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Le 12 janvier 2021, le GIP SILPC obtient la certification HDS et ISO 27001:2013 pour les activités d’hébergement et d'infogérance d'applications et de services fournis aux adhérents et clients. Cette étape clé confirme son ambition de développement dans l’intégration digitale, l’édition numérique et le service manager et cloud.
Les Jeudis du Numérique de DSIH, le 25 février 2021 de 11h00 à 12h00 sur www.dsih.fr. Un webinaire de 60 minutes animé par Xavier VALLIN, de DSIH Conseil.
Alors que le CERT-FR de l’ANSSI vient de publier son rapport annuel sur l’état de la menace rançongiciels à l’encontre des entreprises et institutions [1], un excellent document de synthèse à conserver dans sa « PDFthèque SSI ». On notera une augmentation de 255 % des signalements d’attaques par rançongiciel en 2020, par rapport à 2019. Un paragraphe sur le secteur de la santé qui rappelle notamment que le rançongiciel Ryuk le cible particulièrement, et qu’il serait responsable de près de 75 % des attaques de ce type ayant été subies par les établissements de santé américains. En France aussi, il a pas mal frappé et pourrait bien revenir à la charge en mettant le « Bazar » dans nos SI. Vous pouvez retrouvez d’autres informations sur Ryuk dans une tribune d’il y a quelques mois [2].
WELIOM annonce l’ouverture de son capital à Bpifrance. A travers cette levée de fonds, la société, dont la taille a doublé en 2 ans, va poursuivre la mise en œuvre d’une stratégie ambitieuse pour répondre aux enjeux de l’écosystème de santé, secteur très porteur, bien que fortement impacté par la crise sanitaire de la Covid-19.
Le secteur du médico-social fait face à d’importants défis : d’ordres démographique (en lien avec le grand âge), organisationnel (parcours de santé), technologique (progrès médical), sociétal (relation du patient au soin et place accrue du domicile) et enfin financier (maîtrise des dépenses de santé).
En appui du programme MaSanté2022, NEHS DIGITAL et Tessi ont choisi de nouer un partenariat technologique et commercial afin de proposer une offre combinée et différenciante, dédiée à la digitalisation du parcours de soins patient. L’objectif ? Faciliter l’accès aux soins du patient et simplifier le partage d’information pour chaque usager : patient, médecin prescripteur et professionnel de santé, et proposer une offre complète en réponse aux enjeux des établissements.
Après le « cas contact », la notion de personne « co-exposée » a fait son apparition dans un décret publié au Journal Officiel le 21 janvier dernier.
Le RSSI a pour mission d’identifier des objectifs de sécurité du SI puis de mettre en œuvre les moyens nécessaires pour les atteindre. C’est la définition même d’une Politique de Sécurité des Systèmes d’Information. Pour qu’elle soit efficiente, la PSSI doit présenter des objectifs SMART (#qualité) : Spécifiques, Mesurables, Atteignables, Réalisables et Temporellement définis. Le RSSI s’appuie alors sur un référentiel existant (ISO 27001, PGSSI-S, PSSI-MCAS etc.) puis réalise et tient à jour une analyse des risques SI ainsi qu’un plan de traitement des risques.
Pour sa 3ème édition, en raison du contexte sanitaire, le D4 Evolution des 28 et 29 janvier 2021 est organisé totalement en ligne, sur une plateforme virtuelle. Les participants naviguent entre auditorium de plénières et salles de workshop tout en organisant des échanges de networking entre les sessions.
Le rapport annuel sur les expérimentations innovantes en santé montre un renforcement de l’innovation et une montée en capacité des acteurs de santé dans le contexte de la crise sanitaire.
En cas de situation de crise exceptionnelle telle que nous la vivons aujourd’hui, les lits de tous les établissements de santé sont à flux tendus. Pour gérer l’afflux de patients, le personnel soignant doit veiller à la disponibilité de ses lits chauds (réanimations, soins intensifs…).
Nuance Communications, spécialiste de l’IA conversationnelle, communique autant avec les établissements de santé qu’avec les éditeurs partenaires d’applications cliniques qui embarquent sa solution Dragon Medical One. Pierre Meyblum, directeur international des partenariats DPI Nuance Healthcare, nous explique comment ce service Cloud accompagne l’accélération numérique des établissements.
En novembre dernier paraissait l’instruction aux ARS leur fournissant le cadre de la phase d’amorçage du programme ESMS numérique [1]. Au mois de décembre, Myriam Danyach, directrice du programme à la CNSA, nous éclairait sur les détails du programme [2]. La prochaine échéance concerne l’ouverture effective de l’appel à projets par les ARS.
Le groupement de coopération sanitaire (GCS) Sesan devient un groupement d’intérêt public (GIP) et désigne une nouvelle directrice. Ce changement de statut répond à la volonté de renforcer le rôle du Sesan dans le développement régional de l’e-santé et d’élargir le champ de ses missions.
Fondée par des ingénieurs et des médecins, Maela, acteur de la e-santé et référent de la télésurveillance médicale, vient de conclure une levée de fonds de plus de 2 millions d’euros.
À l’écoute de ses adhérents, l’AFCDP a souhaité partager trois retours d’expérience de DPO qui ont relevé des défis différents liés au premier confinement de la crise COVID. Ci-dessous, le témoignage de Moufid Hajjar, Délégué à la protection des données au CHU de Bordeaux.
Fort de la proximité avec les professionnels et les établissements de santé et du social depuis plus de 60 ans, la Mutuelle Nationale des Hospitaliers et sa filiale NEHS DIGITAL se mobilisent et s’engagent une fois encore aux côtés des soignants pour faire face à la crise sanitaire.
L’Institut Godinot, centre de lutte contre le cancer de Champagne-Ardenne, et Pulsy se sont associés pour proposer un suivi en oncologie par téléconsultation. Ici, encore plus qu’ailleurs, mettre en place une solution de télémédecine pour la discipline particulière qu’est la cancérologie prend tout son sens. Retour sur une année de pratique à distance, au service des patients.
Le niveau de confidentialité de la prescription de statines de ma grand-mère de 93 ans doit-il être le même que celui du compte rendu opératoire de la tumeur cérébrale de mon oncle de 52 ans ? Cette interrogation relève-t-elle du domaine éthique, philosophique juridique ? Le sujet est important car, à ce jour, rien ne les différencie. Les données de santé à caractère personnel des Français sont classées ultrasensibles, sans aucune hiérarchie. Ainsi, un Ehpad est soumis à la même réglementation qu’un centre hospitalo-universitaire, dont principalement le règlement général sur la protection des données (dit RGPD), qui oblige le responsable de traitement, c’est-à-dire le directeur ou la directrice, à mettre en œuvre toutes les mesures de sécurité requises adaptées à la sensibilité du traitement.
Dedalus, leader européen dans l’édition et l’intégration de solutions numériques pour le monde de la santé, signe un accord industriel avec PetalMD, éditeur canadien de solutions innovantes dans le domaine de la planification et du pilotage de l’offre de soins, pour aider les établissements de santé à optimiser leur efficacité et à faciliter l’accès aux soins.
L’Association française des ingénieurs biomédicaux a présenté ses recommandations pour améliorer la sécurité numérique des équipements biomédicaux lors d’un webinaire le 15 décembre dernier.
C’est une véritable bombe qui a été lâchée sur la communauté du libre le 8 décembre dernier ! Le pingouin a pris du plomb dans l’aile. Alors que sa fin de vie avait initialement été annoncée pour le 31/12/2029, CentOS 8 voit sa fin de vie avancée au 31/12/2021 ! [1]
Chaque année, un tiers des événements indésirables graves est imputable au médicament. La réponse : le dispositif MEDISIS, porté par le Centre Hospitalier de Lunéville avec le soutien de l’ARS(1) Grand Est et des URPS(2) des médecins libéraux et pharmaciens du Grand Est. Il assure la sécurité de la prise en charge médicamenteuse des séniors. Expérimenté sur le territoire lunévillois, le projet vient d’obtenir un avis favorable du Comité technique de l’innovation en santé pour une expérimentation dans le cadre de l’Article 51(3) ; elle se conduira dans la région durant deux ans et demi. Partenaire de MEDISIS, Pulsy met à disposition son service de télémédecine Odys® pour assurer le suivi des patients à domicile.
Premier acteur public du numérique en santé, MiPih est le leader en informatique hospitalière. Fort de la confiance numérique instaurée avec ses 625 adhérents, MiPih met à disposition des décideurs publics et de l'ensemble des acteurs de santé, une offre de dématérialisation, de signature électronique, d'archivage électronique et de coffre-fort numérique, avec un accompagnement sur mesure.
Calendrier du programme, impacts sur les DSI hospitalières et les éditeurs, choix du DUI, AMOA : entretien à 360° avec Myriam Danyach-Deschamps, directrice du programme ESMS numérique à la Direction des établissements et services médico-sociaux – Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA).
Comment fluidifier et hiérarchiser les communications dans les établissements de santé pour les rendre plus efficaces ? Comment assurer des échanges conformes au règlement général sur la protection des données ? Face à ces enjeux de transformation des usages et de protection des données de santé, le groupe d’hospitalisation privée Vivalto Santé mise sur l’application Quarness de Dedalus.
Fort de ses 15 années d’expérience dans le domaine de la dictée numérique et de la reconnaissance vocale, Zenidoc franchit un cap en annonçant son propre moteur de reconnaissance vocale 100 % français, ZenReco, développé en collaboration avec le Laboratoire informatique d’Avignon.
Syntec Numérique et KPMG France viennent de publier le rapport préliminaire de l’étude Grand Angle ESN & ICT qui propose un premier éclairage sur les impacts directs de la crise liée à la Covid-19 (1). Le classement 2020 des ESN & ICT, par volume de chiffre d’affaires, est également présenté en avant-première. Entretien avec Pierre-Yves André, PDG de WELIOM, cabinet de conseil et de services nantais dédié au secteur de la santé, qui fait une entrée remarquée dans l’édition 2020 de ce classement.
1,4 milliard d’euros, c’est la somme prévue lors du Ségur de la santé pour assurer le rattrapage du retard du numérique en santé. Cette annonce conforte la stratégie de Philips qui a anticipé le virage numérique depuis plusieurs années. Entretien avec Pascal Dussert, directeur marketing et vente de la division Connected Care chez Philips, et Antonin Marcault, directeur de l’activité informatique de santé chez Philips.
L’expérience patient est un enjeu essentiel pour les établissements de santé, soucieux de construire une relation hôpital-patient durable. Des services et solutions numériques existent pour améliorer la qualité de la prise en charge médicale et la coordination du parcours de santé.
AKLIA, spécialiste de l’accueil et du confort des patients lors de leurs hospitalisations dans un établissement de santé et TAKTIK qui développe des plateformes logicielles uniques et possède une expertise technologique de pointe annoncent la conclusion d’un partenariat stratégique innovant. Cet accord vise à proposer une offre différenciante de communication digitale, de divertissement et de e-hospitalité aux patients présents dans les 500 établissements de santé dans lesquels AKLIA est présent.
Depuis 5 ans, Lifen facilite la coordination médicale et l’accès aux données pour l’ensemble des soignants. Aujourd’hui, nous voulons aller plus loin en aidant les professionnels de santé à soigner mieux en soignant ensemble. Pour concrétiser cette promesse, nous lançons aujourd’hui le projet Soigner Ensemble qui doit offrir à tous les soignants une prise en main rapide des solutions de e-santé pertinentes pour leurs pratiques, tout en les rendant interopérables avec leurs outils actuels.
Dans une décision rendue le 25 novembre, le Conseil d’État annule le décret du 26 décembre 2018 relatif aux départements d’information médicale pour absence de mesures de protection techniques et organisationnelles des données identifiantes des patients.
Les couloirs de cet immeuble moderne proche de la gare Montparnasse bruissent d’une agitation inhabituelle. On voit plusieurs personnes courir d’un bureau à l’autre. Entre les mains des protagonistes circule un document, témoin passant entre les coureurs d’une équipe de relais. Le document finit sa course sur le bureau de la patronne qui y jette une dernière fois un regard aiguisé.
La mobilité fait progressivement son entrée dans le monde de la santé. Afin d’aider les établissements à assurer la transition vers de nouveaux usages, Dedalus a élargi son offre avec l’initiative Mobilité.
Dans le cadre de la crise de la Covid-19, la DGS recommande aux établissements, comme au ARS, le recours à la télé-expertise dans cinq spécialités.
Dedalus France, après l’acquisition de Medasys puis d’Agfa HealthCare IT, poursuit le déploiement de sa stratégie D4 qui devient D4U, pour prendre en considération le module Full Web Orbis U. Comment cette stratégie D4U répond-elle aux enjeux de convergence, au programme Ma santé 2022 et au Ségur de la santé ? Entretien avec Frédéric Vaillant, CEO de Dedalus France.
Le secteur de la santé a été pionnier dans l'intégration de nouvelles technologies dans ses procédures opérationnelles, or celles-ci ont toutes comme point commun une dépendance totale au réseau d'entreprise pour fonctionner. Tout à coup, sont apparus sur le marché un flot de dispositifs médicaux devant désormais être connectés au réseau, tels que des appareils de transfusion, des analyseurs de gaz du sang, des systèmes de télémétrie, des appareils à rayons X portatifs, des appareils à ultrasons, et ainsi de suite.
La France comble petit à petit son retard sur le taux de chirurgie ambulatoire. S’il était limité à 58,5 %[1] en 2019, l’objectif est de le porter à 70 % en 2022. Largement plébiscité par les patients et leurs familles, ce mode de prise en charge présente de nombreux avantages : taux de satisfaction élevé, récupération plus rapide, mais aussi diminution des coûts. En raccourcissant le temps de séjour, il contribue également à réduire les infections nosocomiales contractées par les patients dans un établissement de santé. C’est là que le Covid-19 se présente comme un allié de l’ambulatoire.
L’attention portée à l’utilisation des données de santé à caractère personnel n’est pas nouvelle en France. La loi du 4 mars 2002, relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé, posait déjà un principe fort de protection de ces données. Près de 20 ans après, et malgré l’entrée en application récente du règlement général sur la protection des données de santé, les atteintes à la règle restent légion. Un constat qui a conduit à la publication d’un livre blanc par Doshas Consulting, cabinet de conseil indépendant spécialisé dans la transformation numérique de la santé.
Depuis le début de la crise sanitaire, l’ARS Île-de-France a missionné SESAN pour apporter un soutien numérique à l’ensemble des structures, professionnels de ville et acteurs du médico-social franciliens autour de cinq axes :
L’importance de l’imagerie dans la pose d’un diagnostic médical n’est plus à démontrer. Depuis le 1er trimestre 2020, la quinzaine de structures du GIE Imagerie Callot(1) en Lorraine et le Groupe hospitalier de la région de Mulhouse et Sud-Alsace (GHRMSA) utilisent le service e-mage porté par Pulsy. Avec le consentement du patient, les données d’imagerie médicale produites sont désormais partagées sur e-mage de manière sécurisée avec les professionnels de santé autorisés et les patients. Zoom sur une plateforme mutualisée, au service du patient.
Quelques jours après la parution des derniers référentiels d’Identitovigilance et guides d’implémentation par l’Agence du Numérique en Santé (ANS), Maincare Solutions a obtenu le 2 novembre dernier l’autorisation Identifiant National de Santé intégré (INSi) 02.00 pour son logiciel de gestion administrative du patient M-GAM (v 8.2.5R7.0).
Pulsy, groupement régional d’appui au développement de la e-santé, vient d’obtenir la certification d’hébergeur de données de santé (HDS), attestant de la sécurité, la performance et la fiabilité de ses services. Fruit d’un travail collectif de 18 mois, l’obtention de cette certification confirme la position de Pulsy comme tiers de confiance numérique dans le Grand Est.
Après un retour fracassant en compromettant fin septembre le système d’information d’UHS (Universal Health Services) [1], une chaîne de 400 établissements de santé et le SI du géant de l’IT français, Sopra Steria le 20 octobre [2], le rançongiciel Ryuk ciblerait à nouveau le secteur de la santé d’après une alerte émise conjointement par le CISA (« l’ANSSI américaine »), le FBI et le HHS (« Ministère américain de la santé ») [3].
Dans un contexte de transformation organisationnelle majeure, le SIB - acteur public du numérique au service de la santé et des collectivités - a validé la mise en place de son nouveau conseil d’administration et procédé à l’élection de son nouveau président Saber Aloui.
C’est autour des parcours de soins coordonnés que gravitent une grande partie des enjeux du SI de Santé dans les années à venir. Comment cette orientation majeure va-t-elle impacter la stratégie des directions des services numériques ? Où vont-elles devoir positionner leurs efforts ?
PHAST, entreprise de services du numérique experte en interopérabilité sémantique, élargit son offre pour accompagner les éditeurs et établissements de santé dans la gestion de leurs ressources sémantiques.
Dedalus, leader européen dans l’édition et l’intégration de solutions numériques pour le monde de la santé, signe un accord industriel avec DeepOR, start-up française, pionnière dans le domaine du traitement du langage naturel médical pour équiper l’hôpital d’un assistant vocal intelligent.
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