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SynAApS, hébergeur Cloud certifié Sécurité (ISO 27001:2013) et agréé Santé (HADS), s’entoure de partenaires de confiance pour offrir aux laboratoires biomédicaux une solution d’hébergement complète, hautement sécurisée et sur mesure.
Claranet e-Santé a renouvelé son agrément Hébergeur de Données de Santé (HDS) pour la 3ème fois par décision du Ministère de la Santé. Cette étape finalise et officialise la transmission d'agrément de Grita vers Claranet suite à la fusion des deux entités juridiques, opérée en décembre 2016. La société Grita était l’un des premiers infogéreurs français à obtenir l’agrément en 2010. Elle s’est rapprochée de Claranet pour devenir Claranet e-Santé.
Dans un récent article, le magazine ticsante relate une étude(1), menée avec l’APM, et selon laquelle pas loin de la moitié (selon la façon dont on interprète les résultats) des établissements de santé comptent externaliser l’hébergement des données. Avec un petit bémol : ils sont plus nombreux dans les non-CHU (55%) que dans les CHU (moins de 35%).
En 2018, le processus d’agrément des hébergeurs de données de santé va évoluer vers une certification basée sur les normes ISO. Ce passage d’un agrément basé sur un dossier déclaratif, à une certification basée sur un audit sur site, va bouleverser la manière de travailler d’un certain nombre d’HADS (Hébergeurs Agréés de Données de Santé). Une partie d’entre eux vont voir leur métier modifié au-delà de ce changement de procédure.
Convaincue que les professionnels de santé doivent poursuivre un processus dynamique d’acculturation aux technologies numériques en constante évolution, l’équipe de DSIH lance son activité de formation avec d’ores et déjà deux modules proposés : « Stratégie des SI de Santé » et « ISO/IEC 27001 Lead Implementer ».
Témoigner dans une tribune de DSIH.fr a pour principal intérêt de recueillir les réactions des lecteurs, industriels et professionnels des systèmes d’information de santé, afin de s’enrichir des avis et des idées qui permettent de faire avancer les réflexions, dans un domaine où il n’existe pas encore de guide de bonnes pratiques (en attendant les précieux guides de l’Anap) et où les contextes locaux sont tous très différents.
A l’heure de la mise en place des GHT, la question de l’externalisation de tout ou partie des fonctions SI est posée. Si cette question est largement documentée dans la littérature spécialisée, qu’en est-il de l’externalisation des fonctions spécifiques aux technologies numériques.
Le GCS e-santé Archipel 971 devient le premier hébergeur agréé de données de santé pour la Guadeloupe, Saint-Martin et Saint-Barthélemy, par la décision du 3 août 2017 portant agrément du GCS pour son ENRS à disposition des acteurs de santé de la Guadeloupe et des îles du Nord. Entretien avec Anthony Forbin, directeur du GCS et CMSI de l’ARS.
Afin de renforcer leurs présences dans le domaine des solutions informatiques médicales, Softway Medical et Fujifilm ont conclu le lundi 2 octobre un accord de distribution exclusive de la gamme de solutions Synapse de Fujifilm (PACS, VNA, Mobility, 3D*). Par ce rapprochement, l’ensemble de la structure Synapse pour la France sera transférée à Softway Medical, afin d’assurer une continuité de support et d’expertise aux utilisateurs Synapse. L’application de cet accord devrait être effective début novembre 2017.
Telle est la question qui m’a été posée. A l’origine du questionnement une chronique juridique, issue des informations mensuelles du CISME, intitulée Activité des SSTI et obligations juridiques, dans laquelle il est indiqué que :
DOCAPOST, filiale du Groupe La Poste, experte dans l’accompagnement des entreprises dans leur transformation numérique, VISIOMED GROUP, l’un des pionniers de l’e-santé en France, et HUAWEI, leader dans le secteur des télécommunications et des nouvelles technologies annoncent la signature d’un partenariat stratégique et technologique dans le domaine de la santé connectée.
APICEM S.A.R.L qui développe et opère la solution de messagerie sécurisée en santé APICRYPT®, devient hébergeur agréé de données de santé à caractère personnel (HADS). Cet agrément a été délivré par le Ministère des Solidarités et de la Santé, en accord avec l’Agence gouvernementale ASIP Santé et la CNIL pour la version 2 d’APICRYPT®.
DOCAPOST, filiale du Groupe La Poste, et le Groupe Tactio, leader mondial en solutions de santé mobile, s’associent pour accélérer le développement de la e-Santé en France.
Dans le monde de la santé, en matière de sécurité des SI – au sens très large du terme –, il s’est passé plus de choses durant les deux dernières années que dans les 20 qui ont précédé.
APICRYPT vient de passer la barre des 70 000 utilisateurs.
Calystene S.A. fêtera cette année ses 25 ans, ce qui symbolise sa maturité et la force de son innovation. Elle a profité de la Paris Healthcare Week 2017 pour échanger avec ses clients et prospects et annoncer une version de Futura Smart Design dédiée aux EHPAD pour fin 2017 sur le stand de ses partenaires éditeurs.
D’ici au 1er janvier 2019, l’ensemble des hébergeurs de données de santé devra obtenir une certification délivrée par un organisme accrédité. Avec l’ordonnance n° 2017-27 publiée le 12 janvier 2017, la fin de la procédure d’agrément par le ministère de la Santé pour l’hébergement de données de santé prend forme.
Avec l’acquisition de Soft Santé, société basée à Nîmes, Softway Medical ouvre l’hôpital jusqu’au domicile du patient. Créé en 2008 et dirigé par Christel Montauban, Soft Santé édite 3 solutions qui assurent le transfert des compétences et des exigences hospitalières sur un environnement numérique dédié à la ville. Softway Medical dispose désormais d’une offre dimensionnée pour le parcours de soins coordonné, une plus-value pour les établissements de santé en termes de qualité de prise en charge.
Le salon HIT 2017 est le lieu d’échange sur les nouvelles pratiques et possibilités offertes par les TIC notamment en termes d’archivage et de dématérialisation en général.
Comme évoqué la semaine dernière dans la première partie de ce retour sur le #CNSSIS(1), l’hébergement de données de santé et la certification ISO27001 ont fait partie des grands sujets de ce congrès.
Présentation extrêmement intéressante d’Orange Cyberdéfense sur la nouvelle mouture de l’agrément Hébergeur de Données de Santé (HDS).
Elie Lobel s’est félicité, à l’occasion d’une conférence de presse, de la place d’ores et déjà occupée par la filiale santé de l’opérateur Orange, qu’il dirige depuis près d’un an : « nous travaillons avec plus de 70% des hôpitaux français ». Mais il a surtout voulu souligner qu’il était prêt à répondre à des besoins qui vont aller croissant en raison de la réforme créant les groupements hospitaliers de territoire.
L’agrément HDS autorise Adista à publier les applications de ses clients, contenant des données de santé à caractère personnel, sur les infrastructures de ses Datacenter.
Le Centre Hospitalier Intercommunal Eure-Seine est le premier Centre Hospitalier « général » à avoir mis en œuvre les moyens nécessaires à l’obtention de l’agrément « Hébergeur de données de santé à caractère personnel » délivré par le Ministère des Affaires Sociales, après un processus d’étude par l’ASIP Santé et par la CNIL. Ses datacenters d’Evreux et de Vernon, ses architectures techniques modernes, la pluralité de ses équipes ainsi que le respect d’une politique de sécurité musclée en font un acteur de santé publique clé pour la région Normandie. Il offre une solution d’hébergement d’applications critiques, avant tout pour les établissements membres de son G.H.T., mais aussi potentiellement pour les membres du GCS Télésanté normand, et consolide l’établissement sur la maîtrise de ses données à long terme.
Le rappel de rendez-vous par SMS s’est démocratisé ces dernières années, y compris dans le secteur de la santé.
L’APICEM et le MiPih mettent en place une collaboration visant à l'intéropérabilité bidirectionnelle des solutions APICRYPT et MÉDIMAIL pour faciliter la communication entre les établissements de soins et les professionnels de santé.
Une soixantaine de représentants d’ESMS(1) et professionnels de santé se sont réunis lors de la Journée d’échanges : les enjeux du numérique pour les établissements médico-sociaux, le 20 janvier 2017, dans les locaux de la Clinique Sainte Barbe à Strasbourg. Objectifs de cette rencontre : partager les retours d’expériences des ESMS ayant été dotés de logiciels pour la gestion de soin dans le cadre du programme - Système d’information de soins (SI Soins) - proposé par l’Agence régionale de santé (ARS) Grand Est et opéré par Alsace e-santé, ainsi que découvrir des innovations dans ce secteur.
Janvier 2017 aura décidément été riche en textes (ordonnances) dans le monde de la santé, et en plus de celle concernant la refonte du décret hébergeur, les pouvoirs publics viennent de publier le 13 courant une ordonnance[1] concernant la valeur probante des versions numérique des documents papier.
L’ordonnance de certification de l’activité d’hébergeur de données de santé (HDS) vient d’être publiée au JO[1], et ce après moult débats entre les pouvoirs publics, le syntec et l’AFHADS[2], débats qui portaient notamment sur l’étendue de responsabilité de l’hébergeur concernant le périmètre des applications hébergées, sur lesquelles il n’a pas forcément la main. Inutile de refaire le film, il a duré assez longtemps.
L’année 2016 aura encore été riche en incidents de sécurité de toutes sortes, rançongiciels, fuites de données, attaques par déni de service (DDOS) [1]… ce qui laisse présager une recrudescence des incidents pour 2017, des évolutions dans les attaques, qui seront de plus en plus ciblées.
Petit retour sur cette année riche en événements de toute sorte dans l’IT.
Co-organisé par la DSSIS (délégation à la stratégie des systèmes d’informations de santé), le service du HFDS (haut fonctionnaire de sécurité), la DGOS (direction générale de l’offre de soins) et l’ASIP Santé, orchestré par Philippe BURNEL (DSSIS), le deuxième colloque de la sécurité des systèmes d’information de santé, s’est déroulé mercredi 14 décembre au Ministère des affaires sociales et de la santé.
OVH, hébergeur de datacenters, vient de décrocher l’agrément d’hébergeur de données de santé[1]. Et c’est une bonne chose, à plusieurs titres.
La loi de modernisation de notre système de santé, via les groupements hospitaliers de territoire (GHT), va bouleverser l’organisation des soins et entraîner une évolution notable des usages. Pour accompagner ses adhérents, le MiPih organise des journées d’information et d’échanges dans différentes villes de France.
Près de 50 000 applications santé sont actuellement disponibles et de nouvelles apparaissent chaque jour. Certaines proposent des conseils individualisés, recueillent des données personnelles (poids, tension, fréquence cardiaque,…), ou délivrent des informations médicales. Leur développement se fait toutefois sans cadre prédéfini, ce qui soulève de nombreuses questions concernant leur fiabilité, la réutilisation des données collectées ou le respect de la confidentialité notamment. C’est pourquoi la HAS publie aujourd’hui un référentiel de 101 bonnes pratiques pour favoriser le développement d’applications et objets connectés sûrs, fiables et de qualité.
Dans le cadre de leur mise en œuvre, les Groupements hospitaliers de territoire doivent harmoniser leurs solutions de télécommunications et converger progressivement vers un système d’information commun.
Futura Smart Design est désormais proposé en mode SaaS aux établissements SSR et sera bientôt mis à disposition des Ehpad. Cette évolution a été rendue possible par le partenariat conclu avec l’hébergeur agréé de données de santé Coreye.
À l’occasion des Journées Francophones de Radiologie 2016, qui se déroulent mi-octobre à Paris, Siemens Healthineers présente de nouvelles solutions ayant fait leurs preuves à l’étranger. Elles sont aujourd’hui proposées sur le marché français.
Sterenn, la plateforme régionale de télémédecine en Bretagne, est opérationnelle depuis mars 2015. Retour sur les projets déployés, leurs enseignements et sur les perspectives à venir.
La série d’articles de Cédric Cartau a bien mis en évidence la fragilité conceptuelle du modèle actuel de l’hébergement de données de santé. Puisqu’il est en cours de refonte, il me semble intéressant de creuser un peu plus sur les origines de cette faiblesse afin de s’assurer qu’elle ne sera pas reconduite.
Dans un premier article[1], je faisais part d’un cas étrange de ce qui pourrait être considéré par certains comme un possible détournement de l’esprit, si ce n’est de la lettre, du décret Hébergeur. Dans un deuxième volet, je suis revenu sur les remarques et commentaires de certains lecteurs sur ce premier article ainsi que sur la mise à jour de la FAQ de l’Asip tenant compte de ce cas d’usage. Quelles sont les pistes pour les prochaines évolutions du décret ?
Récemment, au fil de mes pérégrinations dans le petit monde de la santé, je suis tombé coi devant un usage du décret d’hébergement qui pourrait paraître, a priori, comme un détournement juridique.
La T2A a sans conteste été une révolution dans le monde de la santé : faut-il rappeler qu’avant sa mise en place et sa généralisation sur le territoire, le mode de financement des établissements consistait peu ou prou à prendre les budgets des années précédentes et à les reporter sur l’année d’après avec une augmentation de quelques pourcents.
Les outils « Helpdesk », également appelés « outils d’assistance utilisateur », de « support hotline » ou encore de « ticketing » sont aujourd’hui incontournables pour de nombreuses DSI [1].
Créée en 2008, Medimail est une solution de messagerie sécurisée de santé compatible MSSanté qui a vu le jour grâce à l’impulsion de l’URPS Midi-Pyrénées et du Centre hospitalier intercommunal de Castres-Mazamet. Huit ans plus tard, cette solution se hisse au rang de première messagerie MSSanté de France avec plus de 7 000 comptes MSSanté, 150 établissements déclarés et 100 000 envois effectués tous les mois, dont 40 000 qui transitent par l’espace de confiance MSSanté.
Softway Medical annonce la signature d’un partenariat avec la start-up californienne SightCall, spécialisée dans les outils d’interaction visuelle. Les logiciels dédiés aux établissements de santé et aux centres de radiologie développés par Softway Medical vont ainsi s’enrichir de nouvelles fonctionnalités de chats vidéo interactifs. L’objectif pour Softway Medical : faciliter la communication et donc la collaboration des professionnels de santé autour d’un dossier patient. L’intégration par SOFTWAY MEDICAL de la technologie SightCall apportera une réponse supplémentaire aux impératifs du parcours de soins coordonné au sein d’un même territoire de santé.
Pionnier du télésuivi des patients équipés de dispositifs médicaux cardiaques implantables, Biotronik confirme avec cet agrément sa position d’acteur de premier plan de la télémédecine en France, répondant à toutes les exigences de sécurisation des données de santé à caractère personnel.
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