Alors que le Dossier Pharmaceutique (DP) va être prochainement déployé dans les pharmacies hospitalières, 20 millions de Français font déjà confiance à cet outil qui favorise la continuité des soins et la sécurité de la dispensation des médicaments.
Alors que le Dossier Pharmaceutique (DP) va être prochainement déployé dans les pharmacies hospitalières, 20 millions de Français font déjà confiance à cet outil qui favorise la continuité des soins et la sécurité de la dispensation des médicaments. 20 millions de Français ont ouvert un Dossier Pharmaceutique ! Pour rappel, le Dossier Pharmaceutique (DP), mis en œuvre par le Conseil national de l’Ordre des pharmaciens (CNOP), rassemble, pour chaque bénéficiaire de l’assurance maladie qui le souhaite, tous les médicaments (prescrits ou conseillés par un pharmacien) qui lui ont été délivrés au cours des 4 derniers mois. Grâce au DP, le pharmacien peut vérifier que certains médicaments ne font pas double emploi ou qu’il n’y a pas de risque d’interactions dangereuses.
Invité à ouvrir la Journée Télésanté organisée par le CATEL le 29 mars*, François-Xavier Selleret, qui vient tout juste de prendre la direction de la DGOS, a précisé quelles sont les régions qui bénéficieront du dispositif d’accompagnement des projets de télémédecine.
Après l’Angleterre, les Pays-Bas et l’Italie, la Suède a été l’un des pays précurseurs dans le développement du dossier médical électronique, basé sur la technologie InterSystems en 2009. 3 ans après, ce sont tous les patients suédois qui seront connectés d’ici la fin de l’année et bénéficieront des adaptations réalisées lors des différentes évolutions du projet.
La Fédération Unicancer vient d’adresser à tous les candidats à l'élection présidentielle ses 47 propositions « concrètes et opérationnelles » pour dynamiser la lutte contre le cancer. L’objectif de « décloisonner le système d’information de santé » y est présenté - assorti de 5 propositions - au chapitre d’ « une organisation dynamique et efficiente ».
RÉGIONS | 21 MARS 2012 Les dernières Rencontres Inter-Régionales de l’année 2011 se sont déroulées le jeudi 15 mars à Paris et ont réuni une centaine d’acteurs de l’e-santé dans les Territoires.Jeudi 15 mars 2012 se sont tenues les Rencontres Inter-Régionales de l’ASIP Santé. Les projets DCC/DMP, DMP en établissements, DMP en régions et système d’information des pôles de santé et des centres de santé polyvalents ont fait l’objet d’une présentation par les équipes de l’ASIP Santé.
Dans le domaine de la e-santé la France affiche un tel retard qu’il ne semble même plus être utile d’éviter, après les prochaines élections, une énième remise à plat des rares projets péniblement en cours ou prévus. Et si les systèmes d’information s’invitent dans la campagne, c’est sous leur plus mauvais angle.
Le Centre Hospitalier Régional Universitaire (CHRU) de Montpellier choisit l’innovation et la fiabilité avec la solution éprouvée DxCare pour la gestion du dossier patient en mode SaaS (Software-as-a-Service).
A trois mois de la sortie de la première version de sa nouvelle solution d’information en Santé full web 4.0 et tactile FUTURA Smart Design, CALYSTENE réussit son pari de revenir en force sur le segment des établissements de grande taille : L’EPS Barthélémy Durand à Etampes, centre hospitalier de 650 lits et places, 800 soignants, 100 médecins, à fait le choix de FUTURA Smart Design pour la mise en œuvre de son DIPS (Dossier Informatisé des Professionnel de Santé) dont le circuit des médicaments et la chaine des soins.
Hospitadom – c’est le nom du projet de télésanté inauguré par le CH de Moulins-Yzeure – vise dans un premier temps à mettre en place un système de télésurveillance médicale pour accompagner les patients atteints d'insuffisance respiratoire chronique à la sortie d’une hospitalisation.
Utilisée par 75 services HAD sur 300 en France, la solution AntHADine – développée par la société DICSIT – est née de l’informatisation d’un dossier patient « papier » de très grande qualité. L’idée : ne pas imposer sa conception mais répondre aux exigences des professionnels de santé dans des contextes médicaux et administratifs bien particuliers.
Afin de stimuler le déploiement du Dossier Médical Personnel (DMP) au sein des établissements de santé, l’ASIP Santé vient de retenir 33 dossiers dans le cadre de l’appel à projets « DMP en établissement de santé». Cet appel à projets a pour but d’atteindre une « masse critique » de DMP à l’échelle d’un territoire, nécessaire pour lancer une dynamique générale d’utilisation du service.
Mercredi 22 février, François-Xavier Selleret a été nommé au poste de directeur général de l'offre de soins à la suite d'Annie Podeur. Rappelons que c'est sous la houlette de cette fonctionnaire aguerrie qui a consacré l'essentiel de sa carrière aux affaires médico-sociales, que la Direction de l'Hospitalisation et de l'Organisation des Soins (DHOS) était devenue, en mars 2010, la DGOS pour une approche globale des soins de ville et de la prise en charge hospitalière, précédant de quelques jours le lancement des Agences Régionales de Santé (ARS).
Fin 2011, le SNITEM organisait un colloque sur le thème « Télémédecine et société ». Après avoir abordé en 2010 les enjeux économiques, d’interopérabilité et de gouvernance, cette dernière rencontre a permis de mettre en exergue le sujet de l’appropriation de la télémédecine par les professionnels de santé et les patients. Par ailleurs, cette journée a été l’occasion d’annoncer la signature de 3 conventions pour le SNITEM avec L’ANAP, l’ANTEL et le CATEL visant à formaliser des recommandations nationales en faveur d’un déploiement pérenne de la télémédecine.
Paris, le 17 janvier 2012 - Syntec Numérique, principal représentant des professionnels du numérique, a élaboré 10 propositions à destination des candidats à l’élection présidentielle de 2012 (v. document en annexe). Le poids de l’industrie numérique est de plus en plus important en France : en 15 ans, elle a créé 700 000 emplois, plus que l’industrie automobile dans les années soixante.
DMP : enjeu budgétaire ou de sécurité sanitaire ? Si le débat s'invite à nouveau dans la campagne présidentielle (voir notre dossier «Les politiques ont-ils pris la mesure de l'enjeu ? », DSIH N°5 janvier 2012), il n'est pas nouveau. En août 2009, l'association DELIS-SMARA (Droits et Libertés face à l'Informatisation de la Société – Santé Mentale Rhône-Alpes) publiait déjà une mise en garde invitant à la plus grande vigilance.
Paris, le 8 février 2012, InterSystems Corporation, fournisseur global de technologies et de logiciels innovants, annonce que son logiciel HealthShare a été choisi par le Danemark pour échanger les informations médicales dans tout le pays par le biais de son système « health information exchange » (HIE). Le Département National de l'Informatiques danois pour le secteur des soins de santé, NSI (Nationalt Sundheds-IT), un organisme qui dépend du Ministère de la Santé, a commencé à développer un nouveau service qui connecte, au niveau national, les différents services régionaux d'information médicale. Ce nouveau service, basé sur HealthShare, permet aux prestataires de soins et aux organismes gouvernementaux de partager l'information concernant les patients dans tout le pays.
La HAS modifie son référentiel de certification des LAP afin de l’adapter à la loi du 29 décembre 2011 relative au renforcement de la sécurité sanitaire des médicaments, qui oblige les éditeurs à certifier ce type de logiciels.
VIDAL représente un acteur majeur de la recherche et développement en informatique de santé en France, grâce à de nombreux partenariats avec les universités et CHU, sans oublier les éditeurs de SIH et les acteurs du IT. Les fruits de ces travaux prennent forme et les utilisateurs en verront la concrétisation dès cette année. Explications avec Vincent Bouvier, PDG de VIDAL.
C’est en tout cas ce que vient de proposer la fédération industrielle Lesiss (les entreprises des systèmes d’information sanitaires et sociaux). Objectif : endiguer l’inflation des procédures et organismes de contrôle que risquent d’entraîner, entre autres dispositifs, l’encadrement de la facturation hospitalière et de la dispensation des médicaments en ville. Jérôme Duvernois, président de Lessis, met en garde contre un surcoût de l’homologation qui pourrait dépasser l’activité de recherche et développement.
Beaucoup reste à faire pour améliorer notre système de Santé. A quelques semaines des élections présidentielles et législatives, DSIH a sondé les programmes des candidats. A l’ASIP Santé, Michel Gagneux reste sceptique : « Le monde politique (…) fait preuve d’un déficit d’analyse, de perception et de vision des enjeux et du potentiel que représente le numérique pour réformer le système de santé ». Présidé par Ghislaine Alajouanine, le think-tank Commission Galien, prépare, de son côté, un véritable Grenelle de la télésanté.
Inutile de se voiler la face : le retard français dans le domaine des technologies d’information de santé et pour l’aide à l’autonomie ne se résorbera pas avec de généreuses promesses. Ce constat admis, l’heure doit être à l’éveil de la société civile autour d’un sujet transgénérationnel durablement brûlant. Dans l’actuelle période de transition entre deux mandatures, force est d’observer que l’appétence des candidats à la magistrature suprême pour le levier des technologies au service de notre système de santé et pour l’aide à l’autonomie est encore en devenir.
Le 7 février prochain, sous l'égide de la Direction générale de l'Offre de Soins, une première conférence réunira, à Paris, les coordonnateurs de groupements territoriaux de commandes de produits de santé hospitaliers. Elle concernera les médicaments et les produits de santé et sera suivie, courant mars, d'une seconde conférence consacrée aux produits non médicaux.
Alors qu'était signé, lundi 23 janvier, entre plusieurs syndicats hospitaliers et le ministère de la Santé, un accord qui permettrait de récupérer les RTT accumulés ces dix dernières années (on parle de plusieurs centaines de millions d'euros), une délégation de la CGT était reçue par la directrice de l'ARS Lozère.CGT, FO, CFDT... Dans tous les établissements lozérois, qu'ils s'agisse du secteur de la Santé ou du médico-social, les grandes organisations syndicales ont dressé, depuis plusieurs semaines, un large front pour dénoncer la dégradation des conditions de travail.
Intégrée au plan de développement du DMP, la prescription électronique impacte favorablement la sécurité et la qualité des prescritions.La loi du 13 août 2004 a introduit la possibilité de prescrire des soins ou des médicaments par courriel, sous certaines conditions : prescripteur clairement identifié, ordonnance « établie, transmise et conservée dans des conditions propres à garantir son intégrité et sa confidentialité », examen préalable du patient par le praticien, application éventuelle des dispositions du décret relatif aux actes de télémédecine.
Si sur le volet économique les trois lettres « AAA » sont désormais familières auprès de nos concitoyens, en matière de sécurité sanitaire le « Triple R » pourrait occuper durablement la scène médiatique.R pour Risque. L’actualité s’est en effet largement faite l’écho des risques encourus avec le médicament, en dévoilant le drame qui a frappé des milliers de patients en 2011. Les feux des projecteurs se sont ensuite déplacés sur le risque lié aux dispositifs médicaux, avec le récent scandale soulevé par les prothèses mammaires défectueuses. Un troisième risque, bien identifié, porte sur la qualité des données de santé gérées par les logiciels spécialisés.
esante-poitou-charentes le 13/12/2011 Suite à son dépôt de dossier le 4 juin 2010, le GCS, avec le soutien de l'ARS, a été retenu par l'ASIP dans le cadre de l'appel à projets Emergence qui "vise à favoriser la structuration des MOA régionales en participant au financement de prestations nécessaires à l’émergence ou au renforcement de la structure". Dès janvier 2011, les travaux menés conjointement avec le cabinet Stream Consulting ont permis au GCS de fixer ses missions et ses actions au travers d’un plan directeur pluriannuel en vue de répondre aux enjeux régionaux et aux orientations nationales en termes de SI Partagés de santé.
DxCare® alimente déjà le DMP de plusieurs établissements ;cette homologation vient renforcer la confiance que les clients ont déjà placéeen Medasys.Gif, le 9 janvier 2012 – Medasys, principal éditeur et intégrateur français de logiciels médicaux pourétablissements de santé publics et privés dans les domaines du dossier patient, de la production desoins et des plateaux techniques (biologie, imagerie) annonce que sa solution DxCare® a étéhomologuée DMP-compatible pour le processus d’alimentation en authentification indirecte.
En effet, ce décret permet l'application de l'article L.5232-4 du code de la santé publique, qui prévoit que « les professionnels de santé qui utilisent des produits de santé mentionnés aux 18o et 19o de l'article L. 5311-1 signalent sans délai à l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS) tout incident mettant en cause ces produits susceptible d'entraîner des effets néfastes pour la santé des personnes. Les modalités d'application du présent article sont déterminées par décret en Conseil d'État »
Publié par HOSPIMEDIA le 31/12/2011.La prise en charge médicamenteuse dans les établissements de santé doit désormais faire l'objet d'un véritable management avec, au centre des préoccupations, la qualité. Une disposition qui amène les directeurs d'établissements de santé à devoir jongler avec plusieurs impératifs. Ce qu'explique à Hospimedia Omar Yahia.
Le groupe de travail Interop’Santé Radiologie au sein Interop’Santé, association fédérant les acteurs de la modernisation et de la standardisation des systèmes d’information de santé a établi sa liste de chantiers prioritaire pour 2012. Parmi ces derniers, Interop’Santé a décidé de traiter la question de la gestion de l’information sur la dose via le profil IHE REM.
La Fédération de l’Hospitalisation Privée regroupe 1 100 cliniques et hôpitaux privés qui assurent chaque année la prise en charge de 8 millions de patients. 147 500 salariés travaillent dans les établissements de santé privés et plus de 40 000 médecins y exercent. Les cliniques et hôpitaux privés prennent en charge : près de 60 % des interventions chirurgicales et près de 70 % de la chirurgie ambulatoire en France, près d’une personne sur deux atteintes d’un cancer, un accouchement sur quatre, près de 20 % des hospitalisations psychiatriques et un tiers des soins de suite et de réadaptation.
En France, le système de protection sociale est géré par 3 acteurs : le secteur public (hôpitaux et autres établissements), le secteur privé lucratif (cliniques et établissements) et le secteur privé non lucratif (PNL) regroupant diverses structures.: hôpitaux, cliniques et autres établissements sociaux et médico-sociaux. Moins connu, ce dernier acteur est pourtant présent dans les trois champs de la santé et du social (le sanitaire, le social et le médico-social) en France. Créée en 1936, la Fédération des Établissements Hospitaliers et d’Aide à la Personne (FEHAP) se caractérise par un modèle de gestion tourné vers l’avenir, qui allie une mission d’intérêt général à un mode de gestion privé.
Des conférences courtes et percutantes, des débats de qualité ! Pensée et organisée par VIDAL et DSIH, la journée débat du 15 décembre a tenu ses promesses.Une cinquantaine de participants : Directeur de CH, d’EHPAD, Pharmaciens, Qualiticiens, DSIO, RSI, Experts (juridiques, informatiques, médicaux), Industriels acteurs et impliqués, ont été accueillis pour des débats de qualité par la prestigieuse Ecole des Hautes Etudes en Santé Publique (EHESP).
Le Centre Oscar Lambret à Lille, l'institut Hospitalier Franco-Britanique de Levallois et le Centre Hospitalier de Salon-de-Provence vont s'appuyer sur la solution DxCare® de Medasys afin d'optimiser la gestion des processus de production de soins et disposer de données patients fiables et partageables.
Remarquable ! Ce qualificatif vient à l’esprit à la consultation de la dernière étude du Conseil d’Analyse Stratégique (CAS) sur la télésanté, à laquelle LESISS apporte son soutien. Pour autant, comment éviter que cette brillante analyse vienne s’ajouter à la longue liste des rapports et études encombrant les étagères de l’Etat ? « Cantonner la télésanté à la simple dématérialisation des procédures existantes serait réducteur : il s’agit aussi d’exploiter son potentiel pour promouvoir des pratiques plus collégiales et une réorganisation des structures.
Dans le cadre d’un déplacement en Essonne à la rencontre de PME innovantes, François Baroin, Ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie a rendu visite à Medasys. Medasys a accueilli mardi 28 novembre 2011, François Baroin, Ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie.Frédéric Vaillant, Président du Directoire de Medasys, a guidé le ministre dans la visite de nos locaux et échangé autour des axes innovants de développement du groupe.
Paris, le 5 décembre - La DGOS annonce cette semaine le lancement du programme Hôpital numérique, qui définit la stratégie nationale des systèmes d’information hospitaliers pour 2012-2016.
Le 28 novembre 2011 – Désormais, l’information contenue dans les dossiers des patients peut être plus facilement utilisée et interprétée par les médecins et le personnel soignant, grâce à la technologie de recherche avancée pour données non structurées. Cette percée dans le traitement de l’information médicale a été mise en pratique par la société VIR e-Care Solutions. La technologie iKnow, d’origine belge et faisant maintenant partie intégrante des produits d’InterSystems, a été utilisée par l’entreprise néerlandaise pour développer son système de soins modulaire Ecaris.
En annonçant le lancement de son programme « Hôpital Numérique », le Ministère de la Santé affiche une volonté nouvelle de cohérence pour un marché qui en manque de longue date. Dans l’esprit de contribuer à une meilleure efficience de ce projet et pour éviter de renouveler les erreurs passées, la Fédération LESISS publie une note de synthèse assortie de recommandations concrètes. Après l’échec du plan « Hôpital 2012 », le nouveau programme « Hôpital Numérique » vise à renforcer les performances des systèmes d’information de santé, en particulier en termes de qualité et de sécurité des soins.
Dix huit ans après le lancement des applications Bloc et Stérilisation, Computer Engineering répond toujours plus aux besoins des établissements de santé. Après la gestion du planning des salles opératoires et le suivi des stocks de produits consommables du bloc opératoire, les évolutions actuelles concernent la traçabilité des dispositifs médicaux implantables et la traçabilité des produits et instruments stérilisés dans l’établissement.
Le 11 / 11 / 11 est la date qu’a choisie Calystene pour la sortie de la V1 de Futura Smart Design, sa nouvelle solution full web d’information en santé. Les premiers clients équipés de l’actuelle solution, les SIS.Calystene seront migrés dès cette fin 2011. Futura Smart Design sera ensuite commercialisée auprès de nouveaux clients début 2012.
Paris, le 21 novembre 2011 Interop’Santé, association fédérant les acteurs de la modernisation et de la standardisation des systèmes d’information de santé, annonce la nomination d’Isabelle Gibaud et de Jean-Charles Dron aux postes de chargé de mission. Ces deux nominations viennent renforcer la capacité de production de l’association et, en particulier, son aptitude à mener à bien des travaux d’expertise opérationnels.
SILLAGE a été homologué DMP-Compatible sans réserve le 4 novembre 2011 par l’Agence des Systèmes d’Information Partagés (ASIP Santé) sur le profil d’alimentation du Dossier Médical Personnel (DMP) "en authentification indirecte" . L’authentification indirecte utilise un certificat dit de "personne morale", délivré par l’ASIP Santé et installé sur un serveur de l’établissement de santé, qui permet d’authentifier de manière certaine l’établissement de santé et de signer électroniquement ses accès au DMP.
La société ARCAN, leader des solutions hautes technologies de Coordination des soins et services pour l’Hospitalisation à Domicile se rapproche du groupe Chèque Déjeuner Solutions pour apporter ses technologies et son savoir-faire dans les systèmes d’information sanitaires et médico-sociaux. Ce rapprochement ouvre de nouvelles perspectives de croissance sur de nouveaux marchés comme celui de l’EHPAD, des USLD, des Maisons de santé Pluridisciplinaires ou encore des unités de vie Alzheimer.
Le conseil d’administration de l’Agence des systèmes d’information partagés de santé (ASIP Santé) vient de renouveler le mandat de Jean-Yves Robin à la tête de l’opérateur public chargé du déploiement de l’e-santé en France.
L’Agence des Systèmes d’Information Partagés de Santé (ASIP Santé) a en charge l’élaboration et la promotion des référentiels d’interopérabilité sémantique. La composante « résultats de biologie » du jeu de valeurs LOINC (Logical Observation Identifiers Names & Codes) est intégrée au « Cadre d’interopérabilité des systèmes d’information de santé » publié par l’ASIP Santé. Elle permet de coder les analyses élémentaires de biologie et d’exprimer les résultats de ces analyses dans un message médical dématérialisé en France.
Dans le cadre du Contrat de Bon Usage du médicament, les centres hospitaliers cherchent des solutions pour sécuriser le circuit du mé- dicament, de la prescription à l’administration. DSIH a choisi de décrypter la solution Pharma de la société Computer Engineering, à travers l’expérience du Docteur Anne Linder, pharmacien au Centre Hospitalier de Saint-Nazaire et chef de projet Pharma. Elle a piloté l’informatisation du circuit du médicament sur l’ensemble du Centre Hospitalier.
La Picardie est l’une des régions de France où l’arrivée du Dossier Médical Personnel (DMP) a été précédée par la création d’un dossier régional expérimental : le Dossier Santé Picardie (DSP). Depuis l’année 2008, ce projet a permis l’adhésion des professionnels de santé libéraux et hospitaliers sur cette approche de partage d’information : près de 146 000 dossiers ont été créés !
Trop c’est trop ! C’est très synthétiquement la conclusion tirée par le Directeur général de l’Agence nationale pour la sécurité des systèmes d’information (ANSSI) lors des récentes Assises tenues à Monaco. Le « Manifeste sur la sécurité » que publie la Fédération LESISS confirme cette analyse. Il formule une série de recommandations concrètes pour sortir, dans le domaine des systèmes d’information de Santé, d’une quinzaine d’années d’immobilisme feutré.
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