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Le 9 octobre, l’Agence du numérique en santé a annoncé l’adhésion officielle de la France à la Snomed International, organisation internationale dédiée à l’élaboration et à la diffusion de la nomenclature des termes médicaux, la Snomed CT.
La directive NIS 2, qui vise à harmoniser et à renforcer la cybersécurité du marché européen, voit son périmètre élargi par rapport à NIS 1. Tous les établissements de santé de plus de 50 salariés devraient être concernés, a-t-on appris lors du 11e Congrès National de la SSI Santé, organisé du 13 au 15 juin au Mans par l’APSSIS.
Le 27 juillet, l’Uncam et les syndicats représentatifs de la profession ont signé l’avenant 9 à la convention nationale, destiné à promouvoir l’exercice libéral des infirmiers en pratique avancée, la vaccination et la télésanté.
Le développement de l’interopérabilité sémantique est une priorité pour la France. Elle a récemment choisi de s’engager vers la terminologie Systematized Nomenclature of Medicine Clinical Terms (SNOMED CT), dans la dynamique européenne, visant notamment à permettre la construction du futur espace européen des données de santé, axe stratégique de la présidence française du Conseil de l'Union européenne.
Les Cliniques universitaires Saint-Luc, à Bruxelles, ont profité du projet d’implantation du DPI EPIC[1] pour alimenter celui-ci avec les données préexistantes préalablement structurées. Une opération d’envergure pour cet établissement de près de 1 000 lits, mise en œuvre avec la solution de traitement du langage naturel de la startup belge EarlyTracks. Entretien avec le Pr Marianne Philippe, CMIO - Chef du Département d’information médicale
Le 9 mai dernier, une nouvelle nomenclature de la liste des actes et des prestations de biologie médicale pris en charge par l’assurance maladie est entrée en vigueur. Comme lors de chaque changement au journal officiel, dans un souci d’optimisation du logiciel, les équipes d’Agfa HealthCare ont immédiatement mis à jour les données d’Hexalis. Un module actualisé a ainsi été livré aux clients permettant d’éviter tout rejet des feuilles de soin électroniques lié au risque de mauvaise tarification engendré par un paramétrage réalisé en local.
Les semaines de vacances sont propices aux lectures de fond, du genre de celles auxquelles l’on n’a ni le temps de s’adonner pendant la journée de travail, ni l’envie de s’atteler le soir à la veillée. En voici quatre, parmi d’autres.
Le 17 avril, la FDA (Food & Drugs Administration), l’autorité de régulation du médicament et des produits de santé aux États-Unis, tout comme l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament) en France, a annoncée un plan d’actions en cinq points [1], détaillés dans un document intitulé « Medical Device Safety Action Plan : Protecting Patients, Promoting Public Health » [2], dans le but d’améliorer la sécurité des dispositifs médicaux.
Officiellement reconnue dans le droit français depuis 2009 et mise en œuvre sous la forme d’expérimentations de terrain, la télémédecine demeure encore aujourd’hui une pratique marginale parmi les professionnels de santé. Pour remédier à cette situation, le gouvernement a décidé de passer à la vitesse supérieure, en ville mais aussi à l’hôpital.
L’association à but non lucratif SNOMED International qui maintient et distribue la terminologie médicale de référence SNOMED CT, a organisé l’événement « SNOMED CT Expo ». L’objectif ? Rassembler les parties prenantes (éditeurs, décideurs, professionnels de santé, terminologistes) de tous les continents pour confronter les expériences de mise en œuvre de cette terminologie. Le cru « SNOMED CT Expo 2017 » qui s’est tenu les 19 et 20 octobre derniers à Bratislava, a été l’occasion pour Phast de présenter sa traduction française et les premières implémentations exploitant cette traduction.
Communiqué de la Société Française de Télémédecine (SFT), du Conseil National de l’Ordre des Médecins (CNOM), de la Fédération Hospitalière de France (FHF), de la Fédération de l’Hospitalisation Privée (FHP) et de la Fédération des Etablissements Hospitaliers et d’Aide à la Personne (FEHAP) et de UNICANCER
Les 8 et 9 septembre derniers s’est tenue la 1ère Université d’été des déserts médicaux et numériques. Organisée à Auzon, entre l’Allier et la Nièvre, l’événement a rassemblé plus de 100 personnes – élus locaux et nationaux, industriels des télécoms, agences régionales de santé, représentants des usagers de santé et des consommateurs – pour échanger de manière pragmatique sur le développement de la télémédecine et de la santé connectée dans les régions rurales alors que ces dernières souffrent de fracture numérique mais également du manque, voire de l’absence, de professionnels de santé. Retour sur ces deux journées riches en échanges et en dialogue.
Après une avalanche de textes réglementaires en 2016, le décryptage des décrets et autres ordonnances réalisé à l’occasion des 17es Journées de la Sfil était bienvenu pour les laboratoires de biologie médicale.
Avec la règlementation sur l’identification des dispositifs médicaux, des évolutions majeures sont à prévoir pour les acteurs de la santé sur tous les maillons de la supply chain.
L’ANAP vient de produire un document de référence dédié au système d’information territorial pour le parcours des patients et la coordination de la prise en charge sanitaire. Les cinq fonctions socles destinées à garantir la cohérence du SI.
Alsace e-santé en collaboration avec l’Agence des systèmes d’information partagés (ASIP) Santé et l’Agence régionale de santé (ARS) Alsace, Champagne-Ardenne, Lorraine, a marqué la réussite de son expérimentation Albiom – Alsace biologie médicale – par une rencontre réunissant l’ensemble des acteurs du projet. 46 laboratoires d'analyses médicales de la région – hospitaliers ou de ville – partagent désormais des résultats structurés de biologie avec les médecins et leurs patients, via le dossier médical partagé (DMP). Déjà plus de 6 000 comptes rendus y ont été déposés par les biologistes.
Fort de son expertise métier sur l’intégration des applications dans les Systèmes d’information de santé, ENOVACOM étend son domaine d’intervention jusqu’aux équipements biomédicaux. Comment cela se passe-t-il sur le terrain ? Quel est le principe de cette solution ? Réponses avec Jean-Baptiste Michon, responsable de cette dernière innovation.
La Présidente de la CNIL a adopté le 25 septembre 2013 une mise en demeure à l’encontre du Centre hospitalier de Saint-Malo. Elle fait suite à une procédure de contrôle qui a été engagée les 5 et 6 juin 2013. Ce contrôle a révélé qu’un prestataire a pu accéder, avec le concours de l’établissement, aux dossiers médicaux de plusieurs centaines de patients, méconnaissant ainsi le code de la santé publique et la loi Informatique et Libertés.
Paris, le 9 juillet 2013 -Les mesures annoncées vendredi dernier lors du 6ème CSIS (Conseil stratégique des industries de santé) présidé par le Premier ministre Jean-Marc Ayrault et du CSF (Comité stratégique de filière) co-présidé par les ministres du redressement productif, de la santé et de la recherche, montre une identification accrue du secteur des dispositifs médicaux par les autorités. Le Syndicat National de l’Industrie des Technologies Médicales (SNITEM) s’en réjouit et salue la volonté manifestée par les pouvoirs publics de lever les freins à l’innovation, à l’accès au marché, à la production industrielle, à l’export et à la recherche. L’organisation professionnelle et ses entreprises adhérentes qui se sont fortement impliquées dans les travaux préparatoires au CSIS, suivront avec attention la mise en application des propositions prévue dans un an. A cet égard et de façon plus spécifique, le SNITEM et ses entreprises adhérentes soulignent leur volonté de pouvoir pleinement participer au groupe de travail qui va être créé sur l’accès au marché des produits.
Retour d’expérience du Centre Hospitalier d’Avignon, 1er hôpital en France à mettre en place une solution mobile et automatisée de prélèvements biologiques avec les imprimantes «Zebra® QLn 220».
Depuis juillet dernier, les établissements de santé ont la possibilité de coder leurs actes de rééducation et de réadaptation selon la nouvelle nomenclature CSARR. Cette évolution réglementaire, présentée par l’Agence Technique de l’Informatisation sur l’Hospitalisation (ATIH), sera obligatoire à compter de 2013. L’occasion pour Emed de s’offrir une mise à jour complète de son PMSI SSR.
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