Les deux méthodes paraissent équivalentes et choisir la seconde ne semble pas soulever de difficulté, sous réserve, comme mentionné dans l’article de mettre en place un contrôle. Je remarque cependant que ce dernier induit une analyse des traces qui, surtout dans les grands établissements, se fera par l’application de règles. Ces règles ne pourraient-elles pas être appliquées à priori afin d’utiliser l’analyse des traces pour les exemptions? La méthode serait alors mixte.
Je remarque également que le législateur dans la dernière loi santé (2016-41) nous a laissé une difficulté technique à traiter, la notion d’équipe médicale. Jusque là la relation était réalisée entre les entités professionnel/patient/service. Nous devons maintenant faire la relation patient/équipe soignante, équipe soignante qui n’est peut-être pas forcément un sous-ensemble de service. Comment, par exemple, la notion de service d’hébergement sera t-elle intégrée?
A contrario, donner des droits à un ophtalmologue appelé au chevet d’un patient déjà soigné pour une autre pathologie devrait aller de soi. Il « suffirait » qu’il ait accès aux informations « nécessaires » pour mener à bien sa tâche, par exemple un résumé de la situation du patient, et qu’il inscrive le résultat de son examen dans le dossier médical du patient.

Message posté par JLF (le jeudi 08 février 2018 à 16:21:47

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