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En avril 2024, l’Ordre des pharmaciens a présenté le calendrier du déploiement de LABOé-SI pour faciliter le signalement de certaines pathologies par les laboratoires de biologie médicale.
Le projet de plateforme hospitalo-universitaire de biologie et de pathologie de territoire du groupe hospitalo-universitaire (GHU) AP-HP Henri-Mondor, dont le coût des travaux s’élève à 48,5M €, a officiellement débuté avec le concours architectural ouvert depuis le 27 mars dernier.
Le 11 avril, l’ANS a annoncé l’ouverture de « mesHabilitations », une plateforme qui permet de gérer les personnes en charge de la gestion des certificats logiciels ou des gestionnaires.
L’Institut de Cancérologie de l’Ouest et l’Institut Bergonié, centres de lutte contre le cancer, le Centre Hospitalier Intercommunal de Mont de Marsan et le Digital Medical Hub (DIMH) s’associent en créant le tiers-lieu « Onco-Atlantique » pour améliorer les parcours complexes des patients en oncologie : des biomarqueurs à une prise en charge « hors les murs ».
NIS 1 a vécu : le décret de 2016 est remplacé par sa seconde mouture publiée en décembre 2022, dont nous commençons à voir les contours au gré des conférences et débats en tout genre. Cette seconde mouture sera vraisemblablement la deuxième si l’on en juge par certaines dispositions qui laissent entrevoir une NIS 3 dans les prochaines années.
Pour s’adapter à l’évolution des technologies, des usages et de l’organisation des hôpitaux, les trois filières Ingénierie biomédicale, Biologie et Santé digitale & numérique d’UniHA, premier acheteur public dans le secteur de la santé, travaillent désormais de concert au sein d’Unibiotech pour construire les marchés pour lesquels les données et l’intelligence artificielle sont devenues les moteurs de l’optimisation diagnostique et thérapeutique.
Retour sur l’intervention de Me Alexandre Fievée lors du Salon-Congrès City Healthcare à la Cité des congrès de Nantes
La Délégation au numérique en santé (DNS), l’Agence du numérique en santé (ANS) et la Caisse nationale de l’Assurance maladie (Cnam) ont souligné, le 21 septembre lors d’une conférence de presse, le « succès » de la première étape du Ségur du numérique marquée par le déploiement des mises à jour des logiciels « Ségur vague 1 »
La délégation ministérielle au numérique en santé (DNS) a fait le point sur les chiffres de l’alimentation de Mon Espace Santé, lors du huitième comité de suivi du Ségur numérique organisé le 13 septembre. Les médecins de ville sont particulièrement à la traîne.
Le 8 septembre, la DNS, l’ANS, la Cnam et les éditeurs de logiciels ont annoncé la poursuite de leur collaboration pour améliorer les fonctionnalités Ségur des logiciels et renforcer l’appropriation de leurs usages par les médecins de ville.
Un décret publié le 1er août au Journal officiel détaille les modalités de signalements d’une nouvelle catégorie de maladies à déclaration obligatoire par les biologistes. Ils seront effectués dans un nouveau système d’information, baptisé LABOé-SI.
La Formation RSSI / SSI Santé - Porter la SSI et la conformité numérique : technicité et savoir-faire est une formation spécialement conçue par l’APSSIS pour les professionnels de santé en charge de la sécurité des SI, RSSI, Référents SSI, DSI, DPO, ingénieurs. Dispensée sur 3 jours par Vincent TRELY, Président de l’APSSIS, son contenu est inédit, régulièrement actualisé et propose un 360° sur la SSI Santé.
Annoncé en 2021 à l’occasion du lancement de la stratégie d’accélération sur la santé numérique de France 2030, le programme et équipement prioritaire de recherche (PEPR) Santé numérique a été officiellement lancé ce jour. Ce programme de recherche ambitieux, porté conjointement par l’Inserm et Inria, est doté d’une enveloppe septennale de 60 millions d’euros de France 2030. Il ambitionne de positionner la France comme leader européen de l’innovation en santé numérique, avec pour objectifs l’obtention d’avancées scientifiques et l’émergence de technologies de rupture d’ici cinq à dix ans.
Le référentiel d’exigences applicable aux solutions numériques de téléconsultation devrait généraliser la coconstruction de normes secteur par secteur et faciliter tant la lisibilité que l’appropriation des règles par les acteurs concernés. Il est mis en concertation jusqu’au 25 juin 2023.
Les outils mobiles permettent d’améliorer la qualité de vie au travail des soignants, notamment en facilitant l’accès à l’information et la communication. La Clinique de l’Emeraude à Saint-Malo (Groupe Vivalto Santé) a témoigné à ce sujet lors du salon Santexpo, en présentant les atouts de la solution d’alerting Quarness proposée par Dedalus.
Passer son temps à beugler avec le troupeau, c’est certes reposant, mais à la longue les neurones s’atrophient. C’est tellement plus drôle de poser les questions mêmes que tout le monde pense classées, archivées, réglées… et qui au final ne le sont pas forcément, ou pas totalement. En philo, c’est ce qu’on appelle une expérience de pensée. Personnellement j’adore, il faut juste ne pas avoir peur de sortir des âneries – mais c’est bien connu, les Gaulois n’ont peur que d’une seule chose, c’est que le ciel leur tombe sur la tête. Essayons un coup pour voir.
La vague 2 du Ségur du Numérique, dont le déploiement est prévu en 2024-2025, va intégrer de nouvelles professions médicales et paramédicales, a expliqué Clara Morlière, directrice de projets TF Hôpital Ségur numérique à la Délégation ministérielle au numérique en santé, lors d’une présentation sur le stand de l’éditeur Maincare (F47) à l’occasion de Santexpo.
Ce mardi midi 23 mai, Maincare recevait sur son stand François Valadier, directeur de l’innovation chez d’Open Value, filiale de Docaposte spécialisée en data IA. Au menu de cette pause méridienne, le potentiel de l’IA générative dans le monde de la santé.
Le 16 mai, le président de la République a annoncé la création de quatre nouveaux bioclusters et douze nouveaux IHU[1] pour renforcer la recherche en santé sur le territoire national et accélérer le passage de la recherche au soin.
Lors du 7e Comité de suivi, le mercredi 5 avril, le calendrier réglementaire du Ségur numérique a été précisé. Les industriels ont jusqu’au 20 septembre pour finaliser les prestations de mises à jour logicielles et jusqu’au 31 octobre pour achever les prestations de transcodage. Par ailleurs, ils peuvent déposer leurs dossiers complets de demande de solde jusqu’au 14 décembre.
L’agence du numérique en santé (ANS) a organisé les 14 et 15 mars à Paris ses troisièmes Journées nationales du numérique à l’hôpital. Elles ont été l’occasion de présenter le chemin parcouru par les programmes HOP’EN et SUN-ES dédiés à la transformation numérique et la modernisation des établissements de santé.
Gustave Roussy et sa filiale de valorisation, Gustave Roussy Transfert, annoncent la création de la start-up Orakl, dont l’objectif est de valoriser une collection d’avatars de tumeurs, combinant à la fois leur biologie et leurs données cliniques, pour nourrir l’arsenal thérapeutique contre le cancer. En partenariat avec différents acteurs en oncologie, Orakl transformera les stratégies d’identification de cibles thérapeutiques et de validation des candidats médicaments.
Fin janvier, l’Anap a présenté son COP 2022-2026, comprenant notamment la simplification et l’amplification des outils d’accompagnement.
Dans sa trajectoire de forte croissance, le Groupe Softway Medical - leader de l’informatique en santé labellisé Happy at Work – ouvre 114 postes en CDI de développeurs, techniciens et infrastructures à Paris, Lyon et Aix-en-Provence.
« La Formation RSSI / SSI Santé - Version 3 - Porter la SSI et la conformité numérique : technicité et savoir-faire » est une formation spécialement conçue par l’APSSIS pour les professionnels de santé en charge de la sécurité des SI. Dispensée sur 3 jours par Vincent TRELY, Président de l’Association, son contenu est inédit, régulièrement actualisé et propose un 360° sur la SSI Santé.
Le programme de Financement Ségur des établissements SUN-ES est organisé autour de quatre fenêtres d’atteinte des cibles d’usage. La DGOS a partagé courant décembre 2022 les résultats de la 1ère Fenêtre du programme SUN-ES (janvier - septembre 2022) pour les 879 établissements candidats. Verdict : comparé à la moyenne nationale, les établissements ayant choisi Lifen comme PFI sont proportionnellement plus nombreux à avoir atteint leurs cibles d’usages.
Le 15 décembre, l’Alliance de la biologie médicale a annoncé sa décision de suspendre jusqu’à nouvel ordre la transmission des données de biologie sur Mon espace Santé. Elle dénonce ainsi les risques que feraient courir les autorités aux laboratoires de biologie médicale de proximité, à leurs salariés et aux services d’urgence si elles mettaient à exécution leur projet de réaliser une économie de 1,3 milliard d’euros.
La nouvelle feuille de route du numérique en santé a été présentée lors du Conseil du numérique en santé le 14 décembre dernier. Elle est mise en concertation jusqu’au 14 mars 2023.
Lauréat de l’édition 2022 de l’appel à projet « Structure 3.0 » organisé par l’Agence du Numérique en Santé, le projet Sentinel Sénior est une nouvelle initiative numérique de revue et d’évaluation des prescriptions en EHPAD. Porté par l’EHPAD Saint Dominique en collaboration avec VIDAL et SOLWARE LIFE, ce projet a pour objectif de mettre en place une solution numérique permettant d’identifier et d’alerter le pharmacien sur des situations à risque tout en les priorisant.
Le 2 novembre 2022, le groupe Softway Medical fait l’acquisition de la société HISTONE, éditeur spécialisé en solutions pour laboratoires. Avec ce rachat, le leader français de l’informatique en santé complète de manière stratégique son offre à destination des acteurs de la e-santé et donne naissance à Softway Medical biologie.
Les accords du Ségur de la santé, signés en juillet 2020, ont consacré un volet numérique consistant dans l’investissement de 2 milliards d’euros au profit du développement du numérique en santé, avec comme objectifs affichés[1] de « rattraper le retard dans la modernisation, l’interopérabilité, la réversibilité, la convergence et la sécurité des systèmes d’information en santé », de sorte à « généraliser le partage fluide et sécurisé des données de santé ». Ce double objectif a été transposé au code de la santé publique imposant la conformité des services numériques en santé aux référentiels d’interopérabilité et de sécurité élaborés par l’Agence du Numérique en santé (ANS). Le volet numérique du Ségur s’articule en 6 couloirs distincts : hôpital, biologie, radiologie, médecine de ville, pharmacie et médico-social[2], avec, pour chacun d’eux, un dispositif de financement.
Le RSSI et le DPO sont souvent consultés pour des sujets bizarres, voire carrément étrangers à leur périmètre. Mais après tout, c’est le lot de pas mal de professions transverses, surtout dans le conseil.
À la suite de la concertation de mars dernier, deux terminologies ont été adoptées pour décrire les microorganismes dans un compte rendu de biologie médicale : la NCBI Taxonomy et la Snomed CT.
Les établissements de santé sont des producteurs incessants de données. Ils en sont également des collecteurs. Que l’on parle de comptes-rendus médicaux, de résultats d’analyses de biologie, d’interprétations d’images, mais aussi de cartes d’identités, de passeports, de numéros de cartes vitales ou de coordonnées des patients, les SI des établissements de santé concentrent des millions d’informations, presque toutes sensibles au sens de la production de soins mais aussi de la réglementation associée au RGPD. Comment les qualifier, les protéger et s’assurer de l’inviolabilité des données les plus sensibles ?
Fin juillet, L’ARS Île-de-France a présenté le bilan de la phase d’instruction de la fenêtre 2 du programme SUN-ES.
L’ANS se félicite de l’accélération des usages de MSSanté avec désormais quelque 85 % des établissements sanitaires raccordés, 75 % des laboratoires de biologie médicale et plus de 75 % des médecins libéraux.
Le 20 juin, les start-up Arkhn et Owkin se sont associées à l’Inria dans le cadre du projet Oncolab afin de standardiser l’accès aux données de santé de l’IUCT-Oncopole, des instituts Curie et Bergonié ainsi que du CHU de Toulouse.
Le 15 juin, le consortium AgorIA Santé a annoncé bénéficier de la première autorisation accordée par la Cnil à un consortium d’acteurs privés pour constituer un entrepôt de données de santé (EDS) avec un système fils du SNDS (Système national de données de santé).
Le GHT Yvelines Sud a déployé la plateforme d'intermédiation (PFI) de Lifen afin de compenser les difficultés liées à la convergence des SI. Un choix triplement gagnant : cet outil leur a permis d'améliorer la coordination au sein du GHT ; d'atteindre les objectifs liés au programme HOP'EN ; et à l'annonce du Ségur du numérique, d'avoir un temps d'avance pour avancer vers ses nouvelles cibles. Stéphane Harnisch, DSI du centre hospitalier de Versailles, nous détaille ce projet.
L’éditeur Dedalus a organisé, le 18 mai lors du salon SANTEXPO 2022, une table-ronde consacrée aux enjeux du cloud. Accompagné de deux de ses partenaires, Amazon Web Services (AWS) et Claranet, Dedalus a dressé un panorama des enjeux et des attentes liés à cette technologie et présenté sa stratégie.
Le développement de l’interopérabilité sémantique est une priorité pour la France. Elle a récemment choisi de s’engager vers la terminologie Systematized Nomenclature of Medicine Clinical Terms (SNOMED CT), dans la dynamique européenne, visant notamment à permettre la construction du futur espace européen des données de santé, axe stratégique de la présidence française du Conseil de l'Union européenne.
Un arrêté daté du 26 avril 2022 et publié samedi au Journal officiel fixe la liste des documents soumis à l’obligation d’alimentation du dossier médical partagé (DMP) par les médecins et les biologistes et d’envoi tant aux professionnels de santé qu’aux patients par le biais des messageries sécurisées de santé.
Dans le cadre du Ségur du numérique en santé, les fournisseurs des couloirs Officine et Médico-social peuvent s’enrôler et déposer leurs demandes de financement sur le téléservice depuis fin avril. L’ANS a par ailleurs publié la liste des premières solutions référencées dans les différents couloirs.
L’analyse du risque des prescriptions hospitalières est une étape essentielle du circuit du médicament, sous la responsabilité du pharmacien. Néanmoins, elle demande de nombreuses et très chronophages recherches d’informations, dans différents systèmes, pour permettre à l’équipe pharmaceutique de mener à bien cette mission.
Des retours d’expérience des pilotes Ségur pour les champs personnes âgées, personnes en situation de handicap et domicile très prometteurs
Damien Porquet, co-fondateur et directeur technique d’icanopée (filiale de Docaposte), dresse un panorama des avancées du Ségur. Il pointe notamment plusieurs aspects prioritaires à améliorer afin que tous les acteurs concernés soient en ordre de marche. L’enjeu est de passer le cap de l’alimentation automatique pour aller vers la consultation du DMP, c’est-à-dire la vague 2, à l’horizon 2023.
Le Ségur du Numérique en Santé a pour ambition de généraliser et de fluidifier le partage sécurisé des données de santé entre professionnels d’une part et avec les usagers d’autre part. Programmes, spécificités, calendriers : Olivier Mahieu, Consultant chez WELIOM, en décrypte les points-clés.
La règle n°1 de la directive NIS applicable aux OSE précise : « L'opérateur de services essentiels effectue et tient à jour, dans le cadre de l'homologation de sécurité prévue à la règle 3, une analyse de risque de ses systèmes d'information essentiels (SIE) ». Dans le but d’accompagner ses clients dans ces analyses des risques, WELIOM s’est doté de l’outil Agile Risk Manager de la société ALL4TEC (1), solution leader sur la méthode EBIOS RM, premier outil labellisé par l’ANSSI en 2019, et a consacré une année à l’adapter aux établissements de santé.
Le dispositif d’animation régionale qui accompagne les régions dans la construction des feuilles de route de déploiement des MSSanté et du DMP continue de se structurer pour accélérer la mise en place des services socles.
Le nouvel espace numérique individuel « Mon espace santé » a été officiellement inauguré le 3 février 2022 au ministère des Solidarités et de la Santé. Après une phase d’expérimentation sur trois départements, il se déploie sur l’ensemble du territoire national.
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