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L’éthique est un enjeu de la feuille de route du numérique en santé, en particulier de l’action 2 sur la relance du Conseil du numérique en santé. Pour former à cette dynamique, l’Espace éthique d’Île-de-France et l’Université Paris-Saclay lancent, en cette rentrée 2020, un diplôme universitaire (DU) intitulé « Éthique du numérique en santé ».
L’Agence du numérique en santé (ANS) a mis en ligne, mi-septembre, l’outil Convergence pour permettre aux industriels de mesurer leur conformité à la doctrine technique du numérique en santé.
Le groupe Dedalus confirme son engagement envers la feuille de route du numérique en santé, publiée par l’État en avril 2019.
Il est parfois difficile de décrire la gravité de la situation lors d’un appel téléphonique au 15. Depuis quelques mois, le SAMU 54 (CHRU de Nancy) utilise VisioSAMU afin obtenir des compléments visuels si nécessaires lors d’un appel en vue d’un diagnostic et d’une décision de prise en charge médicale. Ce projet de régulation grand public vise à proposer au SAMU une solution de visioconférence permettant d’envoyer une invitation simple et instantanée à la personne appelant le 15, de façon sécurisée. Une solution innovante et aidante pour les régulateurs médicaux.
Par Sébastien DEON, Directeur des Offres e-Santé chez Adista
Les souliers neufs chaussés, le masque haute couture sur le nez et le cartable tendance à peine enfilé qu’il faut déjà commencer à éviter les balles ! Alors que l’on tente de faire un point sur les actualités de l’été à ne pas rater, le CERT-FR de l’ANSSI nous annonce déjà des orages cyber !
L’acteur public du numérique en santé et leader en informatique hospitalière a nommé Mostafa LASSIK directeur général du MiPih, à l’issue du conseil d’administration du vendredi 10 juillet dernier. A compter du 7 août, il succède ainsi à Pierre MAGGIONI qui occupait ces fonctions depuis 1997.
Je ne sais pas si les projets de lois ubuesques imaginés par une poignées de sénateurs américains ont fait pencher la balance, mais la Cour de Justice de l’Union Européenne a invalidé jeudi 16 juillet, le « Privacy Shield », cet accord permettant de transférer les données à caractère personnel des ressortissants européens vers les États-Unis [1].
Engagé depuis plusieurs années dans une démarche de transformation digitale, avec la dématérialisation complète de ses courriers médicaux, le CHU de Rennes vient de franchir une nouvelle étape vers sa stratégie « zéro papier ».
Pour la première fois, une intelligence artificielle va analyser le contenu textuel des dossiers médicaux afin d’améliorer la prise en charge et le pronostic des patients.
L’APSSIS a le plaisir d’annoncer la première publication d’une série de plusieurs Guides à destination des professionnels du secteur. Conçus et élaborés par Cédric Cartau, RSSI/DPO du CHU de Nantes et Vice-président de l’APSSIS, ces guides se veulent à la fois accessibles, techniques et pratiques. Le premier opus traite d’un sujet qui anime régulièrement les discussions des RSSI, des DSI et des chefs de projet : les mots de passe.
Le Salon SantExpo, du 7 au 9 octobre 2020, à Paris, sera notamment l’occasion de tirer les enseignements de la crise sanitaire sur l’évolution de la télémédecine. En avant-première, DSIH donne la parole à Pierre Traineau, directeur général du Catel, partenaire du salon, et à trois exposants.
L’identifiant national de santé (INS), unique et propre à chacun, devra systématiquement être utilisé pour référencer les données de santé à partir du 1er janvier 2021. L’Agence du numérique en santé a donc ouvert une concertation jusqu’au 27 juillet pour faire évoluer le cadre d’interopérabilité des systèmes d’information de santé et « permettre l’échange de données de santé intégrant l’INS ».
L’éditeur de logiciels hospitaliers MiPih reçoit en juin l’autorisation Identifiant National de Santé intégré (INSi) pour son logiciel de Gestion Administrative du Patient (GAP), Pastel. Une première pour un éditeur e-santé d’envergure nationale.
NEHS DIGITAL et le groupement e-Santé Occitanie (GRADeS) organisent un webinar pour faire le point sur le projet de la plateforme de télémédecine TéléO mis en place pendant la période de crise.
Une des plus importantes polémiques générées par la crise du Covid 19 est sans aucun doute la question de l’externalisation de la production des masques (FFP2, etc.), en l’occurrence en Chine, et qui a mené à la pénurie que l’on sait. Il est très facile, après coup, de jouer les donneurs de leçons sur ce sujet : comme le fait très justement remarquer Olivier Sibony (voir à ce sujet son excellente conférence ), si la question avait été aussi triviale nous n’aurions pas constaté un consensus quasi-général, à la fois national et international.
Sincèrement, je pensais qu’après les ratés en série dès l’annonce de StopCovid – annonce faite sans vérifier les possibilités techniques du Bluetooth sur les iPhone entre autres – on verrait ce machin tomber lentement mais sûrement dans les oubliettes. Mais non : on va y avoir droit (force est de constater que l’on ne pourra pas reprocher un manque de constance). Petits rappels.
Dès le lendemain de l’ouverture de la plateforme G_Nius, l’Agence du numérique en santé lançait le premier appel à projets du programme Structures 3.0, centré sur les acteurs du social et du médico-social.
Les professionnels ont besoin d’une description opérationnelle de l’offre de santé afin de faciliter l’orientation des patients vers les structures les plus adaptées à leurs besoins. Le Répertoire Opérationnel des Ressources (ROR) est en Île-de-France le référentiel recensant l’ensemble de l’offre de santé. Il permet également de connaître la disponibilité en lits en temps réel des services de réanimation, soins intensifs et unités de surveillance continue.
La prorogation de l’état d’urgence a permis d’adopter le principe d’un système d’information de données de santé à plusieurs entrées pour « tracer » les patients Covid-19 dans le cadre du déconfinement.
Le 6 mai, une dizaine d’organisations représentant les usagers de la santé, les médecins et les industriels affirme d’une seule voix les principes de construction d’un cadre national en matière de numérique en santé.
Alors qu’elle continue à être l’objet de controverse, l’appli StopCovid est toujours d’actualité pour le gouvernement. Selon sa porte-parole, elle devrait être prête d’ici à un mois.
Les services de télémédecine peuvent permettre de limiter la propagation du virus et d’assurer la prise en charge et la continuité du suivi médical des patients confinés à domicile atteints ou suspectés du Covid-19. Dans le contexte de la crise sanitaire du Covid-19, le SIB étend son offre de télémédecine sur l’ensemble du territoire national et met gratuitement à disposition des établissements de santé les volets téléconsultation et télésuivi.
Afin de préparer et d’accompagner le déconfinement qui doit débuter le 11 mai, Nouveal e-santé a mis gratuitement à disposition de l’ensemble des médecins et des infirmiers libéraux de France métropolitaine son application Covidom. La solution développée en collaboration avec l’AP-HP permet déjà de suivre à distance plus de 60 000 patients porteurs du Covid-19 ou suspectés de l’être.
Alors que la liste des patients atteints de Covid-19 s’allonge de jour en jour, l’e-santé devient leur seule porte de sortie avant l’hospitalisation. Dans ce contexte, la téléradiologie apparaît comme le moteur de la lutte contre la pandémie, et les bases de données images s’avèrent essentielles à la recherche sur les pathologies liées au virus.
Depuis plusieurs semaines, l’ensemble des 133 établissements français du groupe Ramsay Santé, l’un des leaders européens de l’hospitalisation privée et des soins primaires, est mobilisé dans la lutte contre l’épidémie de Covid-19. Le groupe qui accueille à ce jour près de 1 500 patients atteints par le nouveau coronavirus dans ses lits, sur tout le territoire national, a également souhaité s’engager dans la surveillance des patients à distance. Il a pour cela choisi d’intégrer le dispositif Covidom. Ce dispositif de télésuivi des patients porteurs du Covid-19 va être déployé dans la majorité des hôpitaux et cliniques de Ramsay Santé de France.
Au terme d’une consultation de trois mois relative à l’accord cadre national porté par le Resah, la commission multidisciplinaire qui s’est tenue le 19 mars a fait le choix du consortium porté par Maincare Solutions pour son futur service e-Parcours. Baptisé Parceo, il sera proposé aux professionnels de santé du Grand Est par le Groupement régional d’appui au développement de le e-santé Grand Est Pulsy dès septembre 2020. Ce bouquet de services, qui s’inscrit dans la stratégie de transformation numérique du plan « Ma Santé 2022 », permettra de faciliter la coordination entre les acteurs de santé du Grand Est et d’améliorer le suivi des parcours de soins.
L’épidémie de coronavirus oblige les DSI à adapter les systèmes d’information pour maintenir en bon ordre de marche la machine hospitalière. Christine Pichon, directrice des systèmes d'information du CHU Rennes, nous fait partager l’impact de la crise dans son établissement.
L’épidémie de coronavirus oblige les DSI à adapter les systèmes d’information pour maintenir en bon ordre de marche la machine hospitalière. Christine Pichon, directrice des systèmes d'information du CHU Rennes, nous fait partager l’impact de la crise dans son établissement.
La situation inédite que nous vivons aura amené de nombreuses entreprises, institutions, administrations, sans oublier nos établissements de santé, pas toujours prêts, à mettre en place du télétravail, conformément à la volonté du gouvernement. Cette semaine, nous avons décidé de croiser nos plumes, préalablement désinfectées par friction hydro-alcoolique, pour réfléchir sur le sujet. Cédric s’étant penché sur le volet « usage », je vous propose de nous intéresser au volet « technique ».
Les hôpitaux du Groupement Hospitalier de Territoire de Vendée (GHT85) utilisent depuis cette semaine une nouvelle solution pour répondre au besoin de réaliser des consultations ou des avis médicaux indispensables, tout en limitant les déplacements. La crise sanitaire actuelle nécessite d’adapter les modes de prise en charge des patients. Le principe retenu est celui d’une visioconférence sécurisée entre le médecin et le patient. L’outil a été développé par le groupe SYD, basé à Saint-Herblain (44) pour répondre au besoin des hôpitaux vendéens.
La plateforme MediConsult, parfaitement sécurisée, pourra être intégrée aux services régionaux déjà disponibles. A partir de leur poste de travail et d’un simple accès Internet, les médecins peuvent accéder à 3 fonctions de base pour gérer leur file active de patients : téléconsultation, télérégulation (SAMU) et télésuivi à domicile.
nehs, créé par la Mutuelle Nationale des Hospitaliers, propose une offre globale de services à la personne et de services métiers, totalement dédiée aux professionnels de santé et aux établissements. Face au coronavirus, ses équipes se sont mobilisées pour construire, en un temps record, des réponses à la crise sanitaire Covid-19.
L’Académie Francophone de Télémédecine et de e-Santé, société savante et pionnière de la télémédecine propose, suite au décret n’2020-227 du 9 mars 2020 et de la crise sanitaire actuelle du COVID-19, une grande souscription nationale pour créer un fond de solidarité dédié à la télémédecine en France.
MiPih, éditeur public français de logiciels e-santé, et l’Union Régionale des Professionnels de Santé (URPS) – Médecins Libéraux Occitanie s’engagent contre la propagation du Covid-19 en rendant accessible gratuitement leur outil de téléconsultation Medicam à tous les médecins de France. Entièrement sécurisée, conforme à la règlementation encadrant l’acte médical, la plateforme entend prévenir des risques et dérives autour de la protection des données de santé.
Dans un précédent article, nous avons examiné deux solutions d’anonymisation et notamment celle d’Arcad Software.
Les erreurs médicamenteuses constituent un enjeu de santé publique majeur à travers le monde. Selon l’OMS qui a lancé en 2017 un défi Mondial sur 5 ans pour réduire de 50 % ces erreurs, leur coût représenterait 1 % de l’ensemble des dépenses de santé au niveau international. Plus grave encore, rien qu’aux États-Unis les erreurs médicamenteuses causent un mort par jour et des lésions chez 1,3 million de personnes chaque année. La chimiothérapie qui utilise des molécules toxiques nécessite une grande vigilance, pour limiter les erreurs de préparation.
Consulter son médecin généraliste aidé d’une IA qui capte en direct toutes les informations médicales échangées et remplit les dossiers de suivi médicaux : cela ressemble à de la science-fiction, et pourtant cette situation existe déjà dans certains cabinets médicaux aux Etats-Unis. Et dans peu de temps, l’Europe connaîtra à son tour cette avancée technologique.
À l’occasion de SantExpo, du 26 au 28 mai, porte de Versailles à Paris, la deuxième édition des Trophées Innovation récompensera les applications et les projets innovants en santé.
Je suis tombé plusieurs fois déjà sur le même phénomène concernant les logiciels du cœur de métier dans un établissement de santé – le soin –, et même s’il ne constitue en rien une généralité, je le trouve tout simplement scandaleux.
L’APSSIS a été évaluée et jugée conforme par AFNOR Certification le 13 février 2020 aux exigences requises par le décret n°2019-564 du 6 juin 2019 relatif à la qualité des actions de la formation professionnelle et le décret n° 2019-565 du 6 juin 2019 relatif au référentiel national sur la qualité des actions concourant au développement des compétences, mentionné à l’article L.6316-3 du code du travail ainsi que selon l'arrêté du 6 juin 2019 relatif aux modalités d'audit associées au référentiel national mentionné à l'article D. 6319-1-1 du code du travail.
Mercredi 19 Février 2020, l’Agence Régionale de Santé de Guyane annoncera officiellement le lancement du projet « PEPITES », nom donné à sa « Plateforme d’Echange et de Partage Informatisée Territoriale En Santé » du territoire guyanais, intégrant une solution de Dossier Patient Informatisé portée par l’éditeur Softway Medical.
La Conférence nationale du handicap se tient ce mardi 11 février, à l’Élysée. En prévision, mercredi dernier, le Conseil national du numérique a publié ses recommandations pour améliorer l’accessibilité numérique des personnes handicapées. Une opportunité aussi en termes d’innovation.
Le 4 février à Paris, le MiPih a remporté le Prix national des Bonnes Pratiques dans la catégorie des Entreprises de Taille Intermédiaire. Ce Prix, attribué par France Qualité, récompense la Forge logicielle : une pratique collaborative et innovante au service de la qualité de l’ERP Prodige.
En lien avec l’ANAP et l’ANS, la direction générale de l’offre de soins (DGOS) a organisé le 24 janvier au ministère une journée nationale dédiée au programme HOP’EN et à la présentation de son plan d’action, qui s’inscrit dans le cadre de la stratégie Ma santé 2022 et de son volet numérique dont il constitue l’action 19.
Le GHT des Landes a choisi Maincare IC de Maincare Solutions pour faire converger ses systèmes d’information. La nouvelle plateforme doit permettre au GHT de conforter sa stratégie d’ouverture sur la ville, tout en permettant aux professionnels de santé de bénéficier d’outils plus ergonomiques et adaptables à leurs pratiques.
Le 2 décembre 2019, le Comité consultatif national d’éthique pour les sciences de la vie et de la santé (CCNE) a constitué le Comité pilote d’éthique du numérique, dont l’objectif est « à la fois de remettre des premières contributions sur l’éthique du numérique et de l’intelligence artificielle et de déterminer les équilibres pertinents pour l’organisation du débat sur l’éthique des sciences et technologies du numérique et de l’intelligence artificielle ».
Cerner a été référencé par le groupement d’intérêt public Resah (Réseau des Acheteurs Hospitaliers) pour son offre de dossier patient informatisé au sein des Groupements Hospitaliers de Territoire. Dr Gilles Launay, Directeur des Ventes Cerner France, nous explique le contexte et les enjeux de ce nouvel accord-cadre.
Le 25 novembre dernier, Docaposte a organisé sa première édition des 3 Sphères, un événement dédié à l’e-santé et aux professionnels du secteur avec une question iconoclaste : « La e-santé peut-elle rendre plus heureux ? »Interview de Régis Sénégou, directeur du marché e-santé chez Docaposte.
Fin novembre, Docaposte a organisé sa première édition des 3 Sphères, un événement dédié à l’e-santé et aux professionnels du secteur avec une question iconoclaste : « La e-santé peut-elle rendre plus heureux ? » ; l’occasion pour Docaposte de présenter son think tank « Les 3 Sphères ».
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