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Dans son nouveau marché « Cloud : conseil, accompagnement et infrastructures hébergées pour les données de santé », la centrale d’achats informatiques CAIH a sélectionné Cloud Temple pour son cloud de confiance qualifié HDS et SecNumCloud et ses services managés. Le spécialiste français du cloud hybride est également présent comme partenaire de Blue Soft Empower autour des environnements Microsoft Azure.
Le 23 octobre, le Health Data Hub a annoncé avoir obtenu la validation EHDEN de la standardisation au format OMOP de la base principale du SNDS.
Faciliter l'accès aux données de santé du Système National des Données de Santé, tel est l'objectif poursuivi par la CNIL avec la publication de deux nouvelles méthodologies de référence permettant, à condition de s'y conformer, de se soustraire à une demande d'autorisation.
La cybersécurité est aujourd'hui un enjeu majeur pour tous les acteurs de soins, confrontés à une augmentation constante des attaques informatiques. Les données de santé, extrêmement sensibles, sont devenues une cible de choix pour les cybercriminels. Face à cette réalité devenue quotidienne, il est impératif que les acteurs du secteur de la santé prennent des mesures proactives pour renforcer leur cybersécurité et protéger les données sensibles de leurs patients. Anticiper pour éviter l’attaque, serait-ce la clé ? C'est précisément la stratégie mise en place par l’Etablissement Français du Sang (EFS) et la Centrale d’Achat Informatique Hospitalière (C.A.I.H.) en choisissant Gatewatcher en tant que partenaire.
La Poste a annoncé ce 18 octobre lors de l’évènement Horizon Santé 360 le lancement d’une verticale dédiée à la santé, et en particulier à la santé à domicile et à la valorisation des données de santé, nommée La Poste Santé & Autonomie. Pilotée par Dominique Pon, elle a d’ores et déjà signé des partenariats majeurs.
Point de système d'intelligence artificielle (IA) sans données massives, or, l'articulation entre constitution de bases de données à caractère personnel d'apprentissage et protection des données est parfois délicate.
Le 9 octobre, l’Agence du numérique en santé a annoncé l’adhésion officielle de la France à la Snomed International, organisation internationale dédiée à l’élaboration et à la diffusion de la nomenclature des termes médicaux, la Snomed CT.
Le 9 octobre, les acteurs du plan France 2030 ont dévoilé le nom des 14 lauréats de l’appel à manifestation d’intérêt « Compétences et métiers d’avenir ». Huit d’entre eux sont consacrés à la santé numérique.
Retour sur l’intervention de Me Alexandre Fievée lors du Salon-Congrès City Healthcare à la Cité des congrès de Nantes
Enovacom, filiale santé d’Orange Business, a annoncé ce mardi 26 septembre l’acquisition de NEHS DIGITAL et Xperis, deux filiales du groupe Mutuelle Nationale des Hospitaliers. Laurent Frigara, co-fondateur d’Enovacom, revient pour DSIH sur cette annonce majeure pour l’entreprise, dont la taille va doubler.
Un patient s’est plaint du non-respect, par un laboratoire d’analyses médicales, de ses obligations au titre du RGPD. En défense, le laboratoire invoquait sa qualité de sous-traitant pour expliquer l’absence d’analyse impact et d’information des patients. Était-ce une bonne stratégie ?
Dans le cadre de nombreux évènements qu’elle organise, l’ANS illustre son rôle stratégique de régulateur de l’espace du numérique en santé, et son engagement dans la réalisation des grands projets de la feuille de route 2023-2027 sur les territoires.
La Commission européenne a retenu la candidature française, soumise en février 2023 par le Health Data Hub, à l'appel à financement de la Commission européenne intitulé “Direct grant to Member States setting up services by Health Data Access Bodies - Secondary use of health data”. Le consortium français bénéficiera ainsi d’un financement de 4,6 millions d’euros, co-financé à hauteur de 60% par la Commission européenne, pour travailler à une meilleure réutilisation des données de santé à l’échelle nationale et européenne.
Le 8 septembre, la DNS, l’ANS, la Cnam et les éditeurs de logiciels ont annoncé la poursuite de leur collaboration pour améliorer les fonctionnalités Ségur des logiciels et renforcer l’appropriation de leurs usages par les médecins de ville.
Plongez dans l'univers fascinant de la cybersécurité avec notre prochain webinar incontournable : "Cyberattaques : comment l’EFS et la CAIH protègent leur réseau et celui de leurs adhérents ?"
Lancée en février 2021, l’action conjointe "Vers un espace européen des données de santé" (TEHDaS), mobilisant 25 pays européens, et ayant pour objectif de faciliter le partage transfrontalier de données de santé pour la recherche et l’innovation dans le cadre du futur Espace européen des données de santé (EHDS), est arrivée à son terme le 31 juillet 2023. En France, le Health Data Hub a travaillé aux côtés de 5 entités affiliées : l’ANS, l’INSERM, les Hospices Civils de Lyon (HCL) et les universités Aix-Marseille et l’Université Toulouse III-Paul Sabatier.
Imaginez un peu…
Apparemment, le temps de cet été 2023 aura été très contrasté. Canicule au sud, incendies en masse dans pas mal de lieux prisés de villégiature, météo mitigée au nord avec des semaines carrément pourries. Ça change, somme toute, des étés caniculaires partout.
En juillet, l’Assurance maladie a publié son rapport annuel de propositions avec une analyse et des propositions concrètes pour améliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses. Il y est notamment proposé d’apposer un « label d’État » aux meilleures applications Santé disponibles sur smartphone.
Le 25 juillet, le Health Data Hub a annoncé l’ouverture des inscriptions au Désiu « Réutilisation de données pour la recherche en santé », en partenariat avec les universités de Bordeaux, Aix-Marseille et Paris Cité.
Le 19 juillet, le Health Data Hub a annoncé la sélection d’un nouveau lauréat dans le cadre de la quatrième vague de l’appel à manifestation d’intérêt Boas lancé en 2021 : Le projet Poumalgo, porté par la clinique Beau Soleil en association avec le Centre de lutte contre le cancer de Montpellier.
… mais un acteur du dispositif oublié : les PSAD, maillon pourtant indispensable entre les prescripteurs, les solutions de télésurveillance et les patients
Le 27 juin dernier, Ramsay Santé a annoncé le déploiement de Resilience, une solution de suivi à distance et d’accompagnement des personnes touchées par le cancer, dans 11 de ses établissements.
Docaposte, filiale numérique du groupe La Poste, entre en négociation exclusive en vue d’une prise de participation majoritaire dans WELIOM, cabinet de conseil spécialisé dans l’accompagnement des acteurs de la santé dans leur transformation numérique. Ce rapprochement opéré autour d’ambitions et de valeurs communes permettra de constituer au sein de Docaposte un pôle autonome d’expertise et de conseil dédié au secteur de la santé. En s’associant avec WELIOM, Docaposte poursuit sa stratégie visant à devenir un leader numérique souverain au service de la transformation des organisations de santé.
Les établissements de santé sont des cibles privilégiées des cybercriminels, en témoigne le nombre croissant de cyberattaques qui ont visé les hôpitaux ces dernières années. Dans ce contexte inquiétant, des acteurs français de la Sécurité des Systèmes d'Information (SSI) de santé ont décidé de riposter ensemble pour accompagner les établissements de santé. Pour mener à bien cette lutte, un plan d’action d’envergure a été mis en place. La première étape consiste au développement d’offres d’accompagnement en cybersécurité.
L’utilisation secondaire des données s’est progressivement imposée comme une nécessité, en particulier depuis les travaux ayant précédé la Loi de santé du 24 juillet 2019, ayant constitué la Plateforme des Données de Santé ou Health Data Hub.
L’Agence du Numérique en Santé renforce la co-construction avec les éditeurs de solutions de e-santé dans le cadre du déploiement de Pro Santé Connect
Encore méconnues du grand public il y a quelques années, les données de santé et leur sécurisation sont au cœur des préoccupations aujourd’hui. Plus encore, la protection des informations autour du patient et du professionnel de santé est devenue un des moteurs essentiels de la migration vers le cloud ces dernières années.
Le Centre Léon Bérard, Inria, le Health Data Hub et Sanofi unissent leurs expertises pour mettre l’intelligence artificielle au service de la lutte contre le cancer. Grâce à l’utilisation de données de vie réelle, les quatre organisations vont travailler à développer un nouveau modèle prédictif capable de déterminer les combinaisons de molécules les plus efficaces en immuno-oncologie.
L’obligation est désormais connue : les établissements publics de santé qui souhaitent faire héberger leurs données de santé par un tiers (par exemple un prestataire pour une application en SaaS) ont l’obligation de faire appel à un acteur certifié selon le référentiel HDS élaboré par l’Agence du Numérique en Santé, actuellement en cours de révision. Mais qu’en est-il dans le cas des nombreux groupements de coopération (GCS, GCSMS, GIP, GIE) dont les établissements de santé sont membres ? Cette obligation est-elle bien appliquée ? Le risque juridique est-il si important ?
Annoncé en 2021 à l’occasion du lancement de la stratégie d’accélération sur la santé numérique de France 2030, le programme et équipement prioritaire de recherche (PEPR) Santé numérique a été officiellement lancé ce jour. Ce programme de recherche ambitieux, porté conjointement par l’Inserm et Inria, est doté d’une enveloppe septennale de 60 millions d’euros de France 2030. Il ambitionne de positionner la France comme leader européen de l’innovation en santé numérique, avec pour objectifs l’obtention d’avancées scientifiques et l’émergence de technologies de rupture d’ici cinq à dix ans.
Simple d’utilisation, Efficience garantit l’obtention rapide de données médicales fiables et pertinentes pour la prise en charge des patients en s'appuyant sur les services socles nationaux de la e-santé. Elle sera présentée à l’occasion du Congrès Urgences.
Dans une affaire récente[1], le Tribunal de l’Union Européenne a considéré que les données transmises à un destinataire ne peuvent être considérées comme des données personnelles que sous réserve que ce destinataire dispose des « moyens légaux et réalisables en pratique » lui permettant d’accéder aux informations supplémentaires nécessaires à la réidentification des personnes concernées détenues par le transmetteur desdites données. Une telle décision pourrait avoir un écho très fort dans le domaine de la recherche. Explications…
Le projet « Jumeau Numérique “état de santé d’un territoire” » évalue l’état de santé de la région Normandie par rapport aux allergies aux pollens. Via un travail algorithmique portant sur la dispersion des pollens, les porteurs de projet étudient les corrélations et les mécanismes de causalité entre santé et pollens.
Le CHU de Toulouse profite de l’arrivée du système d’information clinique convergé Care4U pour aller vers le « tout digital ». Ce changement passe en particulier par une meilleure récolte et utilisation des données de santé, ont expliqué des représentants du CHU sur le stand (J47) de Dedalus, le 24 mai lors du salon Santexpo.
Comment favoriser le développement de solutions innovantes en santé ? Le Health Data Hub, en partenariat avec la délégation ministérielle du numérique en santé (DNS) et l’agence de l’innovation en santé (AIS) rattachée au secrétariat général pour l’investissement, accompagnera trois nouveaux « Data Challenges en santé » en 2023, portant à 10 le nombre de challenges accompagnés depuis 2020. Les data challenges en santé sont des compétitions en science des données, ouvertes à tous et visant à développer des solutions innovantes en temps limité sur des thématiques de santé, à l’aide de l’analyse des données mises à disposition.
Par un arrêt du 11 avril 2023, la Cour administrative d’appel de Paris a statué sur la licéité d’un traitement de données à caractère personnel relatif au dossier médical d’un patient. Cette décision est particulièrement éclairante sur les contours des droits et obligations des parties prenantes : la personne concernée/le patient, d’une part, et le responsable du traitement/l’établissement ou le professionnel de santé, d’autre part.
A l’occasion de Santexpo 2023, Benoit Bresson et Jonathan Lotz, respectivement directeur et directeur adjoint du collectif des GRADeS, ont présenté sa nouvelle gouvernance.
Docaposte, filiale numérique du groupe La Poste, accompagne tous les acteurs de la santé sur la chaîne de valeur de la donnée, de la digitalisation des processus métiers à une utilisation stratégique de la data. Carla Gomes, directrice Structures de soins et Système de santé de Docaposte, nous présente cette stratégie qui a pour ambition de faire de la société un leader technologique français et européen au service de la transformation numérique des acteurs de la santé.
L’écosystème de la santé est l’un des plus foisonnant en France, et compte pas moins de 600 jeunes sociétés spécialisées dans l'aide au diagnostic, la téléconsultation et la télésurveillance, la prévention et le bien-être, l'organisation du cabinet médical, la formation et la qualité de vie au travail des professionnels, etc.
Si la question a pu sembler longtemps secondaire, la cybersécurité est désormais devenue une priorité pour les établissements de santé dont la prise de conscience a été accentuée par la multiplication des cyberattaques ces derniers temps. Et si le risque cyber demeure exceptionnel, quand cela arrive, les dégâts sont immenses. Mieux vaut donc prévenir que guérir et anticiper sa stratégie de cybersécurité. Mais pour cela, les établissements de santé ont besoin de moyens, financiers comme humains.
Nous sommes très heureux de voir une solution intégrée via Lifen Platform devenir la première solution à obtenir son certificat de conformité au référentiel interopérabilité.
Le Health Data Hub a soumis la candidature française à l'appel à financement de la Commission européenne intitulé “Direct grant to Member States setting up services by Health Data Access Bodies - Secondary use of health data”. Une enveloppe de 37 millions d’euros du programme l’UE pour la santé doit permettre aux pays européens de se préparer au futur règlement de l’espace européen des données de santé (EHDS).
NEHS Digital, qui propose aux établissements de santé une solution experte de téléradiologie et de téléinterprétation, va étendre cette offre de services innovants à la médecine nucléaire et à la neurologie. Autre société du groupe MNH-NEHS, Xperis accompagne de son côté les établissements dans le déploiement de solutions dédiées à la sécurité et à l’interopérabilité.
Les cyberattaques contre les établissements de santé ne faiblissent pas. Début avril, c’est le Centre hospitalier de Bourg-en-Bresse dans l’Ain qui en a fait les frais. Avec l’obligation pour les hôpitaux de réaliser un exercice de crise cyber, les pouvoirs publics tentent de renforcer les capacités de réponse de chacun face aux menaces. D’autres dispositifs existent ou sont en cours de définition pour accompagner les établissements. À retrouver dans notre dossier consacré à la cybersécurité.
Pour améliorer le parcours coordonné entre l’hôpital, l’ESMS et la médecine de ville, il y a mieux que les messageries de type Whatsapp ou les SMS : la suite de services de Cegedim Santé simplifie le suivi du patient dans un cadre sécurisé tout en s’adaptant aux besoins des différentes structures.
data.ansm est une nouvelle plateforme d’information en accès libre. Elle permet de consulter des informations et des données chiffrées sur l’historique des déclarations d’effets indésirables de médicaments, d’erreurs médicamenteuses et de ruptures de stocks de médicaments depuis 2014.
Les systèmes de santé produisent de plus en plus de données et les exigences concernant leur usage augmentent proportionnellement aux besoins de santé publique. Malgré une politique publique française volontariste, et un consensus sur l’utilité de l’exploitation des données de santé pour la santé publique, les données hospitalières sont encore sous-exploitées. Convaincu que ces données représentent une opportunité importante de moderniser les approches classiques de santé publique tout en et assurant la soutenabilité de notre système de santé, le Healthcare Data Institute (HDI) s’est emparé du sujet pour dresser un état des lieux des usages des données hospitalières, identifier les leviers et proposer des recommandations pratiques et stratégiques pour accélérer l’usage de ces données.
Le 14 avril, le Health Data Hub a publié ses recommandations finales pour impliquer les citoyens dans le futur Espace européen des données de santé dans le cadre du projet européen Tehdas.
Quand le brillant RSSI et DPO Cédric Cartau et moi-même décrochons notre téléphone en pleine journée pour nous appeler, c’est qu’un « serpent de mer » technico-juridique nous travaille. Le dernier en date : les droits d’habilitation au Dossier Patient Informatisé (DPI), et ce, dans le contexte d’un article de presse[1] annonçant les mesures prises par l’APHP « la mise en œuvre d’un système de surveillance du mode « bris de glace » afin de contrôler et d’identifier les accès illégitimes ». Dans un premier volet, la vision technique et opérationnelle a donc été présentée[2]. Ce deuxième volet vise à présenter le cadre juridique. Que disent les textes ?
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