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En appui du programme MaSanté2022, NEHS DIGITAL et Tessi ont choisi de nouer un partenariat technologique et commercial afin de proposer une offre combinée et différenciante, dédiée à la digitalisation du parcours de soins patient. L’objectif ? Faciliter l’accès aux soins du patient et simplifier le partage d’information pour chaque usager : patient, médecin prescripteur et professionnel de santé, et proposer une offre complète en réponse aux enjeux des établissements.
Après le « cas contact », la notion de personne « co-exposée » a fait son apparition dans un décret publié au Journal Officiel le 21 janvier dernier.
La 3ème édition du D4 Evolution a été l’occasion pour le groupe de dévoiler les priorités de 2021, notamment avec l’évolution de la plateforme D4U, son accélération vers la digital pathology, le lancement en France de sa gamme Clinalytix et ses services managés.
Le rapport annuel sur les expérimentations innovantes en santé montre un renforcement de l’innovation et une montée en capacité des acteurs de santé dans le contexte de la crise sanitaire.
Fort de la proximité avec les professionnels et les établissements de santé et du social depuis plus de 60 ans, la Mutuelle Nationale des Hospitaliers et sa filiale NEHS DIGITAL se mobilisent et s’engagent une fois encore aux côtés des soignants pour faire face à la crise sanitaire.
Le niveau de confidentialité de la prescription de statines de ma grand-mère de 93 ans doit-il être le même que celui du compte rendu opératoire de la tumeur cérébrale de mon oncle de 52 ans ? Cette interrogation relève-t-elle du domaine éthique, philosophique juridique ? Le sujet est important car, à ce jour, rien ne les différencie. Les données de santé à caractère personnel des Français sont classées ultrasensibles, sans aucune hiérarchie. Ainsi, un Ehpad est soumis à la même réglementation qu’un centre hospitalo-universitaire, dont principalement le règlement général sur la protection des données (dit RGPD), qui oblige le responsable de traitement, c’est-à-dire le directeur ou la directrice, à mettre en œuvre toutes les mesures de sécurité requises adaptées à la sensibilité du traitement.
Outre leur impact direct sur le bénéfice thérapeutique, diagnostique ou de compensation du handicap évalués pour le patient, les technologies de santé peuvent avoir un impact sur l'organisation des soins et les acteurs impliqués. Afin que l'impact organisationnel puisse être documenté lors d'un dépôt de dossier d'évaluation d'un produit de santé et dans le cadre de l'évaluation d'un acte professionnel, la HAS publie aujourd'hui une cartographie qui vise à la fois à définir ces impacts organisationnels et à proposer des critères permettant d'en mesurer les effets ou de les argumenter, au travers d'un guide méthodologique. Ce premier travail sera poursuivi par l'intégration de ces éléments dans les évaluations des commissions et du collège de la HAS.
Le 23 décembre, Éric Bothorel, député des Côtes-d’Armor, a remis au Premier ministre son rapport sur la politique publique de la donnée, des algorithmes et des codes sources.
L’Association française des ingénieurs biomédicaux a présenté ses recommandations pour améliorer la sécurité numérique des équipements biomédicaux lors d’un webinaire le 15 décembre dernier.
Premier acteur public du numérique en santé, MiPih est le leader en informatique hospitalière. Fort de la confiance numérique instaurée avec ses 625 adhérents, MiPih met à disposition des décideurs publics et de l'ensemble des acteurs de santé, une offre de dématérialisation, de signature électronique, d'archivage électronique et de coffre-fort numérique, avec un accompagnement sur mesure.
La feuille de route du numérique en santé prévoit la tenue de plusieurs groupes de travail au sein du Conseil du numérique en santé. Le groupe « Structuration de la filière Santé numérique » a publié le 4 décembre son rapport d’étape.
Le Congrès de la SFSD s’est déroulé début décembre. Quatre jours de congrès 100 % digital et en réalité virtuelle, sans doute à l’inverse de ce que doit être la santé de demain. Il s’est terminé le vendredi 4 décembre avec une session sur la place de la télémédecine dans la santé de demain
Calendrier du programme, impacts sur les DSI hospitalières et les éditeurs, choix du DUI, AMOA : entretien à 360° avec Myriam Danyach-Deschamps, directrice du programme ESMS numérique à la Direction des établissements et services médico-sociaux – Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA).
Fin novembre, les députés en commission des Affaires sociales ont rejeté une proposition de loi sur la création d’une carte Vitale biométrique, dans la mesure où une expérimentation est déjà en cours sur l’e-carte Vitale.
Le 1er décembre 2020, le premier module(1) d’Eudamed, la base de données sur les dispositifs médicaux, a été lancé. L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé encourage les opérateurs établis en France à s’enregistrer.
L’expérience patient est un enjeu essentiel pour les établissements de santé, soucieux de construire une relation hôpital-patient durable. Des services et solutions numériques existent pour améliorer la qualité de la prise en charge médicale et la coordination du parcours de santé.
AKLIA, spécialiste de l’accueil et du confort des patients lors de leurs hospitalisations dans un établissement de santé et TAKTIK qui développe des plateformes logicielles uniques et possède une expertise technologique de pointe annoncent la conclusion d’un partenariat stratégique innovant. Cet accord vise à proposer une offre différenciante de communication digitale, de divertissement et de e-hospitalité aux patients présents dans les 500 établissements de santé dans lesquels AKLIA est présent.
Dans une décision rendue le 25 novembre, le Conseil d’État annule le décret du 26 décembre 2018 relatif aux départements d’information médicale pour absence de mesures de protection techniques et organisationnelles des données identifiantes des patients.
Les couloirs de cet immeuble moderne proche de la gare Montparnasse bruissent d’une agitation inhabituelle. On voit plusieurs personnes courir d’un bureau à l’autre. Entre les mains des protagonistes circule un document, témoin passant entre les coureurs d’une équipe de relais. Le document finit sa course sur le bureau de la patronne qui y jette une dernière fois un regard aiguisé.
La doctrine technique du numérique en santé est remise en concertation jusqu’au 10 janvier 2021. La première version, publiée en octobre dernier, avait donné lieu à une première concertation (1) fin 2019 compilant plus de 250 contributions.
À partir du 1er janvier 2021, les données de santé devront être référencées avec l’identité INS. Elles seront accessibles aux seuls acteurs de la santé et du médico-social via le téléservice INSi. Le GIE Sesam-Vitale annonce qu’à la mi-novembre 34 éditeurs de logiciels ont d’ores et déjà obtenu leur autorisation INSi.
Réalisée après la première vague de Covid 19, l’enquête d’opinion nationale « Les Français et le virage numérique en santé » dresse le bilan des perceptions et attentes des Français.
Petite bombe dans le domaine juridique en matière de SSI, la CJUE vient de déclarer illégale la réglementation française qui impose à tous les acteurs de conserver les logs de connexion et de navigation Internet des citoyens/usagers. Un article de Winston Maxwell(1) traite la question. Il est court et vaut vraiment la peine d’être lu en détail.
arretmaladie.fr et docteursecu.fr, deux sites Internet proposant des arrêts maladie à distance, ont été condamnés à une fermeture définitive par le tribunal judiciaire de Paris, notamment pour non-respect des règles de la télémédecine et absence de protection des données de santé.
La Cnil a entériné la constitution de l’observatoire national SantéDom Stat. Une première pour une telle structure sous la coresponsabilité d’organisations professionnelles (Fedepsad, UNPDM et Upsadi).
La cérémonie du Prix Unicancer de l’innovation s’est déroulée en version digitale le 3 novembre 2020 lors de la Convention nationale des Centres de lutte contre le cancer (CLCC). Seul prix exclusivement consacré à l’innovation en cancérologie en France, il vise depuis sa création en 2014 à encourager et à faire connaître les travaux d’excellence réalisés dans les CLCC, dans de nombreux domaines. Cette année, compte tenu du contexte sanitaire et de la forte mobilisation des équipes dans cette situation particulière, la sixième édition a privilégié une seule et même catégorie résolument tournée vers l’avenir : l’Intelligence Artificielle et les Data Sciences.
Le 26 octobre, la FNEHAD a annoncé la sortie du Livre blanc de l’e-santé en HAD, élaboré en partenariat avec la Société française de santé digitale (SFSD). Il ambitionne de placer l’hospitalisation à domicile à l’avant-garde du numérique en santé.
Il y a quelque temps, un de mes disques durs perso tombe en rade : le truc bête, le bruit de la tête du peigne de lecture qui couine dans le boîtier, deux ou trois redémarrages à la sauvage, rien n’y fait, le Mac ne reconnaît plus le disque. Bref, au bout de cinq minutes je savais à quoi m’en tenir : HS et plus rien à en tirer. Bon, ce n’était jamais que mon disque de sauvegarde, celui où je stocke toutes les versions de Blanche-Neige et l’intégrale de Fritz Lang (dans le domaine public, n’allez pas vous imaginer que je télécharge sur des sites illégaux !), mais il fallait tout de même en changer. 150 euros les 3 To à la Fédération nationale d’achat des cadres, mieux que de passer du temps à tenter une réparation hasardeuse, Avant de mettre le disque à la poubelle, dans l’éventualité où un malfaisant viendrait me chiper mes fichiers, ni une ni deux, je décide de procéder à un effacement définitif des données. Et c’est là que les choses se compliquent singulièrement.
C’est autour des parcours de soins coordonnés que gravitent une grande partie des enjeux du SI de Santé dans les années à venir. Comment cette orientation majeure va-t-elle impacter la stratégie des directions des services numériques ? Où vont-elles devoir positionner leurs efforts ?
À l’occasion de la 10e édition du Catel Paris, le collectif Téléconsultation a présenté des fiches pratiques à destination des différents acteurs du soin.
La création de la Direction du Numérique en Santé (DNS) et de l’Agence du Numérique en Santé (ANS), la feuille de route et la concertation nationale ont profondément renforcé l’alignement entre les stratégies nationales et régionales. La construction d’une vision collective, partagée, des priorités et des modes d’actions se poursuit avec l’ensemble des acteurs. Dans ce nouveau contexte, les Groupements Régionaux e-santé ont besoin de construire une vision commune des enjeux, des leviers et des freins et de la porter collectivement auprès des acteurs nationaux et institutions de l’e-santé.
Après une première concertation en septembre de l’année dernière, l’ANS actualise la doctrine technique du numérique par une nouvelle concertation ouverte depuis fin septembre.
Réussir un projet informatique c’est difficile, bien plus que de le rater. Mais ce qui est encore plus difficile c’est de l’arrêter au beau milieu en osant reconnaître que l’on s’est trompés. C’est exactement ce qui est en train d’arriver aux pouvoirs publics avec le Health Data Hub (HDH) : dans 40 ou 50 ans dans les promotions des écoles de management, pendant le cours des plus beaux fails de la prise de décision à haut niveau, nul doute que l’affaire des avions renifleurs sera traitée dans la même session que celle du Health Data Hub. Ainsi, selon Mediapart la CNIL demande que Microsoft cesse d’héberger le HDH[1].
Pulsy, le CHRU de Nancy et le Groupe Pharmagest : 3 structures au service des acteurs de santé
Afin de simplifier l’arrivée des patients et dans sa démarche de digitalisation, l’Hôpital Fondation Adolphe de Rothschild a installé des bornes interactives à l’accueil de son établissement. Ces bornes permettent de fluidifier le trafic aux guichets d’accueil, de faciliter l’enregistrement des patients et d’automatiser les démarches administratives.
Le groupe Dedalus confirme son engagement envers la feuille de route du numérique en santé, publiée par l’État en avril 2019.
Créée en 2016 par le Dr Arnaud Rosier, la plateforme Implicity pour la télésurveillance des dispositifs électroniques cardiaques implantables permet d’améliorer la prise en charge des patients souffrant de troubles du rythme cardiaque et d’optimiser l’activité de télésuivi des centres médicaux. Elle est notamment utilisée dans l’unité de rythmologie du service de cardiologie du CHU Grenoble-Alpes.
2020 a marqué un profond tournant dans les échanges entre les professionnels de santé et leurs patients.
Les souliers neufs chaussés, le masque haute couture sur le nez et le cartable tendance à peine enfilé qu’il faut déjà commencer à éviter les balles ! Alors que l’on tente de faire un point sur les actualités de l’été à ne pas rater, le CERT-FR de l’ANSSI nous annonce déjà des orages cyber !
Dans le cadre de la lutte contre l’épidémie de Covid-19, le gouvernement avait décidé d’assouplir de manière temporaire les conditions d’exercice des téléconsultations, afin de limiter les déplacements au sein des cabinets médicaux (décret n° 2020-227 du 9 mars 2020 « adaptant les conditions du bénéfice des prestations en espèces d’assurance maladie et de prise en charge des actes de télémédecine pour les personnes exposées au Covid-19 », décret n° 2020-277 du 19 mars 2020 « modifiant le décret n° 2020-73 du 31 janvier 2020 portant adoption de conditions adaptées pour le bénéfice des prestations en espèces pour les personnes exposées au coronavirus », et arrêté du 23 mars 2020 « prescrivant les mesures d’organisation et de fonctionnement du système de santé nécessaires pour faire face à l’épidémie de Covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire »).
Trois nouveaux référentiels sur la conservation des données de santé ont été mis en ligne sur le site de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) le 28 juillet dernier. Leur objectif est d’aider les responsables de traitement concernés dans la gestion des traitements courants des cabinets médicaux et paramédicaux ainsi que dans le choix de la durée de conservation des données.
L'Agence nationale d'appui à la performance des établissements de santé et médico-sociaux (Anap) vient de publier un kit à destination de l’ensemble des structures sanitaires et médico-sociales, rassemblant les ressources utiles pour leur permettre une mise en conformité avec le règlement général sur la protection des données (RGPD).
Le projet “Precision Predict” a été nommé lauréat de l’appel à projets “L’IA pour une expérience améliorée du système de santé” du Health Data Hub (HDH). Il est le fruit d’une collaboration de cliniciens et de chercheurs de neuf Centres de lutte contre le cancer (CLCC), pour mieux comprendre l’hétérogénéité de réponse des cancers bronchiques aux thérapies ciblées. Cette réussite a été possible grâce à l’utilisation de Consore, le moteur de recherche pour le Big data en cancérologie, développé par Unicancer.
Evaluer le service rendu par le numérique aux patients et aux professionnels reste un enjeu. Comment les convaincre d’adhérer, si on ne sait pas faire la preuve de l’intérêt à y aller !
Les établissements et services médico-sociaux se lancent dans la numérisation du parcours des résidents. Une transition loin d’être évidente si l’on se réfère aux difficultés rencontrées par les Ehpad durant la crise du Covid-19 pour adopter ces nouveaux outils. Comment le numérique peut-il prendre sa juste place dans les ESMS ? Catherine Philippe, directrice d’ESMS depuis plus de 15 ans, manager de transition et ambassadrice à l’Anap depuis 2014, nous livre son analyse sur cette évolution, son contexte et les conditions de sa réussite.
Le Salon SantExpo, du 7 au 9 octobre 2020, à Paris, sera notamment l’occasion de tirer les enseignements de la crise sanitaire sur l’évolution de la télémédecine. En avant-première, DSIH donne la parole à Pierre Traineau, directeur général du Catel, partenaire du salon, et à trois exposants.
L’éditeur de logiciels hospitaliers MiPih reçoit en juin l’autorisation Identifiant National de Santé intégré (INSi) pour son logiciel de Gestion Administrative du Patient (GAP), Pastel. Une première pour un éditeur e-santé d’envergure nationale.
L’épisode le plus critique de l’épidémie liée au nouveau coronavirus s’éloigne. Les entreprises reprennent petit à petit leurs activités. DSIH a voulu savoir comment les éditeurs de solutions numériques de santé avaient géré cette période sans précédent. Il nous a paru intéressant de les interroger également sur leur vision de l’après-Covid. Christophe Boutin, président de Maincare Solutions, inaugure cette série d’entretiens.
Fin mai, l’Anap a publié un guide destiné aux DSI et aux chefs de projets Hop’en pour les aider à produire efficacement les indicateurs d’usage. Il complète le Guide des indicateurs des domaines prioritaires du socle commun de la DGOS.
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