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Organisés à l’occasion de l’Université d’été de la e-santé qui se tiendra du 3 au 5 juillet prochains, les Trophées de la e-santé donnent un coup de projecteur aux acteurs de la filière. Ils encouragent l’innovation et le développement des Technologies de l’Information et de la Communication au sein du secteur de la santé et de l’autonomie. Les inscriptions au concours sont d’ores et déjà ouvertes et ce, jusqu’au 31 mai 2013.
Le dernier Livre blanc publié par Syntec Numérique et le SNITEM présente 6 études de cas riches d’enseignements et qui permettent de comprendre le positionnement des établissements hospitaliers dans les pays concernés : Allemagne, Danemark, Italie, Pays-Bas, Etats-Unis.
Les étudiants en médecine planchent sur l'utilisation de la télémédecine comme moyen de coordonner la prise en charge des populations rurales et de remédier à la baisse de démographie médicale. Ils ont détaillé leurs idées dans un projet pour l'organisation territoriale des soins.
La télésurveillance des DCI, une pratique phare de la télécardiologie, est en passe de voir son mode de prise en charge modifié par les autorités sanitaires. Les industriels du SNITEM y voient une mesure contre-productive dans le processus de développement de la télémédecine. Le ministère de la santé semble préparer une mesure susceptible de freiner le développement de la télémédecine. Il aurait, en effet, la volonté de modifier le mode de prise en charge des systèmes de télésurveillance des Défibrillateurs Cardiaques Implantables (DCI), en intégrant le coût de ce type de matériel dans les Groupes Homogènes de Malades (GHS). Ce coût est aujourd'hui financé par une enveloppe supplémentaire allouée aux hôpitaux, puisqu'il est inscrit dans la « liste en sus » des produits et dispositifs de santé les plus dispendieux.
Selon les analystes de Berg Insight, à la fin de l’année 2011, 2,2 millions de patients étaient utilisateurs de dispositifs médicaux connectés pour le suivi de leur état de santé à domicile. L’étude du marché mondial par la société de Business intelligence spécialisée dans l’industrie des télécoms montre que les systèmes de monitoring en santé vont croître de 18% d’ici à 2016 et que le nombre de dispositifs communicants augmentera de 34,6%.
Le nouveau pouvoir en place semble plutôt réservé sur l’usage de la télémédecine, du moins en médecine ambulatoire de premier recours, si l’on croit Catherine Lemorton, Présidente de la commission des affaires sociales à l’Assemblée nationale qui a été interviewée par DSIH Magazine. De plus, on remarquera l’absence de référence au plan national de télémédecine dans le PFLSS 2013. Lors de son interview, Catherine Lemorton précise que « si la télémédecine permet un partage des connaissances et des pratiques médicales…, elle ne peut se substituer à la médecine de proximité et au contact entre le médecin et son patient ».
« L’hôpital se doit d’être un acteur hors les murs », déclarait Jean Debeaupuis au Dauphiné Libéré début avril dernier. Le nouveau patron de la Direction générale de l’offre de soins (DGOS), qui s’installe à son poste ce 1er octobre, participait alors, dans ses fonctions de directeur général du CHU de Grenoble, au lancement d’une vaste expérimentation de télésanté.
Hospitadom – c’est le nom du projet de télésanté inauguré par le CH de Moulins-Yzeure – vise dans un premier temps à mettre en place un système de télésurveillance médicale pour accompagner les patients atteints d'insuffisance respiratoire chronique à la sortie d’une hospitalisation.
Les Trophées de la e-santé, co-organisés par Castres-Mazamet Technopole(CEEI) et La Mêlée, dans le cadre de l’Université d’été de la e-santé, soutiennent et récompensent ceux et celles qui oeuvrent dans le développement de solutions et d’applications dans le domaine des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) pour la Santé.
La Fédération des Industries Electriques, Electroniques et de Communication (FIEEC) et l’Agence nationale des Systèmes d’Information Partagés de Santé (ASIP Santé) ont mené conjointement l’année dernière une étude européenne sur le développement des activités de télémédecine et de télésanté. Afin de restituer les principaux enseignements et opportunités industrielles tirés de cette étude (disponible sur esante.gouv.fr et www.fieec.fr), la FIEEC et l’ASIP Santé ont le plaisir de vous convier à la Conférence « Télémédecine et Télésanté en Europe », en présence de plusieurs porteurs de projets européens, qui aura lieu le vendredi 21 octobre 2011, de 9h à 13h, dans les locaux de la FIEEC au 11-17, rue de l'Amiral Hamelin, 75016 Paris. Cet événement sera l'occasion d'un échange entre les secteurs de l’industrie et de la santé afin d’ouvrir des perspectives conjointes et d'avenir accélérant le déploiement de la télémédecine et de la télésanté en France.
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