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Et on commence par des réflexions sur… la messagerie : oui, pas très original, mais en même temps quand on voit le nombre de cochonneries qui transitent par ce canal de communication, j’aurais encore des trucs à écrire dessus à la saint-glinglin. Bon, en tout cas, dans un court article d’UnderNews[1] on trouve quelques rappels sur le rôle central de cet outil, et la nécessaire sensibilisation des utilisateurs pour comprendre que ce n’est pas un clicodrome. On finira tous par passer à terme sur des solutions de nettoyage de mails dans le Cloud, et j’aime bien cette approche pour deux raisons : d’abord parce que c’est typiquement le genre de techno à externaliser, et qu’en plus elle est réversible (rien de plus simple que de changer une IP de destination dans les paramètres de votre passerelle de messagerie pour passer du fournisseur A au fournisseur Z, on ne peut pas en dire autant des hébergements Full type Micromou et Mamazon). Tiens, au fait : l’auteur de l’article introduit son propos en affirmant que « la cybersécurité est désormais un incontournable ».
Le 16 mai, la Cnil a publié un plan d’action pour un déploiement de systèmes d’IA respectueux de la vie privée des individus face aux récentes actualités sur l’intelligence artificielle, notamment générative, à l’exemple de ChatGPT.
On a beau avoir été confiné pendant des semaines, on a beau avoir télétravaillé pendant des mois, encore une première partie d’année riche en actualités SSI. Bilan à mi-parcours.
Mais qu’est-ce qui a donc bien pu passer par la tête du ministre Dupont-Moretti ? Partant certainement d’une bonne intention – de celles dont l’enfer est pavé –, soit la volonté de rendre plus compréhensible le fonctionnement de l’institution judiciaire et de redonner confiance aux citoyens, le ministre souhaiterait filmer les procès. Revenons aux basiques du RGPD : consentement des prévenus (c’est la partie la plus facile), droit d’opposition (idem), mais surtout droit de changer d’avis : tiens, au fait, j’avais dit oui, mais en y réfléchissant je ne veux plus, merci d’arrêter de filmer et surtout d’effacer les images. Les avocats pénalistes interrogés dans la presse sont unanimes : ils conseilleront systématiquement à leurs clients de s’opposer aux prises de vues : imaginez l’effet que produiraient, 10 ou 15 années plus tard, les images sur les réseaux sociaux d’un accusé dans un box qui au final aurait été acquitté ? Rien ne se perd ni ne s’efface au xxie siècle. Certes, le premier procès filmé de l’Histoire a été celui du criminel de guerre Klaus Barbie (1987), mais les images ont été captées à des fins historiques et nullement destinées à être diffusées immédiatement puisque l’INA devait les conserver au secret pendant 20 ans[1].
La canicule n’en refroidit pas certains apparemment, tout du moins si l’on se fie aux dernières breaking newssur le RGPD sous toutes ses formes, pendant cette dernière quinzaine. Que l’on en juge.
En unissant leurs forces, Konica Minolta et Mobotix mettent à disposition des établissements sanitaires et médico-sociaux des solutions de surveillance des patients et de sécurité active. Éliane Richard, chef de marché Santé chez Konica Minolta, et Patrice Ferrant, Business Development Manager Mobotix, détaillent les applications que peuvent trouver les caméras intelligentes présentes sur le marché et qui seront exposées lors de la Paris Healthcare Week, sur le, stand E74 du salon HIT.
Les objets connectés sont de plus en plus présents dans notre quotidien : montre, pèse-personne, voiture ou frigo connectés, vidéosurveillance, domotique, etc.
Dans leur enquête intitulée « Null CTRL », Espen Sandli et Linn Kongsli Hillestad, deux journalistes norvégiens, ont investigué dans leur pays sur les caméras de surveillance et en ont déniché pas moins de 2000 qui sont accessibles à tout un chacun, sans même un mot de passe de vérification.
Les solutions de téléassistance à domicile des personnes en perte d'autonomie seront désormais soumises à une norme AFNOR, élaborée en concertation avec les associations de patients et les industriels notamment. Cette formalisation de la qualité des prestations est accompagnée de recommandations et ne s'appliquera pas à celles prenant en charge les patients en établissement de soins ou médico-social.
65% des établissements se sont équipés d’un système de télésurveillance pour garantir la sécurité des patients et du personnel
Armand Trousseau, l'hôpital pédiatrique et périnatal de référence de l'Est parisien propose une prise en charge des premiers jours de la vie à l'âge adulte. Face à une croissance des incivilités des patients et des visiteurs causées entre autres par le stress, l’établissement a investi dans un système de vidéosurveillance et de caméras Axis Communications1.
A l’occasion du salon Medica 2012, le plus grand événement européen de l’industrie médicale, Sony va dévoiler de nouvelles solutions médicales et confirmer son statut de leader industriel en matière d'innovation. Fort de sa volonté de s’imposer parmi les acteurs majeurs de l'industrie médicale, Sony s’appuie sur son expérience éprouvée dans le domaine du cinéma professionnel et des solutions grand public pour développer des technologies médicales innovantes 3D et OLED (Organic Light-Emitting Diode). Après le succès commercial de son moniteur médical PVM-2551MD en 2011, Sony veut confirmer son statut de leader.
15 novembre 2011 - Zenitel AS, leader mondial et fournisseur de systèmes de communication de sécurité de la marque STENTOFON®, et Audio Analytic Ltd, leader émergeant dans la classification de son, sont heureux d'annoncer un accord de licence intégrant la nouvelle technologie de reconnaissance sonore Audio Analytic avec les systèmes de communication STENTOFON.
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