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Le 14 mars dernier, WELIOM assistait aux Journées nationales du numérique à l’hôpital, l’occasion de débattre du bilan du programme HOP’EN et du nouveau volet SUN-ES, en compagnie de l’ANS, de la DGOS, de l’ANAP et d’autres acteurs opérationnels.
À l’heure où les SI des pharmacies hospitalières doivent apprendre à dialoguer avec plusieurs types de dossiers patients, les solutions développées par Computer Engineering proposent une architecture informatique interopérable, offrant des possibilités de communication et de prise en charge très élargies.
Début avril, l’établissement public de santé mentale de la Somme a annoncé avoir changé de DPI en déployant Sillage, du SIB, utilisé par plusieurs établissements psychiatriques en France.
À moins d’être totalement allergique à l’informatique, il est difficile d’émettre un avis négatif sur le fait que le domaine est tout de même hyperintéressant. Innovations à tout va, concepts de haut niveau maniés à longueur de journée, sans parler des différentes couches où tout le monde peut facilement trouver chaussure à son pied. Le réseau vous branche : il y a. Le développement Objet vous fascine ? Il y a aussi. À moins que vous ne préfériez les langages fonctionnels de type Haskell ou Lisp ? Il y a encore. Les middlewares et les bases de données ? Les applications métiers et leurs liens avec les processus ? Il y a encore et encore. Bref, on peut s’y vautrer allègrement toute sa vie sans voir deux fois la même chose. Pour un technophile, c’est le nirvana total.
Quand le brillant RSSI et DPO Cédric Cartau et moi-même décrochons notre téléphone en pleine journée pour nous appeler, c’est qu’un « serpent de mer » technico-juridique nous travaille. Le dernier en date : les droits d’habilitation au Dossier Patient Informatisé (DPI), et ce, dans le contexte d’un article de presse[1] annonçant les mesures prises par l’APHP « la mise en œuvre d’un système de surveillance du mode « bris de glace » afin de contrôler et d’identifier les accès illégitimes ». Dans un premier volet, la vision technique et opérationnelle a donc été présentée[2]. Ce deuxième volet vise à présenter le cadre juridique. Que disent les textes ?
Le SEGUR Numérique s’annonce tout aussi intense en 2023 qu’il l’a été en 2022. La Vague 2 se profile à l’horizon avec l’ambition de poursuivre la généralisation du partage fluide et sécurisé des données de santé entre les Professionnels de Santé et avec les Usagers. S’il est encore un peu tôt pour se faire une idée précise des futures cibles d’usages qui seront à atteindre, du côté du SONS en revanche, les tendances de ce qui va être au programme des éditeurs s’affirment.
La news a été diffusée par plusieurs médias spécialisés : le dossier patient (DP) de Pierre Palmade à l’AP-HP a été consulté à de multiples reprises par des personnels n’ayant rien à voir avec la prise en charge médicale de l’humoriste… voire travaillant dans l’un des établissements de l’AP-HP où il n’était pas hospitalisé. Il s’agit d’un accès indu au DP (ou de curiosité malsaine en langage courant). C’est illégal et c’est puni par la loi. Cela étant, le sujet est très complexe. Décryptage.
Porté par le CHU de Toulouse, avec ses partenaires Collective Thinking et le Health Data Hub, le projet APSoReN vise à croiser les données du CHU de Toulouse avec celles du Système National de Données de Santé afin d’identifier les patients susceptibles de “décrocher” de leur parcours de soins et d’améliorer la prise en charge des 150 000 nouveaux cas de patients victimes de traumatismes crâniens recensés en France tous les ans.
Ça y est, c’est le printemps, il est largement temps de se changer les idées avec un petit quiz pas du tout orienté ni poil à gratter – pas mon genre. Une seule bonne réponse par question, on compte les points à la fin.
L’oncologie évolue notamment avec l’avènement des thérapies orales. Ce qui soulève de nouveaux enjeux pour les patients et pour l’ensemble des acteurs de sa prise en charge. Les nouvelles solutions numériques répondant aux besoins à la fois des professionnels de santé et des patients doivent assurer l’accompagnement, la coordination, la qualité et la sécurité de la prise en charge ambulatoire.
La présidente de la CNIL a rappelé à deux organismes procédant à des recherches médicales leurs obligations légales.
L’agence du numérique en santé (ANS) a organisé les 14 et 15 mars à Paris ses troisièmes Journées nationales du numérique à l’hôpital. Elles ont été l’occasion de présenter le chemin parcouru par les programmes HOP’EN et SUN-ES dédiés à la transformation numérique et la modernisation des établissements de santé.
Le Groupement des Hôpitaux de l'Institut Catholique de Lille (GHICL), quatrième acteur de santé des Hauts de France, a déployé Hopital Manager de Softway Medical en remplacement de son DPI. Le chantier a été marqué par la collaboration étroite entre les équipes de l'éditeur et du GHICL, ainsi que par l'intégration de start-ups de l'écosystème de santé.
Maincare a annoncé deux partenariats visant à renforcer son catalogue et à proposer une solution « tout intégrée ». Le premier, avec Evolucare, permettra l’intégration croisée de leurs solutions respectives Oproom et e-Venue dans leur catalogue produits. Le second concerne l’intégration dans le catalogue de Maincare de la solution de gestion des flux patients SESAME d’Atout Majeur Concept.
Maincare et Atout Majeur Concept ont signé un partenariat pour apporter une réponse complète aux enjeux des établissements et GHT en matière d’optimisation des flux patients : d’un côté la solution SESAME d’Atout Majeur Concept ; de l’autre la complémentarité de leurs expertises pour intégrer rapidement la solution dans le SIH et accompagner les établissements dans la transformation des organisations.
Evolucare et Maincare ont signé, le 03 janvier 2023, un contrat de partenariat afin de combiner leurs expertises métiers et de proposer aux établissements hospitaliers une intégration de leurs solutions respectives
Le Groupe Dedalus, principal éditeur de solutions logicielles pour la santé et le diagnostic en Europe, a dressé le 26 janvier le bilan de son année 2022, marqué par une forte croissance de son chiffre d’affaires et par la poursuite de la transformation de son organisation, à l’occasion de la journée D4Evolution 2023.
Le programme de Financement Ségur des établissements SUN-ES est organisé autour de quatre fenêtres d’atteinte des cibles d’usage. La DGOS a partagé courant décembre 2022 les résultats de la 1ère Fenêtre du programme SUN-ES (janvier - septembre 2022) pour les 879 établissements candidats. Verdict : comparé à la moyenne nationale, les établissements ayant choisi Lifen comme PFI sont proportionnellement plus nombreux à avoir atteint leurs cibles d’usages.
Composé de 4 sites utilisant différents DPI, depuis l’arrivée de son nouveau DSI, ils ont entamé une stratégie de transformation digitale de convergence axé sur l’unification d’un seul DPI sur l’ensemble du GHT afin d’améliorer son usage par les soignants. Dans ce cadre, ils ont lancé plusieurs projets pour améliorer l’expérience patient ainsi que la qualité de vie au travail des soignants.
Sur la scène internationale, le CES est l’un des événements les plus attendus de l’année pour les férus de la tech. S’y sont présentés plus de 3200 exposants (toutes catégories confondues), et parmi les 173 pays représentés : la France. Tenant une place prépondérante au sein du salon, la French Tech s’illustre fièrement en tant qu’actrice de l’innovation et notamment en matière de santé. À ce titre, c’est l’entreprise Galeon qui a su marquer les esprits.
Comment relever les défis que soulève la gestion des données de santé ? Comment aborder le cloud dans les établissements de santé et comment le numérique peut-il améliorer la qualité de vie au travail (QVT) des soignants ? Le D4Evolution de Dedalus, une 5e édition 100 % présentiel au Novotel Centre Tour Eiffel, 61 Quai de Grenelle, 75015 Paris. Rendez-vous le 26 janvier 2023 pour une journée de partage d’expériences, de rencontres et d’échanges
Le groupe Softway Medical et la medtech Posos annoncent aujourd'hui nouer un partenariat afin de permettre aux praticiens de santé de gagner du temps dans leur pratique et de réduire les erreurs de retranscription d'ordonnances. Softway Medical, le leader français de l’informatique en santé, rendra donc Posos accessible aux anesthésistes puis aux autres praticiens de santé dans leur logiciel métier Hopital Manager. Posos permet de recopier les ordonnances papier des patients directement dans le logiciel métier, sécurise la prescription, et fournit également aux médecins une aide à la décision grâce à la proposition d’alternatives thérapeutiques pour les patients.
À la date d’écriture du présent article, la phase de concertation d’un nouveau référentiel HDS (commenté dans un récent article[1]) est terminée depuis quelques jours ? Pour mémoire, ce référentiel définit les exigences de la certification s’imposant aux termes de l’article L1111-8 du Code de la santé publique à « toute personne qui héberge des données de santé à caractère personnel recueillies à l’occasion d’activités de prévention, de diagnostic, de soins ou de suivi social et médico-social, pour le compte de personnes physiques ou morales à l’origine de la production ou du recueil de ces données […] ». Dans le même temps, une version 2022 de la doctrine du numérique en santé a été mise en concertation[2] et a créé l’émoi chez ceux qui s’inquiètent de la suppression de l’exemption au régime relatif à l’hébergement de données de santé qui y figurait – sous conditions – pour les établissements d’un groupement hospitalier de territoire (GHT). L’objet du présent papier est d’éclairer le lecteur sur ce dernier sujet, du point de vue juridique d’abord, puis selon la vision opérationnelle du RSSI.
Dans un contexte d’accélération des logiques de modernisation des solutions numériques dans les établissements de santé, Maincare renforce ses actions pour faire bénéficier les utilisateurs de logiciels hospitaliers aux derniers standards technologiques, de sécurité et conformes aux exigences des programmes et référentiels nationaux.
La ville du Mans a accueilli l’Assemblée Générale du Club utilisateurs ORBIS – RESO pour cette année 2022. Cet événement majeur de la vie du Club s’est déroulé au Palais des Congrès du Mans en partenariat avec le Centre Hospitalier du Mans, en présence des équipes Dedalus France, les 22 et 23 septembre dernier.
Le CHU de Montpellier, Dedalus et l’Université de Montpellier ont annoncé le 25 octobre lors d’une conférence de presse le lancement officiel d’ERIOS (Espace de Recherche et d’Intégration des Outils numériques en Santé), un lieu d’expérimentation sur les usages des logiciels en santé faisant travailler ensemble l’industrie et les professionnels de santé.
Depuis sa genèse, le dossier patient informatisé Maincare IC ne cesse d’évoluer pour s’adapter aux besoins des professionnels de santé qui l’utilisent au quotidien dans les établissements de santé.
Softway Medical, éditeur, hébergeur et intégrateur, a conquisle marché français avec sa solution Hopital Manager, qui constituela base d’un système d’information complet. Jean-Baptiste Franceschini, son directeur marketing et communication, nous détaille les atouts de l’entreprise.
Afin de mieux répondre aux besoins actuels des utilisateurs et d’anticiper de nouveaux usages dans les établissements de santé, Maincare a mis au point mainUp, un programme pluriannuel de modernisation de ses solutions. Dans un premier temps, trois solutions ayant fait leur preuve sur le plan technique et en matière de couverture fonctionnelle sont concernées : M-GAM, M-CrossWay et Copilote.
L’imagerie médicale est, depuis plusieurs années, l’un des domaines de la médecine où la révolution numérique provoque les plus grands changements. Désormais, une large partie des solutions PACS est proposée en usage Cloud, ce qui offre de nouvelles possibilités de consultation et d’usage, au niveau des groupes de radiologues publics et libéraux, mais aussi des cliniciens et des médecins généralistes. 2 semaines après les JFR, retour sur les grandes évolutions de l’imagerie.
Aujourd'hui, les établissements de santé s’engagent sur la protection des données médicales. Ce besoin provient initialement de la nécessité de faire respecter l’éthique, de protéger les données personnelles hautement confidentielles. Pour rappel, ces données sont stockées dans le Dossier du Patient Informatisé (le DPI) et reflètent l'historique médical de chaque patient.
Le RSSI et le DPO sont souvent consultés pour des sujets bizarres, voire carrément étrangers à leur périmètre. Mais après tout, c’est le lot de pas mal de professions transverses, surtout dans le conseil.
Le 13 octobre, l’Agence du numérique en santé et la Délégation ministérielle au numérique en santé ont présenté les huit lauréats de l’édition 2022 de l’appel à projets Structures 3.0.
Les établissements de santé ont jusqu’au 30 novembre pour choisir leur plateforme d’intermédiation, afin que cette plateforme bénéficie du financement à l’équipement proposé par l’Etat (programme SONS).
Maincare accélère la modernisation de ses solutions au service des établissements et des professionnels de la santé avec son programme mainUP. Articulé autour de 6 axes, la première phase du programme porte sur trois solutions largement déployées dans les établissements : M-GAM, M-CrossWay et Copilote. Il permettra aux Clients de Maincare d’évoluer à leur rythme, en fonction de leurs besoins, vers des solutions de dernière génération en phase avec les attentes des professionnels et leurs enjeux métiers.
SOFTWAY MEDICAL,leader français des systèmes d’information en santé et SBIM, éditeur de logiciels administratifs et médico-techniques dédiés au secteur hospitalier belge et luxembourgeois annoncent leur partenariat dans le but de proposer aux marchés belge et luxembourgeois, un dossier patient Informatisé (DPI) innovant.
Dedalus est une entreprise leader du domaine des solutions logicielles pour la santé (ou HealthTech), et l’une des plus importantes entreprises de santé numérique au monde. Dedalus propose des solutions basées sur des standards ouverts, pour l’ensemble du continuum de soins.
Les données médicales constituent une exception sur pas mal d’éléments du RGPD : pas de droit à l’opposition du recueil (on excepte la question de l’anonymat), peu de droit à la rectification. Mais il est une question qui revient de temps en temps et qui concerne la question de l’effacement des données médicales d’un patient (soit tout le dossier, soit un séjour en particulier). La question est tout sauf simple, d’autant qu’il existe pas mal de cas d’usage à tiroirs. Cet article n’a pas la prétention de l’exhaustivité, juste d’illustrer une question qui paraît simple mais qui, en réalité, est protéiforme.
Ça y est, c’est fait, c’est dit, c’est écrit : il fallait bien que quelqu’un se coltine la question et vu qu’il n’y avait pas foule de volontaires, je m’y colle.
Pour accélérer ses déploiements grâce à une interopérabilité facilitée, BOTdesign s'intègre à Lifen Platform. Cette intégration lui permet d'être connectée à l’ensemble des SI hospitaliers en maintenant un seul et unique connecteur.
Le 14 juin dernier le GHT Bourgogne Méridionale a démarré la généralisation du DPI Maincare IC sur un périmètre fonctionnel large. Pour le GHT l’objectif est double : contribuer à l’amélioration de la prise en charge des patients sur tout le territoire et à celle des conditions de travail des personnels médicaux et soignants à travers une solution nouvelle génération moderne et ergonomique. Maincare IC sera mis en production sur d’autres GHT en 2022.
Bientôt l’été, déjà une canicule au compteur, il est temps d’un petit bilan à mi-année.
Après l’adoption du DPI Cerner Millennium® pour ses consultations d’anesthésie en septembre 2020 (1), le Centre hospitalier de Lens a étendu la feuille d’anesthésie numérique à l’ensemble du bloc opératoire. Une mise en œuvre qui contribue à sécuriser l’intégralité du parcours opératoire d’un patient.
Le RGPD a démarré depuis désormais cinq ans (bon, en fait sept, mais on va rester sur la version simple), et globalement les établissements de santé ont pris le problème en charge. Avec des moyens souvent réduits du reste : on observe des effectifs de demi-ETP dans certains gros CHU qui laissent un peu rêveur : mais bon, au moins il y a quelqu’un pour s’occuper du machin.
La solution de télésurveillance Moovcare s’intègre à Lifen Platform pour permettre un meilleur bénéfice patient et des interventions plus réactives des équipes médicales. Grâce à son intégration à la plateforme, Moovcare va pouvoir se déployer au sein de plus de 600 établissements.
Le Centre hospitalier de Toulouse a testé auprès d’un panel d’une centaine de médecins Dragon Medical One, la solution de reconnaissance vocale dans le cloud de Nuance. Résultat concluant comme l’a rapporté Nicolas Delaporte, directeur du système d'information et de l'organisation du CHU de Toulouse, le mercredi 18 mai dernier durant Santexpo.
Nous n’avions pas encore eu le temps de l’évoquer, mais en avril dernier l’ANS a publié un corpus documentaire qui a fait l’objet de pas mal de discussions entre les experts du secteur : le référentiel d’identification électronique[1].
Dicsit Informatique est éditeur de logiciels de gestion pour les professionnels de santé à domicile avec la gamme DOMILINK. Leader sur le secteur de l’hospitalisation à domicile (HAD) avec 160 établissements équipés de la solution DOMILINK HAD (anciennement antHADine.net), c’est le 1er Dossier Patient Informatisé spécialisé pour les HAD à obtenir le référencement SEGUR sur les 3 DSR (Dossier de Spécifications de Référencement) du couloir hôpital : DPI (Dossier Patient informatisé), PFI (Plateforme d’Intermédiation) et RI (Référentiel d’Identité).
À l’origine chaque année de 10 000 à 30 000 décès(1) et 85 000 à 180 000 hospitalisations(2) en France, la iatrogénie médicamenteuse représente une réelle problématique de santé publique. Pourtant, 50% de ces hospitalisations¹ et 1,2 milliards d'€/an de surcoût lié aux effets indésirables médicamenteux² sont évitables. D’où la mission de Synapse Medicine, start-up fondée par des médecins, de lutter contre cette problématique de santé publique.
Avec l’évolution des technologies, l’omniprésence des NTIC à l’hôpital et dans la médecine de ville, le risque induit par le numérique a considérablement augmenté. Il s’est diffusé progressivement à l’ensemble des utilisations autour des soins, indépendamment du lieu et du rôle de l’acteur de santé.
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