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Après avoir équipé le site référent du GHT Oise Ouest et Vexin de Beauvais, et ses hôpitaux de Grandvilliers et de Crèvecoeur-le-Grand, le centre hospitalier de Clermont-de-l’Oise vient de déployer le dossier patient informatisé DxCare de Dedalus. Un challenge, en plein COVID.
Unicancer et Bristol Myers Squibb annoncent la signature d’un partenariat scientifique visant à mieux comprendre la prise en charge des patients à partir de leurs plateformes de données en vie réelle : ESME « cancer broncho-pulmonaire » d’Unicancer et I-O Optimise, plateforme internationale sur les cancers thoraciques de Bristol Myers Squibb.Les données de vie réelle d’ESME ont été collectées entre 2015 et 2018 et portent sur 23 000 patients diagnostiqués ou commençant un traitement pour un cancer du poumon avancé. I-O Optimise regroupe des sources de données de 9 pays, dont celles de la plateforme allemande CRISP, et dorénavant celles de la France avec ESME.
La mise en place du contact traçing est l’actualité brûlante : les hôpitaux doivent mettre en production les interfaces avec l’application nationale, le décret publié hier, la CNIL saisie qui donne son avis , le Conseil Constitutionnel qui retoque une des mesures du dispositif (en l’occurrence le fait que les données soient accessible à certains acteurs du dispositif).
Le temps viendra du bilan sur la crise Covid que nous traversons tous : bilan politique, bilan sur le système de santé, bilan sur les organisations, etc. À ce sujet, lire d’ailleurs l’excellente série publiée dans le journal Le Monde sur la stratégie des différentes mandatures entre les années 2005 et 2020. On y apprend entre autres que, fin mars, la France continuait de brûler des millions de masques, en pleine pénurie.
Dossier patient informatisé, imagerie médicale numérique et résultats informatisés d’analyses médicales, télémédecine, portails patients, plateformes de télésuivi, messageries sécurisées, outils de communication en ligne, télétravail, la plupart de ces domaines sont aujourd’hui informatisés dans les établissements de santé.
La pandémie actuelle met en évidence le manque cruel de respirateurs dans l’ensemble des hôpitaux de la planète. En France, nous disposerions d’environ 5 000 dispositifs de ce type, et nos hôpitaux en commanderaient entre 1 000 et 1 500 nouveaux chaque année [1]. Les demandes explosent depuis plus d’un mois maintenant et les constructeurs ont du mal à les satisfaire [2].
aXigate, filiale de la Division Solutions pour les Etablissements Sanitaires et Médico-Sociaux du Groupe Pharmagest, est solidaire de l’AP-HM dans la gestion de la pandémie COVID19 et a mis au service de l’AP-HM son savoir-faire et sa technologie pour développer un module de suivi des patients en réanimation.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que la situation est des plus étranges.
Dans le contexte de pandémie de coronavirus qui secoue la planète, l’e-santé est appelée en renfort pour soulager les services hospitaliers. L’Assistance publique-Hôpitaux de Paris et Nouveal e-santé ont conçu en un temps record Covidom, une application qui permet aux patients porteurs du coronavirus sans gravité ou suspectés d’en être porteurs de rester chez eux tout en bénéficiant d’un suivi à distance.
L’Agence du numérique en santé, l’ex-Asip, s’est réjouie, le 12 mars dernier, de la 100e certification pour l’hébergement de données de santé.
Depuis plus de 10 ans, les Clubs Utilisateurs de Computer Engineering réunissent régulièrement les pharmaciens spécialisés en oncologie au sein des établissements hospitaliers. Le 11 février dernier, ils étaient venus de tout le Sud-ouest pour découvrir les évolutions de l’application Chimio®.
Les données nominatives de production (RH, patients, étudiants, etc.) sont accessibles aux professionnels qui les traitent (services RH, praticiens, enseignants, etc.), mais pas seulement. Qui n’a jamais eu besoin de mettre en place une base de formation, à partir d’un jeu de données réelles, qui n’a jamais eu besoin de transmettre à son éditeur un extract d’une DB pour analyser un bug tenace ? Il n’est pas question de rendre inintelligible des données de production aux adminsys eux-mêmes (qui de toute manière ont accès à tout, sauf à mettre en œuvre des moyens financièrement délirants), mais bien de pseudonymiser (remplacer les identités par des codes, la table de correspondance étant séparée) ou d’anonymiser une base (rendre quasi impossible le fait de remonter aux individus physiques avec des moyens « normaux »), pour la transmettre à des tiers. Petit comparatif de trois solutions.
Le 19 février, la Commission européenne a publié sa stratégie pour les données, qui prévoit notamment de créer neuf espaces européens uniques des données, dont un consacré aux données de santé.
Dans le cadre de son nouveau marché « Fourniture, déploiement, maintenance d’un Progiciel de Dossier Patient Informatisé et prestations annexes », le GIP RESAH a référencé la plateforme territoriale de production de soins Maincare IC.
Le dispositif sur la sérialisation du médicament, entré en vigueur le 9 février dernier, a connu des difficultés de démarrage, liées à la mise à disposition des données nécessaires, à la multiplicité des acteurs et à la diversité des systèmes d’information des pharmacies à usage intérieur (PUI). Quel bilan dressent les PUI pour cette première année ? Réponse avec deux pharmaciens hospitaliers, utilisateurs du module de sérialisation édité par le MiPih et Newac, Magh2 Sérialisation.
Conçu par le groupe Dedalus, Pharmoduct® est un robot de nouvelle génération qui permet aux établissements de santé de sécuriser la préparation des traitements anticancéreux. Le CHU de Poitiers vient d’inaugurer le premier exemplaire installé dans un établissement français.
Le 18 décembre, Nuance lancera sa nouvelle solution de reconnaissance vocale médicale Dragon® Medical One, hébergée dans le Cloud. Elle est destinée à simplifier et à accélérer le travail de documentation quotidien des professionnels de santé.
Auvergne-Rhône-Alpes s’engage résolument dans le virage numérique du plan MaSanté 2022 en étant la première région française à intégrer la e-CPS à sa plateforme numérique de santé. Cette réalisation est le fruit d’une collaboration étroite entre l’ASIP Santé, l’ARS Auvergne-Rhône-Alpes et le Gcs Sara, afin de faciliter l’usage des outils numériques régionaux et nationaux.
Le Centre hospitalier de Luxembourg – implanté dans la capitale du Grand-Duché – et le Centre hospitalier Émile-Mayrisch – à Esch-sur-Alzette, au sud-ouest du pays – viennent de démarrer le déploiement de leur dossier patient mutualisé informatisé de nouvelle génération Dop@min. Cette solution est basée sur la plateforme territoriale de production de soins Maincare IC.
La solution Dic’T de la société Anticyclone, acquise en 2019 par le groupe Maincare Solutions, a fait l’objet d’un nouveau référencement par le Resah dans le cadre du marché « Acquisition, installation et mise en oeuvre d'une solution logicielle de dictée numérique, de reconnaissance vocale et acquisition de matériels associés ».
Depuis le 1er juillet dernier, le portail myHOP s’appelle désormais Viapatient mais son objectif reste inchangé : proposer un éventail de services le plus complet possible dans une solution unique à l’échelle d’un territoire, d’un GHT ou d’une région.
En avril dernier était présentée la feuille de route « Accélérer le virage numérique » du plan Ma Santé 2022, une présentation suivie quelques mois plus tard par la mise en concertation des premiers éléments de sa doctrine technique. En phase avec l’ambition et les fondamentaux de cette feuille de route, Maincare Solutions a présenté lors des Journées e-Santé 360 les principaux points d’alignement de sa stratégie avec les orientations et les actions de la doctrine nationale.
Dans un contexte où les Big data du secteur de la santé ne sont plus un « fantasme » mais une réalité quotidienne pour les praticiens, les chercheurs, les patients et toutes les parties prenantes du secteur, le Healthcare Data Institute(1) a mis l’accent sur les pistes d’amélioration de l’accès et de l’exploitation de ces données sous la forme d’une prise de position officielle (3 recommandations et 1 proposition) lors de son événement annuel (HDI Day 2019).
Le Proxy DMP V.5.0 de Maincare Solutions a reçu l'homologation DMP V2. Une homologation qui intervient au moment où l'éditeur s'apprête à présenter les premiers éléments de sa feuille de route d'alignement avec le volet numérique du plan #MaSanté2022 à l’occasion des Journées e-Santé 360 les 5 et 6 novembre prochain.
Les directeurs d’établissements médico-sociaux se trouvent parfois confrontés à des questionnements liés aux systèmes d’informations. Pour les soutenir, l'Agence Nationale d'Appui à la Performance (Anap) vient de mettre en ligne un « kit système d'information » (SI) qui leur est spécialement destiné.
Pour ceux qui ne sont pas du « sérail » – comprendre la bande de geeks qui parlent IPv6 dans le texte –, il est important de comprendre un fait majeur : tout comme la nature a sa chaîne alimentaire, la DSI a la sienne.
En France, comme ailleurs dans le monde, la tendance concernant les systèmes d’information est de privilégier le meilleur logiciel par silo applicatif (RIS, GAM, DPI, etc.), ce que les Anglo-Saxons appellent « the best of breed[1] », plutôt que des solutions intégrées. Résultat, certains établissements de santé peuvent compter jusqu’à 300 applicatifs différents. Lorsqu’il s’agit de faire communiquer l’ensemble, on se retrouve vite face à une tour de Babel. DSIH vous emmène à la découverte en quatre étapes des bien-fondés de l’interopérabilité hospitalière, à l’échelle d’un GHT ou plus largement régionale, essentielle au partage et à l’échange de l’information médicale. Premier volet : l’interopérabilité au cœur des projets SI.
Le centre hospitalier de Douai s’est tourné vers la plateforme de digitalisation de la production de soins Maincare IC pour moderniser son dossier patient informatisé. Une évolution qui s’inscrit dans une démarche d’ouverture vers la ville et de responsabilité populationnelle.
# Entretien avec Cédric O. Le secrétaire d’État chargé du numérique depuis le 31 mars dernier livre à DSIH son analyse de la transformation numérique en examinant ses conséquences à l’échelle de la France, mais aussi des citoyens et du secteur de la santé. Au cœur des préoccupations gouvernementales : l’emploi, la fracture numérique et la régulation.
La prise en charge d’un patient opéré fait intervenir de nombreux professionnels de santé. Elle est également soumise à de fortes contraintes réglementaires. Les établissements privilégient donc des solutions informatiques complètes, qui prennent en compte toutes les étapes de l’activité de chirurgie.
À une époque pas si lointaine (il me semble) de mon existence, la SSII dans laquelle je travaillais avait constaté qu’un de nos clients faisait religieusement ses sauvegardes tous les soirs, comme on le lui avait montré. OK, c’était au millénaire précédent, OK, c’était sur des disquettes souples 5 ¼ pouces, OK, je ne suis pas exactement le perdreau de l’année, mais sauvegardes tout de même il y avait. Sauf que tous les soirs, juste avant de partir, le chef du client en question mettait un coup de trouilloteuse dans ladite disquette pour pouvoir la ranger dans un grand classeur à anneaux (authentique).
Ils sont actuellement 48 à avoir décroché la certification hébergeurs de données de santé, d’après le site de l’Asip Santé, le dernier en date étant, sauf erreur, le groupement de coopération sanitaire GCS Tesis (La Réunion et Mayotte), premier groupement régional d'appui au développement de l'e-santé (Grades) de la liste des hébergeurs pour son datacenter, et qui en plus couvre les 6 activités du référentiel.
Le top départ de l’e-santé 2022 a récemment été donné (voir la vidéo [1]de la première session du Tour de France ainsi que l’analyse [2]à grosse maille de votre serviteur), et c’est une bonne chose que la SSI fasse partie des préoccupations officielles des pouvoirs publics. Cela étant, où en est-on de la sécurité des données patients, justement ? D’où part-on ? Quel chemin, de roses ou de croix, à parcourir ?
Cette nouvelle délibération de la CNIL [1] arrive comme une pépite de chocolat sur le cookie afin de préciser les lignes directrices relatives à l’application de l’article 82 de loi informatique et libertés [2] et plus précisément aux opérations de lecture / écriture de traceurs sur le terminal d’un utilisateur.
Après les GHT Atlantique 17 (communiqué du 18 juin 2019) et du Douaisis (communiqué du 1er juillet 2019), le GHT des Landes a annoncé avoir retenu la plateforme territoriale de production de soins Maincare IC. Un choix qui lui permet de répondre à 3 objectifs stratégiques : convergence de son S.I., modernisation du DPI et ouverture vers la ville.
Permettre aux établissements de santé d’optimiser les temps de secrétariat autant que la gestion électronique de documents, c’est le pari lancé en 2001 par Zenidoc. Le concepteur et éditeur de solutions de reconnaissance vocale n’a depuis lors cessé de gagner en notoriété dans le secteur hospitalier. En atteste l’intérêt renouvelé des visiteurs lors du dernier Salon HIT.
Dedalus France, partenaire clé des établissements de santé dans les domaines de l’échange et du partage de données, du dossier patient, de la production de soins et des plateaux techniques (laboratoire, imagerie, pharmacie) et Dedalus, son actionnaire majoritaire, annoncent l’acquisition le 30 juillet 2019 de la société Web100T.
Dans le cadre de sa stratégie de territoire, le Centre Hospitalier de Douai souhaitait s’équiper d’un Dossier Patient Informatisé multi-établissements de nouvelle génération. Couvrant un bassin de population d’environ 250 000 habitants et actif historiquement sur sa stratégie territoriale « hors les murs », le Centre Hospitalier de Douai va également mettre à profit la plateforme Maincare IC et sa technologie Idéo dans le cadre de l’expérimentation nationale de responsabilité populationnelle lancée dans le cadre du dispositif « innovation en santé » de l’article 51 pour laquelle il est l’un des 5 territoires français retenus.
Ce changement de dénomination marque la dissolution de l’association éponyme et la reprise de ses activités de standardisation.
Dans le cadre de sa stratégie de convergence des S.I., le GHT Atlantique 17 choisit Maincare IC, la plateforme territoriale de production de soins de Maincare Solutions. Le choix de cette solution nouvelle génération s’inscrit également dans la volonté du GHT d’accélérer son ouverture vers la ville et les usagers, en particulier via le déploiement de services numériques de territoire comme la prise de rendez-vous en ligne qui sera proposée dès la fin de l’année, dans une toute première étape.
Le 5 juin, le MiPih a inauguré ses nouveaux locaux amiénois et surtout un centre d’hébergement de données de santé high-tech de 1 200 mètres carrés, pour un investissement de 5 millions d’euros.
Depuis 10 ans la région Bourgogne mène une politique très volontariste en faveur du développement de la télémédecine sur son territoire. Pour accélérer ce développement au service de l’accès aux soins, la région fait aujourd’hui le choix de la plateforme de télémédecine nouvelle génération Covalia de Maincare Solutions.Cela permet ainsi à la grande région Bourgogne-Franche-Comté de se doter d’une plateforme unifiée apportant de nouvelles fonctionnalités aux utilisateurs et offrant une couverture métiers très large.
360° sur les exigences, les méthodes et les tendances de la SSI Santé6 heures dédiées à la préparation et à l’animation d’un Comité de Sécurité 3 équipes – 3 présentations – 3 Comités SSI composés des grandes fonctions métiers
L’ergonomie des SI est bien plus qu’une affaire de look, elle doit être au service du partage de l’information entre l’hôpital et ses partenaires.vieviewer, (stand nehs C47-D47 à HIT) est nativement conçu pour répondre aux 6 enjeux clés des SI de territoire et au contexte actuel des GHT.
L’heure est au décloisonnement du système de santé. Échanger des données patient en toute sécurité à l’échelle du territoire, c’est la vocation de la nouvelle plateforme multi-établissement Maincare IC. Maincare Solutions vous invite à en découvrir la V9 au salon HIT. Ce rendez-vous annuel de l’innovation des systèmes d’information en santé est aussi l’occasion de participer aux agoras santé de l’éditeur. Une immersion interactive au cœur des établissements de santé déjà engagés avec Maincare Solutions dans leur transformation numérique.
Présente depuis 2003 sur le marché de la sauvegarde des données, la société Kiwi Backup s’est engagée dans une démarche de certification Hébergeur de données de santé. Une procédure destinée à renforcer la sécurité des données des utilisateurs de sa solution Kiwi Santé.
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