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Un arrêté de fin décembre, paru au Journal officiel du 7 janvier 2024, modifie les montants forfaitaires de l’activité de télésurveillance médicale prise en charge par l’assurance maladie ainsi que les modulations applicables à ces tarifs et la périodicité de leur révision.
Un arrêté, publié le 17 août au Journal officiel, fixe à 50 euros mensuels par patient les forfaits techniques pour l’exploitant ou le distributeur au détail mettant à disposition un dispositif médical numérique de télésurveillance.
… mais un acteur du dispositif oublié : les PSAD, maillon pourtant indispensable entre les prescripteurs, les solutions de télésurveillance et les patients
Le 27 juin, l’Agence du numérique en santé annonçait l’ouverture du guichet « Ligne générique » sur Convergence en phase nominale dans le cadre de la certification de conformité des DMN au référentiel d’interopérabilité et de sécurité des dispositifs médicaux numériques.
Le Congrès Médi’Nov 2023 s’est tenu à Lyon les 31 mai et 1er juin. Lors d'une table ronde animée par DSIH, intitulée « Suivi du patient à distance : une révolution technologique en marche ». Interview blian avec le Dr Frédéric Le Guillou, président de l’association Santé respiratoire France et president elect de la Société française de santé digitale, l’un des intervenants de la séance.
Nous sommes très heureux de voir une solution intégrée via Lifen Platform devenir la première solution à obtenir son certificat de conformité au référentiel interopérabilité.
Le nombre de start-ups françaises ayant mené à bien une levée de fonds a fortement diminué en 2022 par rapport à l’année précédente, mais le ticket médian a fortement augmenté, selon un bilan présenté par le groupe mind Health à l’occasion de la conférence sur « les Grandes Tendances de la E-santé 2023 ».
Deux décrets parus au Journal officiel du 31 décembre 2022 définissent la prise en charge et le remboursement des activités de télésurveillance médicale ainsi que le contenu de la déclaration des activités de télésurveillance médicale aux ARS.
Un arrêté du 19 décembre 2022 prolonge l’expérimentation, au titre de l’article 51 de la LFSS pour 2018, de la « prise en charge avec télésurveillance du diabète gestationnel » et autorise l’inclusion de plus de 2 000 patientes supplémentaires.
Le 3 novembre 2022, à l’occasion du premier bilan du lancement de Mon espace Santé, l’Agence du numérique en santé a annoncé l’ouverture du catalogue de services.
Le 18 mai 2022, le HCSP a publié le rapport « Actualisation du contenu des examens de santé de l’enfant, messages et outils de prévention du carnet de santé en vue de sa dématérialisation ».
Pour la seconde fois, Atlanpole Biothérapies, le pôle de compétitivité Santé du Grand-Ouest, était présent à SantExpo sur un stand collectif partagé avec sept entreprises de l’innovation en santé. Rencontre avec Florence Hallouin, directrice déléguée du pôle.
Le 15 avril 2022, l’Anap a lancé une plateforme nationale pour partager les solutions d’intelligence artificielle en santé et appelle les opérateurs à postuler. Elle a déjà référencé une vingtaine de projets.
La généralisation du remboursement de la télésurveillance médicale est prévue au plus tard le 1er juillet 2022. La HAS publie aujourd'hui un référentiel pour les solutions de télésurveillance pour chacune des quatre pathologies suivantes : diabète, insuffisance cardiaque chronique, insuffisance rénale chronique et insuffisance respiratoire chronique. Ces quatre référentiels permettront aux industriels et aux professionnels de santé de se préparer au cadre pérenne en ayant connaissance des exigences – techniques et organisationnelles, retenues par la commission nationale d'évaluation des dispositifs médicaux et des technologies de santé (CNEDiMTS). Pour la HAS, la télésurveillance est un dispositif qui peut faciliter le suivi médical et peut présenter des bénéfices à la fois pour les patients, les aidants et les professionnels de santé.
Un arrêté du 27 décembre 2021 prolonge l’expérimentation, au titre de l’article 51 de la LFSS pour 2018, de la « prise en charge avec télésurveillance du diabète gestationnel » et autorise l’inclusion de plus de 2 000 patientes supplémentaires.
L’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) a annoncé le 29 décembre 2021, l’étude ComPaRe qui évalue l’amélioration potentielle de la prise en charge des malades chroniques grâce aux innovations mises en place pendant la pandémie.
Le 18 novembre, Kiplin, éditeur de solutions de santé connectées ludiques, a annoncé la finalisation d’une levée de fonds de 3,7 millions d’euros auprès de Mutuelles Impact et de la Banque des territoires. L’appli Kiplin est reconnue en tant que dispositif médical, et l’éditeur s’oriente vers un remboursement de sa solution par l’assurance maladie.
A la veille de l’examen par la Commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale du PLFSS 2022, l’APIDIM alerte sur la nécessité d’intégrer la contribution des dispositifs médicaux innovants à l’ensemble des réflexions de fond engagées sur le système de santé, en particulier en matière de régulation, et rappelle la nécessité d’établir des conditions favorables à l’accès et à la diffusion des innovations en santé en France.
Un arrêté du 15 septembre 2021 ouvre au remboursement du système de boucle fermée hybride de la société Diabeloop pour les patients diabétiques de type 1.
Cette année, les Rencontres du progrès médical se déroulent en trois sessions en ligne. Le 16 septembre, la deuxième session était consacrée aux « Besoins de santé et numérique : Quels enjeux pour mieux soigner ? ». Synthèse.
Unicancer et Roche annoncent la signature d’un partenariat ambitieux, dont l’objectif est de co-créer l’OncoDataHub, première plateforme française de référence pour accélérer la production et l’exploitation des données de vie réelle dans le cancer.
Le rapport annuel sur les expérimentations innovantes en santé montre un renforcement de l’innovation et une montée en capacité des acteurs de santé dans le contexte de la crise sanitaire.
Pour la première fois, une intelligence artificielle va analyser le contenu textuel des dossiers médicaux afin d’améliorer la prise en charge et le pronostic des patients.
Nous le savons, dans le contexte exceptionnel de la lutte contre l’épidémie de Covid-19, les autorités sanitaires ont publié, depuis fin janvier 2020, une série de décrets visant à faciliter l’accès à la télémédecine et aux outils numériques de suivi.
Dans une récente interview[1], l’éditeur Daqsan[2], spécialisé dans les analyses des accès anormaux aux données, fait part dans certains cas d’un pic de 1 000 % des détections des accès en anomalie aux dossiers des patients (DP). Selon l’éditeur, si les accès en anomalie aux données médicales des VIP ou des voisins de palier sont restés stables, ce sont surtout les accès aux DP des collègues qui ont explosé.
Avec l’acquisition de WheezLab, Tmm software élargit son champ d’expertise dans la digitalisation du parcours de soins des patients.
Après une consultation de plusieurs mois et de nombreuses auditions et démonstrations, Maincare Solutions, associé à Atos, est l’un des quatre consortiums à avoir été retenus par le Resah dans le cadre de l’appel d’offres « Fourniture de services numériques pour les parcours de santé et leur coordination dans la sphère sanitaire et médico-sociale (coordination interprofessionnelle et appui à la coordination) et prestations associées ».Ce référencement est un support au programme e-parcours qui s'inscrit dans la stratégie de transformation du système de santé « Ma santé 2022 » et de son volet numérique en mettant à disposition un bouquet de services de coordination pour les professionnels de santé, complémentaire aux trois premiers services socles que sont le DMP, la MSSanté et l’e-prescription. Ce programme est doté d’un financement national de 150M€ sur la période 2018-2022.
Le centre hospitalier de Douai s’est tourné vers la plateforme de digitalisation de la production de soins Maincare IC pour moderniser son dossier patient informatisé. Une évolution qui s’inscrit dans une démarche d’ouverture vers la ville et de responsabilité populationnelle.
Dans le cadre de sa stratégie de territoire, le Centre Hospitalier de Douai souhaitait s’équiper d’un Dossier Patient Informatisé multi-établissements de nouvelle génération. Couvrant un bassin de population d’environ 250 000 habitants et actif historiquement sur sa stratégie territoriale « hors les murs », le Centre Hospitalier de Douai va également mettre à profit la plateforme Maincare IC et sa technologie Idéo dans le cadre de l’expérimentation nationale de responsabilité populationnelle lancée dans le cadre du dispositif « innovation en santé » de l’article 51 pour laquelle il est l’un des 5 territoires français retenus.
21,5 milliards d’euros (Md€) de crédits alloués, 663 millions (M€) économisés et 415 M€ mis en réserve, tels sont les axes annoncés par la première circulaire relative à la campagne tarifaire et budgétaire 2019 des établissements de santé, texte qui s’inscrit dans le cadre de la deuxième année de mise en œuvre du plan d’économies 2018-2022 sur l’objectif national des dépenses d’assurance maladie (Ondam).
À Lyon, le 15 mars 2019,le groupe Sword prend une participation minoritaire dans la start-up Maela. Créée fin 2015, Maela offre aux établissements de santé des solutions de suivi médical connectées en mode SaaS, reliées 24h/7j à un plateau infirmier unique et dédiées aux patients.
Une salle dédiée à la télémédecine ouvre ses portes à Saint-Georges-de-Rouelley dans la Manche pour compléter et diversifier l’offre de soins sur le territoire. Initié par le Docteur Sabatier, médecin spécialiste et professeur de e-Santé au PFRS de Caen et piloté par le Dr Grégory Szwarc, ce projet de télémédecine est porté par la Mairie de Saint-Georges-de-Rouelley et l’URML Normandie (Union Régionale des Médecins Libéraux). Sept médecins généralistes maîtres de stage des communes limitrophes et treize infirmiers libéraux de l’URPS (Unions Régionales de Professionnels de Santé) participent à ce dispositif de télémédecine disposant d’une plateforme informatique développée sur mesure.
Depuis son éclosion, la vie de la biologie médicale est rythmée par des vagues successives d’innovations. Aux cycles d’innovations scientifiques et techniques, il faut aujourd’hui ajouter ceux du numérique et de l’organisationnelle.
Le monde de l’e-santé, et plus récemment de la m-santé (santé via mobile), connaissent un essor parfaitement inédit. L’Internet des objets, le big data, la télémédecine ou encore la 5G sont les moteurs d’une métamorphose qui s’annonce aussi profonde que durable. Les avancées sont souvent spectaculaires et laissent augurer des progrès notables pour la relation patient-médecin.
L’AP-HP, en partenariat avec la Fondation de l’AP-HP pour la recherche et avec le soutien du laboratoire MSD France et de La Fondation du Souffle crée à l’hôpital Bichat – Claude-Bernard, la première plateforme d’évaluation et d’analyse des objets connectés en santé, le Digital Medical Hub (DMH). En janvier 2018, le DMH lancera sa première étude auprès de patients transplantés pulmonaires – EOLE-VAL avec DOCAPOST, filiale du Groupe La Poste.
Harold Juillet, directeur général de Cerner, est intervenu lors de la journée organisée par Care Insight « Faire avancer la santé numérique ». Il revient pour nous sur son propos, axé sur la nécessaire prise de conscience des acteurs du système de santé de partager les données pour mieux les exploiter et pour faire avancer la médecine, notamment préventive et prédictive, en France.
À l’occasion de son Cyber Security Weekend annuel organisé à Dublin, Kaspersky Lab a révélé ses prévisions pour 2018 dans le domaine de la santé connectée.
Les nouvelles technologies occupent une place grandissante dans le système de soins : e-santé, télémédecine, robotisation d’actes en chirurgie… Avec l’entrée de robots humanoïdes dans les services, nous entrons dans une nouvelle ère de la prise en soin. Une évolution qui ne rebute pas les Français.
Véritable parcours de soin connecté, cette plateforme innovante ouverte aux généralistes, ophtalmologues et orthoptistes dans toute la France permet un dépistage rapide, sécurisé et pris en charge par la Sécurité sociale
La e-santé au service des maladies chroniques
Evolucare se lance dans l’innovation disruptive en mettant en œuvre des projets d’élaboration d’outils d’aide à la décision médicale ou organisationnelle. Alexandre Le Guilcher, directeur de l’innovation R&D pour cet éditeur, nous présente la philosophie qui a conduit cette évolution et revient sur les projets en cours.
A l’occasion de HIT Paris 2017 (Paris Healthcare Week), le salon professionnel leader de l’IT appliqué à la santé, iHealth, pionnier mondial des objets de santé connectée a présenté iHealth Next, un ensemble de solutions innovantes à destination des entreprises, des hôpitaux ou des cliniques.
La campagne « Faire avancer la santé numérique » (#FASN) organise le 21 juin 2017 à Fort-de-France (Martinique) sa 9e étape régionale dédiée à l’innovation en santé. Tous les acteurs de santé ultramarins se mobilisent pour porter le dynamisme de la filière e-santé et co-construire l’offre de soins de demain dans les Antilles-Guyane.
Les usages du numérique sont l'une des conditions sine qua none de la transformation du système", a indiqué Anne-Marie Armanteras-de Saxcé, directrice générale de l'organisation des soins (DGOS), lors de son discours à la cinquième journée numérique en santé organisée par l'Agence nationale d'appui à la performance des établissements sanitaires et médico-sociaux (Anap). En ce sens, les programmes Hôpital numérique (HN) et Territoire de soins numérique (TSN) ont permis des avancées notables sur le terrain. Un succès rendu possible également parce qu'au niveau national "les modalités d'intervention ont bougé", a précisé la DGOS.
Voluntis, entreprise pionnière des logiciels compagnons thérapeutiques permettant aux patients de gérer leur maladie chronique, a reçu l'agrément FDA 510(k) ainsi que le marquage CE pour Insulia®. Cette solution digitale innovante contribue à la prise en charge efficace des patients adultes atteints de diabète de type 2 traités par insuline basale.
Alors que les technologies numériques sont souvent considérées comme une solution à l'explosion des coûts de santé, l'analyse des Big Data apparaît comme le fer de lance de la transformation numérique du secteur médical. Les données ont un vrai pouvoir de transformation : en nous aidant à mieux comprendre les corrélations entre mode de vie, passé médical et soins de santé, elles permettent de cibler les personnes à risque et de prendre les mesures de prévention qui leur éviteront d'être malades.
Les obstacles au développement des usages en santé mobile tombent petit à petit.
Tristan Debove, Country Sales Manager chez InterSystems, a répondu à quelques questions relatives aux objets connectés dans le milieu de la santé. Il nous livre des pistes d’utilisation concrète et revient sur les solutions développées par les partenaires Intersystems, mais également par l’éditeur lui-même.
Les cinq sites pilotes sélectionnés en réponse à l’appel à projets Territoire de soins numérique (TSN) ont une finalité commune – mettre les systèmes d’information en santé au service des parcours et de la coordination –, mais des trajectoires diverses. DSIH.fr vous propose, chaque semaine, un arrêt sur images dans l’un de ces territoires. En Île-de-France, le déploiement de la plateforme Terr-eSanté se prépare pour le dernier trimestre de cette année.
A l’heure où des chantiers d’envergure en santé numérique voient le jour dans toute la France, la campagne « Faire avancer la santé numérique » (#FASN) a trouvé dans l’Océan Indien, par l’implication des acteurs locaux et l’avancement de ses projets e-santé, un terrain particulièrement propice au développement de l’innovation en santé.
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