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En dix ans, le Salon HIT[1] s’est imposé comme le salon professionnel leader européen de l’IT appliquée à la santé. Il accueillera cette année 270 exposants, soit 12 % de plus qu’en 2016. Son programme est construit autour de trois jours de conférences, d’ateliers, d’animations et de deux villages thématiques dédiés aux nouvelles technologies, à l’IT, aux systèmes d’information et à la santé numérique.
Acteur moteur de la filière gériatrique en Essonne, l’Hôpital privé gériatrique Les Magnolias (HPGM) se montre régulièrement force de proposition dans l’évolution des pratiques et des organisations. Trois ans après le lancement de son programme TMG 91, sa directrice est convaincue des effets bénéfiques de la télémédecine sur l’offre et la qualité des soins.
Evénement majeur des technologies et systèmes d’information appliquées à la santé, le salon HIT 2016 se déroulera du 24 au 26 mai à Paris Expo, porte de Versailles, dans le cadre de la Paris Healthcare Week. Ce salon concernera autant les professionnels du monde hospitalier que ceux du médico-social. Il est organisé autour d’un espace d’exposition accueillant 250 exposants.
Fort de son expertise dans le secteur de la télésanté depuis plus de dix ans, le Dr Jean-Michel Souclier, directeur général de H2AD, explique comment sa société peut contribuer aux innovations organisationnelles (parcours de soins, télésurveillance) auxquelles se préparent les acteurs les plus divers, des établissements hospitaliers aux mutuelles et autres assureurs. Entretien.
Plateau de régulation médicale opérationnel depuis plus de 10 ans, Dossier patient participatif, hébergement sécurisé des données et traçabilité des actions, dispositifs médicaux connectés, protocoles adaptés… la société de télémédecine H2AD a développé une palette de services qui permet d’optimiser la prise en charge des résidents en EHPAD et, surtout, de sécuriser la veille de nuit.
Entretien avec Nathalie de La Villemarqué, présidente du directoire
Entretien avec le Dr Yannick Neuder, Chef du pôle thorax et vaisseaux, CHU de Grenoble
Comment éviter les recours aux services d’urgences, toujours stressants pour les résidents d’EHPAD ? Avec l’appui d’une plateforme de médecins régulateurs qui disposent des données de santé, l’organisation de la permanence des soins permet d’adapter les interventions, pour la plus grande satisfaction des personnels et des patients. Témoignage.
L’association Projets Innovants en Cardiologie pour le Poitou-Charentes (PIC) a mené une étude de faisabilité pour préparer le terrain à une généralisation du télé suivi des patients insuffisants cardiaques. Son président, le Dr Benoit Lequeux, en expose les enseignements.
La mise en place d’un système de télésurveillance pour les patients en insuffisance cardiaque, débuté en juin, est désormais en phase opérationnelle avec le recrutement de 40 patients. La première étape consiste à tester sur tous ces patients le système choisi.
Selon les analystes de Berg Insight, à la fin de l’année 2011, 2,2 millions de patients étaient utilisateurs de dispositifs médicaux connectés pour le suivi de leur état de santé à domicile. L’étude du marché mondial par la société de Business intelligence spécialisée dans l’industrie des télécoms montre que les systèmes de monitoring en santé vont croître de 18% d’ici à 2016 et que le nombre de dispositifs communicants augmentera de 34,6%.
« L’hôpital se doit d’être un acteur hors les murs », déclarait Jean Debeaupuis au Dauphiné Libéré début avril dernier. Le nouveau patron de la Direction générale de l’offre de soins (DGOS), qui s’installe à son poste ce 1er octobre, participait alors, dans ses fonctions de directeur général du CHU de Grenoble, au lancement d’une vaste expérimentation de télésanté.
Hospitadom – c’est le nom du projet de télésanté inauguré par le CH de Moulins-Yzeure – vise dans un premier temps à mettre en place un système de télésurveillance médicale pour accompagner les patients atteints d'insuffisance respiratoire chronique à la sortie d’une hospitalisation.
Si sur le volet économique les trois lettres « AAA » sont désormais familières auprès de nos concitoyens, en matière de sécurité sanitaire le « Triple R » pourrait occuper durablement la scène médiatique.R pour Risque. L’actualité s’est en effet largement faite l’écho des risques encourus avec le médicament, en dévoilant le drame qui a frappé des milliers de patients en 2011. Les feux des projecteurs se sont ensuite déplacés sur le risque lié aux dispositifs médicaux, avec le récent scandale soulevé par les prothèses mammaires défectueuses. Un troisième risque, bien identifié, porte sur la qualité des données de santé gérées par les logiciels spécialisés.
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