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Aujourd’hui, les GPU ou cartes graphiques jouent un rôle central dans le domaine de l’Intelligence artificielle avec la puissance de calculs que nécessitent ces nouvelles technologies. Hôpitaux, CHU, Universités scientifiques… Découvrez comment développer l’IA au sein de vos établissements avec vos ressources GPUs, et leur rôle prépondérant dans l’intégration de ces nouvelles technologies.
Lors du 7e Comité de suivi, le mercredi 5 avril, le calendrier réglementaire du Ségur numérique a été précisé. Les industriels ont jusqu’au 20 septembre pour finaliser les prestations de mises à jour logicielles et jusqu’au 31 octobre pour achever les prestations de transcodage. Par ailleurs, ils peuvent déposer leurs dossiers complets de demande de solde jusqu’au 14 décembre.
Le SEGUR Numérique s’annonce tout aussi intense en 2023 qu’il l’a été en 2022. La Vague 2 se profile à l’horizon avec l’ambition de poursuivre la généralisation du partage fluide et sécurisé des données de santé entre les Professionnels de Santé et avec les Usagers. S’il est encore un peu tôt pour se faire une idée précise des futures cibles d’usages qui seront à atteindre, du côté du SONS en revanche, les tendances de ce qui va être au programme des éditeurs s’affirment.
Owkin, biotech spécialisée dans l’IA appliquée à la recherche médicale, annonce aujourd’hui le lancement officiel de PortrAIt. Consortium français financé par France 2030 et opéré pour le compte de l’Etat par Bpifrance, par l’Union européenne - Next Generation EU, dans le cadre du plan France Relance, et en collaboration avec Gustave Roussy et Unicancer, PortrAlt a pour objectif de faire de l’Hexagone un leader mondial dans l’utilisation de l’IA appliquée à la pathologie numérique, au cours des 5 prochaines années.
Porté par le CHU de Toulouse, avec ses partenaires Collective Thinking et le Health Data Hub, le projet APSoReN vise à croiser les données du CHU de Toulouse avec celles du Système National de Données de Santé afin d’identifier les patients susceptibles de “décrocher” de leur parcours de soins et d’améliorer la prise en charge des 150 000 nouveaux cas de patients victimes de traumatismes crâniens recensés en France tous les ans.
Le 7 mars, l’Agence du numérique en santé a annoncé le référencement de deux nouveaux services sur Mon espace Santé. Le catalogue comprend désormais 20 services dans le champ de la santé et du bien-être.
Les dispositifs médicaux font partie intégrante de la prise en charge médicale, ceux qui intègrent une fonction numérique peuvent générer un grand nombre de données de vie réelle et ouvrent la voie à une médecine plus personnalisée. Ces données permettent, par exemple, de renforcer le suivi entre deux consultations, de contribuer à l’accompagnement thérapeutique, d’anticiper des complications, ou d’améliorer la coordination des professionnels de santé.
Les entrepôts de données de santé présents dans les établissements sont trop souvent à usage unique et statique, avec des données non-normalisées. Les rendre interopérables, sécurisés et dynamiques est pourtant essentiel pour répondre aux défis que traversent le secteur de la santé.
Le 16 février, le Health Data Hub a annoncé le lancement d’un groupe de travail composé de représentants d’usagers du système de santé et d’étudiants pour coconstruire son système d’information national, et en particulier l’outil permettant aux citoyens d’exercer leurs droits sur leurs données.
En France, 90% des consultations de médecine générale aboutissent à une prescription médicamenteuse*. En raison de la complexité de cet acte et de l’augmentation constante de la connaissance sur les médicaments, les logiciels d’aide à la prescription (LAP) se positionnent comme des outils indispensables pour épauler les médecins dans leur pratique.
Comme le mentionnait François Braun, Ministre de la Santé et de la Prévention, lors du colloque annuel du Health Data Hub, cette structure publique participe à ce que l’usage des données de santé dans la science et la recherche, révolutionne notre médecine moderne et façonne la manière de faire de la politique de santé. Au cours de ses trois années d’activités, le Health Data Hub s’est d’abord structuré, et il a enregistré des premiers résultats convaincants pour l’accélération de la recherche et de la compétitivité du pays. Stéphanie Combes, directrice du Health Data Hub et Gérard Raymond son vice-président, indiquent, de concert, que les prochains projets de la nouvelle feuille de route répondront à une demande renouvelée et croissante d’un accès plus rapide et facilité des données de santé et de faire de l’ouverture des données une norme.
Un module inédit pour la détection et l’adressage des patients à risque élevé de cancer du poumon lauréat dans l’appel à projets « Tiers lieux d’expérimentation » de la stratégie nationale Santé numérique France 2030
Prédire la réponse à l’immunothérapie des patients suivis pour un cancer du poumon et personnaliser la stratégie thérapeutique pour améliorer la qualité et l’espérance de vie des patients, tel est l’objectif du projet de recherche en Intelligence Artificielle « FEDERATED-PET » porté par le Pr Olivier HUMBERT, (Centre de Lutte Contre le Cancer Antoine Lacassagne/Université Côte d’Azur/3IA Côte d’Azur), en partenariat avec Marco LORENZI, chercheur au centre Inria d’Université Côte d’Azur dans l’équipe Epione et titulaire d’une chaire 3IA Côte d’Azur. Le projet a débuté en novembre 2022 et durera 3 ans. Il implique 8 hôpitaux français, 4 centres de recherche de renommée internationale et est lauréat 2022 du Programme de Recherche Translationnelle en Cancérologie (PRT-K) de l’Institut National du Cancer (INCa) – Direction Générale de l’Offre de Soins (DGOS).
Le 2 novembre 2022, le groupe Softway Medical fait l’acquisition de la société HISTONE, éditeur spécialisé en solutions pour laboratoires. Avec ce rachat, le leader français de l’informatique en santé complète de manière stratégique son offre à destination des acteurs de la e-santé et donne naissance à Softway Medical biologie.
Softway Medical, éditeur, hébergeur et intégrateur, a conquisle marché français avec sa solution Hopital Manager, qui constituela base d’un système d’information complet. Jean-Baptiste Franceschini, son directeur marketing et communication, nous détaille les atouts de l’entreprise.
La collaboration avec les équipes de VIDAL à permis à Odaiji d’être le premier éditeur à obtenir la nouvelle certification de la HAS pour la médecine ambulatoire.
Le MIT, l’Académie nationale de médecine et le Health Data Hub (HDH) ont organisé le 20 octobre la seconde édition du symposium « Artificial Intelligence and Medicine: promises and limits », durant lequel des experts américains et européens de l’IA en santé ont abordé des cas d’usage concrets.
L’instruction du 10 octobre 2022, publiée au Bulletin officiel Santé – Protection sociale – Solidarité le 17 octobre, précise la nouvelle orientation du programme SI-Samu et le mode d’accompagnement des Samu-Centres 15.
L’imagerie médicale est, depuis plusieurs années, l’un des domaines de la médecine où la révolution numérique provoque les plus grands changements. Désormais, une large partie des solutions PACS est proposée en usage Cloud, ce qui offre de nouvelles possibilités de consultation et d’usage, au niveau des groupes de radiologues publics et libéraux, mais aussi des cliniciens et des médecins généralistes. 2 semaines après les JFR, retour sur les grandes évolutions de l’imagerie.
Les accords du Ségur de la santé, signés en juillet 2020, ont consacré un volet numérique consistant dans l’investissement de 2 milliards d’euros au profit du développement du numérique en santé, avec comme objectifs affichés[1] de « rattraper le retard dans la modernisation, l’interopérabilité, la réversibilité, la convergence et la sécurité des systèmes d’information en santé », de sorte à « généraliser le partage fluide et sécurisé des données de santé ». Ce double objectif a été transposé au code de la santé publique imposant la conformité des services numériques en santé aux référentiels d’interopérabilité et de sécurité élaborés par l’Agence du Numérique en santé (ANS). Le volet numérique du Ségur s’articule en 6 couloirs distincts : hôpital, biologie, radiologie, médecine de ville, pharmacie et médico-social[2], avec, pour chacun d’eux, un dispositif de financement.
Le 10 octobre, l’AP-HP et l’Inria ont annoncé le lancement d’URGE, un projet de recherche pour analyser et optimiser les parcours des patients aux urgences grâce à un simulateur de flux.
L’utilisation simultanée de plusieurs fournisseurs d’accès promet aux établissements de santé un accès permanent et ininterrompu aux ressources d’Internet, qu’elles soient publiques, privées ou dans le Cloud.
Les systèmes de santé d'Europe et du Royaume-Uni sont sous pression pour maintenir les coûts à un niveau bas. Le passage au cloud pourrait permettre aux hôpitaux d'économiser 5 665 euros par lit d'hôpital et d’ainsi concentrer plus de ressources sur l’innovation tout en maitrisant leurs coûts.
Alors que les premières candidatures de l’appel à projets « Accompagnement et soutien à la constitution d’entrepôts de données de santé hospitaliers » vont être prochainement relevées, il est plus qu’utile d’interroger la constitution de tels entrepôts à l’aune du règlement européen sur la gouvernance des données (Data Governance Act - DGA) qui entrera en application dans moins d’un an, le 24 septembre 2023.
Sylvie Retailleau, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, François Braun, ministre de la Santé et de la Prévention, Jean-Christophe Combe, ministre des Solidarités, de l’Autonomie et des Personnes handicapées, Roland Lescure, ministre délégué chargé de l’Industrie, et Jean-Noël Barrot, ministre délégué chargé de la Transition numérique et des Télécommunications, avec Bruno Bonnell, secrétaire général pour l’investissement, présentent les 14 projets lauréats, sur les 198 projets déposés, de l’appel à manifestation d’intérêts « Santé numérique ». Ce soutien représente un investissement total de 97,9 millions d’euros, dont 55,6 millions d’euros d’aides.
Le premier Diplôme Universitaire international francophone sur les applications du métavers en santé ouvre en mars 2023 à Université Paris Cité.
La quatrième édition de l’événement Pharma HealthTech, organisé par Pharmaceutiques et TechToMed, était consacrée ce 21 septembre à l’intelligence artificielle. Lors de plusieurs tables rondes, les invités ont détaillé son potentiel, en rappelant qu’il reste à trouver le modèle d’affaires qui permettra de construire une stratégie économique performante et compétitive de la donnée.
Les nouveaux besoins des professionnels de la santé au travail, mis notamment en lumière par la crise du COVID-19, et accélérés par la réforme de la santé au travail (Loi du 2 août 2021), ont conduit Cegedim Santé, éditeur de solutions et services dédiés aux professionnels de santé, et Val Solutions, leader en France de solutions logicielles en prévention et santé au travail, à mettre en place un partenariat industriel. L’objectif est de permettre à tous les clients de Val Solutions - professionnels des services de santé au travail, entreprises privées et publiques – de pouvoir utiliser la solution de téléconsultation de dernière génération Maiia de Cegedim Santé pour améliorer le suivi médical de leurs 12 millions de salariés et agents, et développer la prévention, véritable enjeu de santé publique.
L’appel à candidatures « Expérimentations de téléconsultations assistées en médecine générale » de l’ARS Bourgogne – Franche-Comté est ouvert jusqu’au 2 septembre 2022.
L’Agence du numérique en santé continue ses concertations même au cœur de l’été. La première d’entre elles concerne Mon espace Santé ainsi que les spécifications des API d’interopérabilité, et la seconde les volets CI-SIS du projet de diffusion d’imagerie médicale du Ségur du numérique en santé.
Le 14 juin dernier le GHT Bourgogne Méridionale a démarré la généralisation du DPI Maincare IC sur un périmètre fonctionnel large. Pour le GHT l’objectif est double : contribuer à l’amélioration de la prise en charge des patients sur tout le territoire et à celle des conditions de travail des personnels médicaux et soignants à travers une solution nouvelle génération moderne et ergonomique. Maincare IC sera mis en production sur d’autres GHT en 2022.
Le 15 juin, le consortium AgorIA Santé a annoncé bénéficier de la première autorisation accordée par la Cnil à un consortium d’acteurs privés pour constituer un entrepôt de données de santé (EDS) avec un système fils du SNDS (Système national de données de santé).
La réglementation et les pratiques des pharmacies hospitalières sont en perpétuelles mutations. Pour y répondre, l’éditeur Computer Engineering a intégré de nouvelles fonctionnalités dans ses applications Pharma®, Chimio® et BMO®.
Avec le programme de l’Union Européenne pour la santé, institué par le règlement (UE) 2021/522 (EU4Health)[1] pour la période 2021-2027, l’UE investit 5,3 milliards d’euros dans des actions présentant une valeur ajoutée européenne, qui viennent compléter les politiques menées par les pays de l’UE.
À l’occasion du Congrès National Médecine et Santé au Travail (CNMST), qui se déroule au Palais de la Musique et des Congrès à Strasbourg du 17 au 19 juin 2022, Proginov présentera son offre d’hébergement de données de santé, dont le tout nouveau service de messagerie sécurisée MSSanté.
Dicsit Informatique est éditeur de logiciels de gestion pour les professionnels de santé à domicile avec la gamme DOMILINK. Leader sur le secteur de l’hospitalisation à domicile (HAD) avec 160 établissements équipés de la solution DOMILINK HAD (anciennement antHADine.net), c’est le 1er Dossier Patient Informatisé spécialisé pour les HAD à obtenir le référencement SEGUR sur les 3 DSR (Dossier de Spécifications de Référencement) du couloir hôpital : DPI (Dossier Patient informatisé), PFI (Plateforme d’Intermédiation) et RI (Référentiel d’Identité).
Avec l’évolution des technologies, l’omniprésence des NTIC à l’hôpital et dans la médecine de ville, le risque induit par le numérique a considérablement augmenté. Il s’est diffusé progressivement à l’ensemble des utilisations autour des soins, indépendamment du lieu et du rôle de l’acteur de santé.
Pour la seconde fois, Atlanpole Biothérapies, le pôle de compétitivité Santé du Grand-Ouest, était présent à SantExpo sur un stand collectif partagé avec sept entreprises de l’innovation en santé. Rencontre avec Florence Hallouin, directrice déléguée du pôle.
En janvier 2022, le Dr Arnaud Wilmet a pris ses fonctions de Directeur médical d’innova- tion en e-santé (CMIO) chez Nuance Communications, une société de Microsoft. Coup d’œil sur son rôle au sein de la société et sur le statut de l’IA conversation- nelle dans le paysage médi- cal français.
Cegedim Santé, éditeur de solutions et services dédiés aux professionnels de santé libéraux et Dedalus, éditeur de logiciels de soins de santé et de diagnostic à l’hôpital en Europe, multiplient les synergies entre leurs deux entités pour améliorer les parcours de soins entre la ville et l’hôpital. Dans ce cadre, le Centre Hospitalier du Centre Bretagne a choisi la solution collaborative des deux éditeurs pour étendre son accès aux patients et à la médecine de ville.
La médecine s’est toujours appuyée sur les nouvelles technologies pour améliorer les diagnostics et les traitements. On assiste à présent à une explosion des données de santé qui constituent le moteur de l’innovation d’une médecine qui s’adapte dans le même temps aux contraintes de la société moderne. Médecine personnalisée et services de santé à distance progressent au prix d’infrastructures informatiques toujours plus conséquentes qui expliquent le mouvement vers le cloud des organisations de santé.
Les professionnels de santé ont chaque jour de multiples raisons d’échanger avec leurs confrères pour le suivi de leurs patients. Au sein de leur hôpital, de leur cabinet, MSP, centre de santé, CPTS, mais aussi entre différentes structures, entre la ville et l’hôpital, pour organiser les parcours de soins. Rien de nouveau dans cette pratique, si ce n’est l’utilisation croissante d’outils grand public, simples et pratiques mais non sécurisés. De ce constat est né Maiia Chat !
L’organisation des parcours patients est un vrai casse-tête pour les établissements de santé. Les points d’entrée proviennent d’un parc de logiciels souvent hétérogène, sans liaison entre eux. Dès lors, plusieurs questions se posent : Comment obtenir une vision globale de tous les patients prévus ? Comment trouver une chambre à l’arrivée du patient et détecter les erreurs de placement ? Comment trouver les lits disponibles pour les urgences ?
Dans le cadre du Ségur du numérique en santé, les fournisseurs des couloirs Officine et Médico-social peuvent s’enrôler et déposer leurs demandes de financement sur le téléservice depuis fin avril. L’ANS a par ailleurs publié la liste des premières solutions référencées dans les différents couloirs.
Lifen et Synapse Medicine, deux start-ups healthtech françaises, s’allient pour faciliter la digitalisation de la pharmacie clinique dans les établissements hospitaliers français. En se connectant à Lifen Platform, Synapse Medicine facilite le déploiement de ses solutions dédiées à la pharmacie clinique dans plus de 600 établissements de santé.
Mi-avril, dans le cadre du Ségur, l’Agence du numérique en santé a lancé son édition 2022 de l’appel à projets « Structures 3.0 » centré sur les solutions numériques qui facilitent le travail des professionnels.
Le 15 avril 2022, l’Anap a lancé une plateforme nationale pour partager les solutions d’intelligence artificielle en santé et appelle les opérateurs à postuler. Elle a déjà référencé une vingtaine de projets.
Cegedim Santé propose, avec sa suite de solutions Maiia, une offre dédiée au système hospitalier. Elle vise à accompagner les professionnels de santé au quotidien (prise de rendez-vous en ligne, téléconsultation, téléexpertise, chat, etc.) mais aussi à décloisonner le parcours de soins en garantissant une sécurité de données maximale.
Dans le cadre de la mise en œuvre de l’avenant 9 à la convention médicale de 2016, la téléexpertise s’est ouverte à tous les professionnels de santé et à tous les Français le 1er avril dernier.
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