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WELIOM, cabinet de conseil dédié au secteur de la santé et le CNEH, Centre National de l’Expertise Hospitalière, ont conçu une formation sur-mesure de 2 jours spécialement dédiée aux gestionnaires des établissements sociaux et médico-sociaux (1).
WELIOM, Cabinet de conseil dédié au secteur de la santé (sanitaire et médico-social) est certifié QUALIOPI par l’AFNOR ! Depuis 10 ans, le Cabinet accompagne les acteurs du système de santé dans leurs projets stratégiques et opérationnels de transformation, d’optimisation et de digitalisation. Entretien avec Capucine BESNOUIN, RRH au sein du Cabinet.
Le 1er décembre 2021, VIDAL Group annonce l’intégration d’ERON Santé. L’objectif du groupe est de se positionner comme un acteur de référence de la formation continue en ligne pour les professionnels de santé.
En général, mes billets pour DSIH oscillent entre 1 500 et 3 000 vues : le dernier a battu tous les scores avec plus de 15 000 hits si j’en crois les statistiques : comme quoi le titre « La sensibilisation à la sécurité informatique ne sert à rien[1] » n’a pas seulement accroché le chaland, mais aussi généré un nombre considérable de remarques en tout genre.
La sécurisation et le contrôle des accès dans un établissement de santé nécessitent la prise en compte de 4 enjeux majeurs. Certains n’étaient pas aussi évidents il y a peu de temps. Explications avec Vivian Pelletier, Directeur Produits Sûreté d’Horoquartz[1].
Je n’avais pas encore atteint mon quota de poil à gratter cette semaine – j’ai des objectifs hebdomadaires moi môssieur, pas le temps de rigoler, que croyez-vous ? – et je me suis dit que mettre bien franchou les pieds dans le plat de lentilles à propos des habituels lieux communs me permettrait d’exploser les objectifs.
La société Sanilea, dont la plateforme numérique de gestion des demandes de transports sanitaires est déjà utilisée par 900 établissements, table sur une année 2021 record en nombre de transports effectués. Son nouveau directeur, Olivier Zmirou, et son président, Cédric Berger, font le point avec DSIH.
L’Hôpital Nord-Ouest de Villefranche-sur-Saône a déployé le logiciel de gestion des lits M-Visibilité de l’éditeur Maincare. Un projet plus organisationnel que technique, a témoigné Pascale Fraisse, coordonnatrice générale des soins de l’établissement, le 9 novembre lors du salon SANTEXPO 2021.
Début novembre, France Assos Santé Occitanie a publié les résultats d’une étude BVA sur les regards et les pratiques des habitants d’Occitanie, l’une des régions pilotes de Mon espace Santé, concernant le numérique en santé.
Les patients pris en charge au sein des établissements de santé membres du Groupement Hospitalier de Territoire de Maine-et-Loire commenceront à bénéficier à partir de 2022 d’un nouveau Dossier Patient Informatisé. Le GHT 49 s’appuie sur le Groupement d’Intérêt Public SIB et sa solution de DPI Sillage qui sera déployée au sein de ses 10 établissements engagés dans ce programme. Au-delà des nombreux bénéfices pour les professionnels de santé, ce DPI partagé permettra de faciliter les prises en charge et la communication entre les différents établissements de santé et la médecine de ville (médecins généralistes, spécialistes et officines).
Les TROPHÉES INNOVATION SANTEXPO récompensent chaque année depuis trois ans, les projets les plusinnovants, les modèles de demain, les solutions et les services créateurs de valeur pour les professionnels de santé.Parmi les dossiers présentés cette année, 13 finalistes ont été sélectionnés par un Jury de 11 experts du monde de lasanté et se sont affrontés lors d’une journée des pitchs le 6 octobre dernier.
C’est bien connu, les vacances, c’est fait pour déguster des huîtres, faire du sport et se balader, mais surtout écluser sa pile de livres ou d’émissions culturelles. Petite sélection.
Mi-octobre, la stratégie d’accélération « Santé numérique » a été officiellement lancée à l’occasion du premier anniversaire de G_Nius. Elle comprend notamment 60 millions d’euros d’investissement dans des programmes et équipements prioritaires de recherche (PEPR) dirigés conjointement par l’Inria et l’Inserm.
L’Anap publie « Le Nouvel Ambulatoire en santé mentale : pour une vie debout ! », une synthèse des bonnes pratiques managériales et organisationnelles pour améliorer les parcours, notamment grâce aux outils numériques.
Il est de ces débats où ce n’est pas tant la question posée elle-même qui est intéressante, mais la somme des points de vue – et donc des réponses – que l’on peut y apporter. Qui a lu l’excellent ouvrage d’Amin Maalouf (Les Croisades vues par les Arabes) sait que les points de vue sont surtout révélateurs de la vision du monde de ceux qui les expriment. Il en va ainsi d’une question qui commence à poindre dans le débat public : faut-il interdire aux entreprises, publiques ou privées, qui subissent une attaque de ransomware de payer la rançon demandée pour retrouver l’accès à leurs données ? Le sujet a fait l’objet d’une très intéressante interview croisée de Gérôme Billois (Wavestone) et Me François Coupez (disponible sur YouTube[1]), et les réponses peuvent être variées.
Alors que le Gouvernement a présenté en février 2021 sa feuille de route Numérique et Environnement, de nombreux travaux parlementaires visent à créer un corpus législatif pour prévenir, encadrer et réduire les impacts environnementaux du numérique.
Aux 21es Assises de la sécurité qui viennent de se terminer, deux conférences sur deux jours différents traitent, sans concertation de leurs auteurs, d’un thème commun abordé sous deux angles distincts : la qualité du code. En informatique, que l’on parle de logiciel ou de matériel, au final tout est code et, en fin de compte (si l’on excepte les rares cas de bugs de conception des microprocesseurs), toute vulnérabilité provient du code logiciel.
Les 5, 6 et 7 avril 2022, l’APSSIS organisera son 10ème Congrès National de la SSI Santé. 180 participants sont attendus à l’espace culturel des Quinconces du Mans pour 3 jours de conférences, de débats et d’échanges. Cette 10ème édition aura bien sûr un caractère exceptionnel !
Chaque année en France, le cancer du col de l’utérus touche près de 3 000 femmes et cause environ 1 100 décès[1]. Afin de réduire l’impact de ce cancer, une combinaison du dépistage organisé pour les femmes de 25 à 65 ans et de la vaccination contre les human papillomavirus (HPV) pour tous les jeunes est proposée. La Commission col-HPV du CNGOF (Collège national des gynécologues et obstétriciens français) lance mi-octobre une application innovante gratuite sur la gestion des résultats du test HPV dans le dépistage primaire du cancer du col.
Malgré un développement très important du numérique dans le secteur santé, le parcours administratif du patient relève encore trop souvent du parcours du « combattant » pour organiser en amont l’accès aux soins dont il a besoin. Les agents des accueils et des admissions sont la plupart du temps surchargés par des tâches chronophages liées à un manque de fluidité dans le recueil et la consolidation des données, les empêchant de mieux préparer, anticiper et sécuriser la qualité des flux patients, quel que soit le type de prise en charge au sein de l’établissement. Au final, patients et agents ne bénéficient pas de manière concrète du virage numérique dont se font pourtant l’écho les instances et les industriels du secteur santé. Par ailleurs, l’établissement donne une image dégradée de ses processus internes, tant vis-à-vis des patients que des professionnels de santé, mais aussi des débiteurs tels que l’assurance maladie obligatoire ou complémentaire.
Depuis plus de 18 mois, l’hôpital Foch expérimente une solution algorithmique basée sur l’intelligence artificielle, qui permet d’examiner les radiographies thoraciques. Véritable innovation, cette solution permet d’interpréter en temps réel, les clichés des patients. En partenariat avec INCEPTO, plateforme de solutions d'iA pour l'imagerie médicale, les images sont directement traitées et les résultats sont immédiatement disponibles. Ce dispositif permet aux différents services de l’hôpital Foch de maintenir son niveau d’excellence en proposant un accompagnement sur mesure !
Le programme PariSanté Campus est un pôle d’excellence de recherche, d’innovation, de formation et d’entrepreneuriat sur le thème de la santé numérique. Une concertation est lancée afin d’informer le public et de recueillir son avis sur les principales caractéristiques et l’opportunité du projet.
Un arrêté du 15 septembre 2021 ouvre au remboursement du système de boucle fermée hybride de la société Diabeloop pour les patients diabétiques de type 1.
Les outils faisant appel à l’intelligence artificielle connaissent un développement fulgurant et sont utilisés avec succès dans des solutions aussi diverses que la détection de transferts de fonds suspects, l’information préventive sur une éventuelle défaillance des réseaux de télécommunications ou la télémédecine.
Établissement de référence en santé mentale en Bretagne figurant parmi les cinq plus importantes structures françaises de psychiatrie, le Centre Hospitalier Guillaume Régnier renouvelle son dossier patient informatisé (DPI). Le DPI Sillage, édité par le groupement d’intérêt public SIB, a été retenu par les utilisateurs fortement impliqués dans le projet. Ce nouveau dossier patient va permettre d’accompagner l’établissement dans la mise en œuvre des objectifs de son Projet d’Etablissement 2021-2025 : poursuite du virage ambulatoire, renforcement des filières de prise en charge, facilitation du parcours patient et des échanges de données en amont et en aval de la prise en charge au Centre Hospitalier Guillaume Régnier.
Après le Clusir Normandie, le Clusif est heureux d'annoncer l'ouverture du Clusir Bretagne et l'affiliation du Clusir Côte d'Ivoire.
Le GIE Sesam-Vitale a publié fin juillet son rapport d’activité 2020. Il montre la continuité de l’action du GIE lors de cette année marquée par la crise sanitaire et la feuille de route du numérique en santé.
Avec le programme HOP’EN lancé en 2019 et le volet numérique du Ségur de la Santé qui sera lancé cet été, les initiatives du gouvernement s’intensifient pour accélérer la transition digitale de notre système de soins (DMP, MSSanté, Espace Numérique de Santé, INS, Pro Santé Connect…). Mais si l’arrivée de ces référentiels nationaux est extrêmement positive, leur succès est grandement conditionné par leur déploiement et usage massif à l’échelle locale.
Le numérique apparaît comme une des solutions essentielles pour soutenir les professionnels de santé dans la pratique de leur activité, et alléger la pression exercée sur notre système de soins. Qu'elle soit médicale ou purement technologique, une innovation doit être parfaitement prise en main par les acteurs du soins pour être efficace. Pour cela, la formation est un allié fondamental pour accélérer l'arrivée de l’innovation à l’hôpital.
Le 28 juin, la CNSA a annoncé la sélection des projets pour le programme ESMS numérique par l’ARS en vue du déploiement d’une solution Usager informatisée dans 1 356 structures médico-sociales accueillant des personnes âgées ou en situation de handicap.
On a beau avoir été confiné pendant des semaines, on a beau avoir télétravaillé pendant des mois, encore une première partie d’année riche en actualités SSI. Bilan à mi-parcours.
Les systèmes d’information hospitaliers se complexifient, avec un nombre croissant d’applications. Pour optimiser l’intégration de ses solutions dans les SIH, Dedalus ouvre une nouvelle voie de partenariat avec les structures de soins. Il propose une offre de services managés permettant aux DSI de se concentrer sur leurs missions de soin, de gestion et de pilotage des établissements.
Depuis mars 2021, les trois quarts des 200 médecins de l’établissement lyonnais bénéficient de la solution de reconnaissance vocale Dragon Medical One. Une évolution qui contribue à améliorer les pratiques au sein du centre hospitalier Saint-Joseph – Saint-Luc, établissement de santé privé d’intérêt collectif comptant 360 lits d’hospitalisation et places d’ambulatoire pour 30 000 séjours par an.
Le 24 juin 2021, le Catel a présenté « Les Docks de la e-santé », sa nouvelle plateforme de mise en relation entre des offreurs de solutions ou de services e-santé et des utilisateurs professionnels. Cette Marketplace B2B permet d’acheter des services numériques ou d’être mis en relation avec des structures qui en proposent.
Le quatrième opus des Guides Cyber-Résilience est paru. La thématique : la sécurisation du Cloud, avec l’objectif de poser clairement le problème, de présenter les différentes approches possibles avec leurs avantages et leurs inconvénients, de sensibiliser le lecteur aux questions connexes de telle sorte à disposer d’une vision globale du sujet. Le Guide s’adresse aussi bien aux professionnels de santé qu’aux décideurs ou aux DSI.
En février dernier, Zenidoc annonçait son partenariat avec les équipes de recherche du Laboratoire informatique d’Avignon (LIA) pour une durée de quatre ans. Afin de mieux comprendre les enjeux de ce partenariat et ce qu’il implique, nous avons interviewé les deux parties prenantes de ce projet. Découvrez leurs témoignages ci-après.
Les travaux sont en cours, sur le plan national, pour sécuriser les SI des établissements de santé, malmenés ces derniers mois à la suite des attaques de Dax et de Villefranche. Avant d’être une question de budget – on a une fâcheuse tendance à tout ramener à des questions de sous dans ce pays –, c’est d’abord une question de démarche. Ce qui est en train d’être mis en place s’appelle tout simplement un SMSI (Système de management de la sécurité de l’information), concept développé par la norme ISO 27001. Et un SMSI suppose le respect de huit piliers, qu’il s’agisse de l’échelon national ou de la mise en place d’un dispositif équivalent au sein d’un établissement de santé.
Dans la nouvelle version 6.0 de son application Pharma®, Computer Engineering a complété le module BMO®de gestion de la conciliation médicamenteuse. Désormais les équipes médicales peuvent réaliser très facilement la conciliation de sortie.
Le vendredi 4 juin, un arrêté et un décret relatifs à la télésanté ont été publiés au Journal officiel. Le premier autorise les pharmaciens et les auxiliaires médicaux à pratiquer le télésoin, à l’exclusion des soins nécessitant un contact direct en présentiel entre le professionnel et le patient ou un équipement spécifique non disponible à proximité du patient. Le second ouvre la télé-expertise à ces professionnels de santé, sans la présence mais avec l’autorisation du patient. DSIH a rencontré Lydie Canipel, coprésidente de la Société française de santé digitale (SFSD).
Le CHU de La Réunion dispose d’un pôle d’excellence en cancérologie, qui offre aux réunionnais et aux patients de la zone une prise en charge complète en oncologie. Etablissement support du Groupement Hospitalier de Territoire (GHT) de La Réunion, il porte également le 1er pôle inter-établissement du GHT depuis 2018, le pôle de cancérologie GHT. Le CHU collabore ainsi régulièrement avec Gustave Roussy, premier centre de lutte contre le cancer en Europe situé en Métropole et de référence national et internationale dans le traitement des cancers.En signant aujourd’hui une convention cadre de partenariat, les deux institutions souhaitent officialiser leur coopération au bénéfice des patients réunionnais, s’appuyant sur leurs complémentarités et une structuration des échanges existants entre leurs équipes médicales.
L’Union européenne, toujours prompte à dégainer le réglementaire, même (et surtout) pour les trucs qui n’existent pas encore, a manifestement décidé de réglementer l’IA – et là, c’est pour la bonne cause. Face aux risques inhérents à ce type de technologie, la Commission a proposé un cadre juridique sous la forme d’un projet de règlement (Artificial Intelligence Act), qui entrera en vigueur dans un délai compris entre deux et quatre années et sera associé à un plan coordonné d’actions.
Un nouveau référentiel de certification des systèmes d’information de santé se profile. Dénommé Mathurin-H, il concrétise l’action 23 de la feuille de route du numérique en santé. Yves Normand, formateur ISO/CEI 27001 Lead Implementer, consultant en sécurité de l’information, auditeur qualifié ISO 27001 et HDS, répond aux questions de DSIH sur les enjeux de ce référentiel pour les établissements de santé, et l’intérêt d’être certifié ISO 27001.
AMA, pionnier du marché des solutions de smart workplace, a déployé sa solution XpertEye auprès d’une quinzaine de SAMU en France et Outre-Mer. Dernièrement, le SAMU 92 a rejoint les SAMU 93 et 94 en intégrant la plateforme XpertEye afin d’améliorer la prise en charge des situations d’urgence grâce à la visiorégulation. Ce même cas d’usage a également amené les pompiers du Val d’Oise (SDIS 95) à retenir la solution XpertEye, qui devient désormais incontournable pour les services d’urgence sur le terrain.
Les nouveautés technologiques passent par une courbe bien connue, nommée « courbe d’acceptation » ou « courbe du deuil » : découverte, euphorie, déception, etc. En général, quand le moral est au fond du trou, c’est paradoxalement plutôt une bonne nouvelle puisque les « scories » véhiculées par les vendeurs de rêves ont été filtrées, et l’on peut enfin se concentrer sur l’essentiel, à savoir ce que la nouveauté ou l’invention est réellement capable de faire. Ou pas.
Dans les trois prochaines années, la hausse prévue du marché de l’e-santé est de 160 %, d’après l’analyse du Leem. Pour Les Entreprises du médicament, qui représente l’industrie du médicament et des dispositifs médicaux, le secteur, composante essentielle de la modernisation et de l’efficience du système de santé, suscite légitimement un intérêt grandissant des pouvoirs publics (PariSanté Campus, Health Data Hub, feuille de route ministérielle du numérique en santé…) et positionne la France comme un leader mondial du numérique en santé dans la course à l’innovation.
Depuis le 1er janvier 2021, pour éviter les erreurs de traitement des données de santé, la Loi impose d’utiliser l'Identité Nationale de Santé (INS) dans tous les logiciels. Les centres d’imagerie médicale mettent en place ce nouvel accompagnement pour les patients.
Les établissements de santé font face à un grave problème de ransomwares et ce n’est pas près de s’améliorer. Au cours de ces dernières semaines, des attaques par ransomwares ont paralysé des hôpitaux à Villefranche-sur-Saône et à Dax, ce qui a eu pour conséquence le ralentissement, voire l’arrêt du fonctionnement de ces établissements.
La télémédecine représente un puissant outil de l’arsenal thérapeutique moderne, complémentaire à l’exercice en présentiel. La diversité des solutions implique toutefois de s’y former, afin de bien cerner leur périmètre d’utilisation et tirer profit de leur potentiel.
Le groupe de travail Comité stratégique de filière des industries et technologies de santé (CSF-ITS) a remis une série de recommandations portant sur l’usage des données en vie réelle dans l’aide à la décision.
Durant sa formation, un élève pilote d’aéronef apprend deux types de compétence : le pilotage à proprement parler, et la gestion des emmerdements qui, comme chacun sait, volent toujours en escadrille (sans mauvais jeu de mots). Il existe des statistiques précises sur le sujet, et aucun domaine n’a autant poussé l’analyse des accidents que l’aérien. Ainsi, un pilote commet en moyenne sept erreurs par heure, allant de la bêtise anodine (oublier de changer de fréquence radio) au truc beaucoup plus ennuyeux, par exemple oublier de sortir le train d’atterrissage… avant l’atterrissage (je suggère au lecteur curieux de visionner le lien ci-dessous [1], aucun blessé heureusement).
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