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La pandémie de COVID-19 a placé les établissements de santé au cœur de l’actualité. Semaine après semaine, leurs forces vives se sont mobilisées quotidiennement pour sauver des vies. Or le caractère inédit de cette situation sanitaire et la vulnérabilité du secteur ont naturellement incité certains hackers non-éthiques à mener des cyberattaques spécifiques à l’encontre des établissements hospitaliers.
La bonne circulation de l'information au sein de l'équipe de soin est essentielle pour assurer la bonne prise en charge des patients.
Suite à la décision de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) du 07/12/2017(1) entraînant de nouvelles obligations règlementaires concernant la qualification des LAP (Logiciels d’Aide à la Prescription) en DM (Dispositif Médicaux) selon la directive 93/42/CEE, le DPI Osiris (Dossier Patient Informatisé) est devenu un DM de classe I(2).
Ce partenariat entre ELSAN et Lifen a pour objectif de fluidifier les liens avec la médecine de ville et les patients en simplifiant notamment la communication sur les résultats médicaux et les prises en charge. Il s’inscrit également dans une logique de collaboration croisée pour favoriser le co-développement de nouvelles fonctionnalités en s’appuyant sur les besoins métiers d’ELSAN et de ses établissements. Le groupe entre également au capital de Lifen, complétant ainsi son portefeuille de start-up partenaires.
Le référentiel fonctionnel socle de télémédecine décrit les fonctionnalités attendues des logiciels de téléconsultation et de téléexpertise.
L’IHU Méditerranée Infection est le seul institut français en microbiologie dédié aux maladies infectieuses et tropicales, qui sont chaque année, responsables d’un tiers de la mortalité.Afin d’étudier des maladies infectieuses, l’IHU reçoit des échantillons bactériologiques qu’il doit conserver et stocker dans des biobanques réfrigérées.
Le 16 mars 2020, l’état d’urgence sanitaire déclenchait dans les établissements de santé plusieurs processus de déploiement massif de solutions numériques. Télétravail, télémédecine, téléconférences, partage d’informations, médicales ou non, création de « structures fonctionnelles Covid » et usages de nouveaux modules de progiciels existants sont autant de projets qui ont mobilisé les DSI, sous la pression légitime des métiers. Certaines de ces réalisations ont été accompagnées d’un volet sécurité, essentiel surtout dans l’urgence, et supportées par des éditeurs consciencieux. D’autres non…
Pour muscler la sécurité de son système d’information, le centre hospitalier Alpes-Isère s’est engagé depuis plusieurs années dans un alignement sur la norme ISO 27002. Un engagement qui a facilité les gestes barrières numériques pour protéger le SIH pendant la crise du Covid-19 marquée par un fort recours au télétravail.
Depuis des décennies, Zoll Data Systems se concentre sur la recherche de solutions numériques pour rendre les services d’urgence plus agiles et évolutifs. Voici les raisons pour lesquelles la numérisation d’une structure mobile d’urgence et de réanimation est importante et permet de répondre aux enjeux stratégiques du projet « Ma santé 2022 ».
Il est un sujet commun à toutes les organisations (santé, armée, business, etc.) : il s’agit bien entendu de la sécurité du SI.
Même si j’avais déjà vu passer ce nom dans certains articles ces derniers mois, il a vraiment attiré mon attention depuis quelques semaines, après avoir ciblé un très grand groupe du secteur de l’énergie et après s’être illustré dans un billet de l’équipe sécurité de Microsoft sur le thème des rançongiciels ciblant le secteur de la santé et les services critiques [1].
Après avoir équipé le site référent du GHT Oise Ouest et Vexin de Beauvais, et ses hôpitaux de Grandvilliers et de Crèvecoeur-le-Grand, le centre hospitalier de Clermont-de-l’Oise vient de déployer le dossier patient informatisé DxCare de Dedalus. Un challenge, en plein COVID.
Issu de la fusion d’Odsis et de Cosilog, puis de l’intégration de Beeconsulting (1), WELIOM renforce ses compétences en cybersécurité, conformité et stratégies numériques avec l’acquisition du Cabinet Vincent Trély Consultants. C’est un joli nom de l’écosystème du numérique en santé qui rejoint le projet porté par Pierre-Yves André, PDG de WELIOM, dont l’ambition est de faire de la société, en 2022, le leader français du conseil en transformation numérique des organisations de santé.
J’ai toujours adoré les curiosités de l’esprit : si vous avez une heure à perdre, je vous suggère d’aller faire un tour sur ce site[1]qui explique la diagonale de Cantor, astuce géniale avec laquelle le mathématicien allemand a démontré qu’il existait plusieurs catégories d’infini (authentique). Bon, en même temps, ne vous penchez pas trop au-dessus du précipice, le bonhomme a terminé ses jours dans un asile. Récemment, je suis tombé sur une autre curiosité avec un ouvrage de Jean-Paul Delahaye : la trompette de Torricelli, qui a la particularité d’avoir une surface infinie, mais un volume intérieur fini. On ne peut donc pas la peindre, mais on peut la remplir d’eau. Mais la remplir d’eau revient à peindre sa surface intérieure, non ?
La téléconsultation connaît une croissance exponentielle dans le contexte sanitaire actuel, étant essentielle pour protéger patients et soignants. Développée par MiPih et adoptée par l’URPS ML Occitanie, la plateforme Medicam est accessible à l’ensemble des professionnels de santé de France. Lancée le 10 mars, elle enregistre plus de 50 000 téléconsultations, soit plus de 70 % des téléconsultations en région Occitanie.
Près de 80 directions des systèmes d’information des établissements de santé français livrent leurs vision et leurs usages du Cloud dans la récente enquête menée par Nuance* en collaboration avec l’agence APM. Pour 9 DSI sur 10, la tendance est à l’externalisation dans le Cloud. Il n’est plus question pour les répondants de mobiliser d’importantes ressources humaines et financières pour gérer les serveurs et les logiciels de leur établissement de santé.
Le 6 mai, une dizaine d’organisations représentant les usagers de la santé, les médecins et les industriels affirme d’une seule voix les principes de construction d’un cadre national en matière de numérique en santé.
En cette première semaine de déconfinement, un mot encore inconnu jusque-là par nos correcteurs orthographiques, je me suis dit que nous avions bien le droit de nous « détendre » un peu en faisant une pause sur les sujets a trait au Covid-19. Parlons matériel, puisque le numérique repose dessus malgré tout, et que nous avons parfois tendance à l’oublier avec la virtualisation omniprésente aujourd’hui, ou encore le cloud, qui n’est pas un nuage, mais bien l’ordinateur de quelqu’un d’autre.
Ce jeudi 7 mai est la Journée mondiale du mot de passe. Cette méthode de protection informatique qui règne depuis des décennies, basée sur un savoir, s’est retrouvée largement dépassée par les niveaux de sécurité offerts par les technologies biométriques, fondées sur une ou plusieurs caractéristiques physiques.
Alors qu’elle continue à être l’objet de controverse, l’appli StopCovid est toujours d’actualité pour le gouvernement. Selon sa porte-parole, elle devrait être prête d’ici à un mois.
La situation sans précédent que nous vivons a clairement fait augmenter nos besoins en matière de télétravail et d’échanges numériques. De nombreuses organisations n’étaient pas prêtes, ou pas dans une telle mesure en tout cas. Accès Internet, VPN ou solution de bastion, partage de fichiers, vidéo-conférences etc... Quelle DSI peut prétendre avoir tout anticipé et permis à l’ensemble des employés de « télétravailler » en toute sécurité ?
À l’heure du coronavirus, les outils numériques sont des atouts, notamment pour gérer l’afflux de patients. La digitalisation des dossiers patients, qui fait déjà partie des habitudes de nombreux hospitaliers, se renforce en période de crise sanitaire.
WELIOM organise un temps d’échange avec des professionnels du secteur. S’appuyant sur des témoignages et en lien avec l’actualité, chaque webinar a été spécialement élaboré par nos experts-consultants. “Télémédecine post COVID-19" et “l’après-crise pour les DSI Santé”
Afin de préparer et d’accompagner le déconfinement qui doit débuter le 11 mai, Nouveal e-santé a mis gratuitement à disposition de l’ensemble des médecins et des infirmiers libéraux de France métropolitaine son application Covidom. La solution développée en collaboration avec l’AP-HP permet déjà de suivre à distance plus de 60 000 patients porteurs du Covid-19 ou suspectés de l’être.
En cette période de crise et de peur généralisée, alors que certains révèlent leurs plus bas instincts en menaçant des professionnels de santé, en vandalisant leurs voitures et en allant même jusqu’à cambrioler certains cabinets dans le but de leur dérober leurs équipements de protection, comme le rappelle Le Quotidien du médecin [1],« plus je connais les hommes, plus j’aime mon chien », selon la formule de Pierre Desproges.
La pandémie actuelle met en évidence le manque cruel de respirateurs dans l’ensemble des hôpitaux de la planète. En France, nous disposerions d’environ 5 000 dispositifs de ce type, et nos hôpitaux en commanderaient entre 1 000 et 1 500 nouveaux chaque année [1]. Les demandes explosent depuis plus d’un mois maintenant et les constructeurs ont du mal à les satisfaire [2].
C’est pas beau de se moquer des autres, surtout quand la bêtise qu’ils ont commise pourrait parfaitement se reproduire chez soi. C’est pourquoi je ne me moquerai pas de Google, à qui il vient d’arriver une mésaventure pas drôle du tout – enfin si, c’est drôle quand on lit le papier, mais une fois la lecture terminée, ça ne l’est plus.
Les établissements de santé se sont massivement organisés pour faire face à la crise sanitaire que nous traversons et la mobilisation des personnels soignants force l’admiration. Dans cette situation inédite, de nouvelles demandes ont émergé. Pour y répondre rapidement, les équipes de Computer Engineering se sont adaptées.
Dans le contexte de la crise du Covid-19, les autorités sanitaires ont publié, depuis fin janvier, une série de décrets facilitant l’accès à la télémédecine et aux outils numériques de suivi. Une initiative certes salutaire, mais pas assez anticipée ni encadrée pour Me Omar Yahia, avocat au barreau de Paris.
En première ligne face à l'épidémie, les médecins libéraux ont jusqu'alors eu à gérer des patients porteurs du COVID-19 sans outil adapté, et à répondre aux inquiétudes de leurs patients tout en gérant leur propre stress.
Maela et ses équipes ont donc équipé la totalité des hôpitaux du Luxembourg ainsi qu’une plateforme centralisée de la direction de la santé permettant de suivre à distance tous les patients COVID+ ne nécessitant pas d’hospitalisation, et ceux de retours à domicile après hospitalisation.
Après avoir simplifié et amélioré le remboursement de l’accès aux consultations médicales à distance en vidéo dans le cadre de l’épidémie de Covid-19, le ministre des Solidarités et de la Santé autorise, depuis le 4 avril dernier, le recours à la téléconsultation par téléphone.
Tant qu’à être bloqués à la maison, autant en profiter pour mettre un peu d’ordre et faire du rangement.
L’agence nationale d’aide à la performance a développé un réseau d’entraide entre professionnels, adapté aux enjeux numériques soulevés par la crise du Covid-19. Ce dispositif exceptionnel est opérationnel depuis le 27 mars. Entretien avec Benjamin Lemoine, responsable du numérique à l’ANAP
En 4 semaines, plus de 40 établissements sur la France ont été formés et ont déployé rapidement le télésuivi des patients COVID-19. Un grand nombre d’autres structures de santé sont en cours de dé-ploiement en prévision d’un engorgement du système de santé et du pic épidémique à venir.
La mise à jour de Zoom intègre de nouvelles fonctionnalités de sécurité visant, entre autres, à protéger les réunions organisées sur sa plateforme des risques de meeting bombing. Elles simplifient notamment l’accès aux différentes options de sécurité et masquent les ID de meeting.
Nuance® Communications, Inc. annonce la disponibilité immédiate en France de son Pack COVID-19 développé par et pour les soignants utilisateurs des solutions Nuance Dragon® Medical. Ce pack COVID-19 est compatible avec tous les formats de dossiers patients informatisés. Il s'appuie sur les recommandations officielles de l’Agence nationale de santé publique pour fournir des modèles de documentation structurés aux professionnels de la santé en cette période de crise sanitaire. Nuance propose également d’autres services à ses clients pour les aider à prendre en charge le nombre croissant de patients, les téléconsultations et le travail à distance en réponse à la pandémie.
Née en 2013, 360Learning apprend vite. C’est en décryptant les pratiques habituelles de la formation en ligne que la start-up basée à Paris a choisi d’investir dans un nouveau créneau : la formation en ligne collaborative. La solution est notamment présente dans le secteur de la santé.
Depuis une semaine, l’application de vidéo-conférence Zoom fait couler de l’encre à n’en plus finir dans le domaine de la sécurité. Si personne ne vous a encore demandé un accès à cet outil dans votre établissement, ça ne devrait pas tarder, sauf si… un utilisateur l’a déjà utilisé à votre insu. Après avoir commencé à recenser quelques informations pertinentes sur le sujet [1], et vu qu’il y de la matière, j’ai pensé qu’il serait intéressant de les partager avec vous, sous forme de synthèse dans ce billet.
Je laisserai à d’autres la question de savoir quelles sont les responsabilités politiques dans la crise actuelle du Covid-19 – et surtout de quelle mandature –, intéressons-nous plutôt aux dysfonctionnements qui ont mené à une telle situation, afin d’en comprendre certains mécanismes qui sont totalement reproductibles dans le domaine des SIH. Analyse de la situation selon le prisme des biais cognitifs.
Au terme d’une consultation de trois mois relative à l’accord cadre national porté par le Resah, la commission multidisciplinaire qui s’est tenue le 19 mars a fait le choix du consortium porté par Maincare Solutions pour son futur service e-Parcours. Baptisé Parceo, il sera proposé aux professionnels de santé du Grand Est par le Groupement régional d’appui au développement de le e-santé Grand Est Pulsy dès septembre 2020. Ce bouquet de services, qui s’inscrit dans la stratégie de transformation numérique du plan « Ma Santé 2022 », permettra de faciliter la coordination entre les acteurs de santé du Grand Est et d’améliorer le suivi des parcours de soins.
Figurant parmi les régions les plus touchées par la pandémie, la région Grand-Est déploie un plan de bataille unique en France pour absorber le flux des patients et optimiser la coordination ville-hôpital.
L’épidémie de coronavirus oblige les DSI à adapter les systèmes d’information pour maintenir en bon ordre de marche la machine hospitalière. Christine Pichon, directrice des systèmes d'information du CHU Rennes, nous fait partager l’impact de la crise dans son établissement.
Alors que l’épidémie progresse, le secteur hospitalier se concentre sur les cas les plus lourds et la ville prend en charge l’immense majorité des patients qui ne nécessitent pas une hospitalisation. Pulsy propose, en lien avec l’Agence Régionale de Santé (ARS) Grand Est, des solutions de télémédecine pour garantir à tous les patients l’accès aux professionnels de santé.
L’épidémie de coronavirus oblige les DSI à adapter les systèmes d’information pour maintenir en bon ordre de marche la machine hospitalière. Christine Pichon, directrice des systèmes d'information du CHU Rennes, nous fait partager l’impact de la crise dans son établissement.
Les établissements de santé font aujourd’hui face à une crise sanitaire exceptionnelle. Dans ce contexte, la CAIH se mobilise en met à disposition les outils les plus performants dans la lutte contre le COVID-19.
La solution Lifen Covid, qui permet d'assurer le suivi médical à distance des patients porteurs du COVID-19, va être déployée dans les établissements du groupe de santé.
Les hôpitaux du Groupement Hospitalier de Territoire de Vendée (GHT85) utilisent depuis cette semaine une nouvelle solution pour répondre au besoin de réaliser des consultations ou des avis médicaux indispensables, tout en limitant les déplacements. La crise sanitaire actuelle nécessite d’adapter les modes de prise en charge des patients. Le principe retenu est celui d’une visioconférence sécurisée entre le médecin et le patient. L’outil a été développé par le groupe SYD, basé à Saint-Herblain (44) pour répondre au besoin des hôpitaux vendéens.
La plateforme MediConsult, parfaitement sécurisée, pourra être intégrée aux services régionaux déjà disponibles. A partir de leur poste de travail et d’un simple accès Internet, les médecins peuvent accéder à 3 fonctions de base pour gérer leur file active de patients : téléconsultation, télérégulation (SAMU) et télésuivi à domicile.
Dans le contexte de cette crise sans précédent, les autorités sanitaires allègent progressivement le cadre de la téléconsultation et encouragent même les médecins et les infirmiers à s’équiper pour prendre en charge les patients atteints de Covid-19.
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