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L’Institut de Cancérologie de l’Ouest et l’Institut Bergonié, centres de lutte contre le cancer, le Centre Hospitalier Intercommunal de Mont de Marsan et le Digital Medical Hub (DIMH) s’associent en créant le tiers-lieu « Onco-Atlantique » pour améliorer les parcours complexes des patients en oncologie : des biomarqueurs à une prise en charge « hors les murs ».
L’inauguration du tiers-lieu BOpEx (Bloc Opératoire Expérimental) et de la plateforme Prim3D (Prototypage et Réalisation d’Innovations Médicales en 3D) s’est déroulée le 27 mars 2024 au sein de l’ancien hôpital Broussais. Ces deux initiatives vont contribuer à accélérer l’innovation en santé, en favorisant l’émergence de nouveaux outils au service de la prise en charge des patients au bloc opératoire. Un futur campus chirurgical viendra également accompagner ces mutations en formant les futures générations de professionnels.
Panique à la rédaction. Annie, la toujours coupable, a accidentellement supprimé toutes les archives des 18 derniers numéros.
Transporter, soulever, déplacer, convoyer, remorquer : les robots mobiles autonomes (Autonomous Mobile Robot, AMR) sont aujourd’hui capables de se déplacer seuls de façon sécurisée dans l’hôpital pour transporter des charges lourdes, du matériel médical (médicaments, dispositifs médicaux, des échantillons d’analyse…), des chariots ou des bacs. UniHA propose à ses adhérents une nouvelle offre permettant l’automatisation des flux logistiques dans l’hôpital.
Régulièrement, les professionnels du secteur sont amenés à se pencher sur le sujet des services de divertissement pour les patients. La question n’est pas simple car ceux-ci doivent tenir compte des contraintes techniques, économiques et opérationnelles, tout en garantissant un bon niveau de satisfaction chez les patients. Mais alors, comment faire les bons choix ? Quels niveaux de service proposer tout en limitant au maximum l’implication du personnel soignant ? Découvrez toutes les possibilités qui existent afin de mieux orienter sa stratégie de digitalisation, en se concentrant sur deux piliers essentiels : le Wifi, et la Télévision.
Avec l’extension de l’ambulatoire et des soins à domicile (thérapies orales, HAD…), le temps que passent les patients dans un établissement de santé est de plus en plus court. Les hôpitaux et cliniques ne sont plus le "centre" mais une étape de leur prise en charge. Les logiciels doivent donc suivre ces évolutions et apporter les outils nécessaires.
Avec la récente réglementation sur la traçabilité des DMI, les établissements de santé ont une nouvelle priorité : informatiser la gestion de leurs blocs opératoires. Le gain est double : optimiser l'organisation des plannings et améliorer le suivi de toute l’activité chirurgicale.
Les outils mobiles permettent d’améliorer la qualité de vie au travail des soignants, notamment en facilitant l’accès à l’information et la communication. La Clinique de l’Emeraude à Saint-Malo (Groupe Vivalto Santé) a témoigné à ce sujet lors du salon Santexpo, en présentant les atouts de la solution d’alerting Quarness proposée par Dedalus.
Maincare a annoncé deux partenariats visant à renforcer son catalogue et à proposer une solution « tout intégrée ». Le premier, avec Evolucare, permettra l’intégration croisée de leurs solutions respectives Oproom et e-Venue dans leur catalogue produits. Le second concerne l’intégration dans le catalogue de Maincare de la solution de gestion des flux patients SESAME d’Atout Majeur Concept.
Evolucare et Maincare ont signé, le 03 janvier 2023, un contrat de partenariat afin de combiner leurs expertises métiers et de proposer aux établissements hospitaliers une intégration de leurs solutions respectives
L’évolution de la réglementation européenne sur les dispositifs médicaux et l’arrêté du 8 septembre 2021 imposent aux établissements de santé de mettre en œuvre une traçabilité complète du circuit des DMI. Praticien hospitalier et Pharmacien au CH d’Agen Nérac (47), le Docteur Christian Guillaudin supervise tout le circuit des Dispositifs Médicaux Implantables. L’application Pharma et son module Traça, développés par Computer Engineering, ont fait gagner un temps considérable à son équipe sur tous les aspects de traçabilité des DMI.
Élément clef du système d’information hospitalier, Dragon Medical One, la solution de reconnaissance vocale 100% cloud de Nuance a déjà emporté l’adhésion de nombreux professionnels de santé dans les hôpitaux. Les fonctionnalités développées par le spécialiste de l’intelligence artificielle conversationnelle sont en adéquation avec les besoins des utilisateurs : gain de temps médical et administratif, documentation clinique en temps réel du dossier patient informatisé, facilité de déploiement et d’utilisation de la solution, adaptation des fonctionnalités en continu avec l’IA.
Après l’adoption du DPI Cerner Millennium® pour ses consultations d’anesthésie en septembre 2020 (1), le Centre hospitalier de Lens a étendu la feuille d’anesthésie numérique à l’ensemble du bloc opératoire. Une mise en œuvre qui contribue à sécuriser l’intégralité du parcours opératoire d’un patient.
En avril 2021, le Centre hospitalier de Saint-Claude a démarré le déploiement de la solution SurgiNet de Cerner dans ses trois blocs opératoires, la salle d’endoscopie et la salle de réveil. La solution, opérationnelle depuis le début de l’année 2022, parachève la modernisation du système d’information de l’établissement.
L’hôpital Forcilles de Férolles-Attilly, en Seine-et-Marne, utilise désormais Dragon Medical One, la solution de reconnaissance vocale dans le Cloud de Nuance. Coup de projecteur sur une étape importante de la transition numérique de l’établissement privé, membre de la Fondation Cognacq-Jay depuis 2013.
La règle n°1 de la directive NIS applicable aux OSE précise : « L'opérateur de services essentiels effectue et tient à jour, dans le cadre de l'homologation de sécurité prévue à la règle 3, une analyse de risque de ses systèmes d'information essentiels (SIE) ». Dans le but d’accompagner ses clients dans ces analyses des risques, WELIOM s’est doté de l’outil Agile Risk Manager de la société ALL4TEC (1), solution leader sur la méthode EBIOS RM, premier outil labellisé par l’ANSSI en 2019, et a consacré une année à l’adapter aux établissements de santé.
La Direction générale de l'offre de soins a publié le 10 novembre la huitième édition de son Atlas des SIH, panorama complet de l’évolution des systèmes d’information de l’ensemble des établissements de santé.
Il est de bon ton d’affirmer que la meilleure protection contre les cryptolockers est et demeure les sauvegardes Offline. Quoi de plus évident en effet : si vos sauvegardes sont physiquement déconnectées, elles ne pourront être chiffrées, et vous pourrez repartir de données saines en cas de sinistre. En fait, c’est moins trivial qu’il n’y paraît, et voici pourquoi.
Le Groupe AHNAC propose une offre de soins portée par 15 structures sanitaires et médico-sociales. Fort de plus de 1500 lits et places et de ses 3000 collaborateurs, il est un acteur majeur de santé des Hauts-de-France. Dans le cadre d’un projet global d’évolution de son Système d’Information et de son organisation, le Groupe a fait appel à WELIOM pour l’accompagner. Au-delà d’un simple changement de solutions, ce projet représente un enjeu fort d’optimisation des parcours patients et des processus métiers, de recherche d’efficience et de gains de productivité, de convergence des modes de fonctionnement des établissements et d’amélioration de l’expérience proposée aux patients et aux professionnels de santé usagers.
Le marché des logiciels de stérilisation regroupe deux familles, les outils métiers et les outils associés aux matériels. Les premiers comprennent des solutions historiques hautement spécialisées et très complètes, mais au coût élevé. Les seconds intègrent des solutions fournies par les fabricants (laveurs et autoclaves), peu onéreuses mais souvent incomplètes (pas de traçabilité nominative des patients en salle de bloc). TimeWise Stérilisation aborde le problème sous un autre angle, avec une solution d' "entrée de gamme" qui permet tout en même temps de répondre à l’ensemble des obligations règlementaires.
Mais qu’est-ce qui a donc bien pu passer par la tête du ministre Dupont-Moretti ? Partant certainement d’une bonne intention – de celles dont l’enfer est pavé –, soit la volonté de rendre plus compréhensible le fonctionnement de l’institution judiciaire et de redonner confiance aux citoyens, le ministre souhaiterait filmer les procès. Revenons aux basiques du RGPD : consentement des prévenus (c’est la partie la plus facile), droit d’opposition (idem), mais surtout droit de changer d’avis : tiens, au fait, j’avais dit oui, mais en y réfléchissant je ne veux plus, merci d’arrêter de filmer et surtout d’effacer les images. Les avocats pénalistes interrogés dans la presse sont unanimes : ils conseilleront systématiquement à leurs clients de s’opposer aux prises de vues : imaginez l’effet que produiraient, 10 ou 15 années plus tard, les images sur les réseaux sociaux d’un accusé dans un box qui au final aurait été acquitté ? Rien ne se perd ni ne s’efface au xxie siècle. Certes, le premier procès filmé de l’Histoire a été celui du criminel de guerre Klaus Barbie (1987), mais les images ont été captées à des fins historiques et nullement destinées à être diffusées immédiatement puisque l’INA devait les conserver au secret pendant 20 ans[1].
Les acteurs du soin de La Réunion sont les premiers à bénéficier de Lien L’App, une solution 100 % mobile de coordination des professionnels de santé développée par Maincare Solutions, au sein d’IdéoPHM, sa plateforme collaborative de gestion des parcours. La solution, financée par l’ARS de La Réunion, a été déployée en partenariat avec le GCS Tesis, le groupement régional d’appui au déploiement de l’e-santé (Grades) Océan Indien.
Depuis le début de l’année, on peut dire que les semaines se suivent et… se ressemblent… Systèmes compromis, vulnérabilité activement exploitée, patching en urgence, systèmes compromis, nouvelles vulnérabilités activement exploitées, patching en urgence… et ainsi de suite.
Dans un contexte où la digitalisation des établissements de santé est encouragée par le gouvernement français (Projet Ma Santé 2022, Programme HOP’EN), de plus en plus de structures de soins décident de se doter d’une plateforme d’interopérabilité biomédicale. « De nombreux acteurs de la santé doivent entamer ou continuer leur transformation numérique et leur digitalisation. Ces nouveaux défis permettent d’éliminer l’usage du papier dans les établissements et gagner en efficacité », rappelle Isabelle Verne, Product Marketing Manager chez Enovacom.
Appartenant au groupe Vivalto Santé, l’Hôpital privé de la Baie à Avranches dans la Manche, est le tout premier établissement en France à utiliser la réalité virtuelle en formation continue pour éviter les erreurs dans les blocs opératoires. Son module de simulation 3D baptisé « le bloc des erreurs » est un serious game1 en immersion virtuelle au cœur d’un bloc opératoire. Destiné à la formation continue des professionnels de santé, des internes et externes, ce programme innovant permet de traquer toutes les erreurs possibles dans un bloc.
La France comble petit à petit son retard sur le taux de chirurgie ambulatoire. S’il était limité à 58,5 %[1] en 2019, l’objectif est de le porter à 70 % en 2022. Largement plébiscité par les patients et leurs familles, ce mode de prise en charge présente de nombreux avantages : taux de satisfaction élevé, récupération plus rapide, mais aussi diminution des coûts. En raccourcissant le temps de séjour, il contribue également à réduire les infections nosocomiales contractées par les patients dans un établissement de santé. C’est là que le Covid-19 se présente comme un allié de l’ambulatoire.
Quelques jours après la parution des derniers référentiels d’Identitovigilance et guides d’implémentation par l’Agence du Numérique en Santé (ANS), Maincare Solutions a obtenu le 2 novembre dernier l’autorisation Identifiant National de Santé intégré (INSi) 02.00 pour son logiciel de gestion administrative du patient M-GAM (v 8.2.5R7.0).
Très impliqué dans l’ensemble des dispositifs du programme Simphonie, Maincare Solutions est aujourd’hui le premier éditeur autorisé par le CNDA pour le dispositif CDRi appel par lot. Cette certification vient confirmer l’excellence de la solution M-GAM de Maincare Solutions qui équipe aujourd’hui plus de 110 établissements.
L’épisode le plus critique de l’épidémie liée au nouveau coronavirus s’éloigne. Les entreprises reprennent progressivement leurs activités. DSIH a voulu savoir comment les éditeurs de solutions numériques de santé avaient géré cette période sans précédent. Il nous a paru également intéressant de les interroger sur leur vision de l’après-Covid. Entretien avec Hélène Millet, gérante de Canyon Technologies.
IDC France publiait en mars dernier l’édition 2019 de son Observatoire e-Santé* qui permet de dresser un état des lieux riche en enseignements des principaux enjeux et projets des établissements de soins, mais aussi – c’est une nouveauté – des régions, parties prenantes de plus en plus indissociables de la transformation numérique de notre système de soins. Cette nouvelle étude 2020 met en avant une accélération des dépense IT, en particulier autour des services numériques, et une perception très positive par les établissements du volet numérique du plan #MaSanté2022. De nouvelles dynamiques auxquelles contribue Maincare Solutions.
Solution innovante du groupe MEDISYS, mobiServ propose une traçabilité digitale des prestations de nettoyage et d’entretiens. Chaque agent/ASH est doté d’un terminal mobile pour valider ses interventions dans les différentes zones concernées (parties communes de l’hôpital ou EHPAD, chambres des patients, blocs opératoires…). Il peut consulter à tout moment de son intervention les protocoles liés à la charte sanitaire de l’établissement ou réglementation COVID19. L’encadrant (cadre de santé, gouvernante, IDE hygiéniste…) reçoit en temps réel les données saisies par l’agent sur un portail de suivi d’activité. Il peut également générer des missions auprès des ASH et du service maintenance.
La crise sanitaire du Covid-19 a mis en évidence la nécessité de pouvoir communiquer à distance. Comment aurions-nous pu passer ces 54 jours de confinement sans Skype, Messenger, Teams, Zoom, WhatsApp… ? Imaginez un seul instant qu’un fournisseur d’accès Internet refuse purement et simplement ces technologies. Il aurait rapidement été contraint de s’adapter. L’interopérabilité dans la santé reproduit ce même schéma.
Depuis le 1er janvier 2020, les centres hospitaliers de Charleville-Mézières, Fumay, Nouzonville et Sedan du groupement hospitalier de territoire Nord-Ardenne ont fusionné pour former le Centre hospitalier intercommunal Nord Ardennes, le China. Laurent Karmusik, le directeur de son système d’information, explique les impacts immédiats de la crise du Covid-19 sur le travail des équipes du SI.
La gestion des lits des établissements de santé est déjà un casse-tête en temps normal. Mais en période de crise elle devient critique. Comment trouver rapidement un lit adapté ? Comment différencier les patients selon leur pathologie ? Le logiciel TimeWise Clinic assiste les hôpitaux et les cliniques dans cette gestion. Le personnel soignant a des missions urgentes et essentielles, et l’informatique se doit d’apporter une réponse rapide.
Depuis une semaine, l’application de vidéo-conférence Zoom fait couler de l’encre à n’en plus finir dans le domaine de la sécurité. Si personne ne vous a encore demandé un accès à cet outil dans votre établissement, ça ne devrait pas tarder, sauf si… un utilisateur l’a déjà utilisé à votre insu. Après avoir commencé à recenser quelques informations pertinentes sur le sujet [1], et vu qu’il y de la matière, j’ai pensé qu’il serait intéressant de les partager avec vous, sous forme de synthèse dans ce billet.
L’épidémie de coronavirus bouleverse les organisations, médicales et soignantes en premier lieu. Les systèmes d’information doivent s’adapter pour maintenir en plein ordre de marche la machine hospitalière. Patrick Majka, responsable du système d’information au sein de la Direction du numérique et du marketing du centre hospitalier d’Arras, raconte ses premiers pas de RSI dans cette crise inédite.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que la situation est des plus étranges.
Les événements auxquels font face les établissements de santé, publics ou privés, sont exceptionnels et inédits. Ils s’apparentent à une situation de guerre dans le sens où la totalité de la « capacité de production » du cœur de métier des organisations est orientée vers un objectif unique (la crise sanitaire), et les autres fonctions vers le support logistique, direct ou indirect.
Jeudi 20 février se tenait dans les nouveaux locaux du GCS Normand’eSanté à Caen la première réunion 2020 du collège des DSI/RSI des établissements de santé normands. La cyberattaque subie par le CHU de Rouen le 15 novembre 2019 était au cœur des échanges. Entretien avec Francis Breuille, président de ce collège et DSI du GHT Centre manche.
Le Centre hospitalier de Luxembourg – implanté dans la capitale du Grand-Duché – et le Centre hospitalier Émile-Mayrisch – à Esch-sur-Alzette, au sud-ouest du pays – viennent de démarrer le déploiement de leur dossier patient mutualisé informatisé de nouvelle génération Dop@min. Cette solution est basée sur la plateforme territoriale de production de soins Maincare IC.
La solution Dic’T de la société Anticyclone, acquise en 2019 par le groupe Maincare Solutions, a fait l’objet d’un nouveau référencement par le Resah dans le cadre du marché « Acquisition, installation et mise en oeuvre d'une solution logicielle de dictée numérique, de reconnaissance vocale et acquisition de matériels associés ».
XPERIS, la solution de nehs en matière d’interopérabilité et de sécurisation des données a été retenue par la CAIH dans le contexte d’un accord-cadre visant a accompagner plus 1 200 établissements de santé́ dans le développement de solutions d’interopérabilité. Le marché concerne la mise en place de plateforme EAI (Intégration des applications d’entreprise) et d’échange de données informatisées (EDI) afin que les différentes composantes du système d’information hospitalier (SIH) puissent communiquer facilement. Ce marché, multi-attributaire, est conclu pour une période de 4 ans.
Les nouvelles techniques médico-chirurgicales ont permis de réduire les temps de séjour pour bon nombre de prises en charge [1]. Ambulatoire, hospitalisation « J zéro », hospitalisation de jour, dossiers « à séances »…, Canyon Technologies et TimeWise Clinic, son logiciel de planification des lits, accompagnent les établissements de santé dans la mise en œuvre de ces évolutions organisationnelles.
Après une consultation de plusieurs mois et de nombreuses auditions et démonstrations, Maincare Solutions, associé à Atos, est l’un des quatre consortiums à avoir été retenus par le Resah dans le cadre de l’appel d’offres « Fourniture de services numériques pour les parcours de santé et leur coordination dans la sphère sanitaire et médico-sociale (coordination interprofessionnelle et appui à la coordination) et prestations associées ».Ce référencement est un support au programme e-parcours qui s'inscrit dans la stratégie de transformation du système de santé « Ma santé 2022 » et de son volet numérique en mettant à disposition un bouquet de services de coordination pour les professionnels de santé, complémentaire aux trois premiers services socles que sont le DMP, la MSSanté et l’e-prescription. Ce programme est doté d’un financement national de 150M€ sur la période 2018-2022.
Les hôpitaux souffrent d’un manque de moyens et de ressources depuis de nombreuses années. Les changements de réglementation, les contraintes économiques et démographiques, les regroupements, fermetures et reconstructions d’établissements n’ont jamais permis à ces structures particulièrement complexes de s’organiser pour être à la fois plus efficaces, moins coûteuses et propices à une meilleure qualité de vie au travail des soignants.
La prise en charge d’un patient opéré fait intervenir de nombreux professionnels de santé. Elle est également soumise à de fortes contraintes réglementaires. Les établissements privilégient donc des solutions informatiques complètes, qui prennent en compte toutes les étapes de l’activité de chirurgie.
Les 7es Rencontres du progrès médical du Snitem,qui se sont tenues la semaine dernière, étaient centrées sur l’innovation pour tous. Elles ont été l’occasion de s’interroger sur le positionnement du patient dans le développement des dispositifs médicaux.
Avec Direct-Consult et Direct-Op, les anesthésistes de la clinique Médipôle Garonne de Toulouse assurent l’informatisation du dossier d’anesthésie, totalement intégrée dans le système d’information de l’établissement. Entretien avec le Dr Olivier Rontes, anesthésiste à la clinique.
Après les GHT Atlantique 17 (communiqué du 18 juin 2019) et du Douaisis (communiqué du 1er juillet 2019), le GHT des Landes a annoncé avoir retenu la plateforme territoriale de production de soins Maincare IC. Un choix qui lui permet de répondre à 3 objectifs stratégiques : convergence de son S.I., modernisation du DPI et ouverture vers la ville.
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