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Le Groupe AHNAC propose une offre de soins portée par 15 structures sanitaires et médico-sociales. Fort de plus de 1500 lits et places et de ses 3000 collaborateurs, il est un acteur majeur de santé des Hauts-de-France. Dans le cadre d’un projet global d’évolution de son Système d’Information et de son organisation, le Groupe a fait appel à WELIOM pour l’accompagner. Au-delà d’un simple changement de solutions, ce projet représente un enjeu fort d’optimisation des parcours patients et des processus métiers, de recherche d’efficience et de gains de productivité, de convergence des modes de fonctionnement des établissements et d’amélioration de l’expérience proposée aux patients et aux professionnels de santé usagers.
Je sais pertinemment que nos modestes systèmes d’information de santé français ont logiquement assez peu de chance d’être victimes d’attaques basées sur l’exploitation de vulnérabilités encore inconnues des éditeurs, mais je trouve assez effrayant de voir le nombre de vulnérabilités dites « 0 Day » révélées ces derniers mois…
Début juin, le Health Data Hub et Santé publique France ont annoncé leur soutien à la création de DIPoH, une structure européenne pour mieux contribuer à l’amélioration de la santé des populations.
Le marché des logiciels de stérilisation regroupe deux familles, les outils métiers et les outils associés aux matériels. Les premiers comprennent des solutions historiques hautement spécialisées et très complètes, mais au coût élevé. Les seconds intègrent des solutions fournies par les fabricants (laveurs et autoclaves), peu onéreuses mais souvent incomplètes (pas de traçabilité nominative des patients en salle de bloc). TimeWise Stérilisation aborde le problème sous un autre angle, avec une solution d' "entrée de gamme" qui permet tout en même temps de répondre à l’ensemble des obligations règlementaires.
Un webinaire de 75 minutes, le 17 juin à 11h00 avec le retour d’expérience de l’AP-HP et des Hôpitaux Universitaires de Strasbourg, interrogés par l’APSSIS
La pandémie l’a mis en lumière : pour faire progresser notre système de soins, il faut accélérer de manière significative sa transition digitale. Ce constat se reflète dans la place historique accordée au numérique dans le cadre du Ségur de la Santé. Ce sont ainsi près de 2 milliards d'euros d'investissement prévus sur 3 ans pour permettre de rattraper le retard « dans la modernisation, l’interopérabilité, la réversibilité, la convergence et la sécurité des systèmes d’information en santé ».
Par Jean-Noël Galzain, Fondateur de WALLIX & Philippe Loudenot, Membre spécialiste de la Santé du CESIN et anciennement au Ministère de la Santé
Le Groupe Dedalus, éditeur international leader de solutions logicielles pour la santé, a fait l’acquisition de Dosing GmbH, l’un des principaux éditeurs de solutions logicielles en tant que service dans le domaine de la sécurité des médicaments. Cette acquisition permet à Dedalus d'élargir son portefeuille, en y intégrant des solutions spécialisées pour accompagner les prescripteurs et les patients durant tout le processus de traitement médicamenteux, de la recommandation thérapeutique et la prescription jusqu'à l’administration et les instructions d'utilisation.Cet investissement dans le contenu clinique participe à améliorer la qualité et renforcer la sécurité des soins.
Un nouveau référentiel de certification des systèmes d’information de santé se profile. Dénommé Mathurin-H, il concrétise l’action 23 de la feuille de route du numérique en santé. Yves Normand, formateur ISO/CEI 27001 Lead Implementer, consultant en sécurité de l’information, auditeur qualifié ISO 27001 et HDS, répond aux questions de DSIH sur les enjeux de ce référentiel pour les établissements de santé, et l’intérêt d’être certifié ISO 27001.
Le 18 mai dernier, la Cnil a publié pour 2020 son 41e rapport annuel qui pointe une activité fortement marquée par la crise sanitaire, mais également par les nouvelles règles sur les cookies, la cybersécurité et la souveraineté numérique.
AMA, pionnier du marché des solutions de smart workplace, a déployé sa solution XpertEye auprès d’une quinzaine de SAMU en France et Outre-Mer. Dernièrement, le SAMU 92 a rejoint les SAMU 93 et 94 en intégrant la plateforme XpertEye afin d’améliorer la prise en charge des situations d’urgence grâce à la visiorégulation. Ce même cas d’usage a également amené les pompiers du Val d’Oise (SDIS 95) à retenir la solution XpertEye, qui devient désormais incontournable pour les services d’urgence sur le terrain.
Afin d’offrir aux patients internationaux un accès simplifié à son expertise mondialement reconnue, Gustave Roussy, premier centre de lutte contre le cancer en Europe, s’est associé à Maincare pour développer une plateforme de gestion des seconds avis médicaux.
Avec sa solution de reconnaissance vocale Dragon Medical One, l’éditeur Nuance aide les structures de soins à accélérer leur trajectoire vers l’atteinte de plusieurs objectifs de la nouvelle certification des établissements de santé pour la qualité et la sécurité des soins de la HAS.
Dans les trois prochaines années, la hausse prévue du marché de l’e-santé est de 160 %, d’après l’analyse du Leem. Pour Les Entreprises du médicament, qui représente l’industrie du médicament et des dispositifs médicaux, le secteur, composante essentielle de la modernisation et de l’efficience du système de santé, suscite légitimement un intérêt grandissant des pouvoirs publics (PariSanté Campus, Health Data Hub, feuille de route ministérielle du numérique en santé…) et positionne la France comme un leader mondial du numérique en santé dans la course à l’innovation.
Depuis le 1er janvier 2021, pour éviter les erreurs de traitement des données de santé, la Loi impose d’utiliser l'Identité Nationale de Santé (INS) dans tous les logiciels. Les centres d’imagerie médicale mettent en place ce nouvel accompagnement pour les patients.
Fruit de leur partenariat technologique et commercial signé en février dernier, NEHS DIGITAL et TESSI lancent la nouvelle plateforme YSIS. Modulaire et interopérable, elle propose des services numériques innovants pour simplifier, digitaliser et accompagner la transformation numérique de l’hôpital.
À quelques jours du congrès de la Société Française de Médecine d’Urgence, DSIH vous propose un webinaire exceptionnel, dans le cadre des Jeudis du Numérique, le jeudi 27 mai de 11 h à 12 h 15, avec le Dr Arnaud Berthier, urgentiste au CH de Bourg-en-Bresse, le Dr Romain Dewilde, urgentiste au CH Sambre-Avesnois de Maubeuge et le Dr Jean-Christophe Thibaud, radiologue au CH de Béziers.
Au-delà de la crise sanitaire actuelle, notre système de soins connaît de fortes tensions. Ces tensions sont notamment dues à la croissance sans précédent des polypathologies, en particulier chez les populations âgées (+30% de 75 ans+ à horizon 2030), et des maladies chroniques (+92% de diabétiques entre 2000 et 2019). Ces nouveaux parcours de soins impliquent de plus en plus de spécialités et multiplient les interactions entre médecin libéraux et hospitaliers.
L’Agence du numérique en santé (ANS) revisite son animation régionale du déploiement des stratégies MSSanté et DMP, avant les autres services socles.
Au terme d’une procédure de Dialogue Compétitif de 12 mois, le GHT Alliance de Gironde, qui regroupe 10 établissements dont le CHU de Bordeaux son site support, a fait le choix de Maincare pour son futur portail de services numériques.
Le Groupe Dedalus (« Dedalus »), entreprise leader dans le domaine des solutions logicielles pour la santé (HealthTech), est fier d'avoir été reconnu comme « l’éditeur de DPI le plus utilisé en dehors des États-Unis » par KLAS Research, cabinet de recherche qui analyse notamment les logiciels et services utilisés dans le secteur des soins de santé, dans son rapport « Global (Non-US) EMR Market Share 2021 for Vendor Review » (Rapport 2021 sur la part des éditeurs dans le marché mondial des DPI, hors États-Unis). L’étude confirme ainsi la position de Dedalus comme l’une des plus importantes entreprises de son domaine au monde.
Les établissements de santé font face à un grave problème de ransomwares et ce n’est pas près de s’améliorer. Au cours de ces dernières semaines, des attaques par ransomwares ont paralysé des hôpitaux à Villefranche-sur-Saône et à Dax, ce qui a eu pour conséquence le ralentissement, voire l’arrêt du fonctionnement de ces établissements.
La télémédecine représente un puissant outil de l’arsenal thérapeutique moderne, complémentaire à l’exercice en présentiel. La diversité des solutions implique toutefois de s’y former, afin de bien cerner leur périmètre d’utilisation et tirer profit de leur potentiel.
Tessi, acteur de référence sur le marché du BPO et de la transformation digitale, annonce la nomination de Jean-Marie Dunand au poste de Directeur d’activité Santé.
À l’occasion du lancement officiel du Conseil stratégique des industries de santé 2021, l’Association pour la promotion de l’innovation des dispositifs médicaux émet 13 propositions en faveur de la valorisation, de l’accélération, de la diffusion et de la préservation de l’innovation en santé.
Le groupe de travail Comité stratégique de filière des industries et technologies de santé (CSF-ITS) a remis une série de recommandations portant sur l’usage des données en vie réelle dans l’aide à la décision.
Tous les professionnels de santé utilisent des objets connectés, dans leur vie quotidienne comme dans leur vie professionnelle. Qu’ils s’agissent d’outils de communication dans le cadre de la mobilité ou de dispositifs médicaux, fixes mais reliés à l’extérieur, ces objets connectés n’assurent généralement pas un niveau de sécurité suffisant et constituent un risque permanent pour les équipes de cyberdéfense du secteur de la santé.
Alors que l’ensemble des services du Dossier Pharmaceutique (DP) - plébiscité par les praticiens - est désormais accessible en établissement de santé, Carine Wolf-Thal présidente du Conseil national de l’Ordre des pharmaciens et Patrick Rambourg, président du conseil central H de l’ordre des pharmaciens, reviennent sur les évolutions du DP et son rôle clé pour faire face aux défis du numérique en santé.
L'innovation en santé et notamment la e-santé connaissent une activité sans précédent portée par la crise sanitaire et aidée par les actions de l'Etat (Ségur, INS, Hop'en...). Le numérique est un élément clé pour répondre à la demande croissante de soins due à l'augmentation des affectations de longue durée ou les polypathologies. Cette nouvelle ère pourrait malheureusement avoir un impact limité si les difficultés de déploiement pour les hôpitaux et les solutions de e-santé subsistent (il faut entre 6 et 12 mois pour déployer une solution dans un seul hôpital).
Chez les actifs comme chez les seniors, le digital fait désormais partie du quotidien. A l’hôpital, en EHPAD ou en centre de soin, il est un allié de poids pour le divertissement des patients. Avec des services essentiels : la télévision, bien sûr, mais aussi le Wifi, de plus en plus incontournable.
Le principe de Garantie Humaine de l’IA (Human Oversight) est introduit à l’article 14 du projet de règlement sur l’intelligence artificielle diffusé ce jour par la Commission européenne. Ce faisant, l’article 14 donne une portée applicative générale pour l’ensemble des champs et secteurs d’usage de l’IA à ce principe proposé en 2017 par Ethik-IA dans le domaine de la santé et qui n’a cessé, depuis lors, de faire l’objet de reconnaissances de plus en plus larges. Ce principe s’inscrit dans une logique de régulation positive visant à soutenir le développement de l’intelligence artificielle en France et en Europe, dans un cadre permettant d’en réguler les risques éthiques.
Selon une étude publiée en 2020, si 85 % des DSI hospitaliers ont commencé à déployer des Clouds privés, il ne s’agit pour eux que d’une première étape qui les mène vers le déploiement d’un Cloud hybride avec l’objectif de gagner en agilité, de mieux maîtriser les coûts et d’obtenir des ressources plus disponibles pour la conduite du changement et l’accompagnement des professionnels.
Les cyberattaques récentes contre les structures de santé ont mis en évidence des failles de sécurité potentielles dans les systèmes d’information. On a bien sûr évoqué les ransomwares insérés dans des courriels. On parle plus rarement des attaques via les objets connectés, qui se sont pourtant multipliées. Médecins, soignants, RSSI, DSI et même patients, dans des établissements hospitaliers, en ville ou à domicile, tous les acteurs sont concernés par la sécurité des objets connectés.
Si plus personne, ou presque, ne conteste l’apport du numérique dans le monde des établissements de santé, la grande majorité des utilisateurs d’applications métiers rêve d’interfaces ergonomiques, conviviales, « user friendly ». Et si l’IA conversationnelle devenait La solution pour piloter l’ensemble de votre système d’information ?
Les risques qui pèsent sur les systèmes informatiques sont élevés et de nombreuses structures de santé subissent des attaques numériques les mettant en difficulté (blocage des systèmes, vol d’informations, tentative d’escroquerie, saturation du réseau en sont des exemples). Suite aux incidents significatifs recensés début 2021, le Président de la République a lancé un grand plan cyber sécurité doté d’1 milliard d’euros et 350 millions d’euros du Ségur de la Santé sont dédiés à la protection des établissements de soins.
Mais qu’est-ce qui a donc bien pu passer par la tête du ministre Dupont-Moretti ? Partant certainement d’une bonne intention – de celles dont l’enfer est pavé –, soit la volonté de rendre plus compréhensible le fonctionnement de l’institution judiciaire et de redonner confiance aux citoyens, le ministre souhaiterait filmer les procès. Revenons aux basiques du RGPD : consentement des prévenus (c’est la partie la plus facile), droit d’opposition (idem), mais surtout droit de changer d’avis : tiens, au fait, j’avais dit oui, mais en y réfléchissant je ne veux plus, merci d’arrêter de filmer et surtout d’effacer les images. Les avocats pénalistes interrogés dans la presse sont unanimes : ils conseilleront systématiquement à leurs clients de s’opposer aux prises de vues : imaginez l’effet que produiraient, 10 ou 15 années plus tard, les images sur les réseaux sociaux d’un accusé dans un box qui au final aurait été acquitté ? Rien ne se perd ni ne s’efface au xxie siècle. Certes, le premier procès filmé de l’Histoire a été celui du criminel de guerre Klaus Barbie (1987), mais les images ont été captées à des fins historiques et nullement destinées à être diffusées immédiatement puisque l’INA devait les conserver au secret pendant 20 ans[1].
Face aux défis de la transformation de l’offre de soins hospitalière, les DSIs doivent composer avec un héritage applicatif complexe tout en accélérant l’innovation. La pandémie actuelle a approfondi les tendances de la télémédecine, de l’intégration des acteurs du soin, du besoin de services numériques orientés patient mais aussi de l’inclusion de l’IA et de la génomique dans l’aide au diagnostic. A moyens humains et financiers constants, leur mise en œuvre n’est possible qu’avec des infrastructures Cloud. Rendez-vous le jeudi 22 avril, de 11h à 12h pour ce séminaire exceptionnel animé par Aïssa Khelifa et Xavier Vallin, de DSIH Conseil.
Le Conseil national de l’investissement en santé a été installé le mercredi 7 avril 2021. Il est chargé de l’instruction et de la validation des projets au-delà de 150 millions d’euros dans le cadre de la nouvelle doctrine d’investissement en santé définie par le Ségur de la santé de l’été dernier.
Début avril, le think tank Orphan Organisation 7 a publié un rapport sur le manque d’attractivité française dans l’innovation contre les maladies rares. Il y propose un modèle économique alternatif.
Le Groupe Dedalus, éditeur international leader dans le secteur des logiciels de santé et de diagnostic, annonce ce jour la finalisation de l’acquisition de la branche de DXC Technology (NYSE : DXC) dédiée aux technologies de l'information pour la santé. Cette acquisition permettra de développer son empreinte mondiale dans les domaines de l’informatique clinique, des systèmes d’information hospitaliers (SIH), des soins primaires et sociaux, des soins intégrés et du diagnostic. La transaction avait été annoncée en juillet 2020.
Le programme ESMS numérique vise à généraliser l’utilisation du numérique dans les établissements et services médico-sociaux (1). Calendrier, critères de sélection, financement… : trouver des ressources simples et claires pour comprendre la mécanique générale du programme est assez facile. Mais une fois ce premier niveau d’information intégré, les « vraies » questions se posent. Didier Alain, consultant expert de WELIOM, revient sur un des éléments-clés du programme : la mutualisation des projets de DUI.
C’est le grain de tout système d’information : la donnée est élémentaire, indivisible, évolutive, modifiable, structurée ou non, mais dans tous les cas elle contribue à construire des documents, de l’information. Son intégrité, sa conservation, sa traçabilité, sa destruction… sont au cœur du webinaire interactif proposé le 8 avril.
Planet Tech’Care, plateforme animée par le programme « Numérique Responsable » de Syntec Numérique, permet de mettre en relation des entreprises et des acteurs de la formation qui souhaitent se mobiliser pour réduire l’empreinte environnementale du numérique avec un réseau de partenaires, experts du numérique et de l’environnement. Engagé dans une démarche environnementale plus vertueuse, WELIOM, acteur principal de la transformation numérique des établissements de santé, est signataire de Planet Tech’Care depuis février dernier. Entretien avec Capucine Besnouin, Responsable RH au sein WELIOM.
Dax, Trévoux, ou encore l’AP-HP, on ne compte plus le nombre de cyberattaques visant les hôpitaux et établissements de santé ces derniers mois. Les conséquences de ces cyberattaques dépassent largement le monde numérique dans ces milieux hospitaliers, qui voient leur service tourner au ralenti et dont les retombées pourraient être fatales.
Cela fait plusieurs années que nous entendons parler, même si c’était jusqu’à présent, du bout des lèvres, de l’arrivée de cette fameuse certification SIH qui pourrait permettre aux établissements de santé de se dispenser de sortir la planche à billets pour se payer une certification HDS afin d’héberger les données de santé d’un autre établissement membre du même GHT.
Le 15 mars, l’ANS a démarré une nouvelle concertation publique sur l’interopérabilité, cette fois sur le volet « Traçabilité d’événements ».
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