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L'association Interop’Santé qui œuvre pour la standardisation des échanges informatiques dans le domaine de la santé, a présenté lors du salon SANTEXPO ses différents chantiers, notamment autour de l’Identité nationale de santé (INS), du projet SIDEP et du profil ILW.fr de normalisation des échanges dans les laboratoires.
Sous l’impulsion de l’URPS Médecins Libéraux Occitanie, le MiPih déploie ses nouvelles orientations stratégiques avec le développement d’une nouvelle offre E-Santé - Parcours de soins. Ainsi la plateforme Médicam s’enrichit d’une nouvelle solution : la téléexpertise « Médicam Expert ». Son objectif ? améliorer la prise en charge des patients en digitalisant la relation entre les médecins et les médecins spécialistes quels que soient leurs lieux d’exercice en ville ou à l’hôpital.
Le 18 décembre, Nuance lancera sa nouvelle solution de reconnaissance vocale médicale Dragon® Medical One, hébergée dans le Cloud. Elle est destinée à simplifier et à accélérer le travail de documentation quotidien des professionnels de santé.
La solution phare de Nuance pour le secteur de la santé est désormais disponible dans le Cloud et distribuée sous un modèle SaaS. Dragon Medical One, la nouvelle solution de reconnaissance vocale médicale dans le Cloud, ouvre la voie à de nouvelles possibilités. Elle permet aux établissements sanitaires de s’affranchir de nombreuses contraintes (ressources et ETP IT, budgets serveurs…) tout en apportant aux professionnels de santé une solution toujours à la pointe, hautement disponible, toujours plus performante et qui répond à leurs exigences de mobilité (cabinet, GHT, hôpital, domicile).
Qare, première solution complète de téléconsultation en France et partenaire du monde médical, et Jeunes Médecins, organisation représentant les jeunes médecins, signent un contrat de partenariat au niveau national.
Élaboré et rédigé conjointement par le Cnom et la Cnil à l'attention des professionnels de santé libéraux, ce guide pratique est disponible depuis ce 20 juin.
Le sujet s’étire en longueur, mais à force de creuser on se rend compte que certains aspects sont plus compliqués que prévu.
Le médecin augmenté recouvre plusieurs réalités, que DSIH vous propose d’explorer. Réalité virtuelle, qui correspond à l’immersion d’un utilisateur dans un monde recréé numériquement, avec sons et sensations, tout en le coupant du réel.
VIDAL a créé, en 2012, en partenariat avec le Conseil National de l’Ordre des Médecins (CNOM), l’« Observatoire des usages numériques en santé ». Fin 2015, l’Observatoire a réalisé la 4e édition de ce baromètre auprès de 1402 médecins utilisateurs de smartphones (étude réalisée par questionnaire adressé par e-mail). De nouvelles questions ont été rajoutées pour mieux cerner les attentes en matière d’applications mobiles santé et objets connectés.
Dans un rapport disponible sur son site web depuis le 10 février (1), le Conseil national de l’Ordre des médecins propose des modifications de la réglementation « pour favoriser le développement de la télémédecine au quotidien sur les territoires et dans le cadre du parcours de soins ». Il demande aussi « une régulation des offres du secteur marchand. »
Répondre aux besoins médicaux des patients sans laisser s’installer une ubérisation de la médecine
Le Conseil national de l’Ordre des médecins annonce avoir lancé une mission pour examiner la conformité de diverses prestations médicales en ligne au regard de la déontologie médicale. Cette mission se conclura par des propositions, dans le prolongement des publications de l’Ordre sur la télémédecine et de l’e-santé et dans le cadre du suivi concret de la Grande consultation des médecins par l’Ordre sur l’avenir de notre système de santé.
Le site lagrandeconsultation.medecin.fr regroupe toutes les informations nécessaires sur le déroulé de la consultation. Sont d’ores et déjà disponibles les premiers retours sur les rendez-vous institutionnels et les réunions de médecins en régions organisés depuis le 1er septembre.A partir du 12 octobre, ce site donnera également accès à un questionnaire en ligne ouvert à tous les médecins
Le Conseil national de l’Ordre des Médecins, réuni en session plénière, demande la réécriture de l’article 47 du projet de la loi santé relatif à l’accès aux bases de données de santé.
Parce qu'ils n'ont pas été écoutés sur le choix du système d'information devant équiper le CH de Riom, douze des quatorze médecins de la CME de cet établissement ont démissionné.
Il y a un peu plus de deux ans, le Conseil national de l’Ordre des médecins (CNOM) invitait les médecins à s’approprier les outils du web santé en publiant un livre blanc intitulé « Déontologie sur le web ». Il poursuit aujourd’hui son travail de pédagogie – et d’évangélisation – avec la diffusion d’un nouvel ouvrage consacré à la santé connectée.
Jacques Lucas, vice-président du CNOM, et Pierre Simon, président de l’ANTEL, viennent de se livrer à une exégèse de textes juridiques, document de 11 pages par lequel ils souhaitent enfoncer le clou : « la télémédecine, ce n’est pas du e-commerce ! ». Ils nous rappellent combien les termes sont ambigus et quels concepts se sont succédé depuis une quinzaine d’années - télémédecine, télésanté, e-santé - risquant de prêter à confusion.
Qualcomm annonce le nom de son premier client, Quasarmed, à l'occasion du salon MEDICA 2013
Réalisé en partenariat avec le Conseil National de l’Ordre des Médecins (CNOM) dans le cadre de l’Observatoire VIDAL des « Usages Numériques en santé » VIDAL, spécialiste des services d'aide à la prescription et de l'information de référence sur les produits de santé, a créé, en 2012, « l'Observatoire des usages numériques en santé ». En 2013, l’Observatoire réalise, en association avec le Conseil National de l’Ordre des Médecins (CNOM), le 2ème baromètre consacré aux « médecins utilisateurs de smartphone ». Principaux enseignements : 94% des médecins interrogés utilisent leur Smartphone à une fin professionnelle ou mixte¹ ; les applications de base de données médicamenteuses sont davantage téléchargées par les médecins (89,6% en 2013¹ contre 68% en 2012[2]).
Aujourd’hui, la gestion informatisée du dossier patient est une priorité dans le domaine de la santé. Pour améliorer l’accueil et les soins des patients, pour faciliter et sécuriser le travail du personnel soignant, pour optimiser la gestion administrative et financière ou pour s’adapter en temps réel aux normes réglementaires, tous les établissements sont concernés par cette démarche.
La réforme du système de soins au Luxembourg, initiée en 2010, prévoit la mise en œuvre du Dossier de Soins Partagé (DSP). Il s’agit classiquement d’un dossier patient numérique, accessible par les professionnels de santé pour le renseignement et le partage des informations et données médicales du patient, et consultable par le patient lui-même.
Le Mobile World Congress de Barcelone, qui se tient du 25 au 28 février, est l’occasion de dévoiler, pour Orange et Morpho, un outil innovant en matière de m-health.
Après avoir obtenu en mars dernier l’autorisation de mise en oeuvre de la plateforme COMEDI-e permettant la réalisation d’actes de télémédecine, le GCS e-Santé Picardie a obtenu fin mai 2012 l’autorisation de mise en oeuvre du volet télé radiologie. La CNIL a autorisé la mise en oeuvre par le GCS e-santé Picardie de la plateforme Comedi-e permettant la réalisation d’actes de télémédecine, au sens du décret d’octobre 2010.
Un avis paru le 15 mars au Journal Officiel met fin à un différend de plusieurs années entre l'assurance maladie et les syndicats de médecins libéraux sur la façon de sanctionner les praticiens récalcitrants à passer de la feuille de soins papier à la FSE (sa version électronique). Selon la Cnam, la gestion du papier coûte encore environ 4 millions d’euros par an à l'assurance maladie soit six fois plus cher que la gestion électronique. Les caisses primaires reçoivent plus de 750 millions d’ordonnances par an dont la gestion nécessite environ 4000 emplois.
réalisé auprès de 2 131 médecins équipés d’un Smartphone en partenariat avec le Conseil National de l’Ordre des Médecins dans le cadre de l’Observatoire VIDAL des « usages Numériques en santé »
Intégrée au plan de développement du DMP, la prescription électronique impacte favorablement la sécurité et la qualité des prescritions.La loi du 13 août 2004 a introduit la possibilité de prescrire des soins ou des médicaments par courriel, sous certaines conditions : prescripteur clairement identifié, ordonnance « établie, transmise et conservée dans des conditions propres à garantir son intégrité et sa confidentialité », examen préalable du patient par le praticien, application éventuelle des dispositions du décret relatif aux actes de télémédecine.
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