l’événement Pharma HealthTech, organisé par Pharmaceutiques et TechToMed, était consacrée ce 21 septembre à l’intelligence artificielle. Lors de plusieurs tables rondes, les invités ont détaillé son potentiel, en rappelant qu’il reste à trouver le modèle d’affaires qui permettra de construire une stratégie économique performante et compétitive de la donnée.
Synapse Plateforme sécurise le suivi des patients en oncologie : leur webinaire de démonstration produit vous aidera à mieux appréhender la plateforme.Rendez-vous le mardi 28 septembre à 11h00
Quand une région s’implique totalement dans le développement de son écosystème de Santé en créant, en 2020, une association issue de la fusion de plusieurs Clusters… Témoignage d’un Président très engagé !
Bientôt l’été, déjà une canicule au compteur, il est temps d’un petit bilan à mi-année.
Après l’adoption du DPI Cerner Millennium® pour ses consultations d’anesthésie en septembre 2020 (1), le Centre hospitalier de Lens a étendu la feuille d’anesthésie numérique à l’ensemble du bloc opératoire. Une mise en œuvre qui contribue à sécuriser l’intégralité du parcours opératoire d’un patient.
Entretien avec un acteur très impliqué dans les évolutions du numérique en santé et qui porte un regard plein d’enthousiasme sur les Systèmes d’information de Santé
Le RGPD a démarré depuis désormais cinq ans (bon, en fait sept, mais on va rester sur la version simple), et globalement les établissements de santé ont pris le problème en charge. Avec des moyens souvent réduits du reste : on observe des effectifs de demi-ETP dans certains gros CHU qui laissent un peu rêveur : mais bon, au moins il y a quelqu’un pour s’occuper du machin.
L’application Virginia, qui permet de calculer en temps réel la charge en soin d’un service, d’un pôle, d’un établissement de santé ou d’un GHT, éditée par la société Eces Santé, vient d’être référencée par le Resah dans le cadre de son marché multi-éditeur.
La vulnérabilité CVE-2022-30190, aussi connue sous le nom de « Follina », s’est retrouvée sur le devant de la scène suite à l’analyse par l’équipe japonaise de chercheurs Nao Sec d’un fichier Word malveillant découvert le 27 mai sur VirusTotal [1]. Il n’aura pas fallu longtemps pour qu’elle enflamme toute la planète, mais pourquoi ?
Alors que la cybercriminalité augmente rapidement en France et dans le monde, le cloud permet de répondre facilement et sans investissements massifs aux enjeux de sécurité, de confidentialité et de disponibilité des services et des données de santé. Mathieu Jeandron, Senior Solutions Architect Manager chez Amazon Web Services (AWS), a expliqué à DSIH les atouts de cette technologie.
Après avoir respectivement dans les deux derniers volets(1), adressé les obligations des professionnels de santé, et celles des établissements de santé utilisant des outils d’intelligence artificielle (IA) dans le cadre d’actes de prévention, de diagnostic ou de soins, il s’agit dans le présent papier de préciser les conditions dans lesquelles satisfaire aux droits et des patients.
L’éditeur Dedalus, le CHU de Montpellier et l’Université de Montpellier ont annoncé le 18 mai, lors du salon SANTEXPO 2022, le lancement du projet ERIOS, un lieu d’expérimentation inédit sur les usages des logiciels en santé. Basé sur une logique de co-construction, il va dans un premier temps se consacrer à améliorer les usages du dossier patient informatisé (DPI). DSIH a rencontré les promoteurs du projet.
Président du Club Utilisateurs Orbis (RESO), très impliqué dans le Système d’information de son GHT, Frederick Marie témoigne de son quotient, et de sa vision du futur…
Les professionnels de santé ont chaque jour de multiples raisons d’échanger avec leurs confrères pour le suivi de leurs patients. Au sein de leur hôpital, de leur cabinet, MSP, centre de santé, CPTS, mais aussi entre différentes structures, entre la ville et l’hôpital, pour organiser les parcours de soins. Rien de nouveau dans cette pratique, si ce n’est l’utilisation croissante d’outils grand public, simples et pratiques mais non sécurisés. De ce constat est né Maiia Chat !
Les plateformes de santé communicantes et évolutives sont désormais indispensables à la pratique des professionnels, au suivi des patients, et plus largement, aux informations utiles à la recherche médicale. Dedalus, en tant que principal opérateur européen accompagne la transformation numérique en santé et participe à l’amélioration constante du parcours de soins dans le secteur public et privé sur tout le territoire. Soucieux d’apporter le meilleur des dernières technologies aux établissements de santé, sont au programme sur ses tables rondes et agoras la convergence, le DPI du futur, la dématérialisation, l’Intelligence Artificielle, les services managés, le Population Health management, le cloud et les life Sciences.
Témoignage d’un Directeur d’établissement qui a réussi le passage au zéro papier…
Amazon Web Services (AWS), la filiale du géant du web Amazon spécialisée dans les services de cloud computing, est un partenaire essentiel de nombreux acteurs de la santé en France : établissements publics et privés, laboratoires pharmaceutiques, éditeurs… A l’occasion de la venue d'AWS sur le salon Santexpo, Erick Jan-Vareschard, qui dirige les activités secteur public d’AWS en France, décrit à DSIH les atouts de son offre cloud.
L’ex DSI de l’Hôpital Américain, passé par l’industrie, la banque et l’aérospatiale, parle de sa vision d’un Système d’Information de GHT engagé sur la voie de la convergence applicative sur l’ensemble des domaines, sur le chemin de l’innovation, notamment sur l’acquisition des données en mode vocal, de l’intelligence artificielle…
Les établissements de santé accordent un intérêt grandissant à l’impact global de la production de soins sur l’environnement. Dans le détail, la part du numérique échappe au diagnostic. Son évaluation est pourtant indispensable pour mettre en place des stratégies de sobriété numérique impliquant tous les acteurs de l’hôpital.
Avec Christian Cataldo il est possible d’aborder tous les sujets de l’hôpital. Il a été successivement infirmier psy, directeur de plusieurs hôpitaux dont celui de Mont de Marsan support du GHT des Landes, Délégué Régional de la FHF Occitanie… et bien sur Membre de la Conférence des Directeurs de Centre Hospitalier (CNDCH).
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