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Au cœur des écosystèmes de santé, les SATT jouent un rôle clé dans la dynamique d’innovation du monde hospitalier afin de toujours mieux répondre aux enjeux de santé publique et de contribuer à la création de l’hôpital de demain. Alors que la mission du gouvernement pour la rénovation de la recherche biomédicale doit rendre ses conclusions prochainement, le Réseau SATT confirme son engagement en faveur de l’émergence des innovations en santé et partage l’ambition d’une recherche renforcée pour le maintien du leadership et de l’attractivité internationale de la France.
Le projet "Platform For Data In Primary Care" ou P4DP est un projet ambitieux qui réunit les acteurs clés français du numérique et de la recherche en soins primaires, afin de créer le premier entrepôt de données de santé de médecine générale à l'échelle nationale. Trop peu exploitées en France, les données de médecine de ville constituent des outils stratégiques pour améliorer la performance de notre système de soins grâce à la mobilisation de la communauté médicale.
Le consortium P4DP, Platform for Data in Primary Care, a annoncé le 22 novembre ses objectifs pour le premier semestre 2024.
Breaking news : une association de patients attaque le Centre hospitalier Sud francilien[1] (CHSF) quant à sa responsabilité dans le contexte de l’attaque cyber subie par l’établissement et la publication de données sensibles (entre autres, médicales) sur les réseaux par les pirates pour faire pression sur le paiement d’une rançon.
Dans un communiqué du 11 janvier dernier[1], l’Anssi annonce avoir signé des conventions avec sept régions pour la création de CSIRT : Computer Security Incident Response Teams ou équipes de réponse à incident cyber.
A la veille de la 11ème édition des Assises de Génétique Humaine et Médicale1, le consortium FrOG (French OncoGenetics) réunissant des Centres de lutte contre le cancer, des CHUs et Unicancer sous l’égide du groupe Génétique et Cancer (GGC), annonce le lancement de FrOG, une base de données nationale centralisée et partagée, destinée à améliorer la prise en charge des patients en oncogénétique en France.
Par Jean-Noël Galzain, Fondateur de WALLIX & Philippe Loudenot, Membre spécialiste de la Santé du CESIN et anciennement au Ministère de la Santé
Depuis le début de l’année, on peut dire que les semaines se suivent et… se ressemblent… Systèmes compromis, vulnérabilité activement exploitée, patching en urgence, systèmes compromis, nouvelles vulnérabilités activement exploitées, patching en urgence… et ainsi de suite.
Face à l’augmentation des cyberattaques par ransomware, le gouvernement intensifie sa stratégie et ajoute une enveloppe d’un milliard d’euros, notamment pour réaliser des audits dans les établissements de santé.
En novembre et en décembre, l’ANS a proposé une nouvelle session d’une dizaine de webinaires à destination des professionnels de santé. Deux séances de la dernière semaine étaient consacrées à l’interopérabilité.
Le directeur de l’Anssi alerte régulièrement les pouvoirs publics sur l’état grandissant de la menace cyber et, la semaine dernière, le Cigref adressait dans un courrier[1] au Premier Ministre son inquiétude sur l’industrialisation de la cybercriminalité et la faible réponse étatique.
Les Assises de la sécurité, rendez-vous incontournable des acteurs du domaine de la sécurité numérique fondé par Gérard Rio, fêtaient leur 20e anniversaire cette année ! Malgré le contexte, les bougies ont pu être soufflées « en vrai » !
Les souliers neufs chaussés, le masque haute couture sur le nez et le cartable tendance à peine enfilé qu’il faut déjà commencer à éviter les balles ! Alors que l’on tente de faire un point sur les actualités de l’été à ne pas rater, le CERT-FR de l’ANSSI nous annonce déjà des orages cyber !
L’année 2020 aura été bizarre, confinement oblige. Ce n’est pas pour autant qu’il ne s’est rien passé, et ce n’est pas pour autant que les gendarmes et les voleurs (comprendre RSSI et hackers) se sont tournés les pouces – surtout pour les seconds. Bilan de la première moitié de l’année.
Je laisserai à d’autres la question de savoir quelles sont les responsabilités politiques dans la crise actuelle du Covid-19 – et surtout de quelle mandature –, intéressons-nous plutôt aux dysfonctionnements qui ont mené à une telle situation, afin d’en comprendre certains mécanismes qui sont totalement reproductibles dans le domaine des SIH. Analyse de la situation selon le prisme des biais cognitifs.
Jeudi 20 février se tenait dans les nouveaux locaux du GCS Normand’eSanté à Caen la première réunion 2020 du collège des DSI/RSI des établissements de santé normands. La cyberattaque subie par le CHU de Rouen le 15 novembre 2019 était au cœur des échanges. Entretien avec Francis Breuille, président de ce collège et DSI du GHT Centre manche.
C’est une timbale dont nous nous serions bien passés, celle du secteur le plus impacté par les rançongiciels en 2019. Même si les chiffres ne sont peut-être pas très exhaustifs, le fait de monter sur la première marche du podium pour le nombre d’incidents par secteur, traités par l’Anssi, révèle malgré tout, une certaine faiblesse. Il s’avère aussi que, contrairement à d’autres secteurs, nous sommes dans l’obligation de déclarer nos incidents depuis un peu plus de deux ans maintenant.
Je ne sais pas encore à quelle vitesse va nous propulser l’année 2020 jusqu’au 24 heures du Mans de l’APSSIS [1], mais l’on peut dire que l’année démarre en trombe !
La fonction de RSSI peut être occupée par des personnes aux profils très différents, et c’est sûrement encore plus le cas dans le secteur de la santé, tout particulièrement pour les établissements publics. Entre l’ingénieur qualité de formation qui ne sait pas ce qu’est un annuaire Active Directory et l’administrateur système qui limite son appréciation des risques au périmètre de son infrastructure technique, il y existe un « Pantone » de RSSI. Nous pourrions débattre pendant des jours entiers des qualités nécessaires pour être un bon gestionnaire de risques, mais ce n’est pas le sujet de cet article.
Crise de foie est synonyme de bilan de l’année, nous n’allons donc pas déroger à la tradition. Et ce fut une année riche, très riche.
Aux côtés d’Agnès Buzyn, pour le lancement de la campagne « Tous cybervigilants », Guillaume Poupard, le directeur général de l’Anssi (Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information), est venu apporter son éclairage. L’occasion pour DSIH de lui poser trois questions(1).
À l’occasion de l’étape francilienne du Tour de France du numérique en santé le 28 novembre dernier à l’Institut Pasteur, la ministre de la Santé a lancé la campagne nationale d’information sur la cybersécurité en santé « Tous cybervigilants ». DSIH a rencontré Agnès Buzyn. Extraits(1)
Le CHU de Rouen a subit l’attaque informatique que l’on sait, et bon nombre d’entre nous sommes en train de colmater autant de brèches que l’on peut avant que cela soit notre tour. Mais par quel bout commencer ? L’AD bien entendu, ce n’est rien de moins que le composant le plus sensible du SI (et paradoxalement celui qui est souvent dans le pire état en termes de SSI). Mais comment aborder cette sécurisation, par quelles mesures ?
Dans un de mes précédents postes, une directrice de soins avait coutume de dire que « l’informatique dans les hôpitaux, c’est comme l’URSS : on sait envoyer des types dans l’espace, mais il n’y a pas de pain dans les boulangeries ». On était au début des années 2000, bien avant le premier plan Hôpital numérique, et les DSI des hôpitaux n’avaient pour la plupart pas encore franchi la porte de l’unité de soins, mais je crains que si le cœur de métier a subi une grosse informatisation en presque 20 années, on en soit toujours au même stade sur le volet Sécurité.
Connaissant très bien cette situation pour être déjà passé par là, à l’heure où j’écris ces lignes, je pense évidemment à nos collègues des équipes SI du CHU Rouen qui font tout ce qui est en leur pouvoir pour relancer au plus vite le système d’information de leur établissement à l’arrêt depuis le 15 novembre au soir [1]. Comment ne pas penser également aux professionnels de santé, privés de leurs outils, dossier patient, prescriptions, résultats d’analyses, prise de commande des repas etc...
Médiane, un éditeur de solutions logicielles qui accompagne les établissements publics de santé et ESPIC, sanitaires, médico-sociaux et sociaux, dans leurs démarches de gestion administrative et médicale, finalise une opération de croissance externe initiée en 2016 auprès de Axege, éditeur de logiciels dédiés au pilotage hospitalier. Médiane a repris l’ensemble des activités d’Axege et de ses collaborateurs.
Première en France, l’hôpital de Neufchâtel officialise son recours à la télémédecine avec le CHU de Rouen distant de 50 kilomètres afin de réaliser des bilans visuels des patients.
Le CHU-Hôpitaux de Rouen participe au projet de mise en place de la MSSanté initié par l’ASIP Santé pour sécuriser les flux d’informations entre professionnels de santé. Delphine Sacquépée, Responsable du Département « Intégration, Référentiel et Flux » au sein de la DSI de l’établissement et chef de ce projet, fait le point sur l’avancée du déploiement de la solution MSSanté d’Enovacom dans ce cadre.
Les LAP de la société Maincare Solutions (ex McKesson France) M-CrossWay 8.2 et HEO 8.2, couplés à la base de données médicamenteuses VIDAL Hoptimal, sont certifiés par essai de type par l’organisme certificateur SGS ICS et répondent aux critères de juin 2012 de la HAS.
La Direction générale de l'offre de soins a annoncé la semaine dernière le lancement de deux programmes de recherche d’évaluation des bénéfices des SIH dans la production de soins et de promotion de la recherche française dans ce domaine.
Le CHU – Hôpitaux de Rouen a placé la sécurité et la qualité de la prise en charge des patients au centre de sa stratégie en inscrivant l’informatisation de la prescription dans son projet d’établissement. Pour atteindre cet objectif ambitieux – mettre en place la prescription multimodale en moins de 2 ans sur l’ensemble des services – ce centre de santé de référence en Haute-Normandie a fait le choix du dossier patient CrossWay Hôpital et de la solution d’aide à la prescription HEO. Grâce à une méthodologie projet irréprochable et un investissement humain très fort, l’établissement a réussi à informatiser près de 1000 lits en 8 mois ! M. Pierre-Jean CANDAT, Directeur du Système d’Information, nous fait un retour d’expérience sur le déroulé de ce déploiement.
La Réunion Annuelle des Utilisateurs des solutions McKesson s’est tenue les 13 et 14 novembre à l’Espace Cap 15 à Paris et a rassemblé près de 400 participants dont la majorité des CHU français et de nombreux partenaires publics et industriels.
Initiée par le CATEL (Réseau de Compétences en Télésanté), une délégation de plus de 20 Français s’est rendue à San Jose, en Californie, à l’occasion de la Convention annuelle de l’ATA (American Telemedicine Association) qui a réuni, fin avril, quelque 5000 participants du monde entier et 250 exposants.
Systancia, éditeur de solutions de virtualisation, et McKesson, l’un des premiers groupes mondiaux de services de santé, conjuguent solution métier et virtualisation pour répondre aux besoins du CHU de Rouen.
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