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Les données recueillies dans le cadre des consultations psychothérapeutiques réalisées au sein du Centre Pierre-Janet peuvent désormais être exploitées pour la recherche. Sophie Gendarme, chef de projet au sein du pôle Recherche de cette structure, et Dominique Caclin, directeur de Micro6, décrivent l’outil, élaboré sur la base du DPI Diamm, qui permet de satisfaire à cette demande spécifique et dont le cahier des charges évolue perpétuellement.
Selon un rapport [1] publié par Symantec hier (23 avril), le groupe d’attaquants Orangeworm, responsable de plusieurs attaques ciblées depuis 2015 aurait récemment lancé une attaque ciblée visant spécifiquement le secteur de la santé.
Dans le cadre de la restructuration de leur SI de production de soins, deux grands établissements hospitaliers du Luxembourg ont choisi la solution de dossier patient Maincare IC, sous l’appellation DOP@MIN dans le Grand-Duché.
Il reste à peine un mois avant l’entrée en vigueur du RGPD, et certains se demandent comment utiliser au mieux les courtes semaines qu’il leur reste : quelques conseils de bon sens.
Dans un récent article du Figaro[1], relayé dans plusieurs médias dont la plateforme LinkedIn, nous apprenons que le secrétaire d’État chargé du Numérique, Mounir Mahjoubi, annonce un projet de messagerie sécurisée, notamment pour remplacer Telegram qui semble très populaire parmi les parlementaires
ALICANTE, éditeur de logiciels pour la valorisation des données hospitalières, et le CEA s’associent pour renforcer le positionnement de l’industriel en intelligence artificielle. Alicante utilisera l’outil Expressif (1) du CEA pour optimiser l’offre de sa plate-forme Inquia au service des établissements de soins mais également des acteurs de la recherche clinique (dont les laboratoires pharmaceutiques), du monde mutualiste et de la santé animale. Il sera possible de proposer aux praticiens des prises en charge personnalisées pour leurs patients, dans le cadre de parcours de santé, même complexes.
La stratégie de transformation du système de santé annoncée par le gouvernement le 13 février 2018 vise notamment à améliorer le fonctionnement de l’hôpital. Reste à en connaître la feuille de route. Le gouvernement évoque l’été 2018 pour en révéler la teneur. Mais les diagnostics sont pour une bonne part connus, et des solutions existent déjà, notamment pour la gestion des lits dans l’hôpital (chirurgie programmée, ambulatoire, etc.).
En ce début avril, Olympus sort le DS-9500, un nouveau dictaphone sans fil avec transfert de fichiers en wi-fi pour plus de flexibilité et de liberté au quotidien. L’équipementier espère ainsi renforcer sa position dans le domaine de la dictée numérique.
Les incidents liés à la sécurité des systèmes d’information se multiplient de plus en plus dans le monde. La France serait entrée en 2015 dans le top 10 des pays les plus touchés par le piratage informatique. Selon le dernier rapport Norton sur la cybercriminalité, plus de 19 millions de personnes (42% de internautes) ont été victimes d’actes de piratage en France en 2017. Le cout total de cette cyber criminalité s’élève à 6,1 milliards d’euros en 2017, soit trois fois plus qu’en 2016.
La loi de santé 2016 impose, au sein d’un GHT, une convergence des SI. Après moult discussions, la notion de convergence est entendue par les pouvoirs publics comme un logiciel unique (le même) pour couvrir un besoin fonctionnel. OK OK, on peut ergoter sur ce qu’est un logiciel et jouer sur les mots entre modules, logiciels, progiciels ou que sais-je, mais la direction semble claire.
Dans une première partie(1), nous avons examiné les deux grandes familles de politique d’habilitation dans les accès à un DPI d’établissement de santé. Nous en avons conclu que la seule méthode viable à terme au sein d’un GHT était celle du contrôle a posteriori. Dans une deuxième partie(2), nous avons décrit les trois conditions pour aller vers ce mode de gestion : concertation entre les CME, systèmes homogènes de sanctions au sein de tous les établissements du GHT et généralisation de l’analyse des traces d’accès. Dans une troisième partie(3), nous avons décrit les grands principes du système de contrôle d’accès aux données patients. Intéressons-nous maintenant à la question des accès aux données des administrateurs qui, à une époque pas si lointaine, faisait pas mal fantasmer dans les chaumières (j’ai connu des diplodocus qui refusaient de saisir des données dans un logiciel métier au prétexte que le DBA(4) y avait accès en direct en saisissant des requêtes SQL).
Alors que nous sommes passés sous la barre des 90 jours avant l’entrée en application du RGPD [1], le fameux Règlement général européen sur la protection des données à caractère personnel, également connu sous l’acronyme anglais GDPR (general data protection regulation), pour lequel, de nombreux « vendeurs à la sauvette » proposent, grigris, amulettes ou encore élixirs permettant une miraculeuse mise en conformité immédiate avec le fameux règlement.
Lundi 26 février 2018, les 13 lauréats de l’appel à projet lancent officiellement le départ de la 1ère promotion du Prevent2Care Lab, le premier incubateur de start-ups dédié à la prévention santé. En plus d’un accompagnement pour leur première levée de fonds, ces start-ups bénéficieront d’un hébergement au cœur de Paris au sein de l’INCOPLEX, d’un suivi stratégique individuel, de mentorat et formations personnalisées, et de conseils dédiés d’experts santé du groupe Ramsay Générale de Santé (médecins, Directeurs d’établissements, etc.) pour leur permettre d’adapter leurs solutions aux problématiques spécifiques du secteur de la santé.
Agfa HealthCare, leader français des transmissions de comptes rendus de biologie avec Bioserveur, devient opérateur de la Messagerie sécurisée de santé. Avec Hexalis, numéro 1 des systèmes d’information de laboratoire, et le domaine bioserveur.mssante.fr, l’éditeur conforte sa stratégie favorisant les parcours de soins et la convergence des SI des GHT.
Depuis les années 2010, l’intelligence artificielle est en plein essor. Les établissements de soins s’emparent du sujet même si les logiciels et robots « intelligents » n’ont, pour l’heure, fait qu’une entrée timide en leur sein. Démonstration, exemples de l’AP-HP et du CHU de Nantes à l’appui.
La nouvelle reconnaissance vocale médicale pour les cabinets médicaux dopée à l’intelligence artificielle et au deep learning pour les médecins qui souhaitent retrouver du temps, alléger le poids des tâches administratives et renouer avec un meilleur équilibre de vie.
Lorsque la polyclinique Sainte-Marguerite, à Auxerre, s’est équipée du dossier patient DxCare, en 2012, deux options se sont présentées aux anesthésistes-réanimateurs pour leur dossier d’anesthésie : adopter une brique du dossier patient de l’établissement ou opter pour un logiciel métier. DirectConsult, développé par Lensys, a remporté la faveur des anesthésistes.
Depuis le 1er janvier 2018, les logiciels d’aide à la dispensation de médicaments dans les pharmacies à usage intérieure doivent être certifiés, et donc interopérables avec le dossier pharmaceutique. Ce contexte législatif contribue à développer les usages du dossier pharmaceutique en établissement de santé. L’éditeur icanopée met à profit son expertise pour proposer deux solutions intégratives répondant à ces enjeux, DpConnect et DpConsult.
Chargée « Supports et Méthodes » à l’Hôpital européen de Marseille, Noëlle Gavin a participé en 1999 à la mise en place conjointe des solutions Pharma® et Économat® de Computer Engineering. Actuellement, ces deux applications sont déployées sur l’ensemble des services.
La question de la politique d’habilitation des accès à un DPI d’établissement a fait couler beaucoup d’encre, dès que les premiers plans nationaux d’informatisation ont démarré au milieu des années 2000 : plan Hôpital 2007, puis 2011, etc. Tant que chaque service d’un hôpital était informatisé par un progiciel vertical de spécialité, la question ne se posait pas : dès lors que les DPI transversaux ont déboulé, il a bien fallu réfléchir à une politique générale, et pas seulement à l’accès des cardiologues aux dossiers des patients hospitalisés en cardiologie. Il y a, globalement, deux façons de répondre à ce besoin.
Les rançongiciels chiffrant, sont déjà depuis plusieurs années dans le spectre des équipes SI et SSI. En effet, quel établissement de santé peut se vanter de ne pas avoir eu à faire, ne serait-ce qu’une fois à l’une de ces attaques lors des cinq dernières années. L’infection de 81 hôpitaux britanniques par le ransomware Wannacry en mai 2017, en est sûrement l’exemple le plus marquant(1).
Un système de géolocalisation novateur et unique en Europe vient d’être mis en place à l’Hôpital Foch par les équipes de Sweepin. Ce système sera prochainement ouvert à l’ensemble des services de l’Hôpital.
La CPAM des Côtes d’Armor expérimente le Dossier Médical Partagé depuis 1 an, comme 8 autres CPAM(1) en France. Avec un territoire vierge sur le sujet, tout était à construire.
Début 2017, SCC – spécialiste des services informatiques et titulaire du marché multi-éditeur à l’Ugap – a noué un partenariat avec Nuance, éditeur de solutions de reconnaissance vocale. Ce rapprochement consolide l’offre de SCC, en permettant aux établissements de santé de satisfaire notamment à l’obligation de remise d’une lettre de liaison aux patients, au terme de leur séjour hospitalier.
Il était une fois un GCS e-santé ayant conclu, avec une société de conseil, un marché portant sur des prestations de maîtrise d’oeuvre d'intégration et de maintenance du socle du système d'information santé régional "comprenant les composants d'un portail base sur un framework, un ou des annuaires sécurisés, un système d'authentification et d'identification unique pour l'ensemble des modules et des applications accessibles depuis le portail ENRS".
Après 9 ans d’expertise dans la RFID et le sans contact, le Centre National RFID devient Connectwave et adresse désormais l’ensemble des technologies de l’IoT. Journée Open innovation, aide au déploiement de projets IoT, prototypage d’objets connectés…autant de nouvelles offres d’accompagnement que Connectwave propose à l’ensemble des acteurs en pleine transformation digitale !
L’optimisation de la conciliation médicamenteuse est de plus en plus demandée par les pharmaciens des établissements de santé car cette activité s’avère très chronophage si elle est réalisée manuellement. Le module BMO® de Computer Engineering répond à cette attente.
Prenez deux RSSI, branchez-les sur la question de la méthode de l’appréciation des risques, et il y a de fortes chances que le lendemain à la même heure ils soient encore en train de s’écharper sur la question de savoir quelle est la meilleure. Petit historique.
On nous aurait menti ?! C’est un véritable séisme qui secoue le milieu des éditeurs des logiciels d’aide à la prescription.
Le 29 novembre dernier s’est tenu au Ministère de la santé le traditionnel colloque SSI, organisé par la DGOS et avec une forte implication de Frédérique Pothier, qui « commet » encore un sans faute dans l’organisation. Ceux qui ont assisté à cette édition ainsi qu’aux précédentes savent que le temps fort est à chaque fois la séquence « Cela n’arrive pas qu’aux autres », avec des récits tantôt désopilants tantôt effrayants d’incidents IT en tout genre.
Longtemps relégués à d’obscures fonctions de backoffice, les exploitants voient leur mission revenir au premier plan car c’est à eux d’assurer la qualité de service nécessaire au support numérique des processus métier de l’hôpital. Mais leur tâche est difficile dans la mêlée de la transformation numérique.
Ça y est, pas mal de GHT ont déjà démarré les travaux de convergence de leur SI… Bon, OK, je reformule, pas mal de GHT ont déjà démarré les travaux de réflexion sur ce qui va devoir converger ou pas, et dans quel ordre. Bon, OK, OK, je reformule encore : pas mal de GHT ont commencé les réunions des DSI, ça vous va ?
La dépendance croissante des métiers vis-à-vis du numérique doit nous interroger sur les limites de la technologie et nous inciter à trouver des parades à sa fragilité.
Je ne sais pas pour vous, mais pour moi, il est de plus en plus difficile d’entendre parler de « transformation digitale », de « fichiers cryptés » ou encore « du dark net ».
Le Centre Hospitalier Régional Universitaire (CHRU) de Nancy a décidé d’adopter la prise de rendez-vous médicaux en ligne. Pour développer ce nouveau service, l’établissement a fait confiance à la société Doctolib, leader européen du secteur. Un pilote est lancé aujourd’hui pour toutes les consultations de la maternité. Le CHRU de Nancy devient ainsi le second CHU français à se doter de la prise de rendez-vous médicaux en ligne, après l’Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP).
La Business Intelligence est accessible à tous les utilisateurs de Futura Smart Design. Grâce à la solution en ligne BiBoard, intégrée au logiciel phare de Calystene, ils peuvent tirer parti de toutes les informations hétérogènes des organisations multisites et des GHT.
Trois établissements du groupe Hexagone santé, les cliniques parisiennes du Louvre et du Trocadéro, et la Clinique de Bercy à Charenton-le-Pont (94) ont confié à Web100T le lifting de leur système d’information vieillissant.
Les journées de RESO, Club des Utilisateurs d’Orbis, se sont tenues au CH de Saint Quentin les 28 et 29 septembre sous la présidence de Thierry Lugbull, DG du Centre Hospitalier Saint-Lô / Coutances et à l’invitation de François Gauthiez, DG du CH de Saint-Quentin.
Dans un premier volet(1), nous avons exposé la problématique générale du RGPD dans le monde de la santé. Dans un second volet(2), nous avons disserté sur la question centrale de la méthode d’appréciation des risques. Dans un troisième volet(3), nous avons parlé de la démarche globale. Nous avons conclu dans un dernier volet(4) sur les difficultés inhérentes à cette démarche. Il est maintenant temps de nous lâcher un peu sur ce qui est, très clairement, une entreprise d’intox généralisée chez pas mal de fournisseurs : l’esbroufe autour du RGPD, ce que cela implique et les outils pour devenir conforme.
Les nouvelles technologies occupent une place grandissante dans le système de soins : e-santé, télémédecine, robotisation d’actes en chirurgie… Avec l’entrée de robots humanoïdes dans les services, nous entrons dans une nouvelle ère de la prise en soin. Une évolution qui ne rebute pas les Français.
Les comptes rendus d’hospitalisation doivent être remis aux patients le jour de leur sortie. En réponse à cet enjeu de taille pour les établissements, Simplify se positionne comme l’assurance compte rendu.
Computer Engineering adapte sans cesse ses solutions afin d’élargir le champ d’action de ses applications Pharma® et Chimio®. C’est ainsi que les modules complémentaires Transport® et Traça® de même que les applications Économat® et Sté® assurent des fonctionnalités spécifiques ou transversales permettant d’optimiser la gestion des médicaments et des produits de santé.
éditeur de logiciels médicaux et société de services destinés aux professionnels de santé, présentera ses logiciels MLM, Crossway et MédiClick, et ses services destinés aux jeunes médecins lors de deux événements professionnels en octobre : la Journée de l’installation en médecine(1) le 7 octobre à Strasbourg (Faculté de Médecine, 4 rue de Kirschleger) et les Journées de médecine générale les 12 et 13 octobre à Paris La Défense (Espace Grand Arche).
Dans un premier volet(1), nous avons exposé la problématique générale du RGPD dans le monde de la santé. Dans un deuxième volet(2), nous avons disserté sur la question centrale de la méthode d’appréciation des risques. Attaquons à présent le chapitre de la démarche globale.
La présence en natif de nombreux indicateurs Anap dans TimeWise permet d’obtenir immédiatement les taux d’occupation des lits et de restructurer les services en conséquence. TimeWise fluidifie le parcours des patients, optimise la durée de leur séjour et les oriente selon le mode de prise en charge. Il devient alors un outil de réorganisation des services concernés.
En juillet dernier, Olympus a sorti sa nouvelle solution de dictée professionnelle. La principale innovation réside dans l’élimination des bruits parasites pour une efficacité optimale de la reconnaissance vocale.
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