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Le 2 novembre 2022, le groupe Softway Medical fait l’acquisition de la société HISTONE, éditeur spécialisé en solutions pour laboratoires. Avec ce rachat, le leader français de l’informatique en santé complète de manière stratégique son offre à destination des acteurs de la e-santé et donne naissance à Softway Medical biologie.
Il y a un an, la CNIL publiait un référentiel relatif aux traitements de données à caractère personnel mis en œuvre à des fins de création d’entrepôts de données dans le domaine de la santé. Le 28 septembre dernier, l’autorité française de protection des données a publié une « check-list » visant à aider les responsables du traitement à vérifier facilement leur conformité audit référentiel.
20 ans après la Loi Kouchner du 2 mars 2002[1] l’ayant instauré, le régime juridique relatif à l’hébergement de données de santé est sur le point d’évoluer à nouveau avec une version V.1.1 en concertation du référentiel d’exigences HDS de certification.
La start-up Implicity, qui propose une technologie de télésuivi cardiaque complète et standardisée pour les porteurs de dispositifs électroniques cardiaques implantables, utilise le cloud d’Amazon Web Services (AWS) pour héberger ses services. Louay Gargoum, Chief Technology Officer chez Implicity, nous explique les raisons de ce choix.
La start-up Implicity, qui propose une technologie de télésuivi cardiaque complète et standardisée pour les porteurs de dispositifs électroniques cardiaques implantables, utilise le cloud d’Amazon Web Services (AWS) pour héberger ses services. Louay Gargoum, Chief Technology Officer chez Implicity, nous explique les raisons de ce choix.
Le 31 octobre, Sylvie Retailleau, François Braun et Roland Lescure ont réuni le comité de pilotage ministériel France 2030 Santé pour présenter l’avancement du plan Innovation Santé 2030 et annoncer le lancement de l’Agence de l’innovation en santé.
Softway Medical, éditeur, hébergeur et intégrateur, a conquisle marché français avec sa solution Hopital Manager, qui constituela base d’un système d’information complet. Jean-Baptiste Franceschini, son directeur marketing et communication, nous détaille les atouts de l’entreprise.
L'objectif de la taskforce européenne est de parvenir à un consensus entre agences compétences pour l’évaluation des technologies de santé à l’échelle nationale, afin d’harmoniser les critères d’évaluation des dispositifs médicaux numériques (DMN) en Union européenne (UE). Les résultats issus de ces trois groupes de travail (« work packages ») ont été présentés à la Conférence « Digital Medicine » au Luxembourg les 26 et 27 octobre.
Docaposte (filiale numérique du groupe La Poste et chef de file du projet), Dassault Systèmes, Bouygues Telecom et la Banque des Territoires ont signé une alliance associant leurs expertises et leurs forces au sein d’un consortium industriel 100 % français afin de créer NUMSPOT, une société [1] dédiée au développement d’une offre complète de services européens de cloud souverain et de confiance.
Afin de mieux répondre aux besoins actuels des utilisateurs et d’anticiper de nouveaux usages dans les établissements de santé, Maincare a mis au point mainUp, un programme pluriannuel de modernisation de ses solutions. Dans un premier temps, trois solutions ayant fait leur preuve sur le plan technique et en matière de couverture fonctionnelle sont concernées : M-GAM, M-CrossWay et Copilote.
L'Association Pour la Sécurité des Systèmes d’Information de Santé (APSSIS) a réuni fin septembre à Paris ses adhérents à l'occasion d'une journée de conférences. Gérard PELIKS, co-organisateur des Lundis de la Cybersécurité, en a rédigé un compte-rendu complet.
Le 10 octobre, l’AP-HP et l’Inria ont annoncé le lancement d’URGE, un projet de recherche pour analyser et optimiser les parcours des patients aux urgences grâce à un simulateur de flux.
Le Health Data Hub est engagé dans le Partenariat pour un gouvernement ouvert via la plateforme d’information sur les événements et les actualités des administrations engagées dans cette démarche d’ouverture, plateforme qui permet d’en suivre régulièrement les avancées.
Alors que les premières candidatures de l’appel à projets « Accompagnement et soutien à la constitution d’entrepôts de données de santé hospitaliers » vont être prochainement relevées, il est plus qu’utile d’interroger la constitution de tels entrepôts à l’aune du règlement européen sur la gouvernance des données (Data Governance Act - DGA) qui entrera en application dans moins d’un an, le 24 septembre 2023.
Le premier Diplôme Universitaire international francophone sur les applications du métavers en santé ouvre en mars 2023 à Université Paris Cité.
Spécialiste des enjeux de confiance et de souveraineté numériques, Dominique Pon aura pour mission, à compter du 1er janvier 2023, d’accompagner le fort développement rencontré ces dernières années par Docaposte et de contribuer à la mise en œuvre du plan stratégique de la filiale numérique du groupe La Poste dont l’ambition est de devenir, d’ici 2030, l’acteur référent des services de confiance numériques et de la sécurité en France et en Europe.
9 mois après son lancement à l’occasion de SANTEXPO 2021, JECONSENS by Tessi fait peau neuve avec une nouvelle version éditée par INNOVATION & TRUST - la Digital Factory de Tessi - pour améliorer la prise en charge administrative des patients, la traçabilité et l’archivage des consentements médicaux.
Le 5 septembre, le Comité stratégique de filière des industries et technologies de santé a lancé un appel à manifestation d’intérêt pour identifier, sur le territoire français, les ruptures dans les parcours de santé en s’appuyant sur les données et les techniques d’intelligence artificielle.
À la demande du Premier ministre, le Conseil d’État a publié le 30 août 2022 une étude en faveur d’une stratégie de l’IA ambitieuse au service de la performance publique pour créer les conditions de la confiance tout en dotant la France des ressources et de la gouvernance à la hauteur de ses ambitions. La santé, en lien avec le Health Data Hub, n’y est pas oubliée.
Les nouveaux besoins des professionnels de la santé au travail, mis notamment en lumière par la crise du COVID-19, et accélérés par la réforme de la santé au travail (Loi du 2 août 2021), ont conduit Cegedim Santé, éditeur de solutions et services dédiés aux professionnels de santé, et Val Solutions, leader en France de solutions logicielles en prévention et santé au travail, à mettre en place un partenariat industriel. L’objectif est de permettre à tous les clients de Val Solutions - professionnels des services de santé au travail, entreprises privées et publiques – de pouvoir utiliser la solution de téléconsultation de dernière génération Maiia de Cegedim Santé pour améliorer le suivi médical de leurs 12 millions de salariés et agents, et développer la prévention, véritable enjeu de santé publique.
Fin juillet, l’Agence européenne du médicament et le réseau des responsables d’agences du médicament ont publié leur plan de travail 2022-2025 sur l’utilisation des big data en santé publique.
Le 8 août, l’ANS et ses partenaires ont lancé un appel à candidatures pour intégrer la task force européenne destinée à harmoniser les critères d’évaluation des DM numériques, instaurée lors de la présidence française du Conseil de l’Union européenne.
Fin juillet, La Délégation ministérielle au numérique en santé et l’Agence du numérique en santé ont ouvert une concertation sur les exigences de sécurité des systèmes d’information dans le cadre de la vague 2 du Ségur du numérique en santé.
Le numérique présente des défis croissants pour les établissements publics de santé. Dans ce contexte, il est nécessaire que les directions des systèmes d’informations disposent des moyens de mettre en place une stratégie ambitieuse sur le sujet. Pourtant, trop souvent, ces directions sont positionnées comme des quasi « prestataires de services » et ne disposent pas des marges de manoeuvre nécessaires pour mettre en place une stratégie propre. Dès lors, cet article propose de mettre en place un « référent logiciel ». Ce dispositif désignerait une personne dans chaque pôle d’un hôpital qui soit chargée de connaître et de suivre l’utilisation des logiciels métiers et de redonner aux services de soins les clefs de la gestion des logiciels utilisés. En parallèle, cette disposition permettrait de commencer à effectuer le repositionnement des DSI hospitalières.
Le 21 juillet, le Health Data Hub a annoncé la signature d’un accord de coopération avec le Fonds de recherche du Québec – Santé pour renforcer l’accès, l’utilisation et la valorisation des données de santé au service de la recherche.
Un arrêté publié le 5 juillet 2022 au Journal officiel détaille les critères que doivent respecter les éditeurs désireux de référencer leurs services et outils numériques dans le catalogue d’applications de l'espace numérique de santé (« Mon Espace Santé »). Ils ont trait notamment à la sécurité, à l'interopérabilité et à l'éthique.
Récemment, un confrère m’a soumis le problème suivant : en manque de personnel et après une démission, sa DSI a fait appel à une SSII pour une prestation de DBA en mode « prêt de personnel », mais ladite SSII n’est pas certifiée HDS et encore moins sur son niveau 5 (N5). Le décret 2018-137[1] énonce pourtant dans l’article R. 1111-9 que : « Est considéré comme une activité d’hébergement de données de santé à caractère personnel sur support numérique au sens du II de l’article L. 1111-8 le fait d’assurer pour le compte du responsable de traitement […] : 5° L’administration et l’exploitation du système d’information contenant les données de santé. » Si on l’applique tel quel et sans discernement, non seulement la DSI est bloquée, mais la moindre entreprise qui effectue la télémaintenance d’un progiciel de santé doit détenir la certification N5. Autant dire que l’on arrête de faire fonctionner la quasi-totalité des SI de santé puisque très peu d’entreprises cochent la case.
L’ANS se félicite de l’accélération des usages de MSSanté avec désormais quelque 85 % des établissements sanitaires raccordés, 75 % des laboratoires de biologie médicale et plus de 75 % des médecins libéraux.
Pour construire sa nouvelle feuille de route pluriannuelle 2023-2025, le Health Data Hub (HDH) a mené une consultation de 26 acteurs de l’écosystème et 4 groupes de travail, pour 46 organismes rencontrés. Présentée ensuite en conseil d’administration(1) et en assemblée générale, elle a été approuvée à l’unanimité le 9 juin dernier. Ainsi, le HDH va renforcer ses actions préexistantes autour de ses 4 axes stratégiques originels, et accélérer ses liens avec l’Europe, et les autres “hub” de santé à l’échelle régionale et locale.
Le 24 juin 2021, le ministère chargé de la Santé a publié le bilan de la feuille de route du numérique en santé 2019-2022, présenté lors du 7e Conseil du numérique en santé.
Bientôt l’été, déjà une canicule au compteur, il est temps d’un petit bilan à mi-année.
Le 20 juin, les start-up Arkhn et Owkin se sont associées à l’Inria dans le cadre du projet Oncolab afin de standardiser l’accès aux données de santé de l’IUCT-Oncopole, des instituts Curie et Bergonié ainsi que du CHU de Toulouse.
Le 15 juin, le consortium AgorIA Santé a annoncé bénéficier de la première autorisation accordée par la Cnil à un consortium d’acteurs privés pour constituer un entrepôt de données de santé (EDS) avec un système fils du SNDS (Système national de données de santé).
Comment investir efficacement pour assurer la continuité d’activité des établissements de santé ? Dans l’humain, évidemment, et dans le numérique pour accompagner l’émergence de l’hôpital du XXIe siècle.
Avec le programme de l’Union Européenne pour la santé, institué par le règlement (UE) 2021/522 (EU4Health)[1] pour la période 2021-2027, l’UE investit 5,3 milliards d’euros dans des actions présentant une valeur ajoutée européenne, qui viennent compléter les politiques menées par les pays de l’UE.
Nous n’avions pas encore eu le temps de l’évoquer, mais en avril dernier l’ANS a publié un corpus documentaire qui a fait l’objet de pas mal de discussions entre les experts du secteur : le référentiel d’identification électronique[1].
À l’occasion du Congrès National Médecine et Santé au Travail (CNMST), qui se déroule au Palais de la Musique et des Congrès à Strasbourg du 17 au 19 juin 2022, Proginov présentera son offre d’hébergement de données de santé, dont le tout nouveau service de messagerie sécurisée MSSanté.
Alors que la cybercriminalité augmente rapidement en France et dans le monde, le cloud permet de répondre facilement et sans investissements massifs aux enjeux de sécurité, de confidentialité et de disponibilité des services et des données de santé. Mathieu Jeandron, Senior Solutions Architect Manager chez Amazon Web Services (AWS), a expliqué à DSIH les atouts de cette technologie.
Mi-mai, le Health Data Hub a annoncé la publication du premier arrêté portant la liste des bases composant la base principale du catalogue du Système national des données de santé et qui contribue à l’élargissement de ce dernier à l’ensemble des données financées par la solidarité nationale.
Dans le précédent volet, les obligations des professionnels utilisant des outils d’intelligence artificielle (IA), dans le cadre d’actes de prévention, de diagnostic ou de soins, ont été présentées. L’objet du présent papier est de s’intéresser aux obligations des établissements de santé en cas de recours à un éditeur fournissant un système d’IA.
L’Europe a lancé ces dernières années différents projets dans le domaine du numérique en santé, notamment autour de l’exploitation des données. Est-ce à dire que les projets doivent maintenant être réfléchis uniquement au niveau de l’Union ? Pas forcément, ont répondu les participants à une conférence organisée par la Fédération hospitalière de France (FHF), le 18 mai à l’occasion du salon SantExpo 2022.
Dedalus a développé une solution capable d’exploiter les données de santé issues de son parc installé pour favoriser la recherche et ainsi permettre aux hôpitaux de donner plus de chances aux patients. Cette stratégie a été présentée le 19 mai lors d’une table-ronde organisée dans le cadre du salon SANTEXPO.
Cegedim Santé, éditeur de solutions et services dédiés aux professionnels de santé libéraux et Dedalus, éditeur de logiciels de soins de santé et de diagnostic à l’hôpital en Europe, multiplient les synergies entre leurs deux entités pour améliorer les parcours de soins entre la ville et l’hôpital. Dans ce cadre, le Centre Hospitalier du Centre Bretagne a choisi la solution collaborative des deux éditeurs pour étendre son accès aux patients et à la médecine de ville.
Le développement de l’interopérabilité sémantique est une priorité pour la France. Elle a récemment choisi de s’engager vers la terminologie Systematized Nomenclature of Medicine Clinical Terms (SNOMED CT), dans la dynamique européenne, visant notamment à permettre la construction du futur espace européen des données de santé, axe stratégique de la présidence française du Conseil de l'Union européenne.
La médecine s’est toujours appuyée sur les nouvelles technologies pour améliorer les diagnostics et les traitements. On assiste à présent à une explosion des données de santé qui constituent le moteur de l’innovation d’une médecine qui s’adapte dans le même temps aux contraintes de la société moderne. Médecine personnalisée et services de santé à distance progressent au prix d’infrastructures informatiques toujours plus conséquentes qui expliquent le mouvement vers le cloud des organisations de santé.
Les professionnels de santé ont chaque jour de multiples raisons d’échanger avec leurs confrères pour le suivi de leurs patients. Au sein de leur hôpital, de leur cabinet, MSP, centre de santé, CPTS, mais aussi entre différentes structures, entre la ville et l’hôpital, pour organiser les parcours de soins. Rien de nouveau dans cette pratique, si ce n’est l’utilisation croissante d’outils grand public, simples et pratiques mais non sécurisés. De ce constat est né Maiia Chat !
Amazon Web Services (AWS), la filiale du géant du web Amazon spécialisée dans les services de cloud computing, est un partenaire essentiel de nombreux acteurs de la santé en France : établissements publics et privés, laboratoires pharmaceutiques, éditeurs… A l’occasion de la venue d'AWS sur le salon Santexpo, Erick Jan-Vareschard, qui dirige les activités secteur public d’AWS en France, décrit à DSIH les atouts de son offre cloud.
Le 3 mai 2022, la Commission européenne a lancé l’Espace européen des données de santé pour les personnes et pour la science dans le cadre de la construction d’une Union européenne de la santé.
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