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Le 5 janvier, Livi et la Société française de santé digitale ont présenté leur livre blanc « De la télémédecine au soin digital, une transition des pratiques vue par les médecins » qui tire cinq enseignements des entretiens menés avec des sociétés savantes et délivre neuf recommandations pour le développement du soin digital.
Quel bilan pour la santé numérique en 2020 ? Quelles perspectives pour 2021 ? Un webinaire exceptionnel avec Dominique PON, Responsable Ministériel au Numérique en Santé.
Fondée par des ingénieurs et des médecins, Maela, acteur de la e-santé et référent de la télésurveillance médicale, vient de conclure une levée de fonds de plus de 2 millions d’euros.
Le niveau de confidentialité de la prescription de statines de ma grand-mère de 93 ans doit-il être le même que celui du compte rendu opératoire de la tumeur cérébrale de mon oncle de 52 ans ? Cette interrogation relève-t-elle du domaine éthique, philosophique juridique ? Le sujet est important car, à ce jour, rien ne les différencie. Les données de santé à caractère personnel des Français sont classées ultrasensibles, sans aucune hiérarchie. Ainsi, un Ehpad est soumis à la même réglementation qu’un centre hospitalo-universitaire, dont principalement le règlement général sur la protection des données (dit RGPD), qui oblige le responsable de traitement, c’est-à-dire le directeur ou la directrice, à mettre en œuvre toutes les mesures de sécurité requises adaptées à la sensibilité du traitement.
Dedalus, leader européen dans l’édition et l’intégration de solutions numériques pour le monde de la santé, signe un accord industriel avec PetalMD, éditeur canadien de solutions innovantes dans le domaine de la planification et du pilotage de l’offre de soins, pour aider les établissements de santé à optimiser leur efficacité et à faciliter l’accès aux soins.
Le 23 décembre, Éric Bothorel, député des Côtes-d’Armor, a remis au Premier ministre son rapport sur la politique publique de la donnée, des algorithmes et des codes sources.
L’année 2020 a été inédite en termes de mise en œuvre de la feuille de route « Accélérer le virage numérique », lancée en 2019. La crise sanitaire n’a pas ralenti son déploiement, au contraire, d’après un bilan publié par l’ANS en cette fin décembre. Focus sur les projets Covid et sur la dynamique européenne.
L’Association française des ingénieurs biomédicaux a présenté ses recommandations pour améliorer la sécurité numérique des équipements biomédicaux lors d’un webinaire le 15 décembre dernier.
L’Agence du numérique en santé vient de communiquer les premiers résultats de l’outil Convergence pour les industriels et les régions. Ils mettent en avant le niveau de maturité des acteurs régionaux ainsi que les difficultés rencontrées, notamment dans le cadre du DMP.
En novembre et en décembre, l’ANS a proposé une nouvelle session d’une dizaine de webinaires à destination des professionnels de santé. Deux séances de la dernière semaine étaient consacrées à l’interopérabilité.
Chaque année, un tiers des événements indésirables graves est imputable au médicament. La réponse : le dispositif MEDISIS, porté par le Centre Hospitalier de Lunéville avec le soutien de l’ARS(1) Grand Est et des URPS(2) des médecins libéraux et pharmaciens du Grand Est. Il assure la sécurité de la prise en charge médicamenteuse des séniors. Expérimenté sur le territoire lunévillois, le projet vient d’obtenir un avis favorable du Comité technique de l’innovation en santé pour une expérimentation dans le cadre de l’Article 51(3) ; elle se conduira dans la région durant deux ans et demi. Partenaire de MEDISIS, Pulsy met à disposition son service de télémédecine Odys® pour assurer le suivi des patients à domicile.
Premier acteur public du numérique en santé, MiPih est le leader en informatique hospitalière. Fort de la confiance numérique instaurée avec ses 625 adhérents, MiPih met à disposition des décideurs publics et de l'ensemble des acteurs de santé, une offre de dématérialisation, de signature électronique, d'archivage électronique et de coffre-fort numérique, avec un accompagnement sur mesure.
La feuille de route du numérique en santé prévoit la tenue de plusieurs groupes de travail au sein du Conseil du numérique en santé. Le groupe « Structuration de la filière Santé numérique » a publié le 4 décembre son rapport d’étape.
Le Congrès de la SFSD s’est déroulé début décembre. Quatre jours de congrès 100 % digital et en réalité virtuelle, sans doute à l’inverse de ce que doit être la santé de demain. Il s’est terminé le vendredi 4 décembre avec une session sur la place de la télémédecine dans la santé de demain
Calendrier du programme, impacts sur les DSI hospitalières et les éditeurs, choix du DUI, AMOA : entretien à 360° avec Myriam Danyach-Deschamps, directrice du programme ESMS numérique à la Direction des établissements et services médico-sociaux – Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA).
Un webinaire de 60 minutes animé par Xavier Vallin, Expert Système d’Information DSIH Conseil, le 17 décembre 2020 de 10h30 à 11h30 sur www.dsih.fr. Avec les retours d'expériences de Francis Breuille et Paul Milon, associés à la vision juridique de Maître Omar Yahia, qui répondront à vos questions…
Fort de ses 15 années d’expérience dans le domaine de la dictée numérique et de la reconnaissance vocale, Zenidoc franchit un cap en annonçant son propre moteur de reconnaissance vocale 100 % français, ZenReco, développé en collaboration avec le Laboratoire informatique d’Avignon.
Syntec Numérique et KPMG France viennent de publier le rapport préliminaire de l’étude Grand Angle ESN & ICT qui propose un premier éclairage sur les impacts directs de la crise liée à la Covid-19 (1). Le classement 2020 des ESN & ICT, par volume de chiffre d’affaires, est également présenté en avant-première. Entretien avec Pierre-Yves André, PDG de WELIOM, cabinet de conseil et de services nantais dédié au secteur de la santé, qui fait une entrée remarquée dans l’édition 2020 de ce classement.
Pour faire face aux changements juridiques, aux demandes des consommateurs et à d'autres facteurs, le secteur de la santé parie, lui aussi, sur la transformation numérique, et de nombreux organismes de santé envisagent d'investir dans des infrastructures informatiques pour soutenir les nouvelles technologies.
1,4 milliard d’euros, c’est la somme prévue lors du Ségur de la santé pour assurer le rattrapage du retard du numérique en santé. Cette annonce conforte la stratégie de Philips qui a anticipé le virage numérique depuis plusieurs années. Entretien avec Pascal Dussert, directeur marketing et vente de la division Connected Care chez Philips, et Antonin Marcault, directeur de l’activité informatique de santé chez Philips.
L’expérience patient est un enjeu essentiel pour les établissements de santé, soucieux de construire une relation hôpital-patient durable. Des services et solutions numériques existent pour améliorer la qualité de la prise en charge médicale et la coordination du parcours de santé.
« La crise a mis en lumière le fort intérêt du levier numérique pour les situations sanitaires contraintes. » C’est le constat dressé, huit mois après le début de la crise sanitaire, par le GIP ESEA, opérateur préférentiel de l’Agence Régionale de Santé (ARS) de Nouvelle-Aquitaine. Au-delà de, de la nécessaire continuité de service pour ses 50 000 utilisateurs habituels, l’enjeu a été d’accompagner et de rendre rapidement opérationnels de nouveaux utilisateurs intéressés par des usages spécifiques à la gestion de la pandémie.
Depuis 5 ans, Lifen facilite la coordination médicale et l’accès aux données pour l’ensemble des soignants. Aujourd’hui, nous voulons aller plus loin en aidant les professionnels de santé à soigner mieux en soignant ensemble. Pour concrétiser cette promesse, nous lançons aujourd’hui le projet Soigner Ensemble qui doit offrir à tous les soignants une prise en main rapide des solutions de e-santé pertinentes pour leurs pratiques, tout en les rendant interopérables avec leurs outils actuels.
Les couloirs de cet immeuble moderne proche de la gare Montparnasse bruissent d’une agitation inhabituelle. On voit plusieurs personnes courir d’un bureau à l’autre. Entre les mains des protagonistes circule un document, témoin passant entre les coureurs d’une équipe de relais. Le document finit sa course sur le bureau de la patronne qui y jette une dernière fois un regard aiguisé.
La mobilité fait progressivement son entrée dans le monde de la santé. Afin d’aider les établissements à assurer la transition vers de nouveaux usages, Dedalus a élargi son offre avec l’initiative Mobilité.
La doctrine technique du numérique en santé est remise en concertation jusqu’au 10 janvier 2021. La première version, publiée en octobre dernier, avait donné lieu à une première concertation (1) fin 2019 compilant plus de 250 contributions.
À partir du 1er janvier 2021, les données de santé devront être référencées avec l’identité INS. Elles seront accessibles aux seuls acteurs de la santé et du médico-social via le téléservice INSi. Le GIE Sesam-Vitale annonce qu’à la mi-novembre 34 éditeurs de logiciels ont d’ores et déjà obtenu leur autorisation INSi.
Avec cette opération, VIDAL Group renforce la position de WEDA, éditeur logiciel de dossiers patients en ligne à destination des professionnels de santé libéraux. Elle permettra à ses clients de bénéficier d’un service de gestion numérique des consultations échographiques s’adressant notamment aux gynécologues, aux sages-femmes et aux cardiologues.
Fort de neuf établissements médicaux chirurgicaux, de trois maternités et d’un établissement de Soins de Suite et de Réadaptation, le groupe mutualiste HOSPI GRAND OUEST propose aux populations de Bretagne et Pays de la Loire une offre de soins diversifiée dans une logique de proximité.
Dedalus France, après l’acquisition de Medasys puis d’Agfa HealthCare IT, poursuit le déploiement de sa stratégie D4 qui devient D4U, pour prendre en considération le module Full Web Orbis U. Comment cette stratégie D4U répond-elle aux enjeux de convergence, au programme Ma santé 2022 et au Ségur de la santé ? Entretien avec Frédéric Vaillant, CEO de Dedalus France.
Le directeur de l’Anssi alerte régulièrement les pouvoirs publics sur l’état grandissant de la menace cyber et, la semaine dernière, le Cigref adressait dans un courrier[1] au Premier Ministre son inquiétude sur l’industrialisation de la cybercriminalité et la faible réponse étatique.
Réalisée après la première vague de Covid 19, l’enquête d’opinion nationale « Les Français et le virage numérique en santé » dresse le bilan des perceptions et attentes des Français.
Les 22, 23 et 24 juin 2021, l’APSSIS organisera son 9ème Congrès National de la SSI Santé. 160 participants sont attendus à l’espace culturel des Quinconces du Mans pour 3 jours de conférences, de débats et d’échanges.
L’attention portée à l’utilisation des données de santé à caractère personnel n’est pas nouvelle en France. La loi du 4 mars 2002, relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé, posait déjà un principe fort de protection de ces données. Près de 20 ans après, et malgré l’entrée en application récente du règlement général sur la protection des données de santé, les atteintes à la règle restent légion. Un constat qui a conduit à la publication d’un livre blanc par Doshas Consulting, cabinet de conseil indépendant spécialisé dans la transformation numérique de la santé.
Depuis le début de la crise sanitaire, l’ARS Île-de-France a missionné SESAN pour apporter un soutien numérique à l’ensemble des structures, professionnels de ville et acteurs du médico-social franciliens autour de cinq axes :
La solution logicielle Medsphère, dédiée à la Gestion Administrative des Patients (GAP), a obtenu l'autorisation pour l’intégration du téléservice INSi v2.0 suite à l'examen du CNDA réalisé fin octobre 2020.
La question de savoir si l’établissement support d’un GHT doit – ou non – détenir l’agrément HDS pour héberger les données médicales des établissements périphériques occupe les esprits depuis maintenant 3 ans.
Dans le cadre de la crise sanitaire, les tensions d’approvisionnement nécessitent un suivi hebdomadaire des stocks des pharmacies hospitalières. L’Atih a développé e-Dispostock, un nouvel outil de suivi en remplacement de MaPUI.
Dans le cadre de la structuration des GHT, les établissements supports ont porté la réalisation de schémas directeurs de convergence des SI lancés en 2017 et 2018. Ces travaux ont été accomplis sur la base de projets médicaux et de soins partagés réalisés dans des délais contraints, avec une projection initiale souvent théorique des fonctionnements coopératifs et des besoins métiers. Ces SDSI devaient aussi s’atteler à la mise en place d’une gouvernance commune des systèmes d’information, sous la forme d’une commission stratégique du système d’information (CSSI), nommée par le comité stratégique du GHT. Dans les faits, si cet organe de gouvernance en charge du pilotage du SDSI n’est pas toujours opérationnel, il est pourtant essentiel en tant que maîtrise d’ouvrage déléguée et reconnue, dotée de pouvoirs et au service d’un « collectif » donneur d’ordres.
Quelques jours après la parution des derniers référentiels d’Identitovigilance et guides d’implémentation par l’Agence du Numérique en Santé (ANS), Maincare Solutions a obtenu le 2 novembre dernier l’autorisation Identifiant National de Santé intégré (INSi) 02.00 pour son logiciel de gestion administrative du patient M-GAM (v 8.2.5R7.0).
Pulsy, groupement régional d’appui au développement de la e-santé, vient d’obtenir la certification d’hébergeur de données de santé (HDS), attestant de la sécurité, la performance et la fiabilité de ses services. Fruit d’un travail collectif de 18 mois, l’obtention de cette certification confirme la position de Pulsy comme tiers de confiance numérique dans le Grand Est.
En préambule du webinaire qui se tiendra le 19 novembre de 10 h 30 à 11 h 30 sur www.dsih.fr., Aïssa Khelifa, animateur expert pour DSIH, esquissera le tableau de la digitalisation du parcours patient autour de cinq axes : les enjeux techniques, fonctionnels, organisationnels, juridiques et économiques. Autant de questions qui intéressent directement les acteurs hospitaliers, qu’ils soient administratifs, techniques ou soignants, et que nous pourrons aborder le 19 novembre prochain dans le cadre des webinaires des Jeudis du numérique, organisés par DSIH.
La cérémonie du Prix Unicancer de l’innovation s’est déroulée en version digitale le 3 novembre 2020 lors de la Convention nationale des Centres de lutte contre le cancer (CLCC). Seul prix exclusivement consacré à l’innovation en cancérologie en France, il vise depuis sa création en 2014 à encourager et à faire connaître les travaux d’excellence réalisés dans les CLCC, dans de nombreux domaines. Cette année, compte tenu du contexte sanitaire et de la forte mobilisation des équipes dans cette situation particulière, la sixième édition a privilégié une seule et même catégorie résolument tournée vers l’avenir : l’Intelligence Artificielle et les Data Sciences.
Depuis 2011, l’ensemble des sites du centre hospitalier des Quatre Villes (CH4V), établissement support du groupement hospitalier de territoire des Hauts-de-Seine (92), bénéficie du dossier patient informatisé Orbis de Dedalus. C’est ce DPI multi-entités juridiques qui a été retenu pour assurer la convergence du système d’information du GHT.
Le 26 octobre, la FNEHAD a annoncé la sortie du Livre blanc de l’e-santé en HAD, élaboré en partenariat avec la Société française de santé digitale (SFSD). Il ambitionne de placer l’hospitalisation à domicile à l’avant-garde du numérique en santé.
Dans un contexte de transformation organisationnelle majeure, le SIB - acteur public du numérique au service de la santé et des collectivités - a validé la mise en place de son nouveau conseil d’administration et procédé à l’élection de son nouveau président Saber Aloui.
Une étude démontre qu’une intelligence artificielle peut extraire d’images de scanner des informations cliniques et biologiques qui permettent d’établir la sévérité de la maladie et le pronostic de patients atteints de la Covid-19. Des médecins et chercheurs de Gustave Roussy, de l'Assistance Publique-Hôpitaux de Paris, de CentraleSupélec, de l’Université de Paris, de l’Université Paris-Saclay, de l’Inserm, de l’Inria et de TheraPanacea ont établi une signature numérique de biomarqueurs prédictifs de l’évolution de la Covid-19. En identifiant les patients qui risquent de développer des formes graves et de nécessiter l’assistance d’une ventilation, cette IA pourrait aider les hôpitaux à prioriser la prise en charge des malades en fonction de leur urgence vitale. Ces résultats ont été publiés dans la revue Medical Image Analysis.
L’Agence du numérique en santé a lancé dès fin 2019 un baromètre Télémédecine. Le 22 octobre, elle a présenté la deuxième vague de restitution de son baromètre, qui décrit le recours à la télémédecine lors de la crise sanitaire et du confinement.
C’est autour des parcours de soins coordonnés que gravitent une grande partie des enjeux du SI de Santé dans les années à venir. Comment cette orientation majeure va-t-elle impacter la stratégie des directions des services numériques ? Où vont-elles devoir positionner leurs efforts ?
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