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Le Conseil national de l’investissement en santé a été installé le mercredi 7 avril 2021. Il est chargé de l’instruction et de la validation des projets au-delà de 150 millions d’euros dans le cadre de la nouvelle doctrine d’investissement en santé définie par le Ségur de la santé de l’été dernier.
Le troisième opus des Guides Cyber-Résilience est paru. La thématique : les habilitations d'accès aux données. Avec l’objectif de poser clairement le problème, de présenter les différentes approches possibles avec leurs avantages et inconvénients, de sensibiliser le lecteur aux questions connexes de telle sorte à disposer d’une vision globale du sujet : il s’adresse aussi bien aux professionnels de santé qu’aux décideurs ou aux DSI.
En dehors de la question de savoir combien va coûter, pour le monde de la santé, la prise en compte de ce nouveau risque que constituent les cryptomalwares (5 % ? 10 % ? un peu plus ?) et si le financement de la protection contre ces attaques va se faire en rajoutant des budgets ou en réduisant la voilure existante, je vous propose de nous livrer à une petite réflexion qui intéressera certainement du monde.
Dans un secteur en constante évolution, Hillrom se consacre aux soins centrés sur le patient en adaptant son champ d’expertise historique, le lit médical, aux innovations du numérique en santé. Ces lits intelligents connectés optimisent notamment la prévention des chutes.
MAX de BOTdesign, l’intelligence du numérique au service de vos écosystèmes de santé
Depuis le début de l’année, on peut dire que les semaines se suivent et… se ressemblent… Systèmes compromis, vulnérabilité activement exploitée, patching en urgence, systèmes compromis, nouvelles vulnérabilités activement exploitées, patching en urgence… et ainsi de suite.
Le monde de la santé se fait de plus en plus souvent attaquer par des cryptolockers, même, et en particulier, dans le contexte de la crise sanitaire que nous vivons, et il est légitime de se demander : mais comment diable avons-nous pu en arriver là, au stade où une bande de hackers écervelés peuvent aussi facilement mettre en péril un gros hôpital de la sixième puissance mondiale ? Et surtout : on fait quoi maintenant ?
En 2020, MiPih a lancé en production la Déclaration Sociale Nominative de 19 établissements. Cette collaboration a permis aux établissements dont le CHU de Toulouse et l’Assistance Publique des Hôpitaux de Marseille d’entrer en DSN dès janvier 2021. Déjà obligatoire pour le secteur privé depuis 2017, c’est au tour des collectivités, établissements publics et administrations de mettre en place cette Déclaration Sociale Nominative, d’ici à 2022. Cela représente 70 000 établissements et concerne 5,6 millions d’agents.
Nuance Communications, Inc a annoncé hier le déploiement de sa solution Dragon Medical One au sein du Groupement Hospitalier des Alpes-Maritimes dans le cadre de la convergence territoriale de son système d’information de radiologie (RIS).
Pour surmonter ses crises actuelles et à venir, l’univers français de la santé a besoin du souffle de l’innovation. La mauvaise nouvelle est qu’elle a du mal à pénétrer un secteur fractionné, complexe, et financièrement exigeant. La bonne nouvelle est que ces barrières ne sont plus une fatalité !
Face à l’augmentation des cyberattaques par ransomware, le gouvernement intensifie sa stratégie et ajoute une enveloppe d’un milliard d’euros, notamment pour réaliser des audits dans les établissements de santé.
Les deux attaques de février (Dax et Villefranche) sont encore en cours, et il apparaît que le niveau d’information et d’échange des professionnels de l’IT (adminsys, RSSI, DSI, etc.) est fortement décorrélé de celui des décideurs ou du grand public : compréhension pas évidente de ce qu’est un cryptolocker, difficulté à envisager son impact pour un hôpital. Petite synthèse.
Soutenir les acteurs à l’origine de la collecte des données dans la démarche de partage des données pour la recherche et l’innovation est l’un des axes de l’offre de service du Health Data Hub (HDH). Avec le projet Hugoshare, c’est une première collaboration ambitieuse qui est lancée entre le Health Data Hub et le groupement de coopération sanitaire (GCS) HUGO, porteur de la première plateforme de données de santé interrégionale.
Après un premier panorama de la filière e-santé réalisé sous l’égide du Conseil du numérique en santé, la mobilisation des acteurs du secteur s’élargit avec une enquête en ligne sur le site de l’ANS.
Dans le dernier numéro du Courrier international (n° 1579 du 4 février), tout un dossier est consacré à la façon dont les administrations de plusieurs pays ont géré la crise Covid-19 depuis son origine. Le premier article du dossier, centré sur le Royaume-Uni, ne fait pas dans la dentelle et fait carrément le parallèle avec la retraite en catastrophe de l’armée britannique à Dunkerque en 1940. Trois journalistes méconnus à l’époque avaient fait paraître un court essai (Guilty Men, non traduit en français) qui fustigeait une administration dépassée par les événements, incapable d’interpréter les signes pourtant évidents d’une guerre à venir et préférant un fonctionnement routinier à une mobilisation préalable, coûteuse mais nécessaire, de ressources.
En appui du programme MaSanté2022, NEHS DIGITAL et Tessi ont choisi de nouer un partenariat technologique et commercial afin de proposer une offre combinée et différenciante, dédiée à la digitalisation du parcours de soins patient. L’objectif ? Faciliter l’accès aux soins du patient et simplifier le partage d’information pour chaque usager : patient, médecin prescripteur et professionnel de santé, et proposer une offre complète en réponse aux enjeux des établissements.
À l’écoute de ses adhérents, l’AFCDP a souhaité partager trois retours d’expérience de DPO qui ont relevé des défis différents liés au premier confinement de la crise COVID. Ci-dessous, le témoignage de Moufid Hajjar, Délégué à la protection des données au CHU de Bordeaux.
C’est l’heure du bilan d’une annus horribilis, à tout point de vue.
Depuis plusieurs années déjà, l’application Chimio® de Computer Engineering sait fonctionner dans un environnement multi sites. Mais sa dernière version 6.0 ouvre de nouvelles perspectives, très utiles dans le cadre des GHT.
L’Association française des ingénieurs biomédicaux a présenté ses recommandations pour améliorer la sécurité numérique des équipements biomédicaux lors d’un webinaire le 15 décembre dernier.
En novembre et en décembre, l’ANS a proposé une nouvelle session d’une dizaine de webinaires à destination des professionnels de santé. Deux séances de la dernière semaine étaient consacrées à l’interopérabilité.
Cher père Noël, comme tous les ans je t’écris car j’ai été encore hypersage, bien plus que d’habitude. Non, ce n’est pas l’âge, c’est juste la crise sanitaire.
Plus que deux jours avant le webinaire du 17 décembre, 60 minutes de 10 h 30 à 11 h 30. Un webinaire, animé par Xavier Vallin, Expert Système d’Information DSIH Conseil, pour mieux comprendre la mise en place des GHT grâce aux retours d’expérience d’experts.
Le mercredi 2 décembre dernier, le groupe Dedalus faisait l’objet d’une attaque informatique dont, du reste, on ne connaît pas grand-chose. Rien que de très banal en termes d’actualité cyber : ce n’est pas la première entreprise à se faire attaquer et ce ne sera malheureusement pas la dernière. Personnellement je me garderais bien de jouer les donneurs de leçons ; qui peut raisonnablement affirmer qu’il ne sera jamais, ô grand jamais, victime d’une attaque ciblée, d’un ransomware, etc. ?
L’expérience patient est un enjeu essentiel pour les établissements de santé, soucieux de construire une relation hôpital-patient durable. Des services et solutions numériques existent pour améliorer la qualité de la prise en charge médicale et la coordination du parcours de santé.
Aujourd’hui, à l’occasion du Congrès RSNA, cette année lui aussi virtuel, je vais vous parler d’une jeune société issue du monde de l’imagerie et qui me tient à cœur, puisque j’en ai été (très indirectement) à l’origine.
Le directeur de l’Anssi alerte régulièrement les pouvoirs publics sur l’état grandissant de la menace cyber et, la semaine dernière, le Cigref adressait dans un courrier[1] au Premier Ministre son inquiétude sur l’industrialisation de la cybercriminalité et la faible réponse étatique.
Dans un contexte de transformation organisationnelle majeure, le SIB - acteur public du numérique au service de la santé et des collectivités - a validé la mise en place de son nouveau conseil d’administration et procédé à l’élection de son nouveau président Saber Aloui.
Les Assises de la sécurité, rendez-vous incontournable des acteurs du domaine de la sécurité numérique fondé par Gérard Rio, fêtaient leur 20e anniversaire cette année ! Malgré le contexte, les bougies ont pu être soufflées « en vrai » !
Afin d’atteindre les objectifs de convergence, fixés par la loi de modernisation de notre système de santé, le GHT du Limousin s’est engagé dans le déploiement de la solution de production territoriale de soins Maincare IC sur 7 des 18 établissements qui le composent.
La multiplication des cyberattaques contre les établissements de santé souligne le retard de ces derniers en matière de sécurité des systèmes d’information. Les campagnes de sensibilisation portées notamment par l’État et l’Anssi sont utiles, mais se déploient trop lentement, semble-t-il. L’acculturation au cyberrisque doit aussi se confronter à des mises en situation. C’est l’ambition du serious game Medirisk, développé par Doshas Consulting et lancé en septembre 2020.
Le CHU de Limoges, établissement support du groupement hospitalier de territoire du Limousin, s’est rapproché de Maincare Solutions pour mener des projets d’informatisation en lien avec le schéma directeur du système d’information du GHT, dont la création d’un réseau de périnatalité.
Avec VIDAL Sentinel, les pharmaciens du CHR de Metz-Thionville ont désormais à disposition un outil d’aide à la décision qui prend en compte, outre les médicaments à risque, les facteurs biologiques. Michaël De Block, DSI de cet établissement, nous éclaire sur cette solution optimisée par l’établissement et générant des alertes non polluantes pour améliorer la sécurité du parcours médicamenteux.
Gustave Roussy, premier centre européen de lutte contre le cancer en Europe, s’est doté il y a plus de 3 ans d’un portail patient « MonGustave Roussy ». Avec l’aide de la startup Nouveal e-santé, l’intégralité du portail fera peau neuve en décembre 2020.
Afin de simplifier l’arrivée des patients et dans sa démarche de digitalisation, l’Hôpital Fondation Adolphe de Rothschild a installé des bornes interactives à l’accueil de son établissement. Ces bornes permettent de fluidifier le trafic aux guichets d’accueil, de faciliter l’enregistrement des patients et d’automatiser les démarches administratives.
La commission Smart Hospital publie un livret afin de souligner le potentiel du numérique à l’hôpital. Ce thema est préalable à la production d’un cadre de référence à venir, le ReadytoServices (R2S) for Care, outil de l’écosystème de la construction hospitalière.
Proposer aux établissements de santé un « Chimio® de territoire », très utile dans le cadre des regroupements de type GHT : voilà ce que permet la nouvelle version 6.0 de l’application Chimio® de Computer Engineering.
Créée en 2016 par le Dr Arnaud Rosier, la plateforme Implicity pour la télésurveillance des dispositifs électroniques cardiaques implantables permet d’améliorer la prise en charge des patients souffrant de troubles du rythme cardiaque et d’optimiser l’activité de télésuivi des centres médicaux. Elle est notamment utilisée dans l’unité de rythmologie du service de cardiologie du CHU Grenoble-Alpes.
2020 a marqué un profond tournant dans les échanges entre les professionnels de santé et leurs patients.
Les souliers neufs chaussés, le masque haute couture sur le nez et le cartable tendance à peine enfilé qu’il faut déjà commencer à éviter les balles ! Alors que l’on tente de faire un point sur les actualités de l’été à ne pas rater, le CERT-FR de l’ANSSI nous annonce déjà des orages cyber !
L’année 2020 aura été bizarre, confinement oblige. Ce n’est pas pour autant qu’il ne s’est rien passé, et ce n’est pas pour autant que les gendarmes et les voleurs (comprendre RSSI et hackers) se sont tournés les pouces – surtout pour les seconds. Bilan de la première moitié de l’année.
Engagé depuis plusieurs années dans une démarche de transformation digitale, avec la dématérialisation complète de ses courriers médicaux, le CHU de Rennes vient de franchir une nouvelle étape vers sa stratégie « zéro papier ».
Pour la première fois, une intelligence artificielle va analyser le contenu textuel des dossiers médicaux afin d’améliorer la prise en charge et le pronostic des patients.
L’APSSIS a le plaisir d’annoncer la première publication d’une série de plusieurs Guides à destination des professionnels du secteur. Conçus et élaborés par Cédric Cartau, RSSI/DPO du CHU de Nantes et Vice-président de l’APSSIS, ces guides se veulent à la fois accessibles, techniques et pratiques. Le premier opus traite d’un sujet qui anime régulièrement les discussions des RSSI, des DSI et des chefs de projet : les mots de passe.
Dans une récente interview[1], l’éditeur Daqsan[2], spécialisé dans les analyses des accès anormaux aux données, fait part dans certains cas d’un pic de 1 000 % des détections des accès en anomalie aux dossiers des patients (DP). Selon l’éditeur, si les accès en anomalie aux données médicales des VIP ou des voisins de palier sont restés stables, ce sont surtout les accès aux DP des collègues qui ont explosé.
Même si la région Bretagne n’a pas été la plus durement touchée par la pandémie du Covid-19, les établissements ont dû faire face. La direction des systèmes d’information du Groupe hospitalier Bretagne Sud qui compte neuf établissements répartis entre le Morbihan et le Finistère a pris le parti de gérer cette épidémie en mode projet.
L’ARS, avec l’appui du Gcs Sara, met à disposition des professionnels de santé un service de télésuivi. Développé dans le cadre du Covid-19, cet outil permet de faciliter le suivi médical des patients atteints du Covid-19 isolés à domicile et aussi celui des personnes contacts. Ce nouvel outil spécialement créé et adapté à la situation épidémique actuelle vient compléter le bouquet de services numériques régional à disposition des professionnels et établissements de santé, incluant notamment un service de téléconsultation et un portail patient.
Une des plus importantes polémiques générées par la crise du Covid 19 est sans aucun doute la question de l’externalisation de la production des masques (FFP2, etc.), en l’occurrence en Chine, et qui a mené à la pénurie que l’on sait. Il est très facile, après coup, de jouer les donneurs de leçons sur ce sujet : comme le fait très justement remarquer Olivier Sibony (voir à ce sujet son excellente conférence ), si la question avait été aussi triviale nous n’aurions pas constaté un consensus quasi-général, à la fois national et international.
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