Merci Cédric !
Avec un bon RSSI, on pleure deux fois : La première quand il arrive, car c'est un empêcheur de tout faire, avec les restrictions qu'il impose. La deuxième quand il s'en va, car sans son travail qui ne se remarque pas quand tout va bien (il fait bien son travail et donc on pense qu'il ne sert à rien), les choses commencent à se gâter à la première cyberattaque, et là on reconnaît son utilité, mais il est trop tard, il est parti.
Message posté par peliks (le mardi 11 février 2020 à 10:33:18

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