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A la veille de l’examen par la Commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale du PLFSS 2022, l’APIDIM alerte sur la nécessité d’intégrer la contribution des dispositifs médicaux innovants à l’ensemble des réflexions de fond engagées sur le système de santé, en particulier en matière de régulation, et rappelle la nécessité d’établir des conditions favorables à l’accès et à la diffusion des innovations en santé en France.
La Cnil a entériné la constitution de l’observatoire national SantéDom Stat. Une première pour une telle structure sous la coresponsabilité d’organisations professionnelles (Fedepsad, UNPDM et Upsadi).
LESISS publie ce jour un position paper pour exprimer sa vision des étapes nécessaires pour construire l'interopérabilité sémantique des systèmes d'information en santé.
Le Conseil national de l’Ordre des médecins, sous la coordination du Dr. Jacques Lucas et du Pr. Serge Uzan, publie un livre blanc consacré aux « Médecins et patients dans le monde des data, des algorithmes et de l’intelligence artificielle » et formule 33 propositions.
Dans le cadre de la concertation sur la stratégie nationale de santé 2018-2022, annoncée par la ministre des Solidarités et de la Santé, et du PLFSS 2018, la Fehap a émis une dizaine de propositions concrètes pour contribuer à l’amélioration de notre système de soins. Les SI n’ont pas été oubliés.
Les 8 et 9 septembre derniers s’est tenue la 1ère Université d’été des déserts médicaux et numériques. Organisée à Auzon, entre l’Allier et la Nièvre, l’événement a rassemblé plus de 100 personnes – élus locaux et nationaux, industriels des télécoms, agences régionales de santé, représentants des usagers de santé et des consommateurs – pour échanger de manière pragmatique sur le développement de la télémédecine et de la santé connectée dans les régions rurales alors que ces dernières souffrent de fracture numérique mais également du manque, voire de l’absence, de professionnels de santé. Retour sur ces deux journées riches en échanges et en dialogue.
Par son volet sur le GHT, la loi de modernisation du système de Santé décrit une trajectoire qui vise à faire évoluer les Systèmes d’Information des établissements de santé pour les rendre convergents. Aux questions posées par cette nouvelle organisation numérique des territoires de soins et de l’offre de soins associée, le SIB prône l’apport de réponses pragmatiques aux établissements de santé. Rencontre avec Baptiste LE COZ, le Directeur général adjoint du SIB.
Pas de bouleversement, au chapitre santé, à l’annonce de la Stratégie numérique par Manuel Valls, le 18 juin. Elle reprend simplement les objectifs du plan « médecine du futur », présenté par Emmanuel Macron il y a un mois.
Dans le but de réduire les fractures territoriales, de garantir aux Français la permanence et la continuité des soins auxquels ils ont droit, de développer les prises en charge pluridisciplinaires et d’améliorer la qualité des pratiques professionnelles, la stratégie nationale de santé lancée par Marisol Touraine, ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes, facilite le recours aux nouvelles technologies et, parmi elles, à la télémédecine.
Invitation à participer aux étapes régionales du Tour de France du Numérique pour la Santé
Le GCS D-SISIF, maitrise d’ouvrage déléguée de l’ARS Ile-de-France, pilotera opérationnellement le projet Terris@nté à travers son programme Innovation, dirigé par le Pr. Eric Lepage.
A peine plus de six mois après avoir quitté la direction de l’ASIP Santé, Jean-Yves Robin publie une analyse relativement froide et distanciée des ratés français du numérique en santé (1).
Le territoire comprend le nord-ouest du Val-de-Marne (Gentilly, Kremlin-Bicêtre, Ivry-sur-Seine, Vitry-sur-Seine, Thiais, Arcueil, Cachan et Villejuif) et l’ouest du 13ème arrondissement de Paris. Caractérisé par une offre de soins importante et diversifiée, ce territoire couvre une population urbaine et dense, avec des indicateurs sanitaires plutôt défavorables.
Dans son discours du 16 avril, Manuel Valls a précisé son plan d’économie de 50 milliards d’ici 2017. La santé en sera donc un contributeur important. Mais où trouver l’argent ?
La Stratégie nationale de santé (SNS) comptera nécessairement une dimension numérique pour chacun de ses trois axes prioritaires : prévention, « révolution » du premier recours, renforcement de la démocratie sanitaire et des droits des patients.
Un appel à projets « Territoires de soins numériques » a été lancé fin 2013 dans le cadre des Investissements d’avenir et de la Stratégie nationale de santé. 80 millions d’euros seront attribués pour cinq projets innovants et pilotes en matière d’usage du numérique, au service de la modernisation du système de soins.
HIMSS Europe organise avec le Cercle des Décideurs Numérique et Santé, le World of Health IT – WoHIT- du 2 au 4 avril à Nice. Les décideurs en santé viendront des quatre coins de l’Europe et des Etats-Unis pour débattre de la transformation des systèmes de santé par les nouvelles technologies. Qualité et sécurité des soins à travers le fil conducteur “e-Health with benefits”, seront à l’honneur. Dans cette perspective, la question de la continuité des soins à l’ère du numérique sera analysée aussi bien du côté patient que du côté des professionnels de santé. Lors du WoHIT 2014, HIMSS Europe dévoilera son nouveau modèle de maturité numérique de continuité des soins.
L’Agence des Systèmes d’Information Partagés de Santé « ASIP Santé », placée sous la tutelle de la Délégation à la stratégie des systèmes d’information de santé (DSSIS) du ministère des affaires sociales et de la santé, est un groupement d’intérêt public (GIP) chargé du déploiement de la e-santé en France.
Dix ans après son annonce, et régulièrement accusé d’échec, le DMP pourrait passer sous tutelle directe de la CNAMTS cette année.
Jean-Yves Robin a été nommé directeur du GIP DMP et « préfigurateur » de l’Agence des systèmes d’information partagés de santé en décembre 2008. A la tête de l’ASIP Santé, il a activement participé à l’élaboration et à la mise en oeuvre d’une nouvelle politique publique en matière de systèmes d’information de santé.
Dans une récente tribune, Laurent Chambaud directeur de l’Ecole des hautes études en santé publique (EHESP), qui forme les futurs cadres de santé et du médico-social, indiquait la nécessité d’intégrer les nouvelles technologies de santé dans la formation dispensées au futurs gestionnaires en santé.
L’examen au Sénat débutera le 12 novembre. Argumentaire de Gérard Bapt, député socialiste de Haute-Garonne et rapporteur du volet recette et équilibre général du PLFSS 2014*
Le Groupement de Coopération Sanitaire (GCS) Esanté Poitou-Charentes, sous le pilotage stratégique de l’Agence Régionale de Santé (ARS), met à disposition de ses adhérents un certain nombre de services destinés faciliter les échanges numériques entre acteurs de santé. Par ailleurs, le GCS Esanté accompagne le déploiement de programmes et projets nationaux et régionaux dans le domaine de systèmes d’information en santé, tels que la télémédecine ou le dossier médical personnel (DMP). Une après-midi d’information, organisée par l’ARS et le GCS Esanté Poitou-Charentes aura lieu le vendredi 8 novembre de 13h30 à 16h45 à l’hôtel Mercure de Niort sur le thème du DMP.
Suite à la publication du livre blanc « Modèles économiques pour le télésuivi des maladies chroniques », qui a reçu un accueil chaleureux aussi bien au niveau des professionnels du secteur que des pouvoirs publics, les industriels du numérique et des technologies médicales se félicitent de l’impulsion politique forte qui a été donnée au développement de la filière télémédecine au cours des derniers mois.
Tandis que le DMP et piloté par l'Agence des systèmes d'information partagés de santé (ASIP santé) est relancé par la ministre, des retours d’expériences démontrent son utilité.
Présenté le 9 octobre en conseil des ministres, le PLFSS 2014 (Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale) doit être examiné par les députés à compter du 16 octobre avant d’être transmis au Sénat le 12 novembre.
C’est l’une des mesures indiquées par Marisol Touraine lors de la présentation de sa stratégie nationale de santé à 10 ans, ayant pour objectif de cadrer les futures réformes du système de santé. Les maitres mots sont la prévention, amélioration de l’organisation des soins de premier recours et renforcement des droits des malades. Avec en filigrane, la lutte contre les inégalités sociales et géographiques et une meilleure prise en charge des pathologies liées au vieillissement et aux pathologies chroniques.
Si le volontarisme du discours peut être salué, la composition de la feuille de route laisse perplexe, concernant les systèmes d’information en tout cas.
Le programme Hôpital numérique constitue la politique nationale à 5 ans relative aux systèmes d’information hospitaliers (SIH). Il vise à amener l’ensemble des établissements de santé à un palier de maturité de leurs systèmes d’information liés aux processus de soins.
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