Retour à des conférences bare metal SSI, ce qui est une très bonne initiative de l’APSSIS : des origines au futur de la crypto avec un expert du genre, un temps fort du congrès.
Très intéressant décryptage par le binôme ALCATEL / Philippe Loudenot des concepts de macro et micro-segmentation.
Conférence très attendue avec SIGMA et le Pr Pierre-Antoine Gourraud.
Présentation de l’activité du CERT Santé (dont le rapport d’activité 2020 est disponible ici[1]), avec un focus rapide sur les typologies d’incidents, dont près de 60 % sont d’origine malveillante. Près de 400 incidents déclarés par an (chiffre stable sur 2019-2020 compte tenu certainement de la crise sanitaire)
Dominique Pon (DNS) rappelle et re-décrit en détail la feuille de route du socle régalien de l’offre numérique en santé... Beaucoup de rappels importants dans le discours de M. Pon, et qui termine sur l’idée que les indicateurs SSI pourraient devenir à terme coercitifs.
Vendredi 18 juin, le Conseil du numérique en santé a dressé un point d’étape sur la mise en œuvre opérationnelle du Ségur du numérique en santé destiné à généraliser le partage fluide et sécurisé des données de santé entre professionnels et usagers pour mieux soigner et accompagner.
Le quatrième opus des Guides Cyber-Résilience est paru. La thématique : la sécurisation du Cloud, avec l’objectif de poser clairement le problème, de présenter les différentes approches possibles avec leurs avantages et leurs inconvénients, de sensibiliser le lecteur aux questions connexes de telle sorte à disposer d’une vision globale du sujet. Le Guide s’adresse aussi bien aux professionnels de santé qu’aux décideurs ou aux DSI.
En février dernier, Zenidoc annonçait son partenariat avec les équipes de recherche du Laboratoire informatique d’Avignon (LIA) pour une durée de quatre ans. Afin de mieux comprendre les enjeux de ce partenariat et ce qu’il implique, nous avons interviewé les deux parties prenantes de ce projet. Découvrez leurs témoignages ci-après.
Aujourd’hui, le monde de la santé n’a jamais autant produit et échangé de données de santé. Il est devenu primordial pour les établissements de pouvoir accueillir et traiter cette nouvelle amplitude d’informations avec une contrainte forte de sécurité et de confiance.
Le GIE Sesam-Vitale a lancé un partenariat d’innovation pour une solution sur mesure de sécurisation de l’appli carte Vitale avec Orange Business Services, Thales et Worldline.
Le Groupe AHNAC propose une offre de soins portée par 15 structures sanitaires et médico-sociales. Fort de plus de 1500 lits et places et de ses 3000 collaborateurs, il est un acteur majeur de santé des Hauts-de-France. Dans le cadre d’un projet global d’évolution de son Système d’Information et de son organisation, le Groupe a fait appel à WELIOM pour l’accompagner. Au-delà d’un simple changement de solutions, ce projet représente un enjeu fort d’optimisation des parcours patients et des processus métiers, de recherche d’efficience et de gains de productivité, de convergence des modes de fonctionnement des établissements et d’amélioration de l’expérience proposée aux patients et aux professionnels de santé usagers.
Le 11 juin, la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) a annoncé l’approbation dupremier code de conduite européen des fournisseurs de services d’infrastructure Cloud relatif à la protection des données, porté par Cloud Infrastructure Services Providers in Europe (Cispe).
C’est bien connu : la différence entre les ennuis et les emmerdements, c’est que les premiers se baladent souvent tout seuls, alors que les seconds ont une fâcheuse tendance à se promener en groupe ou à voler en escadrille.
Je sais pertinemment que nos modestes systèmes d’information de santé français ont logiquement assez peu de chance d’être victimes d’attaques basées sur l’exploitation de vulnérabilités encore inconnues des éditeurs, mais je trouve assez effrayant de voir le nombre de vulnérabilités dites « 0 Day » révélées ces derniers mois…
Vu l’état général des moyens financiers et humains des DSI d’établissements de santé (1,7 % du budget de l’établissement, moyenne nationale, contre 3,5 % pour atteindre le niveau 6 de Himss qui est l’ambition affichée de tous les plans HNUM depuis 15 ans), à un moment donné on ne peut plus tourner autour du pot, il faut bien nous expliquer où on va trouver les sous. Ça ne rate jamais, il se trouve toujours quelqu’un pour venir vous expliquer que la convergence des SI – et des DSI – va faire réaliser des économies tellement miraculeuses que le jackpot au Loto, à côté, c’est de la gnognotte. Eh bé non. Voici pourquoi.
Début juin, le Health Data Hub et Santé publique France ont annoncé leur soutien à la création de DIPoH, une structure européenne pour mieux contribuer à l’amélioration de la santé des populations.
Aujourd’hui, faire entrer l’innovation à l’hôpital n’est pas chose aisée. La faute notamment à un modèle d’intégration qui peine à répondre à des enjeux d’usages et de déploiement rapides, à la fois du côté des hôpitaux que des solutions de e-santé.
Le marché des logiciels de stérilisation regroupe deux familles, les outils métiers et les outils associés aux matériels. Les premiers comprennent des solutions historiques hautement spécialisées et très complètes, mais au coût élevé. Les seconds intègrent des solutions fournies par les fabricants (laveurs et autoclaves), peu onéreuses mais souvent incomplètes (pas de traçabilité nominative des patients en salle de bloc). TimeWise Stérilisation aborde le problème sous un autre angle, avec une solution d' "entrée de gamme" qui permet tout en même temps de répondre à l’ensemble des obligations règlementaires.
Mis à part la Guyane et la Corse dont les marchés restent à finaliser, on connaît pour toutes les autres régions l’outil d’e-Parcours retenu et en cours de déploiement. À mesure que les professionnels intégrés à des dispositifs de coordination s’approprient leurs outils, de nouveaux usages autres que le seul échange d’informations devraient voir le jour.
Un webinaire de 75 minutes, le 17 juin à 11h00 avec le retour d’expérience de l’AP-HP et des Hôpitaux Universitaires de Strasbourg, interrogés par l’APSSIS
La pandémie l’a mis en lumière : pour faire progresser notre système de soins, il faut accélérer de manière significative sa transition digitale. Ce constat se reflète dans la place historique accordée au numérique dans le cadre du Ségur de la Santé. Ce sont ainsi près de 2 milliards d'euros d'investissement prévus sur 3 ans pour permettre de rattraper le retard « dans la modernisation, l’interopérabilité, la réversibilité, la convergence et la sécurité des systèmes d’information en santé ».
Les travaux sont en cours, sur le plan national, pour sécuriser les SI des établissements de santé, malmenés ces derniers mois à la suite des attaques de Dax et de Villefranche. Avant d’être une question de budget – on a une fâcheuse tendance à tout ramener à des questions de sous dans ce pays –, c’est d’abord une question de démarche. Ce qui est en train d’être mis en place s’appelle tout simplement un SMSI (Système de management de la sécurité de l’information), concept développé par la norme ISO 27001. Et un SMSI suppose le respect de huit piliers, qu’il s’agisse de l’échelon national ou de la mise en place d’un dispositif équivalent au sein d’un établissement de santé.
Dans la nouvelle version 6.0 de son application Pharma®, Computer Engineering a complété le module BMO®de gestion de la conciliation médicamenteuse. Désormais les équipes médicales peuvent réaliser très facilement la conciliation de sortie.
Par Jean-Noël Galzain, Fondateur de WALLIX & Philippe Loudenot, Membre spécialiste de la Santé du CESIN et anciennement au Ministère de la Santé
Le vendredi 4 juin, un arrêté et un décret relatifs à la télésanté ont été publiés au Journal officiel. Le premier autorise les pharmaciens et les auxiliaires médicaux à pratiquer le télésoin, à l’exclusion des soins nécessitant un contact direct en présentiel entre le professionnel et le patient ou un équipement spécifique non disponible à proximité du patient. Le second ouvre la télé-expertise à ces professionnels de santé, sans la présence mais avec l’autorisation du patient. DSIH a rencontré Lydie Canipel, coprésidente de la Société française de santé digitale (SFSD).
Fin mai, le Health Data Hub a annoncé la signature d’une convention de partenariat avec les dix lauréats de l’appel à projets organisé en 2020 conjointement avec Le Grand Défi et Bpifrance.
Sous l’impulsion de l’URPS Médecins Libéraux Occitanie, le MiPih déploie ses nouvelles orientations stratégiques avec le développement d’une nouvelle offre E-Santé - Parcours de soins. Ainsi la plateforme Médicam s’enrichit d’une nouvelle solution : la téléexpertise « Médicam Expert ». Son objectif ? améliorer la prise en charge des patients en digitalisant la relation entre les médecins et les médecins spécialistes quels que soient leurs lieux d’exercice en ville ou à l’hôpital.
Aujourd’hui encore plus qu’hier, le secteur de la santé a démontré sa capacité à évoluer. Face à la crise sanitaire, les professionnels concernés sont appelés à accélérer leur transformation et à se réinventer.
Le CHU de La Réunion dispose d’un pôle d’excellence en cancérologie, qui offre aux réunionnais et aux patients de la zone une prise en charge complète en oncologie. Etablissement support du Groupement Hospitalier de Territoire (GHT) de La Réunion, il porte également le 1er pôle inter-établissement du GHT depuis 2018, le pôle de cancérologie GHT. Le CHU collabore ainsi régulièrement avec Gustave Roussy, premier centre de lutte contre le cancer en Europe situé en Métropole et de référence national et internationale dans le traitement des cancers.En signant aujourd’hui une convention cadre de partenariat, les deux institutions souhaitent officialiser leur coopération au bénéfice des patients réunionnais, s’appuyant sur leurs complémentarités et une structuration des échanges existants entre leurs équipes médicales.
Le Groupe Dedalus, éditeur international leader de solutions logicielles pour la santé, a fait l’acquisition de Dosing GmbH, l’un des principaux éditeurs de solutions logicielles en tant que service dans le domaine de la sécurité des médicaments. Cette acquisition permet à Dedalus d'élargir son portefeuille, en y intégrant des solutions spécialisées pour accompagner les prescripteurs et les patients durant tout le processus de traitement médicamenteux, de la recommandation thérapeutique et la prescription jusqu'à l’administration et les instructions d'utilisation.Cet investissement dans le contenu clinique participe à améliorer la qualité et renforcer la sécurité des soins.
Afin de faciliter un accès rapide des patients aux technologies et dispositifs médicaux innovants, un nouveau dispositif de prise en charge transitoire a été mis en place pour accorder le remboursement pendant un an des dispositifs médicaux thérapeutiques ou de compensation du handicap présumés innovants. Cette nouvelle disposition est aujourd'hui opérationnelle et les industriels peuvent déposer leur dossier auprès de la HAS qui rendra un avis rapidement, dans un délai de 45 jours maximum.
L’Union européenne, toujours prompte à dégainer le réglementaire, même (et surtout) pour les trucs qui n’existent pas encore, a manifestement décidé de réglementer l’IA – et là, c’est pour la bonne cause. Face aux risques inhérents à ce type de technologie, la Commission a proposé un cadre juridique sous la forme d’un projet de règlement (Artificial Intelligence Act), qui entrera en vigueur dans un délai compris entre deux et quatre années et sera associé à un plan coordonné d’actions.
Un nouveau référentiel de certification des systèmes d’information de santé se profile. Dénommé Mathurin-H, il concrétise l’action 23 de la feuille de route du numérique en santé. Yves Normand, formateur ISO/CEI 27001 Lead Implementer, consultant en sécurité de l’information, auditeur qualifié ISO 27001 et HDS, répond aux questions de DSIH sur les enjeux de ce référentiel pour les établissements de santé, et l’intérêt d’être certifié ISO 27001.
Le 26 mai 2021, un nouveau règlement européen sur les DM est entré en vigueur pour renforcer les prérequis nécessaires à l’obtention du marquage CE médical de même que les outils de traçabilité et de transparence.
Le 18 mai dernier, la Cnil a publié pour 2020 son 41e rapport annuel qui pointe une activité fortement marquée par la crise sanitaire, mais également par les nouvelles règles sur les cookies, la cybersécurité et la souveraineté numérique.
Contrairement à ce que certains commerciaux voudraient nous faire croire, tout comme la conformité au RGPD, le Zero Trust, n’est pas une solution commerciale sur étagère !
Indispensables aux soins, les appareils biomédicaux constituent pourtant un risque majeur pour les établissements de santé. Ils ont souvent été conçus avant que la sécurité des systèmes d’information hospitaliers ne devienne une priorité, ce qui en fait une cible privilégiée pour les hackers. Capsule, spécialiste de l’intégration de ces dispositifs, dans les services de réanimation et d’urgence principalement, a développé un intergiciel sécurisé qui protège les appareils biomédicaux des cyberattaques.
AMA, pionnier du marché des solutions de smart workplace, a déployé sa solution XpertEye auprès d’une quinzaine de SAMU en France et Outre-Mer. Dernièrement, le SAMU 92 a rejoint les SAMU 93 et 94 en intégrant la plateforme XpertEye afin d’améliorer la prise en charge des situations d’urgence grâce à la visiorégulation. Ce même cas d’usage a également amené les pompiers du Val d’Oise (SDIS 95) à retenir la solution XpertEye, qui devient désormais incontournable pour les services d’urgence sur le terrain.
Afin d’offrir aux patients internationaux un accès simplifié à son expertise mondialement reconnue, Gustave Roussy, premier centre de lutte contre le cancer en Europe, s’est associé à Maincare pour développer une plateforme de gestion des seconds avis médicaux.
Le Grand-Est est l’une des régions les plus touchées par la pandémie. Le pôle de compétitivité BioValley France a mobilisé dès le début de la crise sanitaire l’écosystème régional dans un objectif de reconquête de la pleine souveraineté sanitaire de la France.
WELIOM a le plaisir de vous inviter à un webinaire exceptionnel avec Luc FERRY, Philosophe, ce mardi 25 mai 2021 à 11 heures, qui nous offrira l’occasion d’entendre la vision d’un philosophe ancré dans son temps, sans langue de bois !
Les nouveautés technologiques passent par une courbe bien connue, nommée « courbe d’acceptation » ou « courbe du deuil » : découverte, euphorie, déception, etc. En général, quand le moral est au fond du trou, c’est paradoxalement plutôt une bonne nouvelle puisque les « scories » véhiculées par les vendeurs de rêves ont été filtrées, et l’on peut enfin se concentrer sur l’essentiel, à savoir ce que la nouveauté ou l’invention est réellement capable de faire. Ou pas.
La gestion des stocks de produits consommables, hors médicaments, est une préoccupation constante en milieu hospitalier. Étant donné les volumes, les coûts et les contraintes économiques que cela représente pour les établissements de santé, les services achats des hôpitaux doivent piloter au mieux leur activité.
Avec sa solution de reconnaissance vocale Dragon Medical One, l’éditeur Nuance aide les structures de soins à accélérer leur trajectoire vers l’atteinte de plusieurs objectifs de la nouvelle certification des établissements de santé pour la qualité et la sécurité des soins de la HAS.
Dans les trois prochaines années, la hausse prévue du marché de l’e-santé est de 160 %, d’après l’analyse du Leem. Pour Les Entreprises du médicament, qui représente l’industrie du médicament et des dispositifs médicaux, le secteur, composante essentielle de la modernisation et de l’efficience du système de santé, suscite légitimement un intérêt grandissant des pouvoirs publics (PariSanté Campus, Health Data Hub, feuille de route ministérielle du numérique en santé…) et positionne la France comme un leader mondial du numérique en santé dans la course à l’innovation.
Depuis le 1er janvier 2021, pour éviter les erreurs de traitement des données de santé, la Loi impose d’utiliser l'Identité Nationale de Santé (INS) dans tous les logiciels. Les centres d’imagerie médicale mettent en place ce nouvel accompagnement pour les patients.
Fruit de leur partenariat technologique et commercial signé en février dernier, NEHS DIGITAL et TESSI lancent la nouvelle plateforme YSIS. Modulaire et interopérable, elle propose des services numériques innovants pour simplifier, digitaliser et accompagner la transformation numérique de l’hôpital.
À quelques jours du congrès de la Société Française de Médecine d’Urgence, DSIH vous propose un webinaire exceptionnel, dans le cadre des Jeudis du Numérique, le jeudi 27 mai de 11 h à 12 h 15, avec le Dr Arnaud Berthier, urgentiste au CH de Bourg-en-Bresse, le Dr Romain Dewilde, urgentiste au CH Sambre-Avesnois de Maubeuge et le Dr Jean-Christophe Thibaud, radiologue au CH de Béziers.
Nuance Communications, Inc. annonce aujourd’hui le déploiement de sa solution de reconnaissance vocale Nuance Dragon Medical One au sein du pôle imagerie duCentre Hospitalier Universitaire (CHU) de Lille. La solution, portée par le Cloud, permet désormais aux médecins de renseigner le dossier patient en temps réel, depuis n’importe quel appareil, où qu’ils soient, en utilisant la voix.
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