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Sincèrement, je pensais qu’après les ratés en série dès l’annonce de StopCovid – annonce faite sans vérifier les possibilités techniques du Bluetooth sur les iPhone entre autres – on verrait ce machin tomber lentement mais sûrement dans les oubliettes. Mais non : on va y avoir droit (force est de constater que l’on ne pourra pas reprocher un manque de constance). Petits rappels.
Dragon Medical One, nouvelle génération de reconnaissance vocale médicale, basée sur une IA et distribuée dans le Cloud (en HDS par Microsoft Azure), est maintenant disponible pour les adhérents de la CAIH (Centrale d’achat de l’informatique hospitalière) via son marché ELODI. Porté par SCC, c’est LE marché de distribution de logiciels pour le secteur de la santé qui contribue à une diffusion plus large et plus rapide des technologies de l’information dans les établissements de soins, telles que la reconnaissance vocale nouvelle génération de Nuance. Associant solutions logicielles et services, l’offre de Nuance accélère la transformation digitale des établissements de santé et participe à l’atteinte des objectifs de convergence poursuivis par les GHT.
Près de 80 directions des systèmes d’information des établissements de santé français livrent leurs vision et leurs usages du Cloud dans la récente enquête menée par Nuance* en collaboration avec l’agence APM. Pour 9 DSI sur 10, la tendance est à l’externalisation dans le Cloud. Il n’est plus question pour les répondants de mobiliser d’importantes ressources humaines et financières pour gérer les serveurs et les logiciels de leur établissement de santé.
En cette première semaine de déconfinement, un mot encore inconnu jusque-là par nos correcteurs orthographiques, je me suis dit que nous avions bien le droit de nous « détendre » un peu en faisant une pause sur les sujets a trait au Covid-19. Parlons matériel, puisque le numérique repose dessus malgré tout, et que nous avons parfois tendance à l’oublier avec la virtualisation omniprésente aujourd’hui, ou encore le cloud, qui n’est pas un nuage, mais bien l’ordinateur de quelqu’un d’autre.
La situation sans précédent que nous vivons a clairement fait augmenter nos besoins en matière de télétravail et d’échanges numériques. De nombreuses organisations n’étaient pas prêtes, ou pas dans une telle mesure en tout cas. Accès Internet, VPN ou solution de bastion, partage de fichiers, vidéo-conférences etc... Quelle DSI peut prétendre avoir tout anticipé et permis à l’ensemble des employés de « télétravailler » en toute sécurité ?
En cette période de crise et de peur généralisée, alors que certains révèlent leurs plus bas instincts en menaçant des professionnels de santé, en vandalisant leurs voitures et en allant même jusqu’à cambrioler certains cabinets dans le but de leur dérober leurs équipements de protection, comme le rappelle Le Quotidien du médecin [1],« plus je connais les hommes, plus j’aime mon chien », selon la formule de Pierre Desproges.
La mise à jour de Zoom intègre de nouvelles fonctionnalités de sécurité visant, entre autres, à protéger les réunions organisées sur sa plateforme des risques de meeting bombing. Elles simplifient notamment l’accès aux différentes options de sécurité et masquent les ID de meeting.
Depuis une semaine, l’application de vidéo-conférence Zoom fait couler de l’encre à n’en plus finir dans le domaine de la sécurité. Si personne ne vous a encore demandé un accès à cet outil dans votre établissement, ça ne devrait pas tarder, sauf si… un utilisateur l’a déjà utilisé à votre insu. Après avoir commencé à recenser quelques informations pertinentes sur le sujet [1], et vu qu’il y de la matière, j’ai pensé qu’il serait intéressant de les partager avec vous, sous forme de synthèse dans ce billet.
Je laisserai à d’autres la question de savoir quelles sont les responsabilités politiques dans la crise actuelle du Covid-19 – et surtout de quelle mandature –, intéressons-nous plutôt aux dysfonctionnements qui ont mené à une telle situation, afin d’en comprendre certains mécanismes qui sont totalement reproductibles dans le domaine des SIH. Analyse de la situation selon le prisme des biais cognitifs.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que la situation est des plus étranges.
L’Agence du numérique en santé, l’ex-Asip, s’est réjouie, le 12 mars dernier, de la 100e certification pour l’hébergement de données de santé.
À l’ère du numérique, quel établissement de santé, s’il n’a pas encore franchi le pas, n’a jamais songé à mettre en place une solution de prise de rendez-vous en ligne pour ses patients ? Gain de temps pour les secrétaires médicales, redynamisation de l’image de l’établissement et confort pour les patients sont de véritables arguments de persuasion.
aXigate, filiale de la Division Solutions pour les Etablissements Sanitaires et Médico-Sociaux du Groupe Pharmagest, est retenue par le Réseau des Acheteurs Hospitaliers (RESAH) dans son nouveau marché de Dossier Patient Informatisé de Groupements Hospitaliers de Territoire (GHT), avec 6 autres éditeurs de logiciels santé.
La loi GHT n’a pas oublié les professionnels de l’imagerie médicale. Il s’agit en effet de mettre en place une organisation commune de l’imagerie médicale au sein d’un territoire pour pouvoir organiser le bon examen, au bon endroit, avec le bon équipement et le bon professionnel. Nuance entend apporter une réponse territoriale, modulable et fédératrice aux professionnels de l’imagerie au sein des GHT. Explications avec Pierre Meyblum, Strategic Alliances Manager France chez Nuance Communications.
En 2019, le MiPih, acteur public du numérique en santé, a engagé une stratégie d’évolution de son offre, en lien avec la transformation du système de santé et le décloisonnement du parcours de soins, impulsés par Ma Santé 2022. Porté par une forte croissance, l’éditeur français, leader des SIH, ambitionne de devenir un acteur incontournable de la e-santé. Retour sur les succès qui ont fait 2019.
OVHcloud, fournisseur européen de cloud alternatif, annonce l’évolution de son offre d’Hébergement de Données de Santé. Celle-ci repose sur des modifications majeures telles que la mise à jour des tarifs et la diversification du catalogue Healthcare, pour aider les entreprises à développer un Système d’Information de Santé.
Depuis 2016, le monde de la santé est entré dans une phase de mutation, avec la mise en place d’une nouvelle territorialisation qui se concrétise par la création des 136 Groupements hospitaliers de territoire (GHT), rassemblant les 898 établissements qui existaient auparavant. La réussite de cette réorganisation repose avant tout sur la collaboration et le travail en réseau des différents établissements publics de santé. Cette réorganisation permet à chaque région de disposer de son propre GHT, ainsi l’ensemble des acteurs du secteur peut soigner les patients de manière plus effective et ce à moindre coût. L’hôpital étant au centre du système de soins pour bon nombre de patients, cette centralisation du système cristallise de nombreuses attentes.
Le 18 décembre, Nuance lancera sa nouvelle solution de reconnaissance vocale médicale Dragon® Medical One, hébergée dans le Cloud. Elle est destinée à simplifier et à accélérer le travail de documentation quotidien des professionnels de santé.
Les 31 mars, 1er et 2 avril 2020, l’Apssis accueillera 180 professionnels dans le cadre du 8e Congrès national de la SSI de santé, qui se tiendra à l’espace culturel des Quinconces du Mans, pour trois jours de conférences, de tables rondes, de débats et d’échanges. L’événement fêtera à cette occasion les dix ans de l’Association.
La solution phare de Nuance pour le secteur de la santé est désormais disponible dans le Cloud et distribuée sous un modèle SaaS. Dragon Medical One, la nouvelle solution de reconnaissance vocale médicale dans le Cloud, ouvre la voie à de nouvelles possibilités. Elle permet aux établissements sanitaires de s’affranchir de nombreuses contraintes (ressources et ETP IT, budgets serveurs…) tout en apportant aux professionnels de santé une solution toujours à la pointe, hautement disponible, toujours plus performante et qui répond à leurs exigences de mobilité (cabinet, GHT, hôpital, domicile).
Avec ses milliers de patients au quotidien, le monde hospitalier détient des quantités phénoménales de données. Le stockage informatique est donc une priorité pour ces structures et elle s’insère pleinement dans leur stratégie numérique.
Récemment, j’ai participé à une discussion au cours de laquelle l’un des protagonistes mentionnait certaines mauvaises habitudes de ses utilisateurs, notamment l’usage de la messagerie WhatsApp pour échanger des données de santé.
Avec ses milliers de patients, le monde hospitalier génère des quantités phénoménales de données. Le stockage de cette data est donc une priorité informatique pour ces structures de santé. Cependant, les hôpitaux sont confrontés à des contraintes budgétaires et les solutions de stockage sont onéreuses.
Les Assises de la sécurité à Monaco sont « une véritable réunion de famille », comme l’a indiqué en patriarche Guillaume Poupard, dont la conférence d’ouverture est toujours attendue comme une grand-messe pour les paroissiens de la cybersécurité.
Ce partenariat stratégique accélère l’arrivée des technologies ambiantes afin de réduire les burn-out des professionnels de santé en leur permettant de se recentrer sur les patients pendant que l’IA gère les tâches administratives.
# Entretien avec Cédric O. Le secrétaire d’État chargé du numérique depuis le 31 mars dernier livre à DSIH son analyse de la transformation numérique en examinant ses conséquences à l’échelle de la France, mais aussi des citoyens et du secteur de la santé. Au cœur des préoccupations gouvernementales : l’emploi, la fracture numérique et la régulation.
Les 31 mars, 1er et 2 avril 2020, l’Apssis accueillera 180 professionnels dans le cadre du 8e Congrès national de la SSI de santé, qui se tiendra à l’espace culturel des Quinconces du Mans, pour trois jours de conférences, de débats et d’échanges. L’événement sera l’occasion de fêter les dix ans de l’Association !
Ils sont actuellement 48 à avoir décroché la certification hébergeurs de données de santé, d’après le site de l’Asip Santé, le dernier en date étant, sauf erreur, le groupement de coopération sanitaire GCS Tesis (La Réunion et Mayotte), premier groupement régional d'appui au développement de l'e-santé (Grades) de la liste des hébergeurs pour son datacenter, et qui en plus couvre les 6 activités du référentiel.
Stupide car, généralement, quand vous essayez de classifier ce type de fonction un peu bizarre au sein de l’organisation, la plupart de vos interlocuteurs ne manquent pas de vous faire remarquer que vous oubliez tel ou tel aspect de la question, qu’un de leurs confrères ne rentre pas dans le moule, etc. Même pas peur, et puis, de toute manière, on a bien le droit de penser à haute voix – au clavier en l’occurrence –, non ?
Sans se lancer dans une quelconque théorie du complot ou toute autre polémique anti-Gafam, l’évolution du business modeldu géant américain et de ses produits mérite vraiment de s’interroger. Les données, et en particulier les données de santé, ont aujourd’hui beaucoup plus de valeur que n’importe quelle licence logicielle, ce que savent pertinemment Google ou Facebook, qui, à défaut de les exploiter, auraient probablement mis depuis belle lurette la clé sous la porte.
Comme un fait exprès, dans la même quinzaine nous tombons sur deux news, apparemment sans rapport, mais à y regarder de plus près en fait de rapport il y a.
Juin se termine sous la chaleur, il est temps de faire le bilan de cette première partie d’année 2019.
Les informaticiens vous le diront, en informatique, le problème se situe entre la chaise et le clavier. Comme le souligne à juste titre Cédric Cartau, ce qu’ils oublient de préciser, c’est qu’il s’agit très souvent de la chaise et du clavier de l’informaticien lui même !
Adopté par le Parlement Européen le 12 mars 2019, le Cybersecurity Act a été définitivement adopté le 7 juin 2019 par le Conseil de l’Union Européenne [1].
Grâce à la technologie de ses offres full Web, nativement développées pour le Cloud, Web100T propose une nouvelle opportunité au marché de la santé sur l’ensemble de sa gamme de logiciels.
360° sur les exigences, les méthodes et les tendances de la SSI Santé6 heures dédiées à la préparation et à l’animation d’un Comité de Sécurité 3 équipes – 3 présentations – 3 Comités SSI composés des grandes fonctions métiers
Présente depuis 2003 sur le marché de la sauvegarde des données, la société Kiwi Backup s’est engagée dans une démarche de certification Hébergeur de données de santé. Une procédure destinée à renforcer la sécurité des données des utilisateurs de sa solution Kiwi Santé.
Dans deux articles précédents[1], nous procédions à un état des lieux de la solution Cloud Office 365 (0365) de Microsoft, en particulier de la sécurisation de la solution, pour le volet technique dans le premier article, et pour le volet conformité dans le deuxième. Dans un troisième article, nous décrivions par le menu le positionnement d’un RSSI vis-à-vis des questions On Premise/Cloud : pour résumer, en tant que RSSI, je n’ai pas d’avis suspensif, juste des préconisations.
Dans deux articles précédents[1], nous faisions un état des lieux de la solution Cloud Office 365 (0365) de Microsoft et en particulier de la sécurisation de la solution, concernant le volet technique dans le premier article, et le volet Conformité pour le second. Dans ce second volet, je m’attaquais à la propagande marketing de Microsoft qui tente de se tirer tant bien que mal du guêpier commercial dans lequel le Cloud Act plonge les fournisseurs US. J’ai pu avoir depuis pas mal de discussions avec des interlocuteurs divers et variés, et il semble que l’on ait interprété ce second article comme l’expression d’une position farouchement anti-O365 de votre serviteur. Cette conclusion n’est ni vraie ni fausse, elle est simplement hors sujet, voici pourquoi.
Dans une première partie, nous avons examiné les conséquences du passage à Office 365 pour la partie sécurité, profil des agents en charge du domaine, etc.
Le groupe WEB100T, acteur majeur dans l’édition de logiciels de santé, accélère sa stratégie et annonce aujourd’hui la signature d’un partenariat avec la société Alticap qui accompagne le développement des entreprises par l’optimisation de leur Système d’Information à travers des services et solutions expertes en matière de gestion.
La gestion du pack Office en mode « On Premise » (en local sur vos PC, votre réseau, vos infrastructures), c’est l’horreur, c’est pire que l’horreur. Il faut déployer des logiciels sur des PC, parfois sur des sites distants avec des liens bas débit (quoique ce procédé ait tendance à disparaître), gérer les problèmes d’installation, les erreurs, les migrations, etc. Sans parler du fait que l’on n’est jamais à jour : que celui qui suit à la virgule les montées de version Microsoft sur tout son parc, et pour tous les modules (y a pas que Word et Excel !), lève la main, en particulier dans le monde de la santé. Il n’est pas rare de trouver des versions Office antédiluviennes, voire toutes les versions qui cohabitent sur un même parc (authentique).
C’est officiel, suite à un audit documentaire et un autre sur site réalisés par Bureau Veritas, Bretagne Télécom devient certifié Hébergeur de Données de Santé (HDS) sur tous les périmètres Hébergeur d’Infrastructure & Hébergeur Infogéreur.
Fin 2018, Enovacom – éditeur de logiciels et l’un des leaders en termes de solutions de messagerie sécurisée de santé – annonçait un partenariat avec Microsoft, rendant la suite Office 365 compatible MSSanté. Explications avec Sébastien Wetter, chef de produit/Gamme Sécurité chez Enovacom.
Je pense que nous n’avons pas fini d’entendre parler de cette histoire qui secoue depuis quelques jours le pays des Vikings, d’ABBA et des Krisprolls. En effet, la Suède semble beaucoup plus au fait de la recette des petits pains grillés que celle du RGPD.
La société Lojelis, basée à Chamalières dans le Puy-de-Dôme et créée en 2005, a développé Ho&Me, une plateforme de suivi des patients en milieu hospitalier fondée sur l’intelligence artificielle.
Orange Healthcare lance un programme pour aider des start-ups e-santé. L'occasion de poser quelques questions à Rémy Choquet, son directeur Prospective et Innovation.
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