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Corinne Roldo est directrice adjointe au département Stratégie, Innovation et Territoires du CHRU de Nancy. Elle occupe également la fonction de référente Télémédecine de l’hôpital en binôme avec le Pr Mathias Poussel, vice-président de la CME du CHRU et président de la CMG du GHT Sud Lorraine. Elle revient pour nous sur la stratégie de télémédecine mise en place au CHRU de Nancy, et plus particulièrement sur le choix d’implémenter Omnidoc comme solution de téléexpertise.
Le 21 avril 2023, la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie a présenté un bilan du programme ESMS numérique destiné à généraliser l’utilisation du numérique dans les établissements et services sociaux et médico-sociaux.
Le 14 mars dernier, WELIOM assistait aux Journées nationales du numérique à l’hôpital, l’occasion de débattre du bilan du programme HOP’EN et du nouveau volet SUN-ES, en compagnie de l’ANS, de la DGOS, de l’ANAP et d’autres acteurs opérationnels.
Aujourd’hui, les GPU ou cartes graphiques jouent un rôle central dans le domaine de l’Intelligence artificielle avec la puissance de calculs que nécessitent ces nouvelles technologies. Hôpitaux, CHU, Universités scientifiques… Découvrez comment développer l’IA au sein de vos établissements avec vos ressources GPUs, et leur rôle prépondérant dans l’intégration de ces nouvelles technologies.
Quand le brillant RSSI et DPO Cédric Cartau et moi-même décrochons notre téléphone en pleine journée pour nous appeler, c’est qu’un « serpent de mer » technico-juridique nous travaille. Le dernier en date : les droits d’habilitation au Dossier Patient Informatisé (DPI), et ce, dans le contexte d’un article de presse[1] annonçant les mesures prises par l’APHP « la mise en œuvre d’un système de surveillance du mode « bris de glace » afin de contrôler et d’identifier les accès illégitimes ». Dans un premier volet, la vision technique et opérationnelle a donc été présentée[2]. Ce deuxième volet vise à présenter le cadre juridique. Que disent les textes ?
Lors du 7e Comité de suivi, le mercredi 5 avril, le calendrier réglementaire du Ségur numérique a été précisé. Les industriels ont jusqu’au 20 septembre pour finaliser les prestations de mises à jour logicielles et jusqu’au 31 octobre pour achever les prestations de transcodage. Par ailleurs, ils peuvent déposer leurs dossiers complets de demande de solde jusqu’au 14 décembre.
Un arrêté du 28 mars, publié au Journal officiel du 6 avril 2023, précise le calendrier du programme de financement destiné à encourager l’équipement numérique des établissements et services sociaux ou médico-sociaux, et plus précisément le déploiement du dossier usager informatisé dans le domaine de la protection de l’enfance.
Le ministère de la santé et de la prévention, le syndicat national de l’industrie des technologies médicales (Snitem), France Digitale et France Biotech ont signé un protocole d’accord instaurant la création d’un comité de suivi relatif à la mise en œuvre de l’entrée dans le droit commun de la télésurveillance et de son déploiement sur le territoire.
A l’occasion de la journée du SIST (Chambre Professionnelle des Services Intégrés du Secrétariat et des Téléservices), Cegedim Santé, filiale de Cegedim proposant un écosystème de solutions interopérables aux professionnels de santé médicaux et paramédicaux, et Callibri, leader sur le marché des logiciels appliqués aux télésecrétariats, annoncent la signature d’un partenariat stratégique.
Le SEGUR Numérique s’annonce tout aussi intense en 2023 qu’il l’a été en 2022. La Vague 2 se profile à l’horizon avec l’ambition de poursuivre la généralisation du partage fluide et sécurisé des données de santé entre les Professionnels de Santé et avec les Usagers. S’il est encore un peu tôt pour se faire une idée précise des futures cibles d’usages qui seront à atteindre, du côté du SONS en revanche, les tendances de ce qui va être au programme des éditeurs s’affirment.
Le 31 mars 2023, le Journal officiel a publié un décret sur la prise en charge anticipée des dispositifs médicaux numériques à visée thérapeutique et des activités de télésurveillance médicale par l’Assurance maladie.
Notre écosystème est toujours très masculin, nos événements accueillent plus de 80% d’hommes et les récentes études réalisées sur la présence des filles dans les filières scientifiques et informatiques ne montrent aucune amélioration. Pourquoi la mixité semble si difficile à atteindre dans le numérique et encore plus dans la cyber ?
A l’occasion d’un événement organisé par le ministère de la Santé et de la Prévention et le Health Data Hub ce jour, Sylvie Retailleau, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, François Braun, ministre de la Santé et de la Prévention, Roland Lescure, ministre en charge de l’industrie et Jean-Noël Barrot, ministre en charge de la Transition numérique et des Télécommunications, avec Bruno Bonnell, secrétaire général pour l’investissement, en charge de France 2030, et Lise Alter, directrice de l’agence d’innovation en santé, annoncent les six premiers lauréats sélectionnés dans le cadre de la première vague de l'appel à projets « Accompagnement et soutien à la constitution d'entrepôts de données de santé hospitaliers » de France 2030.
Owkin, biotech spécialisée dans l’IA appliquée à la recherche médicale, annonce aujourd’hui le lancement officiel de PortrAIt. Consortium français financé par France 2030 et opéré pour le compte de l’Etat par Bpifrance, par l’Union européenne - Next Generation EU, dans le cadre du plan France Relance, et en collaboration avec Gustave Roussy et Unicancer, PortrAlt a pour objectif de faire de l’Hexagone un leader mondial dans l’utilisation de l’IA appliquée à la pathologie numérique, au cours des 5 prochaines années.
Le Digital Medical Hub et la French Tech lancent HiiT, le premier programme d’accompagnement gratuit pour 23 jeunes pousses sélectionnées parmi 70 dossiers présentés par des start-up d’innovation en santé numérique. Il se déroulera du 3 au 7 avril prochains.
Le think tank Innovation Days s’est rendu, le 23 mars, à l’Élysée pour présenter au conseiller technique Industrie, Recherche et Innovation ses propositions d’amélioration d’ici à dix ans de l’offre de soins au bénéfice de tous les patients et des soignants.
Une étude de Xerfi sur le marché de l’e-santé en France développe les stratégies des acteurs et les perspectives pour 2025.
Depuis quelques jours, je vois beaucoup d’engouement sur les réseaux sociaux autour du blocage des scanners qui, comme le très connu Shodan ou son challengeur français Onyphe [1], référencent les ports, services, applications et vulnérabilités qui les affectent de toutes les machines exposées sur Internet.
Emmanuel Mougeotte, Directeur Général France de Dedalus, leader européen des logiciels en santé, a inauguré jeudi 16 mars, le nouveau siège social de l’entreprise en France, à Artigues-près-Bordeaux. Alain Garnier, maire d’Artigues et vice-président de Bordeaux Métropole, Stéphane Delpeyrat, vice-président du développement économique et de l’emploi - Enseignement supérieur et Recherche de Bordeaux Métropole et Alain Rousset, président de la Région Nouvelle-Aquitaine ont fait l’honneur de leur présence ainsi que Françoise Jeanson, Vice-présidente santé silver économie du Conseil régional de Nouvelle Aquitaine, entourés de nombreux acteurs locaux clés et de près de 200 collaborateurs de Dedalus. A cette occasion, le numérique en santé a été mis à l’honneur à travers les activités phare de l’agence bordelaise qui abrite un important département de Recherche et Développement et place l’innovation au coeur de son activité. Mais l’implantation de Dedalus France en Nouvelle-Aquitaine ne date pas d’hier. En effet, le nouveau siège social regroupe les activités d’ex Web100T (initialement basé à Mérignac) racheté en 2019 et d’ex Agfa HealthCare, racheté par le groupe en 2020. Le groupe poursuit ainsi son intégration et sa croissance sur le territoire.
L’agence du numérique en santé (ANS) a organisé les 14 et 15 mars à Paris ses troisièmes Journées nationales du numérique à l’hôpital. Elles ont été l’occasion de présenter le chemin parcouru par les programmes HOP’EN et SUN-ES dédiés à la transformation numérique et la modernisation des établissements de santé.
Gustave Roussy et sa filiale de valorisation, Gustave Roussy Transfert, annoncent la création de la start-up Orakl, dont l’objectif est de valoriser une collection d’avatars de tumeurs, combinant à la fois leur biologie et leurs données cliniques, pour nourrir l’arsenal thérapeutique contre le cancer. En partenariat avec différents acteurs en oncologie, Orakl transformera les stratégies d’identification de cibles thérapeutiques et de validation des candidats médicaments.
Le 7 mars, l’Agence du numérique en santé a annoncé le référencement de deux nouveaux services sur Mon espace Santé. Le catalogue comprend désormais 20 services dans le champ de la santé et du bien-être.
Le Green Data for Health, plateforme référençant des données environnementales, et le Health Data Hub, plateforme hébergeant des données de santé, ont annoncé aujourd’hui les quatre projets lauréats de l’appel à projets qui seront accompagnés humainement et financièrement sur 18 mois minimum. Cette annonce a eu lieu dans le cadre de la 2e édition de la Communauté de la donnée en santé-environnement. Cette journée, visant à fédérer et animer une communauté de la donnée au service des enjeux de recherche en santé environnement, s’inscrit dans le cadre du quatrième Plan national santé environnement.
Les solutions réseau d’HPE Aruba Networking pour les établissements de santé tirent parti de la technologie SD-WAN. Elle simplifie la gestion des sites distants et optimise les communications entre eux, en utilisant des technologies logicielles pour diriger le trafic de manière dynamique. Avec à la clef, plus de résilience, de flexibilité et d’économies.
Lors d’une journée d’échanges organisée le vendredi 3 mars à Lille, le réseau national France Biotech est venu à la rencontre des acteurs de l’innovation santé des Hauts-de-France. Dans le contexte favorable du Plan Innovation Santé France 2030, créer des ponts et des synergies entre parties prenantes, quelles soient publiques ou privées (structures de recherche, établissements de soins, structures de formation, entrepreneurs,…) est essentiel. Cette journée a été l’occasion de partager les résultats du Panorama national de la Healthtech réalisé par France Biotech et de souligner les atouts de l’écosystème des Hauts-de-France ainsi que la force de son collectif, comme l’illustre la candidature lilloise à l’AMI Biocluster, porté par plus de 120 structures du territoire.
Après 2 ans d’une présidence dynamique et engagée, Vincent Charroin, Directeur des Achats aux Hospices Civils de Lyon, cède sa place à Nicolas Funel, Directeur Adjoint au Centre Hospitalier de Toulon en charge de la direction des achats du GHT du Var.
Mi-février, la CNSA a annoncé l’ouverture d’appels à projets régionaux et nationaux pour sélectionner de nouveaux établissements et services sociaux et médico-sociaux partenaires du programme ESMS numérique. En 2023, 84 millions d’euros sont ainsi dédiés au programme ESMS numérique.
Dans un monde où les inégalités face à l’accès aux soins perdurent, où le problème des déserts médicaux n’est toujours pas résolu et où le eHealthwashing se développe, les innovations numériques sont appelées à prendre de plus en plus de place au sein de nos systèmes de santé. Soucieux de faire émerger et de soutenir, dans ce domaine, les entrepreneurs et leurs projets innovants, les trophées de la e-santé de l’Université de la e-santé de Castres-Mazamet sont le rendez-vous à ne pas manquer !
En 1981, l’ordinateur personnel fait irruption dans les foyers. 2 décennies plus tard, 386 millions d’ordinateurs sont connectés. Aujourd’hui, on compte environ 5 milliards d’internautes. PC, smartphones, objets connectés, applications…, utilisés dans un cadre personnel ou professionnel, nous accompagnent quotidiennement. Mais le numérique n’est pas une « industrie immatérielle ». Et nous, utilisateurs, avons découvert, parfois circonspects, que l’envoi d’un mail génère 4g de CO2 ou encore que, à l’échelle mondiale, les data centers sont à l’origine de 2 % des émissions de gaz à effet de serre, atteignant le même niveau que le transport aérien (1). Se pose alors légitimement la question du coût environnemental du numérique et de l’intérêt collectif d’une démarche numérique responsable. Entretien avec Jean-Pascal MINNI, Consultant WELIOM.
Alors que l’espace européen des données de santé est encore à ses balbutiements, le règlement sur la gouvernance des données, (en anglais data governance act – DGA), première pierre de l’arsenal juridique européen visant à instaurer le marché unique de la donnée, entrera en application le 24 septembre prochain. Applicable tout secteur confondu, ce règlement trouve un écho particulier dans le secteur de la santé. Preuve en est, le cas des services d’intermédiation.
Les dispositifs médicaux font partie intégrante de la prise en charge médicale, ceux qui intègrent une fonction numérique peuvent générer un grand nombre de données de vie réelle et ouvrent la voie à une médecine plus personnalisée. Ces données permettent, par exemple, de renforcer le suivi entre deux consultations, de contribuer à l’accompagnement thérapeutique, d’anticiper des complications, ou d’améliorer la coordination des professionnels de santé.
Le 20 février 2023, dans le cadre du Ségur du numérique en santé, l’ANS a annoncé que 95 % des officines sont éligibles à la prise en charge par l’État après le référencement de la majorité des logiciels de gestion d’officine.
Fin janvier, l’Anap a présenté son COP 2022-2026, comprenant notamment la simplification et l’amplification des outils d’accompagnement.
L’Agence du Numérique en Santé (ANS) a publié le 21 février la nouvelle version de la doctrine du numérique en santé. Ce document, qui fournit le cadre de référence dans lequel les services numériques d’échange et de partage de données de santé devront s'inscrire dans les années à venir, comprend deux nouveaux chapitres sur SAS et Via Trajectoire.
Villefranche-sur-Saône, Dax, Oloron-Sainte-Marie, Albertville, Arles, Castelluccio, Saint-Dizier, Vitry-le-François, Mâcon, Paris, Corbeil-Essonnes, Versailles… Et ceci n’est qu’une courte liste des différents établissements de santé publics et privés visés par des cyberattaques ces dernières années. En pleine ouverture et mutation numérique, le secteur hospitalier a dû faire face à de multiples vagues successives de cyberattaques bloquant tout ou partie de leur activité et forçant certains à revenir à l’ère du crayon à papier. Aider les établissements de santé à maitriser le risque cyber nécessite toutefois d’adopter une approche résolument proactive en prenant en compte les contraintes propres au secteur. La protection du réseau – et les technologies adaptées – sont indispensables pour prémunir les structures concernées.
Le 16 février 2023, le collectif Télésurveillance médicale créé par le Catel a publié des recommandations pour favoriser un déploiement d’usages efficace, au service des patients.
Au 1er mars 2023, deux catégories de dispositifs médicaux innovants seront radiées du Titre V de la LPPR1, les cathéters de thrombo-aspiration (AVC) et les guides FFR (maladie coronarienne). Cette décision prise par les autorités sans aucune concertation préalable impactera fortement les établissements de santé qui, faute de financement dédié, risquent de renoncer à acheter ces produits. Elle entrainera un accès restreint et inégal à ces technologies sur le territoire, une dégradation de la prise en charge des patients victimes d’AVC et de maladies coronariennes, conduisant à une réelle perte de chance pour ces patients.
Pour assurer la chaîne complète de prise en compte des patients en cas de crises d’ampleur, qu’elles soient locales, régionales ou nationales, le Portail SI-Samu (outil collaboratif des professionnels de l’urgence et de prise en charge médicale des patients lors d’évènements majeurs), SI-VIC (solution d’identification et de suivi des victimes d’attentats ou de situations sanitaires exceptionnelles) et SINUS (système d’information pour le dénombrement des victimes du ministère de l’intérieur) sont aujourd’hui interfacés. Avec cette interconnexion, tous les acteurs de la crise (établissements de santé, Samu, pompiers, médecins, Agences régionales de santé, ministères) partagent leurs informations en temps réel pour une gestion plus rapide, coordonnée et efficace des situations de crise.
Le programme ESMS Numérique est promu dans l’action 21 de la feuille de route « Accélérer le virage numérique ». Ce programme repose principalement sur le déploiement d’un Dossier de l’Usager Informatisé (DUI). Toutefois, l’expérience sur le terrain du cabinet de conseil, WELIOM, tend à prouver que, sans préparation, le déploiement d’un DUI est à risque. Et ce, d’autant plus que le nombre de structures est grand, que le champ d’activité est varié et que la maturité digitale est faible. Comprendre son environnement numérique, répondre aux interrogations, voire aux appréhensions des utilisateurs, susciter l’envie et s’approprier les usages des services socles… sont autant de prérequis à maitriser. Avec Nathalie Bessis-Levy, Consultante WELIOM
Les attaquants derrière le cheval de Troie Qbot (aussi connu sous le nom de Quakbot) utilisent depuis longtemps des fichiers Word ou Excel avec des macros servant à télécharger et exécuter la charge malveillante.
Le 7 février, l’ANS a annoncé l’ajout de nouvelles fonctionnalités dans son espace authentifié pour simplifier les démarches des entreprises du numérique en santé.
Depuis janvier 2022, l’espace numérique de santé « Mon Espace Santé » a remplacé ce que l’on appelait avant DMP (ou dossier médical partagé). Destiné à simplifier autant le parcours santé des usagers que leurs échanges avec les professionnels de santé, la finalité est surtout d’optimiser la prise en charge en permettant le stockage des données dans un seul et unique espace. C’est dans ce contexte que la gestion de la donnée de santé évolue de plus en plus vite et se digitalise. En 2021, c’est l’application « Appli carte Vitale » - qui a été testée dans plusieurs départements - avait pour objectif une généralisation dans tout l’hexagone d’ici la fin 2023.
Theranexus, Inria, l'Université Claude Bernard Lyon 1 et les Hospices Civils de Lyon annoncent aujourd’hui la création d’une nouvelle équipe-projet de recherche publique/privée, AIstroSight. Cette équipe-projet a pour objectifs de développer des méthodes numériques innovantes pour la recherche de nouveaux médicaments candidats destinés à traiter les maladies du cerveau, en particulier certaines maladies neurologiques rares.
Spécialiste de la gestion de contenus et de l’interopérabilité des systèmes d’information notamment dans le domaine de la santé, la société américaine Hyland se développe fortement en Europe. Entretien avec Éliane Faivre-Richard, sa responsable de la satisfaction clients EMEA. Elle nous explique le potentiel des solutions de l’entreprise pour les établissements de santé français.
Si cela semble en surprendre certains, le fait que les attaquants s’intéressent de près aux hyperviseurs VMWare ESXi n’est pas vraiment quelque chose de nouveau. Souvenez-vous l’été 2021, de nombreux opérateurs de rançongiciels s’en prenaient déjà aux serveurs VMWare [1], dans un but bien précis, gagner du temps en chiffrant « à la source » les serveurs virtuels des systèmes d’informations de leurs victimes. En 2022, le groupe derrière le rançongiciel LockBit avait d’ailleurs procédé ainsi lors de l’attaque ayant ciblé le CH Sud Francilien.
Dans un récent et excellent article de La Tribune[1], Marc Sztulman, conseiller régional d’Occitanie et délégué au Numérique pour tous, s’interroge sur ce que sont ou ne sont pas la souveraineté et la confiance, en particulier autour des notions de Cloud. À titre personnel, je n’avais même pas connaissance de la différence entre ces deux idées (confiance versus souveraineté) car – selon moi – elles se recouvrent totalement. Il semble tout de même important de revenir sur quelques concepts.
Les fonctions RH, déjà cruciales, se sont vues renforcées par la crise sanitaire et la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) a pris une nouvelle envergure aux yeux de la société. Problématique sociale et environnementale d’envergure, une convergence s’est donc tout naturellement dessinée entre la fonction RH du fait de sa maturité et la fonction RSE en pleine croissance. Il est devenu légitime pour les fonctions RH de s’emparer du dossier RSE car elles sont, finalement, les mieux placées pour assurer la cohérence des mesures et leur impact ! Entretien avec Capucine BESNOUIN, Responsable RH - WELIOM
« La Formation RSSI / SSI Santé - Version 3 - Porter la SSI et la conformité numérique : technicité et savoir-faire » est une formation spécialement conçue par l’APSSIS pour les professionnels de santé en charge de la sécurité des SI. Dispensée sur 3 jours par Vincent TRELY, Président de l’Association, son contenu est inédit, régulièrement actualisé et propose un 360° sur la SSI Santé.
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