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La campagne « Faire avancer la santé numérique » (#FASN) organise le 17 octobre 2017 au Palais des Congrès de Dijon sa 10e étape régionale dédiée à l’innovation en santé. Les acteurs de santé nationaux et régionaux se mobilisent pour porter le dynamisme de la filière du numérique en santé et co-construire une offre de soins efficiente et coordonnée en Bourgogne-Franche-Comté.
Spécialement conçue pour les professionnels de santé – DA, DSI, RSI, RSSI, référents, médecins DIM et chefs de projets –, la nouvelle formation de l’APSSIS a été délivrée trois fois, à Paris, Nantes et Bordeaux, réunissant à chaque session une dizaine d’établissements publics et de structures de santé privées. La formation sera délivrée à Dinard, en partenariat avec DSIH magazine, les 11, 12 et 13 septembre 2017.
Nouveau scandale en Australie, après le département de l’immigration qui avait, en 2014, laissé fuiter dans un répertoire en libre accès sur son site Web les données personnelles de près de 10 000 personnes incarcérées, et en 2015 des informations personnelles sur les chefs d’états ayant participé au dernier sommet du G20 qui s’était déroulé à Brisbane fin 2014.
Même si le numerus clausus est en augmentation depuis quelques années déjà, les besoins restent supérieurs au nombre de médecins, ce qui fait qu’ils sont aujourd’hui, toujours en position de force (c’est la loi de l’offre et de la demande). Même si le nombre de médecins en France n’a jamais été aussi important, et qu’il devrait encore fortement augmenter dans les années à venir, cette situation n’est pas prête de changer selon la DREES (1). L’avenir nous le dira.
Spécialement conçue pour les professionnels de santé – DA, DSI, RSI, RSSI, référents, médecins DIM et chefs de projets –, la nouvelle formation de l’APSSIS a été délivrée trois fois, à Paris, Nantes et Bordeaux, réunissant à chaque session une dizaine d’établissements publics et de structures de santé privées. Le taux de satisfaction global mesuré est supérieur à 19/20, chacun appréciant le contenu, la dynamique, la qualité des documents proposés et l’interaction entre les participants, dont le nombre est volontairement limité.
En fusionnant ETIAM et ACCELIS sous l’acronyme Acetiam, le groupe MNH a allié l’expertise de deux éditeurs de solutions de santé pour en faire une structure majeure de la télémédecine multispécialité en Europe. Stéphane Laurent, le directeur marketing d’ACETIAM, revient sur la stratégie du groupe qui couvre déjà la moitié du territoire français en services de télémédecine, télé-expertise et téléconsultation.
Pour la troisième année consécutive, les médecins concepteurs de l’algorithme Hy-Result® présentent de nouveaux résultats de leurs recherches au Congrès de l’European Society of Hypertension (ESH), à Milan, le 19 juin. Les dernières données portent sur l’avis des utilisateurs de l’application Hy-Result® en mode web (1).
A l’occasion des 36 Heures Chrono Antilles-Guyane qui auront lieu le 21 juin prochain à Schoelcher (Martinique), les acteurs de l’innovation en santé se sont donnés rendez-vous pour échanger sur les nouveaux projets e-santé en cours de déploiement et réfléchir aux nouvelles formes de coordination et de coopération sanitaire qui redéfiniront l’offre de soins sur le territoire.
A l’occasion de HIT Paris 2017 (Paris Healthcare Week), le salon professionnel leader de l’IT appliqué à la santé, iHealth, pionnier mondial des objets de santé connectée a présenté iHealth Next, un ensemble de solutions innovantes à destination des entreprises, des hôpitaux ou des cliniques.
La télémédecine offre un bilan contrasté et la Bretagne en est une illustration caricaturale. Comment en est-on arrivé là ? Comment en sortir ? C’est le fruit de 50 ans d’évolution sanitaire, sociétale, organisationnelle, numérique mal managées par la gouvernance politique, administrative et par l’assurance maladie.
L'offre Cerner évolue dans l'optique d'adapter le DPI Millennium à l'approche populationnelle des soins. Nous avons rencontré Harold Juillet, Directeur Général de Cerner France, lors du salon HIT, pour une description du nouveau portail patient, des vues de synthèse MPages Millennium compatibles avec les nouveaux standards et des avantages que peuvent en tirer tous les acteurs de la prise en charge du patient.
La campagne « Faire avancer la santé numérique » (#FASN) a choisi le territoire des Antilles-Guyane pour organiser, le 21 juin au Palais des Congrès de Fort-de-France, sa 9e étape régionale : les 36 Heures Chrono. Dossier patient informatisé, plateforme de coordination des professionnels de santé, coopération sanitaire interrégionale, projets de télémédecine, programme « Hôpital Numérique »… de nombreux sujets e-santé seront présentés et permettront aux acteurs de santé de faire le point sur les projets et outils numériques mis à leur disposition pour améliorer la prise en charge des patients.
Grâce à Doctolib, l’AP-HP se lance dans la prise de rendez-vous en ligne. Huit hôpitaux parisiens sur les 39 que compte l’institution sont déjà connectés (Antoine-Béclère, Bicêtre, Paul-Brousse, Saint-Antoine, Trousseau, Tenon et Rothschild), de même que plusieurs services de l’Hôpital européen Georges-Pompidou. D’ici à juin 2018, les 9 000 médecins de l’AP-HP proposeront ce service et permettront ainsi aux 8 millions de patients qui consultent chaque année dans les hôpitaux du groupe de prendre rendre rendez-vous 7 jours sur 7, 24 heures sur 24.
Face aux grands enjeux sanitaires comme la baisse de la démographie médicale ou encore l’inégalité d’accès aux soins, la télémédecine est en plein développement depuis 2010 en France. La transformation des systèmes de santé par la pratique de la télémédecine est aujourd’hui une réalité et une tendance inéluctable d’amélioration des services de santé en France : meilleure qualité des soins, réponse à des demandes de soins croissantes, décloisonnement ville-hôpital, amélioration du suivi des patients, réduction des dépenses de santé...
Avec ses 1 800 utilisateurs, le programme de reconnaissance vocale lancé par le CHU de Nantes est un projet d’envergure. La solution Nuance, déjà adoptée et utilisée par 400 médecins au quotidien, s’étendra en effet à 1 400 utilisateurs supplémentaires d’ici à 2019. Et si l’inscription de la reconnaissance vocale dans la stratégie de transformation clinique était un levier d’accélération numérique ? C’est la conviction de Pierrick Martin, directeur des systèmes d’information du CHU.
Acteur incontournable des logiciels et des services du secteur de la santé, Cegedim renforce sa stratégie à destination des établissements de santé. À l’occasion de notre rencontre, Frédéric Mercier, directeur commercial et marketing, s’est exprimé sur cette évolution, motivée selon lui par les besoins grandissants qui émanent des hôpitaux, notamment depuis l’avènement des GHT, mais aussi par l’étendue des offres de services innovants de l’éditeur.
En intégrant un portail patient à Diamm, Micro6 propose plusieurs fonctionnalités favorisant la prise de rendez-vous à distance, le recueil d’informations par les proches ou, pour le médecin, la consultation de son agenda. Un module d’éducation thérapeutique paramétré par ce dernier peut également être mis à disposition des patients.
Avec IUP, le MiPih propose une vraie solution d’identification unique du patient.
Le GCS eSanté Archipel 97-1 renforce l’ofre de services de l’Espace Numérique Régional de Santé (ENRS) « Courbaril ». De nombreux projets voient le jour pour favoriser les échanges entre professionnels de santé et assurer un meilleur suivi et une meilleure prise en charge des paients de Guadeloupe et des îles du nord.
Au lendemain de l’élection d’Emmanuel Macron à la présidence de la République, DSIH revient sur les propositions phares de son programme en matière de santé et ses intentions en termes de méthode.
Un témoignage utilisateur viendra illustrer ces démonstrations.
Mettre à disposition des médecins des solutions pour leur faciliter la vie, c’est bien. Qu’ils s’en servent, c’est mieux ! Prenons l’exemple de la reconnaissance vocale, souvent accusée de nécessiter un apprentissage bien trop long pour une efficacité jugée insuffisante. Pourtant, sur le terrain, les solutions nouvelle génération de Nuance prouvent le contraire.
Sur les traces de la société Assistance Ambulance, le Samu 44 va prochainement s’équiper de lunettes connectées pour améliorer la prise en charge des urgences sur le territoire. Une plus-value pour les patients comme pour les acteurs de santé, selon Charlie Clouet qui suit le projet chez Assistance Ambulance.
À travers cette chronique, Michaël De Block, directeur de l’information numérique des Hôpitaux de Champagne Sud, qui pilote le chantier SI pour le GHT de l’Aube et du Sézannais, aborde la question des cyberrisques liés aux nouveaux compagnons du système d’information.
# Prendre soin au-delà des soins. La qualité des soins prodigués lors de la consultation ou de l’intervention chirurgicale ne suffit plus. Les établissements de santé sont attendus sur la manière dont ils préparent l’accueil et la sortie d’hospitalisation, mais aussi sur le continuum des soins et la coordination entre professionnels. Les cliniques privées investissent pour développer activité – et attractivité –, mais elles ne sont pas les seules. Les hôpitaux publics ont bien compris l’intérêt de tisser des liens avec les patients en multipliant les services numériques. Et si on parlait de la relation « client » à l’hôpital ?
L’AIM organise une journée de réflexion sur l’informatique au service du médecin généraliste, à Paris, le 17 mai. Mais, surtout, elle se prépare à accueillir le Congrès mondial de l’informatique de santé, dans deux ans. DSIH a rencontré son président, Philippe Cinquin, pour en savoir plus sur cette association et ses activités.
Pour mener à bien la trajectoire de convergence imposée par la mise en œuvre des GHT, il est indispensable de définir de nouveaux schémas directeurs pour les SIH. La digitalisation des processus est en marche, même si l’adhésion des professionnels de santé n’est pas encore totalement acquise. Et s’il était possible de faire d’une pierre deux coups ? Accélérer l’informatisation des établissements et convaincre les utilisateurs ?
La majorité des Etablissements de santé de la Nouvelle Aquitaine sont aujourd’hui engagés dans la démarche MSSanté.
Le programme Pascaline[1] présente l’originalité de confier le pilotage de trois de ses sous-projets à l’URPS[2] Médecins Auvergne Rhône-Alpes. Il s’agit d’expérimenter le carnet de vaccination électronique, un réseau social de professionnels de santé et l’usage de trois types d’objets connectés : tensiomètres, pèse-personnes et traceurs d’activité.
Comme évoqué la semaine dernière dans la première partie de ce retour sur le #CNSSIS(1), l’hébergement de données de santé et la certification ISO27001 ont fait partie des grands sujets de ce congrès.
Intégrer un portail de rendez-vous en ligne ? Les établissements de santé sont en train de franchir le pas, selon un « Baromètre de la santé numérique » présenté par mondocteur.fr fin mars[1]. 59 % connaissent le service et un quart d’entre eux compte s’équiper dans les prochains mois, affirme la société filiale de Lagardère Active (à l’instar de Doctissimo).
Le #CNSSIS est le rendez-vous incontournable de tous les acteurs se préoccupant de la sécurité des systèmes d’information de santé, et par conséquent de la sécurité des patients et de leurs données. La cuvée 2017 aura encore été un grand cru ! 21 conférences réparties sur trois jours intenses et très riches en partages, rencontres et réflexions. Ce petit écosystème composé de divers acteurs, éditeurs, intégrateurs, professionnels de la sécurité, médecins, avocats, directeurs d’établissements, RSSI, DSI, représentants de l’état, étudiants, n’ont fait qu’un pendant trois jours pour faire avancer la sécurité des SI de santé. Un congrès éprouvant, car il faut bien le dire, les journées sont longues et les nuits sont courtes, mais tellement enrichissant !
L’édition 2016 de la Paris Healthcare Week a constitué un rendez-vous majeur de réflexion sur l’organisation et l’avenir du système de soins. L’édition 2017 s’annonce tout aussi riche et diversifiée. Une semaine après l’élection présidentielle, elle promet d’être déterminante pour le secteur hospitalier et médico-social. L’ensemble de l’écosystème de santé pourra s’adresser aux membres du nouveau gouvernement pour échanger sur les différentes problématiques présentées et l’avenir de ce secteur.
En février dernier, l’Hôpital de Dieuze a été primé à l’issue de l’appel à projets de la Fondation Crédit Agricole Solidarité et Développement, autour de l’accès aux soins dans les déserts médicaux. La Fondation a retenu 18 lauréats et mis en valeur leurs projets, relevant de la e-santé, du soin mobile ou encore de la médiation médicale. En ce qui concerne l’hôpital de Dieuze, le jury a souhaité récompenser l’amélioration de l’accès aux soins des personnes âgées par un dispositif de télémédecine, permettant la mise en place de consultations à distance en partenariat avec des établissements de santé lorrains. Un projet rendu possible avec la collaboration de Télésanté Lorraine, organisateur de la e-santé en Lorraine.
Après une avalanche de textes réglementaires en 2016, le décryptage des décrets et autres ordonnances réalisé à l’occasion des 17es Journées de la Sfil était bienvenu pour les laboratoires de biologie médicale.
La success story de CALYSTENE est liée à l'évolution du Dr Jean-Marc Babouchkine, qui fête cette année les 25 ans de la société qu'il a créée. À partir d'une évaluation de situations à risques pour les patients, il a développé le concept d'une solution intégrée, dont l'aboutissement est FUTURA SMART DESIGN® et, bientôt, son complément pour les médecins libéraux, FUTURA CITY.
Pour la première fois, le Baromètre santé 360 réalisé par Odoxa*a interrogé les directeurs d’hôpitaux, sur un panel de 190 personnes, grâce au concours de la Fédération hospitalière de France et de Ramsay Générale de Santé.
La campagne « Faire avancer la santé numérique » (#FASN) organise le 30 mars à Marseille sa 8e étape régionale dédiée à l’innovation en santé. Tous les acteurs régionaux de santé sont mobilisés pour porter le dynamisme et l’excellence de la filière e-santé en région PACA.
Pas de gros trucs énormes cette semaine, mais une actualité bizarre.
Une soixantaine de représentants d’ESMS(1) et professionnels de santé se sont réunis lors de la Journée d’échanges : les enjeux du numérique pour les établissements médico-sociaux, le 20 janvier 2017, dans les locaux de la Clinique Sainte Barbe à Strasbourg. Objectifs de cette rencontre : partager les retours d’expériences des ESMS ayant été dotés de logiciels pour la gestion de soin dans le cadre du programme - Système d’information de soins (SI Soins) - proposé par l’Agence régionale de santé (ARS) Grand Est et opéré par Alsace e-santé, ainsi que découvrir des innovations dans ce secteur.
Pour les établissements privés, les services numériques apparaissent de plus en plus comme des moteurs d’attractivité et de personnalisation des parcours patients à l’heure où la prise en charge en ambulatoire a vocation à se développer. DSIH revient, avec ce dossier, sur quelques innovations remarquables annoncées en 2016, comme celle de l’Hôpital privé du Confluent, à Nantes[1], qui vient d’ouvrir un espace ambulatoire high-tech. Fanny Séguin-Loisance, directrice Marketing et Relation Client de l’établissement, revient sur cette inauguration.
Dans un article récent publié dans Ouest-France, on apprend qu’un patient de l’hôpital de Saint-Brieuc aurait été victime d’une « indiscrétion » relative à son dossier médical. En substance, la belle-sœur de ce patient, infirmière à l’hôpital, se serait connectée au dossier (informatisé) de ce patient pour connaître son état de santé et se serait ainsi rendue coupable d’indiscrétions auprès du reste de la famille, divulguant des informations qui n’auraient pas dû l’être.
Souvent critiquée et parfois remise en cause, la digitalisation du secteur de la santé en France est aujourd’hui bien en marche. En témoignent les nombreuses initiatives mises en place ces dernières années, à l’image des programmes gouvernementaux visant à financer la modernisation numérique des établissements de soins français et à encourager l’essor des startups dans le domaine de l’e-santé.
Nouveau site web, nouvelles fonctionnalités. En réponse aux nouveaux usages des patients, le CHR adopte désormais une approche e-service à travers son portail web de prise de rendez-vous. Le patient peut désormais accéder au planning des médecins en tout temps et en tout lieu, et ce, quel que soit le support de connexion.
Co-organisé par la DSSIS (délégation à la stratégie des systèmes d’informations de santé), le service du HFDS (haut fonctionnaire de sécurité), la DGOS (direction générale de l’offre de soins) et l’ASIP Santé, orchestré par Philippe BURNEL (DSSIS), le deuxième colloque de la sécurité des systèmes d’information de santé, s’est déroulé mercredi 14 décembre au Ministère des affaires sociales et de la santé.
Inventeur du cabinet médical connecté, MonDocteur.fr, 1er portail de prise de rendez-vous médicaux en ligne en France, s'ouvre également aux centres hospitaliers avec une équipe dédiée. Une innovation pour simplifier et fluidifier la prise de rendez-vous et permettre aux hôpitaux de personnaliser le parcours de soin, d'en assurer un meilleur suivi et d'automatiser la prise de rendez-vous en fonction des pathologies. Témoignage de M. Pierre BERTRAND, Directeur du Centre Hospitalier d'Arras
Dans un article récent[1] du magazine ticsanté, nous apprenons que la présidente du Collège de la HAS, Agnès Buzyn, lors d’une table ronde organisée dans le cadre d’un événement dans le monde pharmaceutique, se déclare « troublée » par les algorithmes utilisés, de plus en plus, dans le monde de la santé.
Voluntis, entreprise pionnière des logiciels compagnons thérapeutiques permettant aux patients de gérer leur maladie chronique, a reçu l'agrément FDA 510(k) ainsi que le marquage CE pour Insulia®. Cette solution digitale innovante contribue à la prise en charge efficace des patients adultes atteints de diabète de type 2 traités par insuline basale.
Les Espic ont un rôle majeur à jouer dans l’organisation des parcours de soins sur le plan régional. C’est ce que nous ont rapporté Arnaud Hansske et David Leclaire, respectivement DIM-DSIO et RSSI du Groupement des hôpitaux de l’Institut catholique de Lille, qui se félicitent d’avoir choisi InterSystems pour la gestion des activités médicales en interne avec TrakCare et le suivi des patients à l’extérieur de l’établissement, qui sera bientôt piloté par la plateforme Côté Lille utilisant le socle technologique du portail HealthShare.
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