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Le 18 juin, à 18 h 30, la société AMA, qui développe une solution de lunettes connectées, organise un webinaire sur l’apport de la vidéotransmission dans la régulation médicale.
L’entropie, c’est la mesure du désordre. Une des lois fondamentales de la thermodynamique énonce que l’entropie d’un système fermé à une tendance inexorable à augmenter. C’est pourquoi au début de l’Univers, tout était beau et bien rangé dans une boule minuscule contenant toute la matière existante, et qu’après le Grand Boum (oui d’accord, on dit le Big Bang) la matière est tout en désordre, un foutoir sans nom, les planètes par ci, les soleils par là, la gravité qui te courbe l’espace, et tout le tralala.
Le GIP CPage, spécialiste des solutions numériques à destination des établissements publics de santé, entend contribuer, à son niveau, à la lutte contre l’isolement des résidents.
Unicancer et Bristol Myers Squibb annoncent la signature d’un partenariat scientifique visant à mieux comprendre la prise en charge des patients à partir de leurs plateformes de données en vie réelle : ESME « cancer broncho-pulmonaire » d’Unicancer et I-O Optimise, plateforme internationale sur les cancers thoraciques de Bristol Myers Squibb.Les données de vie réelle d’ESME ont été collectées entre 2015 et 2018 et portent sur 23 000 patients diagnostiqués ou commençant un traitement pour un cancer du poumon avancé. I-O Optimise regroupe des sources de données de 9 pays, dont celles de la plateforme allemande CRISP, et dorénavant celles de la France avec ESME.
Computer Engineering déploie la version 6.0 de son application Chimio®. Celle-ci apporte plus de souplesse dans le paramétrage du circuit et dans la traçabilité. Elle procure également de nouvelles possibilités de retours arrière dans les différentes étapes du circuit des chimiothérapies.
Les services de télémédecine peuvent permettre de limiter la propagation du virus et d’assurer la prise en charge et la continuité du suivi médical des patients confinés à domicile atteints ou suspectés du Covid-19. Dans le contexte de la crise sanitaire du Covid-19, le SIB étend son offre de télémédecine sur l’ensemble du territoire national et met gratuitement à disposition des établissements de santé les volets téléconsultation et télésuivi.
Face au COVID-19, toutes les équipes NEHS DIGITAL* sont mobilisées et mettent tout en œuvre pour écouter et s’adapter au quotidien des soignants, en simplifiant l’accès à sa plateforme de télémédecine. Elle est désormais utilisée par plus de 1000 établissements.
En réponse aux demandes urgentes des professionnels de santé pour faire face à la pandémie Covid-19, des outils déployés en quelques jours comptent rapidement des milliers d’utilisateurs : un bilan du premier mois d’épidémie et de confinement en Occitanie indique une forte augmentation des usages des services numériques de santé et de nouvelles formes de collaboration, pluridisciplinaire et intersectorielle.
Maela et ses équipes ont donc équipé la totalité des hôpitaux du Luxembourg ainsi qu’une plateforme centralisée de la direction de la santé permettant de suivre à distance tous les patients COVID+ ne nécessitant pas d’hospitalisation, et ceux de retours à domicile après hospitalisation.
En 4 semaines, plus de 40 établissements sur la France ont été formés et ont déployé rapidement le télésuivi des patients COVID-19. Un grand nombre d’autres structures de santé sont en cours de dé-ploiement en prévision d’un engorgement du système de santé et du pic épidémique à venir.
Je laisserai à d’autres la question de savoir quelles sont les responsabilités politiques dans la crise actuelle du Covid-19 – et surtout de quelle mandature –, intéressons-nous plutôt aux dysfonctionnements qui ont mené à une telle situation, afin d’en comprendre certains mécanismes qui sont totalement reproductibles dans le domaine des SIH. Analyse de la situation selon le prisme des biais cognitifs.
Depuis le début de la crise sanitaire, les acteurs de santé s’organisent pour prendre en charge leurs patients à distance. Pour répondre à ces besoins, la solution de téléconsultation régionale sécurisée vient en soutien des professionnels de santé.
L’épidémie de coronavirus oblige les DSI à adapter les systèmes d’information pour maintenir en bon ordre de marche la machine hospitalière. Christine Pichon, directrice des systèmes d'information du CHU Rennes, nous fait partager l’impact de la crise dans son établissement.
L’épidémie de coronavirus oblige les DSI à adapter les systèmes d’information pour maintenir en bon ordre de marche la machine hospitalière. Christine Pichon, directrice des systèmes d'information du CHU Rennes, nous fait partager l’impact de la crise dans son établissement.
« Le coronavirus, une aubaine pour les cybercriminels » (L’Express du 22 mars), « L’ampleur de l’épidémie de Covid-19 accroît les risques d’attaques informatiques » (Les Échos du 23 mars), « Le télétravail est une aubaine pour les pirates informatiques » (Le Point du 27 mars) : les titres de journaux, mais aussi les #ransomware et les #cyberpirates foisonnent sur Internet et sur les réseaux sociaux.
Les établissements de santé font aujourd’hui face à une crise sanitaire exceptionnelle. Dans ce contexte, la CAIH se mobilise en met à disposition les outils les plus performants dans la lutte contre le COVID-19.
Pour accompagner les établissements de santé dotés du dossier patient informatisé (DPI) Sillage, le SIB y intègre une nouvelle fiche facilitant la prise en charge des patients atteints ou suspectés du Covid-19. L’ensemble des données recueillies seront exploitables dans l’entrepôt de données du DPI.
La plateforme MediConsult, parfaitement sécurisée, pourra être intégrée aux services régionaux déjà disponibles. A partir de leur poste de travail et d’un simple accès Internet, les médecins peuvent accéder à 3 fonctions de base pour gérer leur file active de patients : téléconsultation, télérégulation (SAMU) et télésuivi à domicile.
nehs, créé par la Mutuelle Nationale des Hospitaliers, propose une offre globale de services à la personne et de services métiers, totalement dédiée aux professionnels de santé et aux établissements. Face au coronavirus, ses équipes se sont mobilisées pour construire, en un temps record, des réponses à la crise sanitaire Covid-19.
L’Académie Francophone de Télémédecine et de e-Santé, société savante et pionnière de la télémédecine propose, suite au décret n’2020-227 du 9 mars 2020 et de la crise sanitaire actuelle du COVID-19, une grande souscription nationale pour créer un fond de solidarité dédié à la télémédecine en France.
Il y a une semaine, Lifen annonçait le lancement d’une plateforme permettant de désengorger les hôpitaux en assurant le télésuivi des patients ayant des symptômes liés au COVID-19. La solution est à ce jour déployée dans 5 CHU en France. Aujourd’hui, la plateforme évolue et permet aux hôpitaux de notifier les médecins traitants de manière automatique et via les messageries sécurisées de santé.
Pour optimiser les prises en charge par les urgentistes du Samu, la société rennaise AMA a développé une solution Click & Connect qui permet aux équipes sur le terrain d’assurer une liaison audio et vidéo en direct avec la cellule de régulation.
Dans le contexte de pandémie de coronavirus qui secoue la planète, l’e-santé est appelée en renfort pour soulager les services hospitaliers. L’Assistance publique-Hôpitaux de Paris et Nouveal e-santé ont conçu en un temps record Covidom, une application qui permet aux patients porteurs du coronavirus sans gravité ou suspectés d’en être porteurs de rester chez eux tout en bénéficiant d’un suivi à distance.
L’Agence du numérique en santé, l’ex-Asip, s’est réjouie, le 12 mars dernier, de la 100e certification pour l’hébergement de données de santé.
Fin février, Eurasanté a annoncé les résultats du concours SmartHealth qui récompense dix start-up répondant aux problématiques numériques d’établissements de santé en France et au Royaume-Uni.
Jeudi 20 février se tenait dans les nouveaux locaux du GCS Normand’eSanté à Caen la première réunion 2020 du collège des DSI/RSI des établissements de santé normands. La cyberattaque subie par le CHU de Rouen le 15 novembre 2019 était au cœur des échanges. Entretien avec Francis Breuille, président de ce collège et DSI du GHT Centre manche.
Il est toujours étonnant de voir les MOA se débattre dans des processus aussi complexes et chronophages les uns que les autres, pour un choix qui devrait somme toute être relativement bordé, à défaut de simple : celui du progiciel qui informatisera le cœur de métier, en l’occurrence le DPI pour les établissements de santé. Bien entendu, on parle du choix de gros DPI pour de grosses structures : sauf respect, informatiser un Ehpad ne présente pas de difficulté informatique. Il est bien question ici d’informatiser un gros CH, préoccupation d’actualité puisque nombre de GHT sont en train de revoir le choix du DPI, pour couvrir tout le GHT.
En 2019, le MiPih, acteur public du numérique en santé, a engagé une stratégie d’évolution de son offre, en lien avec la transformation du système de santé et le décloisonnement du parcours de soins, impulsés par Ma Santé 2022. Porté par une forte croissance, l’éditeur français, leader des SIH, ambitionne de devenir un acteur incontournable de la e-santé. Retour sur les succès qui ont fait 2019.
Jeudi 6 février 2020, Stéphan Martino, Directeur du Centre Hospitalier Isarien - EPSM de l’Oise et Michel Glanes, Directeur du Centre Hospitalier de la Côte Basque ont été élus à l'unanimité respectivement Président et Vice-président du MiPih lors du dernier conseil d’administration.
C’est une timbale dont nous nous serions bien passés, celle du secteur le plus impacté par les rançongiciels en 2019. Même si les chiffres ne sont peut-être pas très exhaustifs, le fait de monter sur la première marche du podium pour le nombre d’incidents par secteur, traités par l’Anssi, révèle malgré tout, une certaine faiblesse. Il s’avère aussi que, contrairement à d’autres secteurs, nous sommes dans l’obligation de déclarer nos incidents depuis un peu plus de deux ans maintenant.
Afin d’améliorer l’information, la communication et les échanges avec l’ensemble de ses professionnels, Hôpitaux Confluence lance son application mobile : Myhra by Confluence, conçue par le prestataire informatique Alpix. Cette application est déployée depuis fin novembre au Centre Hospitalier Intercommunal de Créteil (CHIC) et courant 2020 au Centre Hospitalier Intercommunal de Villeneuve Saint Georges (CHIV). Elle permet notamment à l’agent hospitalier d’effectuer ses démarches administratives en ligne, avoir des échanges directs avec son gestionnaire en ressources humaines et être informé régulièrement sur les actualités de l’établissement de santé.
Je ne sais pas encore à quelle vitesse va nous propulser l’année 2020 jusqu’au 24 heures du Mans de l’APSSIS [1], mais l’on peut dire que l’année démarre en trombe !
En général, que l’on soit RSSI technique (ce qui devrait d’ailleurs plutôt s’appeler CSSI) ou métier (que l’on devrait d’ailleurs plutôt appeler « Officier Sécurité SI » ou « Gestionnaire de risque SI »), on passe une bonne partie de son temps en projets divers et variés, à dépenser de l’argent que l’on n’a pas pour sécuriser des processus métiers qui existaient bien avant que l’on naisse, pour des MOA qui parfois ne savent pas qui on est. Bref, la routine.
Afin d’optimiser ses processus RH et de proposer de nouveaux services à ses 12 500 professionnels pour répondre à leurs nouvelles attentes, le CHU de Nantes a ouvert en septembre dernier le portail collaboratif IdéoRH de Maincare Solutions. Une solution nouvelle génération qui permet d’optimiser le service rendu aux Ressources Humaines et aux pôles.
La fonction de RSSI peut être occupée par des personnes aux profils très différents, et c’est sûrement encore plus le cas dans le secteur de la santé, tout particulièrement pour les établissements publics. Entre l’ingénieur qualité de formation qui ne sait pas ce qu’est un annuaire Active Directory et l’administrateur système qui limite son appréciation des risques au périmètre de son infrastructure technique, il y existe un « Pantone » de RSSI. Nous pourrions débattre pendant des jours entiers des qualités nécessaires pour être un bon gestionnaire de risques, mais ce n’est pas le sujet de cet article.
D’habitude, ceux qui subissent mes divagations hebdomadaires savent que je passe une bonne partie de mon temps à exprimer des avis totalement péremptoires (qu’il ne faut pas écouter), à donner des conseils plus que discutables (qu’il ne faut pas suivre) et à critiquer mon prochain (qu’il faut plaindre). Bref, tous les défauts que, personnellement, je déteste chez les autres. Peut-être d’ailleurs aurais-je dû prendre des résolutions en ce sens pour 2020 ; trop tard, on verra en 2021.
Crise de foie est synonyme de bilan de l’année, nous n’allons donc pas déroger à la tradition. Et ce fut une année riche, très riche.
Conçu par le groupe Dedalus, Pharmoduct® est un robot de nouvelle génération qui permet aux établissements de santé de sécuriser la préparation des traitements anticancéreux. Le CHU de Poitiers vient d’inaugurer le premier exemplaire installé dans un établissement français.
La difficulté pour les start-up qui veulent développer des solutions d’intelligence artificielle destinées au parcours de soins est d’accéder aux données des systèmes d’information des établissements de santé. Lever cet obstacle passe par l’interopérabilité. C’est ce que nous explique François Decourcelle, directeur adjoint de l’innovation chez Enovacom. La filiale d’Orange Business Services est par ailleurs engagée dans des projets d’entrepôts capables de mobiliser et de consolider plusieurs sources de données.
Aux côtés d’Agnès Buzyn, pour le lancement de la campagne « Tous cybervigilants », Guillaume Poupard, le directeur général de l’Anssi (Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information), est venu apporter son éclairage. L’occasion pour DSIH de lui poser trois questions(1).
À l’occasion de l’étape francilienne du Tour de France du numérique en santé le 28 novembre dernier à l’Institut Pasteur, la ministre de la Santé a lancé la campagne nationale d’information sur la cybersécurité en santé « Tous cybervigilants ». DSIH a rencontré Agnès Buzyn. Extraits(1)
Un article, relayé largement sur LinkedIn[1] en fin de semaine, a attiré mon attention. Deux chercheurs de l’Université catholique de Louvain (Luc Rocher et Julien Hendrickx) se sont posé la question de savoir si des données anonymisées pouvaient tout de même être réidentifiées. On subodorait déjà que la réponse était oui : on en a maintenant la preuve. Explications.
En regardant les innovations techniques apportées aux logiciels malveillants, je me dis deux choses. Tout d’abord que les attaquants ne sont pas en manque d’inspiration lorsqu’il s’agit de malmener nos pauvres systèmes d’information. Ensuite qu’ils doivent attribuer beaucoup plus de budget au département recherche et développement que les éditeurs de logiciels « bienveillants », en particulier ceux du secteur de la santé.
Le CHU de Rouen a subit l’attaque informatique que l’on sait, et bon nombre d’entre nous sommes en train de colmater autant de brèches que l’on peut avant que cela soit notre tour. Mais par quel bout commencer ? L’AD bien entendu, ce n’est rien de moins que le composant le plus sensible du SI (et paradoxalement celui qui est souvent dans le pire état en termes de SSI). Mais comment aborder cette sécurisation, par quelles mesures ?
Dans un de mes précédents postes, une directrice de soins avait coutume de dire que « l’informatique dans les hôpitaux, c’est comme l’URSS : on sait envoyer des types dans l’espace, mais il n’y a pas de pain dans les boulangeries ». On était au début des années 2000, bien avant le premier plan Hôpital numérique, et les DSI des hôpitaux n’avaient pour la plupart pas encore franchi la porte de l’unité de soins, mais je crains que si le cœur de métier a subi une grosse informatisation en presque 20 années, on en soit toujours au même stade sur le volet Sécurité.
Depuis le 1er juillet dernier, le portail myHOP s’appelle désormais Viapatient mais son objectif reste inchangé : proposer un éventail de services le plus complet possible dans une solution unique à l’échelle d’un territoire, d’un GHT ou d’une région.
Connaissant très bien cette situation pour être déjà passé par là, à l’heure où j’écris ces lignes, je pense évidemment à nos collègues des équipes SI du CHU Rouen qui font tout ce qui est en leur pouvoir pour relancer au plus vite le système d’information de leur établissement à l’arrêt depuis le 15 novembre au soir [1]. Comment ne pas penser également aux professionnels de santé, privés de leurs outils, dossier patient, prescriptions, résultats d’analyses, prise de commande des repas etc...
Avec ses milliers de patients au quotidien, le monde hospitalier détient des quantités phénoménales de données. Le stockage informatique est donc une priorité pour ces structures et elle s’insère pleinement dans leur stratégie numérique.
Le tour de France, non pas de la e-santé cette fois-ci, mais de la cybersécurité a fait escale dans le somptueux Hôtel du Département du Rhône, à Lyon, le 24 octobre dernier. Un évènement riche de partages et d’échanges dans un cadre prestigieux, orchestré par une grande dame de la cyber, Madame Bénédicte Pilliet, Présidente du Cyber Cercle.
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