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Extens, premier fonds français dédié aux éditeurs de logiciels de santé et Sham Innovation Santé (conseillé par Turenne Santé), structure d’investissement de Sham (groupe Relyens) dédiée aux entreprises innovantes de santé, s’associent afin d’accélérer la croissance de Keenturtle, pionnier et leader dans l’édition de logiciels d’aide à la décision en pharmacie clinique.
Pour assurer de façon effective aux utilisateurs l’ensemble des fonctions associées aux transactions obligatoires du ou des profils de la DMP Compatibilité mis en œuvre dans son logiciel HOPITALWEB, le Groupe Evolucare a travaillé sur les conditions particulières exigées par le Dossier Médical Partagé. L’ensemble des tests imposé par le CNDA (Centre National de Dépôt et d’Agrément) a été effectué et a permis de vérifier la conformité des exigences DMP API V2.
Le Groupement hospitalier public du sud de l’Oise, dont l’activité est principalement concentrée sur les hôpitaux de Creil et de Senlis, a commencé le déploiement de son dossier patient informatisé. Ce projet s’inscrit dans la stratégie de numérisation du GHPSO portée par son directeur général, Didier Saada. Plusieurs modules de la solution DxCare sont déjà opérationnels.
Les systèmes d’information hospitaliers se complexifient, avec un nombre croissant d’applications. Pour optimiser l’intégration de ses solutions dans les SIH, Dedalus ouvre une nouvelle voie de partenariat avec les structures de soins. Il propose une offre de services managés permettant aux DSI de se concentrer sur leurs missions de soin, de gestion et de pilotage des établissements.
Vendredi 18 juin, le Conseil du numérique en santé a dressé un point d’étape sur la mise en œuvre opérationnelle du Ségur du numérique en santé destiné à généraliser le partage fluide et sécurisé des données de santé entre professionnels et usagers pour mieux soigner et accompagner.
C’est bien connu : la différence entre les ennuis et les emmerdements, c’est que les premiers se baladent souvent tout seuls, alors que les seconds ont une fâcheuse tendance à se promener en groupe ou à voler en escadrille.
Je sais pertinemment que nos modestes systèmes d’information de santé français ont logiquement assez peu de chance d’être victimes d’attaques basées sur l’exploitation de vulnérabilités encore inconnues des éditeurs, mais je trouve assez effrayant de voir le nombre de vulnérabilités dites « 0 Day » révélées ces derniers mois…
Vu l’état général des moyens financiers et humains des DSI d’établissements de santé (1,7 % du budget de l’établissement, moyenne nationale, contre 3,5 % pour atteindre le niveau 6 de Himss qui est l’ambition affichée de tous les plans HNUM depuis 15 ans), à un moment donné on ne peut plus tourner autour du pot, il faut bien nous expliquer où on va trouver les sous. Ça ne rate jamais, il se trouve toujours quelqu’un pour venir vous expliquer que la convergence des SI – et des DSI – va faire réaliser des économies tellement miraculeuses que le jackpot au Loto, à côté, c’est de la gnognotte. Eh bé non. Voici pourquoi.
AMA, pionnier du marché des solutions de smart workplace, a déployé sa solution XpertEye auprès d’une quinzaine de SAMU en France et Outre-Mer. Dernièrement, le SAMU 92 a rejoint les SAMU 93 et 94 en intégrant la plateforme XpertEye afin d’améliorer la prise en charge des situations d’urgence grâce à la visiorégulation. Ce même cas d’usage a également amené les pompiers du Val d’Oise (SDIS 95) à retenir la solution XpertEye, qui devient désormais incontournable pour les services d’urgence sur le terrain.
La gestion des stocks de produits consommables, hors médicaments, est une préoccupation constante en milieu hospitalier. Étant donné les volumes, les coûts et les contraintes économiques que cela représente pour les établissements de santé, les services achats des hôpitaux doivent piloter au mieux leur activité.
Depuis le 1er janvier 2021, pour éviter les erreurs de traitement des données de santé, la Loi impose d’utiliser l'Identité Nationale de Santé (INS) dans tous les logiciels. Les centres d’imagerie médicale mettent en place ce nouvel accompagnement pour les patients.
Le bon patient, au bon moment, au bon endroit… L'organisation des plateaux techniques dépend de nombreux facteurs dont la fluidité du brancardage. Ce maillon parfois invisible constitue pourtant un élément clé de la prise en charge d’un patient.
Après le CHU de Martinique et le CH d’Arles, le centre hospitalier de Dunkerque revient sur sa collaboration avec les équipes de Zenidoc. Il retrace l’utilisation du module de l’éditeur et de son moteur de reconnaissance vocale français ZenReco, qui ont su s’adapter à la crise sanitaire
Alors que l’ensemble des services du Dossier Pharmaceutique (DP) - plébiscité par les praticiens - est désormais accessible en établissement de santé, Carine Wolf-Thal présidente du Conseil national de l’Ordre des pharmaciens et Patrick Rambourg, président du conseil central H de l’ordre des pharmaciens, reviennent sur les évolutions du DP et son rôle clé pour faire face aux défis du numérique en santé.
Bio Logbook, la start-up nantaise spécialisée dans la médecine de précision remporte avec le CHU de Liège l’appel à projets européen COVID-X. Une subvention de 150 000 euros va permettre d’accélérer la mise à disposition de sa solution. Destinée aux médecins elle détecte de manière précoce les patients atteints du COVID-19 les plus à risque, grâce à son algorithme prédictif et son logiciel d’aide à la décision.
C’est à la faveur d’un voyage d’études en Israël, en 2019, qu’une délégation du Centre Hospitalier de la Côte Basque découvre certaines solutions d’intelligence artificielle en imagerie. Elle lance à son retour une réflexion pour doter rapidement son pôle d’imagerie d’une telle solution.
La crise du Covid a fait apparaître de façon cruciale la nécessité d’avoir une vision globale de la gestion des lits pour tous les établissements de santé. Elle est essentielle pour anticiper l’occupation de l’établissement, et déprogrammer si nécessaire des interventions pour libérer des chambres.
Cela fait plusieurs années que nous entendons parler, même si c’était jusqu’à présent, du bout des lèvres, de l’arrivée de cette fameuse certification SIH qui pourrait permettre aux établissements de santé de se dispenser de sortir la planche à billets pour se payer une certification HDS afin d’héberger les données de santé d’un autre établissement membre du même GHT.
En 2020, MiPih a lancé en production la Déclaration Sociale Nominative de 19 établissements. Cette collaboration a permis aux établissements dont le CHU de Toulouse et l’Assistance Publique des Hôpitaux de Marseille d’entrer en DSN dès janvier 2021. Déjà obligatoire pour le secteur privé depuis 2017, c’est au tour des collectivités, établissements publics et administrations de mettre en place cette Déclaration Sociale Nominative, d’ici à 2022. Cela représente 70 000 établissements et concerne 5,6 millions d’agents.
Dans un contexte où la digitalisation des établissements de santé est encouragée par le gouvernement français (Projet Ma Santé 2022, Programme HOP’EN), de plus en plus de structures de soins décident de se doter d’une plateforme d’interopérabilité biomédicale. « De nombreux acteurs de la santé doivent entamer ou continuer leur transformation numérique et leur digitalisation. Ces nouveaux défis permettent d’éliminer l’usage du papier dans les établissements et gagner en efficacité », rappelle Isabelle Verne, Product Marketing Manager chez Enovacom.
Vous n’êtes sûrement pas passez à côté, depuis une semaine, on ne parle que de ça ! Les données de près de 500 000 patients français sont dans la nature !
La cybersécurité est aujourd’hui au cœur des préoccupations des directeurs d’établissements de santé, des pouvoirs publics et des usagers. Le président de la République se saisit personnellement de ce sujet majeur en réaction à la multiplication des attaques menées contre les hôpitaux et à la gravité des impacts que les dernières d’entre elles ont entraînés, notamment l’incapacité à prendre en charge les patients en toute sécurité. Pour renforcer la cybersécurité, Emmanuel Macron a annoncé un plan d’un milliard d’euros d’ici à 2025 [1].
Rendez-vous le 25 février 2021 de 11h00 à 12h00 sur www.dsih.fr pour un webinaire de 60 minutes animé par Xavier Vallin avec l’appui d’Aïssa Khelifa.
Les infrastructures informatiques des hôpitaux sont constamment mises à l’épreuves. La numérisation des dossiers médicaux qui avait permis d’améliorer le suivi des patients et le partage d’information entre les praticiens représente une véritable aubaine pour les hackers désireux de tirer profit des données hautement sensibles qu’ils contiennent.
Alors que le CERT-FR de l’ANSSI vient de publier son rapport annuel sur l’état de la menace rançongiciels à l’encontre des entreprises et institutions [1], un excellent document de synthèse à conserver dans sa « PDFthèque SSI ». On notera une augmentation de 255 % des signalements d’attaques par rançongiciel en 2020, par rapport à 2019. Un paragraphe sur le secteur de la santé qui rappelle notamment que le rançongiciel Ryuk le cible particulièrement, et qu’il serait responsable de près de 75 % des attaques de ce type ayant été subies par les établissements de santé américains. En France aussi, il a pas mal frappé et pourrait bien revenir à la charge en mettant le « Bazar » dans nos SI. Vous pouvez retrouvez d’autres informations sur Ryuk dans une tribune d’il y a quelques mois [2].
C’est à la fois le côté sympa et frustrant quand on travaille dans les nouvelles technologies : des nouvelles technologies, il en arrive à foison, mais des nouveaux usages, morne plaine la plupart du temps. Ou en tout cas pas en même temps, pas au même rythme.
En cas de situation de crise exceptionnelle telle que nous la vivons aujourd’hui, les lits de tous les établissements de santé sont à flux tendus. Pour gérer l’afflux de patients, le personnel soignant doit veiller à la disponibilité de ses lits chauds (réanimations, soins intensifs…).
Ça y est, elles démarrent enfin : les grandes manœuvres de la vaccination ont été lancées ces derniers jours. L’administration est comme un diesel : c’est long à chauffer, mais quand ça démarre, c’est du lourd : distribution massive de vaccins, organisation à la vitesse grand V de centres de vaccination un peu partout sur le territoire, informatisation de la prise de RDV par le biais de trois prestataires retenus par le gouvernement (Doctolib, Maiia et Keldoc), saisie des informations de vaccination dans un logiciel institutionnel, etc.
100 % logicielle, la solution est indépendante des constructeurs de dispositifs médicaux et des éditeurs de logiciels cliniques ou solutions métiers. En s’appuyant sur l’expertise acquise au cours de ces 18 années passées dans le domaine de l’interopérabilité, Enovacom a mis au point une plateforme d’interopérabilité biomédicale capable de collecter et remonter automatiquement les données des dispositifs biomédicaux directement dans le dossier patient.
En dérivant le paramétrage des protocoles de chimiothérapie, il devient très simple d'organiser la vaccination, en réservant dès la création du dossier un 2ème créneau pour la 2ème injection dans 21 jours (voire un peu plus).
Cela ne me réjoui pas, mais j’ai bien peur que l’année 2021 soit une fois de plus l’année du rançongiciel chiffrant et exfiltrant.
Depuis plusieurs années déjà, l’application Chimio® de Computer Engineering sait fonctionner dans un environnement multi sites. Mais sa dernière version 6.0 ouvre de nouvelles perspectives, très utiles dans le cadre des GHT.
Une cyberattaque de cette ampleur n’arrive pas tous les jours. C’est pourtant ce qui vient de se produire – et apparemment elle est toujours en cours, au moins partiellement – contre les US.
Premier acteur public du numérique en santé, MiPih est le leader en informatique hospitalière. Fort de la confiance numérique instaurée avec ses 625 adhérents, MiPih met à disposition des décideurs publics et de l'ensemble des acteurs de santé, une offre de dématérialisation, de signature électronique, d'archivage électronique et de coffre-fort numérique, avec un accompagnement sur mesure.
Les administrateurs systèmes (adminsys) disposent – par définition – de droits techniques étendus et, de ce fait, peuvent tout voir, tout surveiller, tout modifier : c’est même la raison pour laquelle on les paye. Dans l’immense majorité des cas, il n’en résulte aucune espèce de problème, mais cela dit, sans tomber dans la paranoïa, il ne faut pas pour autant négliger de cadrer leurs prérogatives : la confiance n’exclut pas le contrôle.
Avec cette opération, VIDAL Group renforce la position de WEDA, éditeur logiciel de dossiers patients en ligne à destination des professionnels de santé libéraux. Elle permettra à ses clients de bénéficier d’un service de gestion numérique des consultations échographiques s’adressant notamment aux gynécologues, aux sages-femmes et aux cardiologues.
Le directeur de l’Anssi alerte régulièrement les pouvoirs publics sur l’état grandissant de la menace cyber et, la semaine dernière, le Cigref adressait dans un courrier[1] au Premier Ministre son inquiétude sur l’industrialisation de la cybercriminalité et la faible réponse étatique.
C’est avec de nouveaux talents intégrés au sein de ses équipes que WELIOM termine l’année 2020. En ces temps de crise, quoi de plus naturel que de se tourner vers l’avenir ?
La France comble petit à petit son retard sur le taux de chirurgie ambulatoire. S’il était limité à 58,5 %[1] en 2019, l’objectif est de le porter à 70 % en 2022. Largement plébiscité par les patients et leurs familles, ce mode de prise en charge présente de nombreux avantages : taux de satisfaction élevé, récupération plus rapide, mais aussi diminution des coûts. En raccourcissant le temps de séjour, il contribue également à réduire les infections nosocomiales contractées par les patients dans un établissement de santé. C’est là que le Covid-19 se présente comme un allié de l’ambulatoire.
L’arrivée d’outils innovants en orthopédie améliore la précision à toutes les étapes, aussi bien en préopératoire qu’au bloc et durant le suivi. Vendredi 6 novembre, lors du « Rendez-vous avec l’orthopédie » du Snitem[1], leurs bénéfices ont été soulignés au même titre que les difficultés de valorisation et de financement qui leur sont associées.
Quelques jours après la parution des derniers référentiels d’Identitovigilance et guides d’implémentation par l’Agence du Numérique en Santé (ANS), Maincare Solutions a obtenu le 2 novembre dernier l’autorisation Identifiant National de Santé intégré (INSi) 02.00 pour son logiciel de gestion administrative du patient M-GAM (v 8.2.5R7.0).
La cérémonie du Prix Unicancer de l’innovation s’est déroulée en version digitale le 3 novembre 2020 lors de la Convention nationale des Centres de lutte contre le cancer (CLCC). Seul prix exclusivement consacré à l’innovation en cancérologie en France, il vise depuis sa création en 2014 à encourager et à faire connaître les travaux d’excellence réalisés dans les CLCC, dans de nombreux domaines. Cette année, compte tenu du contexte sanitaire et de la forte mobilisation des équipes dans cette situation particulière, la sixième édition a privilégié une seule et même catégorie résolument tournée vers l’avenir : l’Intelligence Artificielle et les Data Sciences.
DXCare, le dossier patient informatisé de Dedalus, et Hexagone, le logiciel de gestion des données d’Agfa qui a rejoint Dedalus en 2020, sont en place depuis 2003 au Centre hospitalier de Cahors, l’établissement support du groupement hospitalier de territoire du Lot[1]. Ces deux solutions multi-entités juridiques vont progressivement être étendues à l’ensemble du GHT.
Prevent2Care Lab est le premier incubateur mixant start-up et associations. Pour sa troisième promotion dédiée à la prévention de la santé des jeunes, une vingtaine de projets est accompagnée, dont, nouveauté 2020, six associations.
Avec VIDAL Sentinel, les pharmaciens du CHR de Metz-Thionville ont désormais à disposition un outil d’aide à la décision qui prend en compte, outre les médicaments à risque, les facteurs biologiques. Michaël De Block, DSI de cet établissement, nous éclaire sur cette solution optimisée par l’établissement et générant des alertes non polluantes pour améliorer la sécurité du parcours médicamenteux.
Fort de la labélisation par l’ANSSI de sa solution ARM (Agile Risk Manager), outillant la méthode EBIOS Risk Manager portée par l’Agence, ALL4TEC signe un partenariat stratégique avec WELIOM, l’un des leaders de la transformation des organisations de santé. L’alliance de l’ingénierie logicielle, portée par ALL4TEC, et de la maîtrise des métiers et des référentiels des établissements sanitaires et médicosociaux permettra, dès 2020, la construction d’une proposition de valeur inédite et parfaitement adaptée à l’écosystème de santé.
Le déploiement de l’identité ‘INS’ dans les services numériques en santé se concrétise dans la perspective de l’échéance du 1er janvier 2021 fixée par décret1. La généralisation de cette identité (matricule INS et cinq traits d’identité de référence) est essentielle pour la réussite du partage de l’information médicale en toute sécurité et en confiance, en renforcant l’interopérabilité et l’identitovigilance. En parallèle des premiers usages enregistrés en production, les éditeurs de services numériques en santé se mobilisent pour être compatibles dans les plus brefs délais.
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