Un arrêté du 28 mars, publié au Journal officiel du 6 avril 2023, précise le calendrier du programme de financement destiné à encourager l’équipement numérique des établissements et services sociaux ou médico-sociaux, et plus précisément le déploiement du dossier usager informatisé dans le domaine de la protection de l’enfance.
À l’occasion d’un évènement organisé par le Ministère de la Santé et de la Prévention et le Health Data Hub, le 3 avril 2023 à PariSantéCampus, le Gouvernement a annoncé les lauréats de la première vague de l’appel à projets « Accompagnement et soutien à la constitution d’Entrepôts de Données de Santé (EDS) hospitaliers » soutenu par France 2030 pour un montant d’aide global de près de 40 Millions d’euros. L’Entrepôt de Données de Santé NOVA (EDS NOVA) a été sélectionné par un jury d’experts en données de santé comme un des six lauréats de la première vague de cet appel à projets. L’EDS NOVA porté par le groupement de coopération sanitaire NOVA (GCS NOVA) associe le CHU de Bordeaux, le CHU de Limoges et le CHU de Poitiers.
Le ministère de la santé et de la prévention, le syndicat national de l’industrie des technologies médicales (Snitem), France Digitale et France Biotech ont signé un protocole d’accord instaurant la création d’un comité de suivi relatif à la mise en œuvre de l’entrée dans le droit commun de la télésurveillance et de son déploiement sur le territoire.
A l’occasion de la journée du SIST (Chambre Professionnelle des Services Intégrés du Secrétariat et des Téléservices), Cegedim Santé, filiale de Cegedim proposant un écosystème de solutions interopérables aux professionnels de santé médicaux et paramédicaux, et Callibri, leader sur le marché des logiciels appliqués aux télésecrétariats, annoncent la signature d’un partenariat stratégique.
Le 29 mars 2023, la Haute Autorité de santé et l’Institut national du cancer ont annoncé la mise en ligne d’une plateforme d’aide à la prise de décision partagée pour donner accès à une information claire et pédagogique sur l’ensemble des possibilités proposées aux femmes qui vont avoir ou ont eu une mastectomie pour prévenir ou traiter un cancer.
Le 31 mars 2023, le Journal officiel a publié un décret sur la prise en charge anticipée des dispositifs médicaux numériques à visée thérapeutique et des activités de télésurveillance médicale par l’Assurance maladie.
Notre écosystème est toujours très masculin, nos événements accueillent plus de 80% d’hommes et les récentes études réalisées sur la présence des filles dans les filières scientifiques et informatiques ne montrent aucune amélioration. Pourquoi la mixité semble si difficile à atteindre dans le numérique et encore plus dans la cyber ?
A l’occasion d’un événement organisé par le ministère de la Santé et de la Prévention et le Health Data Hub ce jour, Sylvie Retailleau, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, François Braun, ministre de la Santé et de la Prévention, Roland Lescure, ministre en charge de l’industrie et Jean-Noël Barrot, ministre en charge de la Transition numérique et des Télécommunications, avec Bruno Bonnell, secrétaire général pour l’investissement, en charge de France 2030, et Lise Alter, directrice de l’agence d’innovation en santé, annoncent les six premiers lauréats sélectionnés dans le cadre de la première vague de l'appel à projets « Accompagnement et soutien à la constitution d'entrepôts de données de santé hospitaliers » de France 2030.
Owkin, biotech spécialisée dans l’IA appliquée à la recherche médicale, annonce aujourd’hui le lancement officiel de PortrAIt. Consortium français financé par France 2030 et opéré pour le compte de l’Etat par Bpifrance, par l’Union européenne - Next Generation EU, dans le cadre du plan France Relance, et en collaboration avec Gustave Roussy et Unicancer, PortrAlt a pour objectif de faire de l’Hexagone un leader mondial dans l’utilisation de l’IA appliquée à la pathologie numérique, au cours des 5 prochaines années.
Le Digital Medical Hub et la French Tech lancent HiiT, le premier programme d’accompagnement gratuit pour 23 jeunes pousses sélectionnées parmi 70 dossiers présentés par des start-up d’innovation en santé numérique. Il se déroulera du 3 au 7 avril prochains.
Le think tank Innovation Days s’est rendu, le 23 mars, à l’Élysée pour présenter au conseiller technique Industrie, Recherche et Innovation ses propositions d’amélioration d’ici à dix ans de l’offre de soins au bénéfice de tous les patients et des soignants.
Une étude de Xerfi sur le marché de l’e-santé en France développe les stratégies des acteurs et les perspectives pour 2025.
Le CHU de Saint-Étienne a sélectionné la solution de stockage flash Pure Storage pour améliorer son système d’information. Le déploiement, mené en quelques semaines avec Axians, s’est traduit par une réduction de la latence des applications et une baisse notable de la consommation électrique, ainsi que par un renforcement de la protection contre les cybermenaces.
Porté par le CHU de Toulouse, avec ses partenaires Collective Thinking et le Health Data Hub, le projet APSoReN vise à croiser les données du CHU de Toulouse avec celles du Système National de Données de Santé afin d’identifier les patients susceptibles de “décrocher” de leur parcours de soins et d’améliorer la prise en charge des 150 000 nouveaux cas de patients victimes de traumatismes crâniens recensés en France tous les ans.
La tempête n’est toujours pas passée… C’est ce que nous apprend le récent panorama de la cybermenace 2022 de l’ANSSI [1] : le nombre de cyber-attaques touchant les établissements de santé reste au plus haut niveau. Alors que faire face à cette situation ? La réponse : se préparer aux intempéries à venir ! C’est tout l’objet de l’instruction ministérielle SHFDS/FSSI/2023/15 du 30 janvier 2023 [2] : elle impose aux établissements de santé de réaliser annuellement un exercice de gestion de crise. Attention, l’objectif de ces exercices n’est pas de tester la continuité informatique ou bien la continuité de l’activité via le déclenchement des modes dégradés, mais bien de tester le fonctionnement de la cellule de crise de l’établissement.
De nombreux pharmaciens spécialisés en oncologie avaient fait le déplacement le 2 mars dernier, à Bordeaux, pour découvrir la version 6.0 de l’application Chimio de Computer Engineering. L’éditeur a présenté toutes les évolutions de son logiciel phare.
L’oncologie évolue notamment avec l’avènement des thérapies orales. Ce qui soulève de nouveaux enjeux pour les patients et pour l’ensemble des acteurs de sa prise en charge. Les nouvelles solutions numériques répondant aux besoins à la fois des professionnels de santé et des patients doivent assurer l’accompagnement, la coordination, la qualité et la sécurité de la prise en charge ambulatoire.
La présidente de la CNIL a rappelé à deux organismes procédant à des recherches médicales leurs obligations légales.
Emmanuel Mougeotte, Directeur Général France de Dedalus, leader européen des logiciels en santé, a inauguré jeudi 16 mars, le nouveau siège social de l’entreprise en France, à Artigues-près-Bordeaux. Alain Garnier, maire d’Artigues et vice-président de Bordeaux Métropole, Stéphane Delpeyrat, vice-président du développement économique et de l’emploi - Enseignement supérieur et Recherche de Bordeaux Métropole et Alain Rousset, président de la Région Nouvelle-Aquitaine ont fait l’honneur de leur présence ainsi que Françoise Jeanson, Vice-présidente santé silver économie du Conseil régional de Nouvelle Aquitaine, entourés de nombreux acteurs locaux clés et de près de 200 collaborateurs de Dedalus. A cette occasion, le numérique en santé a été mis à l’honneur à travers les activités phare de l’agence bordelaise qui abrite un important département de Recherche et Développement et place l’innovation au coeur de son activité. Mais l’implantation de Dedalus France en Nouvelle-Aquitaine ne date pas d’hier. En effet, le nouveau siège social regroupe les activités d’ex Web100T (initialement basé à Mérignac) racheté en 2019 et d’ex Agfa HealthCare, racheté par le groupe en 2020. Le groupe poursuit ainsi son intégration et sa croissance sur le territoire.
L’agence du numérique en santé (ANS) a organisé les 14 et 15 mars à Paris ses troisièmes Journées nationales du numérique à l’hôpital. Elles ont été l’occasion de présenter le chemin parcouru par les programmes HOP’EN et SUN-ES dédiés à la transformation numérique et la modernisation des établissements de santé.
Gustave Roussy et sa filiale de valorisation, Gustave Roussy Transfert, annoncent la création de la start-up Orakl, dont l’objectif est de valoriser une collection d’avatars de tumeurs, combinant à la fois leur biologie et leurs données cliniques, pour nourrir l’arsenal thérapeutique contre le cancer. En partenariat avec différents acteurs en oncologie, Orakl transformera les stratégies d’identification de cibles thérapeutiques et de validation des candidats médicaments.
Le 7 mars, l’Agence du numérique en santé a annoncé le référencement de deux nouveaux services sur Mon espace Santé. Le catalogue comprend désormais 20 services dans le champ de la santé et du bien-être.
Le Green Data for Health, plateforme référençant des données environnementales, et le Health Data Hub, plateforme hébergeant des données de santé, ont annoncé aujourd’hui les quatre projets lauréats de l’appel à projets qui seront accompagnés humainement et financièrement sur 18 mois minimum. Cette annonce a eu lieu dans le cadre de la 2e édition de la Communauté de la donnée en santé-environnement. Cette journée, visant à fédérer et animer une communauté de la donnée au service des enjeux de recherche en santé environnement, s’inscrit dans le cadre du quatrième Plan national santé environnement.
Les solutions réseau d’HPE Aruba Networking pour les établissements de santé tirent parti de la technologie SD-WAN. Elle simplifie la gestion des sites distants et optimise les communications entre eux, en utilisant des technologies logicielles pour diriger le trafic de manière dynamique. Avec à la clef, plus de résilience, de flexibilité et d’économies.
Quelles étapes respecter pour assurer le déploiement d’une solution de pré-admission en ambulatoire ? Retour sur expériences de la Polyclinique Saint Privat (Hérault), pour souligner l’importance de la communication interne et de la gestion de projet assurées par les éditeurs.
Lors d’une journée d’échanges organisée le vendredi 3 mars à Lille, le réseau national France Biotech est venu à la rencontre des acteurs de l’innovation santé des Hauts-de-France. Dans le contexte favorable du Plan Innovation Santé France 2030, créer des ponts et des synergies entre parties prenantes, quelles soient publiques ou privées (structures de recherche, établissements de soins, structures de formation, entrepreneurs,…) est essentiel. Cette journée a été l’occasion de partager les résultats du Panorama national de la Healthtech réalisé par France Biotech et de souligner les atouts de l’écosystème des Hauts-de-France ainsi que la force de son collectif, comme l’illustre la candidature lilloise à l’AMI Biocluster, porté par plus de 120 structures du territoire.
Mi-février, la CNSA a annoncé l’ouverture d’appels à projets régionaux et nationaux pour sélectionner de nouveaux établissements et services sociaux et médico-sociaux partenaires du programme ESMS numérique. En 2023, 84 millions d’euros sont ainsi dédiés au programme ESMS numérique.
Dans un monde où les inégalités face à l’accès aux soins perdurent, où le problème des déserts médicaux n’est toujours pas résolu et où le eHealthwashing se développe, les innovations numériques sont appelées à prendre de plus en plus de place au sein de nos systèmes de santé. Soucieux de faire émerger et de soutenir, dans ce domaine, les entrepreneurs et leurs projets innovants, les trophées de la e-santé de l’Université de la e-santé de Castres-Mazamet sont le rendez-vous à ne pas manquer !
En 1981, l’ordinateur personnel fait irruption dans les foyers. 2 décennies plus tard, 386 millions d’ordinateurs sont connectés. Aujourd’hui, on compte environ 5 milliards d’internautes. PC, smartphones, objets connectés, applications…, utilisés dans un cadre personnel ou professionnel, nous accompagnent quotidiennement. Mais le numérique n’est pas une « industrie immatérielle ». Et nous, utilisateurs, avons découvert, parfois circonspects, que l’envoi d’un mail génère 4g de CO2 ou encore que, à l’échelle mondiale, les data centers sont à l’origine de 2 % des émissions de gaz à effet de serre, atteignant le même niveau que le transport aérien (1). Se pose alors légitimement la question du coût environnemental du numérique et de l’intérêt collectif d’une démarche numérique responsable. Entretien avec Jean-Pascal MINNI, Consultant WELIOM.
Alors que l’espace européen des données de santé est encore à ses balbutiements, le règlement sur la gouvernance des données, (en anglais data governance act – DGA), première pierre de l’arsenal juridique européen visant à instaurer le marché unique de la donnée, entrera en application le 24 septembre prochain. Applicable tout secteur confondu, ce règlement trouve un écho particulier dans le secteur de la santé. Preuve en est, le cas des services d’intermédiation.
Les dispositifs médicaux font partie intégrante de la prise en charge médicale, ceux qui intègrent une fonction numérique peuvent générer un grand nombre de données de vie réelle et ouvrent la voie à une médecine plus personnalisée. Ces données permettent, par exemple, de renforcer le suivi entre deux consultations, de contribuer à l’accompagnement thérapeutique, d’anticiper des complications, ou d’améliorer la coordination des professionnels de santé.
Les entrepôts de données de santé présents dans les établissements sont trop souvent à usage unique et statique, avec des données non-normalisées. Les rendre interopérables, sécurisés et dynamiques est pourtant essentiel pour répondre aux défis que traversent le secteur de la santé.
Le 16 février, le Health Data Hub a annoncé le lancement d’un groupe de travail composé de représentants d’usagers du système de santé et d’étudiants pour coconstruire son système d’information national, et en particulier l’outil permettant aux citoyens d’exercer leurs droits sur leurs données.
Le 20 février 2023, dans le cadre du Ségur du numérique en santé, l’ANS a annoncé que 95 % des officines sont éligibles à la prise en charge par l’État après le référencement de la majorité des logiciels de gestion d’officine.
Fin janvier, l’Anap a présenté son COP 2022-2026, comprenant notamment la simplification et l’amplification des outils d’accompagnement.
Le Groupement des Hôpitaux de l'Institut Catholique de Lille (GHICL), quatrième acteur de santé des Hauts de France, a déployé Hopital Manager de Softway Medical en remplacement de son DPI. Le chantier a été marqué par la collaboration étroite entre les équipes de l'éditeur et du GHICL, ainsi que par l'intégration de start-ups de l'écosystème de santé.
L’Agence du Numérique en Santé (ANS) a publié le 21 février la nouvelle version de la doctrine du numérique en santé. Ce document, qui fournit le cadre de référence dans lequel les services numériques d’échange et de partage de données de santé devront s'inscrire dans les années à venir, comprend deux nouveaux chapitres sur SAS et Via Trajectoire.
Le 16 février 2023, le collectif Télésurveillance médicale créé par le Catel a publié des recommandations pour favoriser un déploiement d’usages efficace, au service des patients.
Au 1er mars 2023, deux catégories de dispositifs médicaux innovants seront radiées du Titre V de la LPPR1, les cathéters de thrombo-aspiration (AVC) et les guides FFR (maladie coronarienne). Cette décision prise par les autorités sans aucune concertation préalable impactera fortement les établissements de santé qui, faute de financement dédié, risquent de renoncer à acheter ces produits. Elle entrainera un accès restreint et inégal à ces technologies sur le territoire, une dégradation de la prise en charge des patients victimes d’AVC et de maladies coronariennes, conduisant à une réelle perte de chance pour ces patients.
Pour assurer la chaîne complète de prise en compte des patients en cas de crises d’ampleur, qu’elles soient locales, régionales ou nationales, le Portail SI-Samu (outil collaboratif des professionnels de l’urgence et de prise en charge médicale des patients lors d’évènements majeurs), SI-VIC (solution d’identification et de suivi des victimes d’attentats ou de situations sanitaires exceptionnelles) et SINUS (système d’information pour le dénombrement des victimes du ministère de l’intérieur) sont aujourd’hui interfacés. Avec cette interconnexion, tous les acteurs de la crise (établissements de santé, Samu, pompiers, médecins, Agences régionales de santé, ministères) partagent leurs informations en temps réel pour une gestion plus rapide, coordonnée et efficace des situations de crise.
Si de nombreux établissements hospitaliers fonctionnent avec l’application Pharma, de Computer Engineering, pour gérer l’activité de leur PUI, d’autres cherchent des outils facilement interopérables avec leur SI en place. Computer Engineering propose notamment un logiciel autonome pour assurer la rétrocession des médicaments.
Un centre hospitalier peut-il être contraint, en application du Code des relations entre le public et l’administration, de communiquer des documents contenant des données de santé pseudonymisées ? C’est à cette question que le Conseil d’Etat a dû répondre, dans un arrêt du 8 février 2023.
Le programme ESMS Numérique est promu dans l’action 21 de la feuille de route « Accélérer le virage numérique ». Ce programme repose principalement sur le déploiement d’un Dossier de l’Usager Informatisé (DUI). Toutefois, l’expérience sur le terrain du cabinet de conseil, WELIOM, tend à prouver que, sans préparation, le déploiement d’un DUI est à risque. Et ce, d’autant plus que le nombre de structures est grand, que le champ d’activité est varié et que la maturité digitale est faible. Comprendre son environnement numérique, répondre aux interrogations, voire aux appréhensions des utilisateurs, susciter l’envie et s’approprier les usages des services socles… sont autant de prérequis à maitriser. Avec Nathalie Bessis-Levy, Consultante WELIOM
Dans sa trajectoire de forte croissance, le Groupe Softway Medical - leader de l’informatique en santé labellisé Happy at Work – ouvre 114 postes en CDI de développeurs, techniciens et infrastructures à Paris, Lyon et Aix-en-Provence.
Le 3 février 2023, le Conseil national de l’Ordre des médecins et la Cnil ont annoncé la signature d’une convention de partenariat pour la protection des données de santé.
Maincare a annoncé deux partenariats visant à renforcer son catalogue et à proposer une solution « tout intégrée ». Le premier, avec Evolucare, permettra l’intégration croisée de leurs solutions respectives Oproom et e-Venue dans leur catalogue produits. Le second concerne l’intégration dans le catalogue de Maincare de la solution de gestion des flux patients SESAME d’Atout Majeur Concept.
Le 7 février, l’ANS a annoncé l’ajout de nouvelles fonctionnalités dans son espace authentifié pour simplifier les démarches des entreprises du numérique en santé.
Maincare et Atout Majeur Concept ont signé un partenariat pour apporter une réponse complète aux enjeux des établissements et GHT en matière d’optimisation des flux patients : d’un côté la solution SESAME d’Atout Majeur Concept ; de l’autre la complémentarité de leurs expertises pour intégrer rapidement la solution dans le SIH et accompagner les établissements dans la transformation des organisations.
Depuis janvier 2022, l’espace numérique de santé « Mon Espace Santé » a remplacé ce que l’on appelait avant DMP (ou dossier médical partagé). Destiné à simplifier autant le parcours santé des usagers que leurs échanges avec les professionnels de santé, la finalité est surtout d’optimiser la prise en charge en permettant le stockage des données dans un seul et unique espace. C’est dans ce contexte que la gestion de la donnée de santé évolue de plus en plus vite et se digitalise. En 2021, c’est l’application « Appli carte Vitale » - qui a été testée dans plusieurs départements - avait pour objectif une généralisation dans tout l’hexagone d’ici la fin 2023.
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