Le 14 mai 2019, le Board d’Agfa Gevaert décidait d’étudier la cession d’une partie d’Agfa HealthCare dans le cadre du processus de transformation du Groupe Agfa Gevaert.
Le 13 novembre 2019, l’Agence des systèmes d’information partagés de santé (Asip Santé) a publié, sur son site internet, un état des lieux de l’offre de service de télémédecine et des besoins pour développer cette pratique en France.
La solution phare de Nuance pour le secteur de la santé est désormais disponible dans le Cloud et distribuée sous un modèle SaaS. Dragon Medical One, la nouvelle solution de reconnaissance vocale médicale dans le Cloud, ouvre la voie à de nouvelles possibilités. Elle permet aux établissements sanitaires de s’affranchir de nombreuses contraintes (ressources et ETP IT, budgets serveurs…) tout en apportant aux professionnels de santé une solution toujours à la pointe, hautement disponible, toujours plus performante et qui répond à leurs exigences de mobilité (cabinet, GHT, hôpital, domicile).
Toute l’équipe ITrust vous invite mardi 10 décembre à suivre son prochain webinar, de 11H00 à 11H45. Cette édition est consacrée à « L'usage de l'intelligence artificielle dans un SOC ».
Un article, relayé largement sur LinkedIn[1] en fin de semaine, a attiré mon attention. Deux chercheurs de l’Université catholique de Louvain (Luc Rocher et Julien Hendrickx) se sont posé la question de savoir si des données anonymisées pouvaient tout de même être réidentifiées. On subodorait déjà que la réponse était oui : on en a maintenant la preuve. Explications.
Le Centre hospitalier de Luxembourg – implanté dans la capitale du Grand-Duché – et le Centre hospitalier Émile-Mayrisch – à Esch-sur-Alzette, au sud-ouest du pays – viennent de démarrer le déploiement de leur dossier patient mutualisé informatisé de nouvelle génération Dop@min. Cette solution est basée sur la plateforme territoriale de production de soins Maincare IC.
Une personne meurt de sepsis toutes les 5 secondes dans le monde. C’est encore aujourd’hui une des causes de mortalité les plus importantes. Cela représente 30 000 décès chaque année en France, où la mortalité des patients atteints d’un sepsis est de 27% et peut atteindre 50% pour la forme la plus grave, le choc septique. Et les prévisions projettent un doublement du nombre de cas d’ici cinquante ans, notamment dû au vieillissement de la population.
GS1, en collaboration avec plusieurs acteurs du secteur de la santé, présente un standard permettant une identification des produits de recherche dans les processus d’essais cliniques. Cette avancée répond à un besoin de meilleure identification et de traçabilité afin d’assurer la sécurité des patients.
En regardant les innovations techniques apportées aux logiciels malveillants, je me dis deux choses. Tout d’abord que les attaquants ne sont pas en manque d’inspiration lorsqu’il s’agit de malmener nos pauvres systèmes d’information. Ensuite qu’ils doivent attribuer beaucoup plus de budget au département recherche et développement que les éditeurs de logiciels « bienveillants », en particulier ceux du secteur de la santé.
A partir du 1er janvier 2020, les 9 200 pharmacies équipées du logiciel métier d’officine LGPI profiteront d’une nouvelle base de données produits et services intégrée à leur logiciel, la Base de données Claude Bernard (BCB).
Le CHU de Rouen a subit l’attaque informatique que l’on sait, et bon nombre d’entre nous sommes en train de colmater autant de brèches que l’on peut avant que cela soit notre tour. Mais par quel bout commencer ? L’AD bien entendu, ce n’est rien de moins que le composant le plus sensible du SI (et paradoxalement celui qui est souvent dans le pire état en termes de SSI). Mais comment aborder cette sécurisation, par quelles mesures ?
Mardi 19 novembre, le Sénat a adopté la proposition de loi tendant à instituer une carte Vitale biométrique, déposée le 21 mai 2019 par M. Philippe Mouiller, ce texte visant à lutter contre la fraude sociale, autrement dit à « empêcher l’utilisation de vraies cartes Vitale par des personnes qui n’en sont pas les titulaires ».
Dans un de mes précédents postes, une directrice de soins avait coutume de dire que « l’informatique dans les hôpitaux, c’est comme l’URSS : on sait envoyer des types dans l’espace, mais il n’y a pas de pain dans les boulangeries ». On était au début des années 2000, bien avant le premier plan Hôpital numérique, et les DSI des hôpitaux n’avaient pour la plupart pas encore franchi la porte de l’unité de soins, mais je crains que si le cœur de métier a subi une grosse informatisation en presque 20 années, on en soit toujours au même stade sur le volet Sécurité.
La solution Dic’T de la société Anticyclone, acquise en 2019 par le groupe Maincare Solutions, a fait l’objet d’un nouveau référencement par le Resah dans le cadre du marché « Acquisition, installation et mise en oeuvre d'une solution logicielle de dictée numérique, de reconnaissance vocale et acquisition de matériels associés ».
Ramsay Santé, l’un des leaders européens de la prise en charge globale du patient, annonce le déploiement auprès de sa communauté de praticiens de Lifen, solution de communication médicale universelle.
Le numérique se déployant, et la CNEDiMTS* évaluant de plus en plus de dispositifs médicaux connectés, la question de l'accès au remboursement de ceux qui utiliseront l'intelligence artificielle va se poser. Afin de fluidifier l'instruction de ces dossiers – et ainsi permettre aux patients un accès rapide à l'innovation – la HAS publie aujourd'hui un projet de grille d'analyse des algorithmes auto-apprenants. Cette initiative contribue à cerner ce champ nouveau en pleine expansion. Elle est soumise à consultation publique jusqu'au 20 janvier 2020 pour recueillir les suggestions de tous les acteurs concernés.
XPERIS, la solution de nehs en matière d’interopérabilité et de sécurisation des données a été retenue par la CAIH dans le contexte d’un accord-cadre visant a accompagner plus 1 200 établissements de santé́ dans le développement de solutions d’interopérabilité. Le marché concerne la mise en place de plateforme EAI (Intégration des applications d’entreprise) et d’échange de données informatisées (EDI) afin que les différentes composantes du système d’information hospitalier (SIH) puissent communiquer facilement. Ce marché, multi-attributaire, est conclu pour une période de 4 ans.
Depuis le 1er juillet dernier, le portail myHOP s’appelle désormais Viapatient mais son objectif reste inchangé : proposer un éventail de services le plus complet possible dans une solution unique à l’échelle d’un territoire, d’un GHT ou d’une région.
Connaissant très bien cette situation pour être déjà passé par là, à l’heure où j’écris ces lignes, je pense évidemment à nos collègues des équipes SI du CHU Rouen qui font tout ce qui est en leur pouvoir pour relancer au plus vite le système d’information de leur établissement à l’arrêt depuis le 15 novembre au soir [1]. Comment ne pas penser également aux professionnels de santé, privés de leurs outils, dossier patient, prescriptions, résultats d’analyses, prise de commande des repas etc...
Avec ses milliers de patients au quotidien, le monde hospitalier détient des quantités phénoménales de données. Le stockage informatique est donc une priorité pour ces structures et elle s’insère pleinement dans leur stratégie numérique.
Mieux comprendre pour mieux soigner… L’analyse de l’histoire singulière des patients et de leur parcours de soins, à l’échelle d’un établissement, d’un territoire ou encore populationnelle, se nourrit des multiples données de prise en charge stockées dans des entrepôts. Des outils d’interopérabilité sont indispensables pour abonder ces bases comme pour les consulter.
L’AP-HP a récemment annoncé avoir déployé son DPI Orbis dans ses 39 hôpitaux, et cette information parue dans un média[1], est très intéressante à la fois par ce qu’elle dit et par ce qu’elle ne dit pas.
Le Grand Est est la première région de France à publier son appel d’offres e-Parcours. Dès 2020, le Grand Est pourra ainsi offrir aux acteurs de la santé, du médico-social et du social de la région un bouquet de services numériques de coordination, facilitant la prise en charge du patient et de l’usager dans son parcours de soins. La démarche e-Parcours du Grand Est s'inscrit pleinement dans la continuité de la stratégie de transformation du système de santé « Ma santé 2022 ».
En avril dernier était présentée la feuille de route « Accélérer le virage numérique » du plan Ma Santé 2022, une présentation suivie quelques mois plus tard par la mise en concertation des premiers éléments de sa doctrine technique. En phase avec l’ambition et les fondamentaux de cette feuille de route, Maincare Solutions a présenté lors des Journées e-Santé 360 les principaux points d’alignement de sa stratégie avec les orientations et les actions de la doctrine nationale.
Docaposte créé l’événement avec un symposium inédit dédié à la e-santé « Les 3 Sphères » Ce sujet, encore trop peu exploré, sera débattu par des figures du monde de la santé, de la tech, de l’économie et des patients pendant une après-midi. Rendre-vous le 25 novembre 2019, Pullman Eiffel – Paris, de 14h30 à 18h suivi d’un cocktail.
Les nouvelles techniques médico-chirurgicales ont permis de réduire les temps de séjour pour bon nombre de prises en charge [1]. Ambulatoire, hospitalisation « J zéro », hospitalisation de jour, dossiers « à séances »…, Canyon Technologies et TimeWise Clinic, son logiciel de planification des lits, accompagnent les établissements de santé dans la mise en œuvre de ces évolutions organisationnelles.
Dans un contexte où les Big data du secteur de la santé ne sont plus un « fantasme » mais une réalité quotidienne pour les praticiens, les chercheurs, les patients et toutes les parties prenantes du secteur, le Healthcare Data Institute(1) a mis l’accent sur les pistes d’amélioration de l’accès et de l’exploitation de ces données sous la forme d’une prise de position officielle (3 recommandations et 1 proposition) lors de son événement annuel (HDI Day 2019).
Enovacom organise le 19 novembre prochain un webinar sur le thème "Ma santé 2022". Mais de quoi s'agit-il ?
L’ASIP Santé a publié une partie de ses travaux au terme d’une étude de 18 mois sur la télémédecine.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, et en particulier durant la bataille du Pacifique qui se joua pas mal dans les airs, les chasseurs bombardiers japonais (les fameux Zero, hypermaniables et très légers) affrontaient les Grumman et autres Curtiss américains, construits selon une philosophie tout à fait différente qui en faisait des appareils lourds mais solides. Les mécaniciens américains qui voyaient revenir du front des avions, parfois dans un sale état, faisaient une expertise rapide de ce qui avait été touché sur les appareils pour solidifier ou protéger les composants en question. Jusqu’à ce que l’un d’eux se rende compte que c’était exactement le contraire qu’il fallait faire : non pas expertiser les avions qui étaient revenus, mais au contraire aller chercher ceux qui étaient restés pour savoir justement ce qui avait été touché, et donc ce qu’il fallait renforcer.
Ancien premier vice-président et délégué général au Numérique du Conseil National de l’Ordre des Médecins, qualifié en Médecine interne, Cardiologie et Néphrologie, le Dr Jacques Lucas suit depuis de nombreuses années les sujets du numérique en santé. Il a rédigé plusieurs livres blancs concernant les exercices professionnels, l’éthique médicale et la déontologie dans le monde du Numérique en santé.
Le Proxy DMP V.5.0 de Maincare Solutions a reçu l'homologation DMP V2. Une homologation qui intervient au moment où l'éditeur s'apprête à présenter les premiers éléments de sa feuille de route d'alignement avec le volet numérique du plan #MaSanté2022 à l’occasion des Journées e-Santé 360 les 5 et 6 novembre prochain.
DSIH Formations a le plaisir de vous présenter le planning 2020 des formations certifiantes dédiées à la sécurité des SI
Il n’y a pas que le temps qui est maussade ces derniers jours, dans le « cyberespace », les vulnérabilités, elles aussi pleuvent à seaux. Si de nombreuses régions sont actuellement touchées par les inondations, il en est de même pour nos systèmes d’informations, l’eau s’infiltre un peu partout, et la « to-do list » du RSSI finit par déborder.
La vie de RSSI n’est pas faite que de projets, de négociations budgétaires, de formations et d’actions de sensibilisation : il faut l’alimenter par un flux constant de veilles en tout genre. On trouve suffisamment de sources professionnelles pour le volet High Level : séminaires, congrès, réunions entre pairs, et j’en passe. Mais il convient aussi de faire une petite veille constante dans le domaine plus orienté « informatique personnelle » : une bonne partie des produits professionnels proviennent de ce canal spécifique, et en plus, ne nous cachons pas, le plaisir de la bidouille est un des côtés « fun » du job. Quelques petites découvertes, sans prétention.
L’AP- HP, avec le déploiement d’ORBIS d’Agfa HealthCare à l’hôpital pédiatrique Robert Debré le 1er octobre, bénéficie désormais d’un DPI unifié avec une large couverture fonctionnelle et une réponse adaptée aux différents besoins cliniques dans ses 39 hôpitaux d’Ile de France.
Publié le 10 octobre 2019 au Journal officiel, un décret a modifié les dispositions relatives à l’utilisation du numéro d’inscription au répertoire (NIR) en tant qu’identifiant national de santé (INS), pour les mettre en conformité avec la loi n°78-17 du 6 janvier 2018 modifiée relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés, dans sa rédaction résultant de l’ordonnance n°2018-1125 du 12 décembre 2018.
Fort de son expérience dans le domaine de la santé, l’éditeur Computer Engineering a développé de nouvelles interfaces basées sur la mobilité. Premiers secteurs à bénéficier de cette technologie : l’oncologie et la gestion de la Pharmacie à Usage Intérieur.
Le tour de France, non pas de la e-santé cette fois-ci, mais de la cybersécurité a fait escale dans le somptueux Hôtel du Département du Rhône, à Lyon, le 24 octobre dernier. Un évènement riche de partages et d’échanges dans un cadre prestigieux, orchestré par une grande dame de la cyber, Madame Bénédicte Pilliet, Présidente du Cyber Cercle.
Récemment, j’ai participé à une discussion au cours de laquelle l’un des protagonistes mentionnait certaines mauvaises habitudes de ses utilisateurs, notamment l’usage de la messagerie WhatsApp pour échanger des données de santé.
Le projet « Strasbourg : Territoire de santé de demain », lauréat de l’appel à projets « Territoires d’innovation », dont les résultats ont été annoncés en septembre par le Premier ministre, a été présenté lors du forum de l’IOT, organisé par l’Acsel, ce 24 octobre à Paris, lors d’une table ronde (1) sur le déploiement de l’e-santé en territoire à large échelle, en zone médicale dense tout comme dans les déserts médicaux.
À l’occasion du club Vieviewer 2019, l’éditeur de l’interface universelle des données numériques, le Pr Jean Sibilia, président de la Conférence des doyens des facultés de médecine, a présenté sa vision de la formation médicale dans un contexte de transformation des outils technologiques et numériques.
Le 8e Congrès national de la SSI de santé se tiendra les 31 mars, 1eret 2 avril prochains au Mans.L’interview de Gérard Gaston, RSSI du groupe LNA Santé, est l’occasion pour l’Apssis de donner la parole à l’un de ses fidèles congressistes et de revenir sur les points forts de cet événement atypique.
Après une consultation de plusieurs mois et de nombreuses auditions et démonstrations, Maincare Solutions, associé à Atos, est l’un des quatre consortiums à avoir été retenus par le Resah dans le cadre de l’appel d’offres « Fourniture de services numériques pour les parcours de santé et leur coordination dans la sphère sanitaire et médico-sociale (coordination interprofessionnelle et appui à la coordination) et prestations associées ».Ce référencement est un support au programme e-parcours qui s'inscrit dans la stratégie de transformation du système de santé « Ma santé 2022 » et de son volet numérique en mettant à disposition un bouquet de services de coordination pour les professionnels de santé, complémentaire aux trois premiers services socles que sont le DMP, la MSSanté et l’e-prescription. Ce programme est doté d’un financement national de 150M€ sur la période 2018-2022.
Doter tous les Samu-Centres 15 d’un même outil de travail ? Telle est l’ambition du SI-Samu. Une des premières fonctionnalités opérationnelles est le portail SI-Samu, véritable porte d’entrée à un bouquet de services proposés aux Samu.
Dans le cadre du programme « e-parcours » qui a pour objectif de mettre à disposition des professionnels exerçant dans les secteurs sanitaire, médico-social et social un bouquet de services numériques de coordination, la centrale d’achat du Resah a lancé une procédure concurrentielle avec négociation visant à la conclusion de 3 accords-cadres multi-attributaires nationaux ayant pour objets respectifs :
Harmoniser un système d’information à l’échelle d’un groupement hospitalier de territoire implique des coûts et un temps de mise en œuvre importants. Il faut pouvoir consolider les données de manière globale, quelles que soient leurs sources, et les mettre à disposition des utilisateurs. Une fois de plus (1), tout est affaire d’interopérabilité, comme le montre bien François Decourcelle, directeur adjoint de l’innovation chez Enovacom.
Il semble que dans cette merveilleuse société qui est la nôtre, on ne cultive pas suffisamment une qualité essentielle de l’individu : l’art de rejeter la faute sur les autres. Par exemple, quand un machin tombe en panne dans l’informatique, croyez-en mon expérience, il faut toujours dire que c’est la faute du réseau. Le DPI qui rame ? La faute du réseau. Les batches de paye bloqués ? La faute au réseau. La machine à café connectée en panne ? Oui, non là, ça va être compliqué d’incriminer le réseau. Quoique, avec tous ces objets connectés, on pourra toujours dire que la trame IP est incompatible avec le certificat SSI 802?1x, ce qui ne veut rien dire, mais aucune importance, personne ne le sait.
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