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Le numérique en santé constitue un virage majeur pour le système de santé et l’assurance maladie. Pour mieux répondre aux enjeux qu’il représente et accompagner les acteurs du secteur au bénéfice de ses usagers (patients comme professionnels de santé), la Caisse nationale de l’assurance maladie crée un département dédié à la télésanté et à l’innovation numérique.
Maincare s’est mobilisé dès le lancement des premiers travaux du Ségur du numérique. Entretien croisé avec Frédéric Fillatreau, directeur du programme Ségur chez Maincare, et Acyl Benslimane, directeur chez Capgemini qui accompagne l’éditeur dans la mise en oeuvre de la partie du programme relative au financement à l’équipement.
Sélectionné cet été par la Commission européenne, le consortium visant à mettre en œuvre le projet-pilote de l’Espace européen des données de santé (EHDS), a récemment lancé ses travaux. Pendant deux jours, les 17 membres ont discuté des priorités du projet ainsi que participé à des groupes de travail pour lancer les travaux prévus et les cas d’usage choisis du projet-pilote. Un accord de subvention avec l’Agence exécutive pour la santé et le numérique (Hadea) a également été signé, amorçant pleinement la dynamique du consortium.
Le 2 novembre 2022, le groupe Softway Medical fait l’acquisition de la société HISTONE, éditeur spécialisé en solutions pour laboratoires. Avec ce rachat, le leader français de l’informatique en santé complète de manière stratégique son offre à destination des acteurs de la e-santé et donne naissance à Softway Medical biologie.
Le plan de renforcement cyber, annoncé début 2021 dans le cadre de la stratégie nationale de cybersécurité, va se traduire par le lancement d’une task force visant à définir les programmes qui prendront la relève d’HOP’EN et de SUN-ES et à trouver un mécanisme de financement dans la durée de la sécurité des SI de santé.
Le fonctionnaire de sécurité des systèmes d’information (FSSI) adjoint du ministère des Solidarités et de la Santé, Patrice Bigeard, a dressé un état des menaces cyber dans le secteur de la santé, lors du 7e Colloque sur la sécurité des SI organisé le 9 novembre par l’Agence du numérique en santé.
La ville du Mans a accueilli l’Assemblée Générale du Club utilisateurs ORBIS – RESO pour cette année 2022. Cet événement majeur de la vie du Club s’est déroulé au Palais des Congrès du Mans en partenariat avec le Centre Hospitalier du Mans, en présence des équipes Dedalus France, les 22 et 23 septembre dernier.
Un service numérique régional unique, déjà utilisé par les services mobiles d’urgence et de réanimation de la région Grand Est, sera prochainement déployé dans tous les SAMU(1) de la région Occitanie. Les Observatoires des Urgences (ORU), les Groupements régionaux d’appui au développement de la e-santé (GRADeS) et les Agences Régionales de Santé (ARS) des deux régions ont collaboré pour donner accès en mobilité au dossier patient SMUR(2), dans la région Grand-Est puis en Occitanie.
L’actualité le rappelle régulièrement, les établissements de santé sont devenus des cibles privilégiées pour les cyberattaques.Chez Maincare, l’exigence de sécurité est un maître mot à toutes les étapes du cycle de vie d’un logiciel.
Le numérique (tous secteurs confondus) est aujourd’hui responsable de près de 3,5 % des émissions mondiales des gaz à effet de serre (1). A titre d’exemple : le nombre total de mails envoyés et reçus par jour dans le monde était de plus de 306 milliards en 2020. Selon l'organisation Carbon Literacy Project, un mail standard génère environ 4 g de CO2 et avec une pièce jointe volumineuse, il produit jusqu'à 50 g de CO2. Faites donc le calcul… Si les établissements de santé sont déjà fortement engagés dans une démarche « verte » pour réduire leur impact sur l’environnement (énergies renouvelables, rénovation de bâtiments moins énergivores, recyclage des déchets…), comment cela peut-il s’appliquer à l’utilisation du numérique ?
L'Agence du numérique en santé (ANS) a publié ce mercredi 9 novembre un guide à destination des établissements et services sociaux et médico-sociaux (ESSMS). Concret et synthétique, il vise à améliorer le niveau de sécurisation de ces acteurs très peu matures sur le sujet de la cybersécurité.
Les exigences de sécurité des systèmes d’information dans le cadre de la vague 2 du Ségur du numérique en santé prévoient la réalisation d'un audit sous forme de test d'intrusion afin d'assurer la mise sur le marché de solutions éprouvées. Mais qu'en est-il pour les solutions ayant déjà réalisé des examens similaires ? La question a été posée lors du 7e Colloque cybersécurité organisé le 9 novembre par l'Agence du numérique en santé.
L’Agence du numérique en santé (ANS) a présenté le 9 novembre de nombreux usages développés par les 150 établissements pilotes qui se sont lancés dans la démarche Mon espace santé. Leurs retours d’expérience sera bientôt accessible.
Le CHU de Montpellier, Dedalus et l’Université de Montpellier ont annoncé le 25 octobre lors d’une conférence de presse le lancement officiel d’ERIOS (Espace de Recherche et d’Intégration des Outils numériques en Santé), un lieu d’expérimentation sur les usages des logiciels en santé faisant travailler ensemble l’industrie et les professionnels de santé.
20 ans après la Loi Kouchner du 2 mars 2002[1] l’ayant instauré, le régime juridique relatif à l’hébergement de données de santé est sur le point d’évoluer à nouveau avec une version V.1.1 en concertation du référentiel d’exigences HDS de certification.
Pour Tessi, spécialiste de la digitalisation des parcours et de l’automatisation des processus métiers, la « plateformisation » de la relation professionnel / usager est l’un des enjeux majeurs des prochaines années. Sa plateforme DigitalCare by Tessi, qui permet d’intégrer dans un parcours usager cohérent l’ensemble de ses services, est l’une des réponses à ce défi.
Le 3 novembre 2022, à l’occasion du premier bilan du lancement de Mon espace Santé, l’Agence du numérique en santé a annoncé l’ouverture du catalogue de services.
Dans la continuité de la Proposition de Règlement européen établissant des règles harmonisées concernant l’intelligence artificielle (« IA »), publiée le 21 avril 2021 (l’« AI Act »)[1], la Commission européenne a publié deux nouvelles propositions de directives, visant à adapter les régimes de responsabilité existants au numérique et à l’IA. Décryptage avec Marguerite Brac de La Perrière, associée du cabinet LERINS, experte en Santé Numérique et Anne-Sophie Legluais, collaboratrice au sein du cabinet LERINS.
La Raison d'Être de VIDAL est d'améliorer le bon usage du médicament et d'éviter les erreurs médicamenteuses. Le patient joue un rôle majeur dans ce bon usage ; il est à l'origine de plus de 50 % des erreurs (étude HAS – novembre 2020). Il est aussi en recherche d'informations sur ses traitements, comme en attestent les 10 millions de pages vues chaque mois sur vidal.fr par le grand public.
Le 31 octobre, Sylvie Retailleau, François Braun et Roland Lescure ont réuni le comité de pilotage ministériel France 2030 Santé pour présenter l’avancement du plan Innovation Santé 2030 et annoncer le lancement de l’Agence de l’innovation en santé.
Softway Medical, éditeur, hébergeur et intégrateur, a conquisle marché français avec sa solution Hopital Manager, qui constituela base d’un système d’information complet. Jean-Baptiste Franceschini, son directeur marketing et communication, nous détaille les atouts de l’entreprise.
La collaboration avec les équipes de VIDAL à permis à Odaiji d’être le premier éditeur à obtenir la nouvelle certification de la HAS pour la médecine ambulatoire.
L'objectif de la taskforce européenne est de parvenir à un consensus entre agences compétences pour l’évaluation des technologies de santé à l’échelle nationale, afin d’harmoniser les critères d’évaluation des dispositifs médicaux numériques (DMN) en Union européenne (UE). Les résultats issus de ces trois groupes de travail (« work packages ») ont été présentés à la Conférence « Digital Medicine » au Luxembourg les 26 et 27 octobre.
Docaposte (filiale numérique du groupe La Poste et chef de file du projet), Dassault Systèmes, Bouygues Telecom et la Banque des Territoires ont signé une alliance associant leurs expertises et leurs forces au sein d’un consortium industriel 100 % français afin de créer NUMSPOT, une société [1] dédiée au développement d’une offre complète de services européens de cloud souverain et de confiance.
Afin de mieux répondre aux besoins actuels des utilisateurs et d’anticiper de nouveaux usages dans les établissements de santé, Maincare a mis au point mainUp, un programme pluriannuel de modernisation de ses solutions. Dans un premier temps, trois solutions ayant fait leur preuve sur le plan technique et en matière de couverture fonctionnelle sont concernées : M-GAM, M-CrossWay et Copilote.
La 7ème édition des Journées du MIPIH se tiendra les 9 et 10 novembre 2022 au Palais du Pharo, à Marseille. Cet événement unique réunit les adhérents et partenaires du MIPIH pour deux jours dédiés à l'innovation, à la transformation numérique en santé et à la coopération hospitalière. Echanges, rencontres et atelier sont à l’ordre du jour pour le cabinet de conseil nantais, WELIOM, qui sera présent sur l’évènement.
L'Association Pour la Sécurité des Systèmes d’Information de Santé (APSSIS) a réuni fin septembre à Paris ses adhérents à l'occasion d'une journée de conférences. Gérard PELIKS, co-organisateur des Lundis de la Cybersécurité, en a rédigé un compte-rendu complet.
L’imagerie médicale est, depuis plusieurs années, l’un des domaines de la médecine où la révolution numérique provoque les plus grands changements. Désormais, une large partie des solutions PACS est proposée en usage Cloud, ce qui offre de nouvelles possibilités de consultation et d’usage, au niveau des groupes de radiologues publics et libéraux, mais aussi des cliniciens et des médecins généralistes. 2 semaines après les JFR, retour sur les grandes évolutions de l’imagerie.
Du 19 septembre au 30 septembre 2022, durant la semaine européenne du développement durable, s’est déroulé le 1er challenge national de suppression d’e-mails inutiles lancé par la Fédération hospitalière de France. Un petit pas pour sensibiliser les hôpitaux aux enjeux de la transition écologique en santé.
Les accords du Ségur de la santé, signés en juillet 2020, ont consacré un volet numérique consistant dans l’investissement de 2 milliards d’euros au profit du développement du numérique en santé, avec comme objectifs affichés[1] de « rattraper le retard dans la modernisation, l’interopérabilité, la réversibilité, la convergence et la sécurité des systèmes d’information en santé », de sorte à « généraliser le partage fluide et sécurisé des données de santé ». Ce double objectif a été transposé au code de la santé publique imposant la conformité des services numériques en santé aux référentiels d’interopérabilité et de sécurité élaborés par l’Agence du Numérique en santé (ANS). Le volet numérique du Ségur s’articule en 6 couloirs distincts : hôpital, biologie, radiologie, médecine de ville, pharmacie et médico-social[2], avec, pour chacun d’eux, un dispositif de financement.
Si les attaquants réussissent encore à compromettre nos SI, c’est certainement car nous ne sommes pas bien préparés à leurs attaques. Et pourtant, les victimes ne manquent pas, les retours d’expériences non plus, tout comme les guides de bonnes pratiques, alors pourquoi nous faisons-nous toujours avoir ?
Le 10 octobre, l’AP-HP et l’Inria ont annoncé le lancement d’URGE, un projet de recherche pour analyser et optimiser les parcours des patients aux urgences grâce à un simulateur de flux.
Le 12 octobre, Cybermalveillance.gouv.fr a annoncé la création d’un référentiel de compétences pour les prestataires en cybersécurité.
Le 13 octobre, l’Agence du numérique en santé et la Délégation ministérielle au numérique en santé ont présenté les huit lauréats de l’édition 2022 de l’appel à projets Structures 3.0.
L’utilisation simultanée de plusieurs fournisseurs d’accès promet aux établissements de santé un accès permanent et ininterrompu aux ressources d’Internet, qu’elles soient publiques, privées ou dans le Cloud.
Les systèmes de santé d'Europe et du Royaume-Uni sont sous pression pour maintenir les coûts à un niveau bas. Le passage au cloud pourrait permettre aux hôpitaux d'économiser 5 665 euros par lit d'hôpital et d’ainsi concentrer plus de ressources sur l’innovation tout en maitrisant leurs coûts.
# Smart hôpital : l’adaptabilité en temps réel. Utiliser en temps réel les données produites dans un établissement de santé afin d’en optimiser l’ensemble des process de fonctionnement, telle serait la définition du Smart hôpital, autrement dit l’hôpital intelligent. Dans un contexte de transition écologique et énergétique, et à l’heure des tensions en approvisionnement énergétique, le concept prend tout son sens…
Publiés au Journal officiel le 1er octobre, les arrêtés relatifs au Répertoire partagé des professionnels intervenant dans le système de santé (RPPS) et au Fichier national des établissements sanitaires, médico-sociaux et sociaux (Finess) détaillent notamment les données personnelles qui y sont enregistrées.
Le 7 octobre, l’Ordre des médecins a publié ses propositions pour une nouvelle organisation de l’équipe de soins coordonnée en intégrant l’utilisation et l’essor du numérique en santé.
Le Health Data Hub est engagé dans le Partenariat pour un gouvernement ouvert via la plateforme d’information sur les événements et les actualités des administrations engagées dans cette démarche d’ouverture, plateforme qui permet d’en suivre régulièrement les avancées.
Définir un juste milieu constitue un enjeu pour les organisations qui font face au contexte grandissant de cyber menace ces dernières années. Naviguer entre paranoïa et naïveté est un défi quotidien avec lequel doivent composer les structures sanitaires ou médico-sociales. Choisir le pilote de la sécurité, mettre en place une gouvernance, auditer son système et son organisation, analyser ses risques, définir et mettre en œuvre son plan d'action SSI visant à réduire ces mêmes risques, sont autant de moyens qui permettent aux organisations d'ajuster, de "proportionnaliser" les moyens à mettre en œuvre pour y faire face.
À la suite de la concertation de mars dernier, deux terminologies ont été adoptées pour décrire les microorganismes dans un compte rendu de biologie médicale : la NCBI Taxonomy et la Snomed CT.
Toujours attentive et plus proche des radiologues, Milvue, spécialiste des workflows d’imagerie médicale et de l’intelligence artificielle, évolue vers l’intelligence collaborative pour rendre ses solutions encore plus utiles, plus efficaces, plus intégrées et plus accessibles à tous les acteurs du monde de la santé.
Alors que les premières candidatures de l’appel à projets « Accompagnement et soutien à la constitution d’entrepôts de données de santé hospitaliers » vont être prochainement relevées, il est plus qu’utile d’interroger la constitution de tels entrepôts à l’aune du règlement européen sur la gouvernance des données (Data Governance Act - DGA) qui entrera en application dans moins d’un an, le 24 septembre 2023.
Le 26 septembre 2022, Evolucare a annoncé son nouveau partenariat avec la société Open Bee, spécialiste de la dématérialisation et de la signature électronique.
L’Apssis (Association pour la sécurité des systèmes d’information de santé) a organisé ce jeudi 22 septembre à Paris ses IIes Rencontres SSI Santé. 120 professionnels de la cybersécurité et du numérique en santé se sont rassemblés pour une journée de conférences, qui s’est achevée par un grand entretien avec Axelle Lemaire, directrice déléguée à la Stratégie, à la Transformation et à l’innovation à la Croix-Rouge française et ancienne secrétaire d’État chargée du Numérique et de l’Innovation (2014-2017).
Les établissements de santé sont des producteurs incessants de données. Ils en sont également des collecteurs. Que l’on parle de comptes-rendus médicaux, de résultats d’analyses de biologie, d’interprétations d’images, mais aussi de cartes d’identités, de passeports, de numéros de cartes vitales ou de coordonnées des patients, les SI des établissements de santé concentrent des millions d’informations, presque toutes sensibles au sens de la production de soins mais aussi de la réglementation associée au RGPD. Comment les qualifier, les protéger et s’assurer de l’inviolabilité des données les plus sensibles ?
Sylvie Retailleau, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, François Braun, ministre de la Santé et de la Prévention, Jean-Christophe Combe, ministre des Solidarités, de l’Autonomie et des Personnes handicapées, Roland Lescure, ministre délégué chargé de l’Industrie, et Jean-Noël Barrot, ministre délégué chargé de la Transition numérique et des Télécommunications, avec Bruno Bonnell, secrétaire général pour l’investissement, présentent les 14 projets lauréats, sur les 198 projets déposés, de l’appel à manifestation d’intérêts « Santé numérique ». Ce soutien représente un investissement total de 97,9 millions d’euros, dont 55,6 millions d’euros d’aides.
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