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En externalisant l’hébergement des données de santé auprès d’un prestataire certifié HDS, les acteurs du secteur de la santé réduisent leurs coûts de fonctionnement et leur charge de travail liés au suivi réglementaire et opérationnel d’un hébergement dans un datacenter privé.
Depuis quelques jours, l’info fait le buzz, « Office 365 est désormais interdit aux acteurs publics » par la DINUM !
Les outils faisant appel à l’intelligence artificielle connaissent un développement fulgurant et sont utilisés avec succès dans des solutions aussi diverses que la détection de transferts de fonds suspects, l’information préventive sur une éventuelle défaillance des réseaux de télécommunications ou la télémédecine.
Dans un très intéressant article du New York Times paru le 3 juillet dernier, Kim Zetter décrit par le menu la préoccupation majeure des banquiers d’affaires de Wall Street à la mi-2021. Dans leur échelle des risques, la menace cyber est désormais en toute première position, et de loin.
Ce mois-ci encore le « patch tuesday » de Microsoft vient boucher quelques petits trous dans nos serveurs Exchange [1]. Une vulnérabilité pouvant permettre à un attaquant de réaliser une élévation de privilèges et deux nouvelles vulnérabilités pouvant permettre à un attaquant de réaliser une exécution de code arbitraire à distance. Le chercheur Orange TSAI [2] a encore frappé en signant deux des trois vulnérabilités.
Convergence des systèmes d’information des GHT, amélioration de la qualité et de la sécurité des soins, mais aussi de la qualité de vie au travail dans les établissements de santé, allègement de la surcharge de travail des soignants… Les défis organisationnels auxquels sont confrontés les hôpitaux sont nombreux. Et si la reconnaissance vocale était la solution pour aider à atteindre ces objectifs ? Nuance, spécialiste de l’IA conversationnelle, accompagne les établissements de santé dans leur accélération numérique.
Proginov a profité de son audit de suivi annuel avec l’AFNOR (Agence Française de NORmalisation) pour étendre sa certification, de son hébergement de données de santé et hébergement de logiciels tiers, à l’hébergement de son ERP Santé.
Dernier temps fort et conférence attendue chaque année, intervention de Me Marguerite Brac de la Perrière et Me Omar Yahia.
Le quatrième opus des Guides Cyber-Résilience est paru. La thématique : la sécurisation du Cloud, avec l’objectif de poser clairement le problème, de présenter les différentes approches possibles avec leurs avantages et leurs inconvénients, de sensibiliser le lecteur aux questions connexes de telle sorte à disposer d’une vision globale du sujet. Le Guide s’adresse aussi bien aux professionnels de santé qu’aux décideurs ou aux DSI.
Le 11 juin, la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) a annoncé l’approbation dupremier code de conduite européen des fournisseurs de services d’infrastructure Cloud relatif à la protection des données, porté par Cloud Infrastructure Services Providers in Europe (Cispe).
Aujourd’hui, faire entrer l’innovation à l’hôpital n’est pas chose aisée. La faute notamment à un modèle d’intégration qui peine à répondre à des enjeux d’usages et de déploiement rapides, à la fois du côté des hôpitaux que des solutions de e-santé.
Le 18 mai dernier, la Cnil a publié pour 2020 son 41e rapport annuel qui pointe une activité fortement marquée par la crise sanitaire, mais également par les nouvelles règles sur les cookies, la cybersécurité et la souveraineté numérique.
Avec sa solution de reconnaissance vocale Dragon Medical One, l’éditeur Nuance aide les structures de soins à accélérer leur trajectoire vers l’atteinte de plusieurs objectifs de la nouvelle certification des établissements de santé pour la qualité et la sécurité des soins de la HAS.
Nuance Communications, Inc. annonce aujourd’hui le déploiement de sa solution de reconnaissance vocale Nuance Dragon Medical One au sein du pôle imagerie duCentre Hospitalier Universitaire (CHU) de Lille. La solution, portée par le Cloud, permet désormais aux médecins de renseigner le dossier patient en temps réel, depuis n’importe quel appareil, où qu’ils soient, en utilisant la voix.
La Cnil accompagne des projets innovants dans le domaine de la santé, comportant des enjeux emblématiques en termes de protection de la vie privée dans une démarche de « bac à sable ».
Selon une étude publiée en 2020, si 85 % des DSI hospitaliers ont commencé à déployer des Clouds privés, il ne s’agit pour eux que d’une première étape qui les mène vers le déploiement d’un Cloud hybride avec l’objectif de gagner en agilité, de mieux maîtriser les coûts et d’obtenir des ressources plus disponibles pour la conduite du changement et l’accompagnement des professionnels.
Si plus personne, ou presque, ne conteste l’apport du numérique dans le monde des établissements de santé, la grande majorité des utilisateurs d’applications métiers rêve d’interfaces ergonomiques, conviviales, « user friendly ». Et si l’IA conversationnelle devenait La solution pour piloter l’ensemble de votre système d’information ?
Face aux défis de la transformation de l’offre de soins hospitalière, les DSIs doivent composer avec un héritage applicatif complexe tout en accélérant l’innovation. La pandémie actuelle a approfondi les tendances de la télémédecine, de l’intégration des acteurs du soin, du besoin de services numériques orientés patient mais aussi de l’inclusion de l’IA et de la génomique dans l’aide au diagnostic. A moyens humains et financiers constants, leur mise en œuvre n’est possible qu’avec des infrastructures Cloud. Rendez-vous le jeudi 22 avril, de 11h à 12h pour ce séminaire exceptionnel animé par Aïssa Khelifa et Xavier Vallin, de DSIH Conseil.
Les derniers mois ont été marqués par une crise sanitaire sans précédent. Plus que jamais, et dans un contexte recherche scientifique et médicale accélérée, le rôle crucial des sociétés de biotechnologies et de l’innovation dans le domaine de la santé a été mis en lumière. En la matière, le modèle de l’Institut Curie est unique et s’appuie notamment sur un programme d’incubation de start-ups intégré qui est présenté pour la première fois. Avec 27 start-ups déjà créées et 265 millions d’euros de fonds levés, l’Institut Curie compte sur son dynamisme et son ambition pour poursuivre et accélérer les innovations en cancérologie.
L’actualité cyber de ce début 2021 a été particulièrement chargée : outre les cyberattaques dans le monde de la santé (dont certaines sont toujours en cours), nous avons assisté à un énorme incendie chez OVH, doublé d’une faille majeure dans Exchange, qui a donné quelques sueurs froides aux adminsys. Pour OVH, on en est au second incendie en à peine 15 jours[1], ça commence à faire beaucoup, on est d’ailleurs en droit de se demander s’il ne s’agit pas d’une sombre affaire de barbouzes (« Un barbu, c’est un barbu, trois barbus, c’est des barbouzes », comme disait Michel Audiard).
Si la transformation digitale du secteur de la santé est passée dans une autre dimension durant la crise sanitaire, la récente actualité en fait désormais une préoccupation majeure au niveau national. À la suite des récentes cyberattaques subies par des hôpitaux, le gouvernement vient d’annoncer une aide d'un milliard d'euros destinée à soutenir le développement de la filière cybersécurité et ses capacités d'innovation, soulignant par la même occasion leur retard sur le sujet. En effet, si le recours aux technologies par les acteurs de la santé n’est pas nouveau, il est surtout de plus en plus fréquent pour pratiquer et améliorer le service aux patients, soulevant également la question de la cybersécurité.
Le troisième opus des Guides Cyber-Résilience est paru. La thématique : les habilitations d'accès aux données. Avec l’objectif de poser clairement le problème, de présenter les différentes approches possibles avec leurs avantages et inconvénients, de sensibiliser le lecteur aux questions connexes de telle sorte à disposer d’une vision globale du sujet : il s’adresse aussi bien aux professionnels de santé qu’aux décideurs ou aux DSI.
L’incendie dont a été victime le datacenter strasbourgeois d’OVH jeudi dernier n’en finit pas de faire couler de l’encre, ou des pixels, et pour cause, il risque bien de nous faire redescendre pour un bon moment, de notre petit nuage ! Pour reprendre le célèbre slogan de la FSF [1] : « There is no cloud ...just other people’s computers ».
Impossible de le rater, l’incendie dans 2 datacenters d’OVH a fait la Une de la presse nationale, dépassant largement le cadre de la presse spécialisée. Et cet incendie pose pas mal de questions.
Tout établissement de santé français, public ou privé, engagé dans une démarche d’amélioration de la qualité et de la sécurité des soins en vue d’une certification par la Haute Autorité de santé, doit remplir des objectifs déclinés en critères par la HAS. L’utilisation d’une solution de reconnaissance vocale comme Dragon Medical One contribue à l’atteinte de ces objectifs et donc à la démarche d’amélioration continue de la qualité des soins.
La centrale d’achat de l’informatique hospitalière (CAIH) a annoncé début Mars l’intégration de la suite LockSelf à son marché de distribution de logiciels visant notamment à faciliter la convergence des systèmes d’information des groupements hospitaliers de territoire.
Nuance Communications, Inc a annoncé hier le déploiement de sa solution Dragon Medical One au sein du Groupement Hospitalier des Alpes-Maritimes dans le cadre de la convergence territoriale de son système d’information de radiologie (RIS).
Rendez-vous le 25 février 2021 de 11h00 à 12h00 sur www.dsih.fr pour un webinaire de 60 minutes animé par Xavier Vallin avec l’appui d’Aïssa Khelifa.
L’année 2020 a marqué un tournant décisif pour la e-santé, tant en France qu’à l’international. Au-delà des aspects technologiques, toutes ces innovations modifient l’organisation du système de soin pour tendre vers une meilleure efficience, au profit des patients comme des professionnels de santé. D’un point de vue technologique, les avancées sont importantes et très intéressantes en matière de Cloud Computing, d’IA, de Big Data et d’IoT, c’est-à-dire l’ensemble des moyens pour collecter et analyser de grands volumes de données et en extraire de la connaissance.
Les infrastructures informatiques des hôpitaux sont constamment mises à l’épreuves. La numérisation des dossiers médicaux qui avait permis d’améliorer le suivi des patients et le partage d’information entre les praticiens représente une véritable aubaine pour les hackers désireux de tirer profit des données hautement sensibles qu’ils contiennent.
Le 12 janvier 2021, le GIP SILPC obtient la certification HDS et ISO 27001:2013 pour les activités d’hébergement et d'infogérance d'applications et de services fournis aux adhérents et clients. Cette étape clé confirme son ambition de développement dans l’intégration digitale, l’édition numérique et le service manager et cloud.
L’organisation de nos voisins helvétiques n’est pas une légende. Un atout qui aura permis aux HUG de mener en 4 mois, en pleine crise sanitaire, un AO pour la mise en place d’une VNA (Vendor Neutral Archive) destinée à remplacer en septembre 2021 leur archive PACS actuel (250 To) tout en posant les bases pour le déploiement de nouveaux usages cliniques en lien avec le dossier patient de l’institution.
Les Jeudis du Numérique de DSIH, le 25 février 2021 de 11h00 à 12h00 sur www.dsih.fr. Un webinaire de 60 minutes animé par Xavier VALLIN, de DSIH Conseil.
Nuance Communications, spécialiste de l’IA conversationnelle, communique autant avec les établissements de santé qu’avec les éditeurs partenaires d’applications cliniques qui embarquent sa solution Dragon Medical One. Pierre Meyblum, directeur international des partenariats DPI Nuance Healthcare, nous explique comment ce service Cloud accompagne l’accélération numérique des établissements.
La mobilité fait progressivement son entrée dans le monde de la santé. Afin d’aider les établissements à assurer la transition vers de nouveaux usages, Dedalus a élargi son offre avec l’initiative Mobilité.
Pour sécuriser les données de santé de ses dispositifs médicaux connectés et application de self-care, BewellConnect a fait appel à Enovacom pour stocker les données de santé que l’entreprise récolte dans des datacenters certifiés HDS (Hébergeurs de Données de Santé).
Les données personnelles de santé sont des données sensibles. Leur utilisation est encadrée par la loi pour protéger les droits des personnes. Par conséquent, l’hébergement de ces données doit être réalisé dans des conditions de sécurité optimales et adaptées à leur importance.
Les 22, 23 et 24 juin 2021, l’APSSIS organisera son 9ème Congrès National de la SSI Santé. 160 participants sont attendus à l’espace culturel des Quinconces du Mans pour 3 jours de conférences, de débats et d’échanges.
Les Assises de la sécurité, rendez-vous incontournable des acteurs du domaine de la sécurité numérique fondé par Gérard Rio, fêtaient leur 20e anniversaire cette année ! Malgré le contexte, les bougies ont pu être soufflées « en vrai » !
Réussir un projet informatique c’est difficile, bien plus que de le rater. Mais ce qui est encore plus difficile c’est de l’arrêter au beau milieu en osant reconnaître que l’on s’est trompés. C’est exactement ce qui est en train d’arriver aux pouvoirs publics avec le Health Data Hub (HDH) : dans 40 ou 50 ans dans les promotions des écoles de management, pendant le cours des plus beaux fails de la prise de décision à haut niveau, nul doute que l’affaire des avions renifleurs sera traitée dans la même session que celle du Health Data Hub. Ainsi, selon Mediapart la CNIL demande que Microsoft cesse d’héberger le HDH[1].
Le centre hospitalier (CH) de Rambouillet a lancé une stratégie de développement de ses activités, l’objectif étant à la fois de réduire le délai de remise des comptes rendus et de conserver des coûts de structure identiques. Pour ce faire, l’établissement a retenu, Dragon Medical One de Nuance, la nouvelle solution de reconnaissance vocale médicale dans le Cloud. Retour sur une « success story » avec Marie-Françoise Gourrin, RSI du CH de Rambouillet.
Après avoir déployé les fondations du système d’information de territoire en novembre 2019 puis démarré le service pilote en janvier 2020, le GHT Armor a lancé début juin la généralisation du DPI aXigate dans les différents établissements du territoire.
Le GHT du Centre Bretagne, composé des centres hospitaliers du Centre Bretagne et de Guémené-sur-Scorff ainsi que de la maison d’accueil spécialisée de Guémené-sur-Scorff, a fait le choix de LockTransfer, solution de chiffrement de l’éditeur français LockSelf, pour sécuriser le partage de données avec les acteurs non éligibles aux messageries sécurisées de santé participant aux parcours de soins des patients et des résidents.
Si vous étiez en congés, ou tout simplement déconnecté, la semaine dernière, le CERT-FR de l’ANSSI a publié deux alertes en lien avec la vulnérabilité CVE-2020-1472, également baptisée « Zerologon » [1]. Si vous êtes attentif aux vulnérabilités critiques corrigées dans le fameux « patch tuesday » de Microsoft, vous vous rappelez certainement de cette vulnérabilité affectant l’implémentation du protocole d’authentification Netlogon Remote Protocol (MS-NRPC) dans les contrôleur de domaine Windows, corrigée au mois d’août [2].
Le groupe Dedalus, un des leaders mondiaux des logiciels pour le secteur de la santé, annonce avoir conclu un accord pour l'acquisition de l'activité Healthcare Software Solutions de DXC Technology. Basée aux États-Unis, DXC Technology est l'une des plus grandes sociétés de services informatiques au monde. Le groupe Dedalus est détenu à 75 % par Ardian.
Certains admirent les acteurs de cinéma célèbres, les pilotes de chasse, les baroudeurs ou les artistes rock. OK, OK, je respecte, chacun son truc. Moi, ce que j’adore, ce sont les teignes. Le genre qui fiche le bazar partout où il passe, le style de Détritus dans La Zizanie(je vous conseille de lire ou de relire les premières pages, c’est énorme) ou de Jacques Brel dans L’Emmerdeur.
Je ne sais pas si les projets de lois ubuesques imaginés par une poignées de sénateurs américains ont fait pencher la balance, mais la Cour de Justice de l’Union Européenne a invalidé jeudi 16 juillet, le « Privacy Shield », cet accord permettant de transférer les données à caractère personnel des ressortissants européens vers les États-Unis [1].
Début juin, les ministres français et allemand de l’Économie ont dévoilé l’architecture de GAIA-X, un projet de plateforme européenne de Cloud visant à construire une infrastructure de données fiable et sécurisée pour l’Europe, notamment dans le domaine de la santé.
L’utilisation du numérique, notamment en santé, s’est fortement accélérée pendant la crise du Covid-19, particulièrement en matière d’intelligence artificielle. Pour que l’Europe se saisisse de cette opportunité, France digitale, qui réunit start-up et investisseurs, émet 25 recommandations de soutien et d’encadrement du développement de l’IA.
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