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Voici une nouvelle rubrique dans DSIH, que j’assumerai au gré de mes envies, de mes coups de foudre ou de mes coups de gueule. Bref, des articles de parti pris, présentant une innovation, critiquant une orientation, challengeant tel ou tel acteur du monde de la santé. En toute bonne foi, enfin la plupart du temps… Bien sûr, cela tournera autour de l’innovation, de l’IT, de l’organisation, de la finance. Des choses que j’aime, du moins quand elles sont bien faites.
La France comble petit à petit son retard sur le taux de chirurgie ambulatoire. S’il était limité à 58,5 %[1] en 2019, l’objectif est de le porter à 70 % en 2022. Largement plébiscité par les patients et leurs familles, ce mode de prise en charge présente de nombreux avantages : taux de satisfaction élevé, récupération plus rapide, mais aussi diminution des coûts. En raccourcissant le temps de séjour, il contribue également à réduire les infections nosocomiales contractées par les patients dans un établissement de santé. C’est là que le Covid-19 se présente comme un allié de l’ambulatoire.
L’importance de l’imagerie dans la pose d’un diagnostic médical n’est plus à démontrer. Depuis le 1er trimestre 2020, la quinzaine de structures du GIE Imagerie Callot(1) en Lorraine et le Groupe hospitalier de la région de Mulhouse et Sud-Alsace (GHRMSA) utilisent le service e-mage porté par Pulsy. Avec le consentement du patient, les données d’imagerie médicale produites sont désormais partagées sur e-mage de manière sécurisée avec les professionnels de santé autorisés et les patients. Zoom sur une plateforme mutualisée, au service du patient.
Depuis 2011, l’ensemble des sites du centre hospitalier des Quatre Villes (CH4V), établissement support du groupement hospitalier de territoire des Hauts-de-Seine (92), bénéficie du dossier patient informatisé Orbis de Dedalus. C’est ce DPI multi-entités juridiques qui a été retenu pour assurer la convergence du système d’information du GHT.
Le Centre Hospitalier de Valenciennes déploie la solution BPOC de Cerner Millennium®, outil intégré de Cerner pour gérer et sécuriser l’administration des médicaments par lecture de code-barres. Il s’agit du premier client de l’éditeur en France à mettre en place cette solution.
Dans un contexte de transformation organisationnelle majeure, le SIB - acteur public du numérique au service de la santé et des collectivités - a validé la mise en place de son nouveau conseil d’administration et procédé à l’élection de son nouveau président Saber Aloui.
DXCare, le dossier patient informatisé de Dedalus, et Hexagone, le logiciel de gestion des données d’Agfa qui a rejoint Dedalus en 2020, sont en place depuis 2003 au Centre hospitalier de Cahors, l’établissement support du groupement hospitalier de territoire du Lot[1]. Ces deux solutions multi-entités juridiques vont progressivement être étendues à l’ensemble du GHT.
Depuis septembre 2020, les consultations d’anesthésie pédiatriques et pour adultes du centre hospitalier de Lens bénéficient de l’intégration du dossier d’anesthésie de Cerner. L’établissement support du GHT de l’Artois poursuit ainsi sa route vers le « zéro papier ».
L’épisode le plus critique de l’épidémie de Covid-19 passé, les entreprises ont repris progressivement leurs activités à la sortie du printemps. DSIH a voulu savoir comment les éditeurs de solutions numériques de santé avaient géré cette période sans précédent et quelle était leur vision de l’après-Covid. Entretien avec Frédéric Vaillant, directeur général de Dedalus France.
Le CHU de Limoges, établissement support du groupement hospitalier de territoire du Limousin, s’est rapproché de Maincare Solutions pour mener des projets d’informatisation en lien avec le schéma directeur du système d’information du GHT, dont la création d’un réseau de périnatalité.
Avec VIDAL Sentinel, les pharmaciens du CHR de Metz-Thionville ont désormais à disposition un outil d’aide à la décision qui prend en compte, outre les médicaments à risque, les facteurs biologiques. Michaël De Block, DSI de cet établissement, nous éclaire sur cette solution optimisée par l’établissement et générant des alertes non polluantes pour améliorer la sécurité du parcours médicamenteux.
L’Agence du Numérique en Santé a annoncé fin septembre l’accélération du déploiement de l’Identité « Identifiant National de Santé » (INS). Afin d’accompagner l’engagement des acteurs vers des soins mieux connectés, DSIH organise un Webinaire de partage d’expérience le 15 octobre 2020 avec le retour d'expérience de Frédéric André, DSI du C.H. de Valenciennes et la contribution de Xavier Augay, directeur de la société icanopée, éditeur expert de l'interopérabilité DMP et santé.
Un webinaire de 60 minutes animé par Xavier Vallin, animateur expert pour DSIH, le 15 octobre 2020 de 10h30 à 11h30 sur www.dsih.fr.Avec le retour d'expérience de Frédéric André, DSI du C.H. de Valenciennes et la contribution de Xavier Augay, directeur de la société icanopée, éditeur expert de l'interopérabilité DMP et santé
Organisé autour du centre hospitalier intercommunal de Toulon – La Seyne-sur-Mer, son établissement support, le GHT du Var poursuit le déploiement de son dossier patient Orbis déjà présent sur cinq de ses huit établissements1. Prochaine étape : le centre hospitalier d’Hyères.
Le centre hospitalier (CH) de Rambouillet a lancé une stratégie de développement de ses activités, l’objectif étant à la fois de réduire le délai de remise des comptes rendus et de conserver des coûts de structure identiques. Pour ce faire, l’établissement a retenu, Dragon Medical One de Nuance, la nouvelle solution de reconnaissance vocale médicale dans le Cloud. Retour sur une « success story » avec Marie-Françoise Gourrin, RSI du CH de Rambouillet.
Le déploiement de l’identité ‘INS’ dans les services numériques en santé se concrétise dans la perspective de l’échéance du 1er janvier 2021 fixée par décret1. La généralisation de cette identité (matricule INS et cinq traits d’identité de référence) est essentielle pour la réussite du partage de l’information médicale en toute sécurité et en confiance, en renforcant l’interopérabilité et l’identitovigilance. En parallèle des premiers usages enregistrés en production, les éditeurs de services numériques en santé se mobilisent pour être compatibles dans les plus brefs délais.
Après avoir déployé les fondations du système d’information de territoire en novembre 2019 puis démarré le service pilote en janvier 2020, le GHT Armor a lancé début juin la généralisation du DPI aXigate dans les différents établissements du territoire.
Pulsy, le CHRU de Nancy et le Groupe Pharmagest : 3 structures au service des acteurs de santé
Le GHT du Centre Bretagne, composé des centres hospitaliers du Centre Bretagne et de Guémené-sur-Scorff ainsi que de la maison d’accueil spécialisée de Guémené-sur-Scorff, a fait le choix de LockTransfer, solution de chiffrement de l’éditeur français LockSelf, pour sécuriser le partage de données avec les acteurs non éligibles aux messageries sécurisées de santé participant aux parcours de soins des patients et des résidents.
Il est parfois difficile de décrire la gravité de la situation lors d’un appel téléphonique au 15. Depuis quelques mois, le SAMU 54 (CHRU de Nancy) utilise VisioSAMU afin obtenir des compléments visuels si nécessaires lors d’un appel en vue d’un diagnostic et d’une décision de prise en charge médicale. Ce projet de régulation grand public vise à proposer au SAMU une solution de visioconférence permettant d’envoyer une invitation simple et instantanée à la personne appelant le 15, de façon sécurisée. Une solution innovante et aidante pour les régulateurs médicaux.
La commission Smart Hospital publie un livret afin de souligner le potentiel du numérique à l’hôpital. Ce thema est préalable à la production d’un cadre de référence à venir, le ReadytoServices (R2S) for Care, outil de l’écosystème de la construction hospitalière.
Créée en 2016 par le Dr Arnaud Rosier, la plateforme Implicity pour la télésurveillance des dispositifs électroniques cardiaques implantables permet d’améliorer la prise en charge des patients souffrant de troubles du rythme cardiaque et d’optimiser l’activité de télésuivi des centres médicaux. Elle est notamment utilisée dans l’unité de rythmologie du service de cardiologie du CHU Grenoble-Alpes.
2020 a marqué un profond tournant dans les échanges entre les professionnels de santé et leurs patients.
L’acteur public du numérique en santé et leader en informatique hospitalière a nommé Mostafa LASSIK directeur général du MiPih, à l’issue du conseil d’administration du vendredi 10 juillet dernier. A compter du 7 août, il succède ainsi à Pierre MAGGIONI qui occupait ces fonctions depuis 1997.
Engagé depuis plusieurs années dans une démarche de transformation digitale, avec la dématérialisation complète de ses courriers médicaux, le CHU de Rennes vient de franchir une nouvelle étape vers sa stratégie « zéro papier ».
Le projet “Precision Predict” a été nommé lauréat de l’appel à projets “L’IA pour une expérience améliorée du système de santé” du Health Data Hub (HDH). Il est le fruit d’une collaboration de cliniciens et de chercheurs de neuf Centres de lutte contre le cancer (CLCC), pour mieux comprendre l’hétérogénéité de réponse des cancers bronchiques aux thérapies ciblées. Cette réussite a été possible grâce à l’utilisation de Consore, le moteur de recherche pour le Big data en cancérologie, développé par Unicancer.
Très impliqué dans l’ensemble des dispositifs du programme Simphonie, Maincare Solutions est aujourd’hui le premier éditeur autorisé par le CNDA pour le dispositif CDRi appel par lot. Cette certification vient confirmer l’excellence de la solution M-GAM de Maincare Solutions qui équipe aujourd’hui plus de 110 établissements.
L’épisode le plus critique de l’épidémie liée au nouveau coronavirus s’éloigne. Les entreprises ont repris progressivement leurs activités. DSIH a voulu savoir comment les éditeurs de solutions numériques de santé avaient géré cette période sans précédent. Il nous a paru également intéressant de les interroger sur leur vision de l’après-Covid. Entretien avec Philippe Blanco, directeur général d’Evolucare.
Même si la région Bretagne n’a pas été la plus durement touchée par la pandémie du Covid-19, les établissements ont dû faire face. La direction des systèmes d’information du Groupe hospitalier Bretagne Sud qui compte neuf établissements répartis entre le Morbihan et le Finistère a pris le parti de gérer cette épidémie en mode projet.
Les Centres Hospitaliers de Saint-Lô et Coutances franchissent un nouveau pas dans la transformation digitale de leurs processus RH en démarrant le déploiement du logiciel Vieviewer RH, une interface web inédite pour visualiser tout ou partie du dossier des professionnels sous la forme d’une ligne de vie chronologique.
L’ARS, avec l’appui du Gcs Sara, met à disposition des professionnels de santé un service de télésuivi. Développé dans le cadre du Covid-19, cet outil permet de faciliter le suivi médical des patients atteints du Covid-19 isolés à domicile et aussi celui des personnes contacts. Ce nouvel outil spécialement créé et adapté à la situation épidémique actuelle vient compléter le bouquet de services numériques régional à disposition des professionnels et établissements de santé, incluant notamment un service de téléconsultation et un portail patient.
L’éditeur de logiciels hospitaliers MiPih reçoit en juin l’autorisation Identifiant National de Santé intégré (INSi) pour son logiciel de Gestion Administrative du Patient (GAP), Pastel. Une première pour un éditeur e-santé d’envergure nationale.
La crise du Sars-Cov-2 a vu fleurir les propositions de solutions de téléconsultation, pour les médecins de ville et hospitaliers. De nombreux éditeurs, afin d’aider les établissements de santé à assurer le suivi des patients Covid et non Covid, ont offert la gratuité d’utilisation de leurs services le temps de l’épidémie. Mais ces intégrations à la hâte ont-elles été faites dans les règles de l’art ? Contractualisation, respect du RGPD, audit de sécurité…, Didier Ambroise, associé fondateur du cabinet Doshas Consulting, spécialiste de la transformation numérique des acteurs de la santé, fait le point alors que se profile la fin de l’état d’urgence sanitaire.
Le 18 juin, à 18 h 30, la société AMA, qui développe une solution de lunettes connectées, organise un webinaire sur l’apport de la vidéotransmission dans la régulation médicale.
L’épidémie de Covid-19 aura mis en lumière l’importance du numérique dans la gestion de la crise. Tout le monde a désormais en tête l’exemple de la téléconsultation. DSIH s’est intéressé à la manière dont les acteurs des systèmes d’information hospitaliers ont composé avec l’urgence pour rendre disponibles des solutions permettant aux établissements de santé de maintenir le continuum des soins, pour des patients Covid et non Covid.
Solution innovante du groupe MEDISYS, mobiServ propose une traçabilité digitale des prestations de nettoyage et d’entretiens. Chaque agent/ASH est doté d’un terminal mobile pour valider ses interventions dans les différentes zones concernées (parties communes de l’hôpital ou EHPAD, chambres des patients, blocs opératoires…). Il peut consulter à tout moment de son intervention les protocoles liés à la charte sanitaire de l’établissement ou réglementation COVID19. L’encadrant (cadre de santé, gouvernante, IDE hygiéniste…) reçoit en temps réel les données saisies par l’agent sur un portail de suivi d’activité. Il peut également générer des missions auprès des ASH et du service maintenance.
Pour muscler la sécurité de son système d’information, le centre hospitalier Alpes-Isère s’est engagé depuis plusieurs années dans un alignement sur la norme ISO 27002. Un engagement qui a facilité les gestes barrières numériques pour protéger le SIH pendant la crise du Covid-19 marquée par un fort recours au télétravail.
Après avoir équipé le site référent du GHT Oise Ouest et Vexin de Beauvais, et ses hôpitaux de Grandvilliers et de Crèvecoeur-le-Grand, le centre hospitalier de Clermont-de-l’Oise vient de déployer le dossier patient informatisé DxCare de Dedalus. Un challenge, en plein COVID.
Unicancer et Bristol Myers Squibb annoncent la signature d’un partenariat scientifique visant à mieux comprendre la prise en charge des patients à partir de leurs plateformes de données en vie réelle : ESME « cancer broncho-pulmonaire » d’Unicancer et I-O Optimise, plateforme internationale sur les cancers thoraciques de Bristol Myers Squibb.Les données de vie réelle d’ESME ont été collectées entre 2015 et 2018 et portent sur 23 000 patients diagnostiqués ou commençant un traitement pour un cancer du poumon avancé. I-O Optimise regroupe des sources de données de 9 pays, dont celles de la plateforme allemande CRISP, et dorénavant celles de la France avec ESME.
Issu de la fusion d’Odsis et de Cosilog, puis de l’intégration de Beeconsulting (1), WELIOM renforce ses compétences en cybersécurité, conformité et stratégies numériques avec l’acquisition du Cabinet Vincent Trély Consultants. C’est un joli nom de l’écosystème du numérique en santé qui rejoint le projet porté par Pierre-Yves André, PDG de WELIOM, dont l’ambition est de faire de la société, en 2022, le leader français du conseil en transformation numérique des organisations de santé.
La crise sanitaire du Covid-19 a mis en évidence la nécessité de pouvoir communiquer à distance. Comment aurions-nous pu passer ces 54 jours de confinement sans Skype, Messenger, Teams, Zoom, WhatsApp… ? Imaginez un seul instant qu’un fournisseur d’accès Internet refuse purement et simplement ces technologies. Il aurait rapidement été contraint de s’adapter. L’interopérabilité dans la santé reproduit ce même schéma.
J’ai toujours adoré les curiosités de l’esprit : si vous avez une heure à perdre, je vous suggère d’aller faire un tour sur ce site[1]qui explique la diagonale de Cantor, astuce géniale avec laquelle le mathématicien allemand a démontré qu’il existait plusieurs catégories d’infini (authentique). Bon, en même temps, ne vous penchez pas trop au-dessus du précipice, le bonhomme a terminé ses jours dans un asile. Récemment, je suis tombé sur une autre curiosité avec un ouvrage de Jean-Paul Delahaye : la trompette de Torricelli, qui a la particularité d’avoir une surface infinie, mais un volume intérieur fini. On ne peut donc pas la peindre, mais on peut la remplir d’eau. Mais la remplir d’eau revient à peindre sa surface intérieure, non ?
La téléconsultation connaît une croissance exponentielle dans le contexte sanitaire actuel, étant essentielle pour protéger patients et soignants. Développée par MiPih et adoptée par l’URPS ML Occitanie, la plateforme Medicam est accessible à l’ensemble des professionnels de santé de France. Lancée le 10 mars, elle enregistre plus de 50 000 téléconsultations, soit plus de 70 % des téléconsultations en région Occitanie.
Le temps viendra du bilan sur la crise Covid que nous traversons tous : bilan politique, bilan sur le système de santé, bilan sur les organisations, etc. À ce sujet, lire d’ailleurs l’excellente série publiée dans le journal Le Monde sur la stratégie des différentes mandatures entre les années 2005 et 2020. On y apprend entre autres que, fin mars, la France continuait de brûler des millions de masques, en pleine pénurie.
Le retour à la normale… L’après confinement…
Dossier patient informatisé, imagerie médicale numérique et résultats informatisés d’analyses médicales, télémédecine, portails patients, plateformes de télésuivi, messageries sécurisées, outils de communication en ligne, télétravail, la plupart de ces domaines sont aujourd’hui informatisés dans les établissements de santé.
Entre la généralisation de la télémédecine depuis quelques années, le déploiement en un temps record du module de téléconsultation et de télésuivi, ou la mise en place de tablette tactile pour préserver le lien social des résidents, la direction générale du Centre Hospitalier de Maubeuge, et notamment depuis 1 an Monsieur Patrick JACSON Directeur Général par intérim, a clairement choisi de mettre le système d’information au service des patients – hospitalisés ou non. Au travers d’un entretien avec la Directrice des Systèmes d’Information Nicole Flambard, retour sur son expérience et les projets priorisés pendant la crise sanitaire du COVID-19.
Les services de télémédecine peuvent permettre de limiter la propagation du virus et d’assurer la prise en charge et la continuité du suivi médical des patients confinés à domicile atteints ou suspectés du Covid-19. Dans le contexte de la crise sanitaire du Covid-19, le SIB étend son offre de télémédecine sur l’ensemble du territoire national et met gratuitement à disposition des établissements de santé les volets téléconsultation et télésuivi.
Depuis le 1er janvier 2020, les centres hospitaliers de Charleville-Mézières, Fumay, Nouzonville et Sedan du groupement hospitalier de territoire Nord-Ardenne ont fusionné pour former le Centre hospitalier intercommunal Nord Ardennes, le China. Laurent Karmusik, le directeur de son système d’information, explique les impacts immédiats de la crise du Covid-19 sur le travail des équipes du SI.
Téléconsultation, vidéoconférence, téléexpertise, télésuivi des patients, tableau de bord, les réponses numériques face à la crise sanitaire due à l’épidémie de COVID-19 constituent un levier majeur pour limiter les contacts physiques, fluidifier la concertation et surtout optimiser la productivité des soignants. Dans le contexte des GHT, la mise en œuvre de ces solutions peut s’avérer d’autant plus difficile que les ressources expertes manquent tant du côté hospitalier que des éditeurs.
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