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Les Assises de la sécurité à Monaco sont « une véritable réunion de famille », comme l’a indiqué en patriarche Guillaume Poupard, dont la conférence d’ouverture est toujours attendue comme une grand-messe pour les paroissiens de la cybersécurité.
Dans un entretien accordé à DSIH Magazine (1), Cédric O, secrétaire d’État chargé du numérique (2), nous livre son analyse de la transformation numérique en examinant ses conséquences à l’échelle de la France, mais aussi des citoyens et du secteur de la santé. Au cœur des préoccupations gouvernementales : l’emploi, la fracture numérique et la régulation. Morceaux choisis.
Le centre hospitalier de Douai s’est tourné vers la plateforme de digitalisation de la production de soins Maincare IC pour moderniser son dossier patient informatisé. Une évolution qui s’inscrit dans une démarche d’ouverture vers la ville et de responsabilité populationnelle.
Les 7es Rencontres du progrès médical du Snitem, qui se sont tenues la semaine dernière, étaient centrées sur l’innovation pour tous. Elles ont été l’occasion de s’interroger sur l’impact de l’innovation dans l’organisation des soins.
Les 7es Rencontres du progrès médical du Snitem,qui se sont tenues la semaine dernière, étaient centrées sur l’innovation pour tous. Elles ont été l’occasion de s’interroger sur le positionnement du patient dans le développement des dispositifs médicaux.
« Développer le recours à la télésanté (télémédecine et télésoin) », telle est l’une des missions désormais obligatoires des communautés professionnelles territoriales de santé (CPTS) souscrivant à l’accord conventionnel interprofessionnel signé le 20 juin 2019 et approuvé par arrêté publié au Journal officiel le 24 août dernier[1].
Ça y est, c’est l’odeur des cartables neufs, des Bic sous blister et des chaussures toutes neuves qui font mal aux petons : il est temps de faire le bilan de l’été. Parce qu’il n’y a pas eu que la canicule, fallait se tenir un minimum informé.
Le ministère des solidarités et de la santé renforce ses actions d’anticipation au vu de la cybermenace actuelle et des enjeux pour la santé publique. Il a donc été décidé d’organiser un exercice de type cyberattaque sur le secteur de la santé, similaire à la cyberattaque mondiale de type rançongiciel (1) qui avait paralysé une partie des établissements de santé (NHS) du Royaume-Uni en mai 2017.
Comme un fait exprès, dans la même quinzaine nous tombons sur deux news, apparemment sans rapport, mais à y regarder de plus près en fait de rapport il y a.
La canicule n’en refroidit pas certains apparemment, tout du moins si l’on se fie aux dernières breaking newssur le RGPD sous toutes ses formes, pendant cette dernière quinzaine. Que l’on en juge.
La mise en place des groupements hospitaliers de territoire (GHT) implique, au plan numérique, une convergence des systèmes d’information (SI) des établissements parties du groupement, l’objectif étant d’aboutir à un SI commun.
Le règlement général européen sur la protection des données à caractère personnel (RGPD), impose aux responsables de traitements de notifier les violations présentant un risque pour les droits et libertés des personnes à la CNIL.
Dans le cadre de sa stratégie de territoire, le Centre Hospitalier de Douai souhaitait s’équiper d’un Dossier Patient Informatisé multi-établissements de nouvelle génération. Couvrant un bassin de population d’environ 250 000 habitants et actif historiquement sur sa stratégie territoriale « hors les murs », le Centre Hospitalier de Douai va également mettre à profit la plateforme Maincare IC et sa technologie Idéo dans le cadre de l’expérimentation nationale de responsabilité populationnelle lancée dans le cadre du dispositif « innovation en santé » de l’article 51 pour laquelle il est l’un des 5 territoires français retenus.
Le coup d’envoi sera donné le 5 septembre au Grand Palais de Lille. Pendant six mois, Dominique Pon et Laura Létourneau, respectivement responsable et déléguée ministériels de la délégation du Numérique en santé vont aller à la rencontre des territoires. Pour les accompagner, des acteurs institutionnels feront le voyage. Comme l’Asip Santé, qui a accepté de répondre à nos questions.
La révolution numérique est largement engagée dans le champ de la santé, et s'esquisse dans le champ social et médico-social : accès facilité aux soins et aux accompagnements, mobilisation des données, amélioration des pratiques professionnelles et des parcours, recours à l'intelligence artificielle. Autant de promesses qui imposent d'agir dès à présent pour que le numérique apporte des solutions utiles et efficaces. Dans un rapport prospectif qu'elle publie ce jour, la HAS développe 29 propositions pour une mobilisation de tous : usagers, professionnels, industriels et Etat.
CompuGroup Medical, acteur majeur de la e-santé en France, équipe près d’1 médecin sur 2 avec ses logiciels médicaux1. A l’occasion de la Paris Healthcare Week 2019 (21-23 mai), CompuGroup Medical lance CLICKDOC, la première plateforme de rendez-vous médicaux en ligne qui se synchronise d’emblée au logiciel métier des professionnels de santé. C’est aussi la solution e-santé la plus complète proposée aux praticiens à un prix très concurrentiel. Gratuite pour les patients, CLICKDOC va aussi plus loin dans son offre avec un service original unique « On appelle pour vous », qui prend le rendez-vous avec le praticien au nom du patient … même si le praticien n’est pas encore sur CLICKDOC.
La déclaration des incidents de sécurité des SI de santé a été gravée dans le marbre avec l’article L1111-8-2 du Code de la santé publique [1]. Le décret du 12 septembre 2016 [2] a fixé l’entrée en vigueur de cette obligation à la date du 1eroctobre 2017, et indiqué que tous les incidents ayant des conséquences potentielles ou avérées sur la sécurité des soins, des conséquences sur la confidentialité ou l'intégrité des données de santé ou portant atteinte au fonctionnement normal de l'établissement, de l'organisme ou du service, devraient être déclarés.
On peut lire et entendre de plus en plus fréquemment le terme de « Health Data Hub » lorsque l’on s’intéresse aux problématiques de santé numérique. Cette notion a été officiellement introduite en France suite à la remise du rapport Villani [1]en mars 2018, qui se penche sur la stratégie nationale en termes d’Intelligence Artificielle et donc d’exploitation des données. En juin 2018, le terme Health Data Hub est repris pour faire l’objet d’une mission de préfiguration lancée par la Ministre de la santé Agnès Buzyn [2].
Après plus de deux années d’attente, le décret d’application de l’ordonnance sur les pharmacies à usage intérieur (PUI) est paru le 23 mai 2019 au Journal officiel. Ce texte de 21 pages a une large portée et mérite que nous dressions le tableau de ses principaux apports.
Le projet de loi relatif à l'organisation et à la transformation du système de santé a fait l’objet d’une procédure accélérée engagée le 13 février 2019 par le Gouvernement. Adopté le 26 mars 2019 par l’Assemblée nationale, le texte a été transmis au Sénat en 1ère lecture, et à sa commission des affaires sociales, laquelle a arrêté la version qui sera discutée en séance publique à partir du 3 juin prochain.
Selon une note d’information(1) de la DGOS du 27 mars 2019 relative à la traçabilité des dispositifs médicaux implantables dans les établissements de santé et aux outils d’autoévaluation et d’accompagnement disponibles, l’informatisation du circuit du DMI est un prérequis essentiel à l’application de la réglementation en matière de traçabilité des DMI. La pression s’accentue sur les établissements.
Le 19 avril dernier, l’Anssi, l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information, rendait public son rapport annuel. Guillaume Poupard, directeur général de l’Agence, y indique que « 2018 prouve une nouvelle fois que le risque numérique, loin d’être éthéré, doit être au cœur de nos préoccupations ». Ce rapport met également en avant la place de l’intelligence artificielle pour faciliter la détection des attaques informatiques.
La ministre de la Santé annonce les évolutions concernant les systèmes d’information de santé et la cybersécurité. Petite synthèse.
Contrairement à ce que certains peuvent encore penser, les données présentes dans nos systèmes d’information de santé suscite énormément de convoitise. Non, il n’y a pas qu’aux États-Unis que les « pirates » s’en prennent aux établissements de santé.
Le 22 mars dernier, l’Assemblée nationale a adopté le projet de loi relatif à l’organisation et à la transformation du système de santé. Parmi les mesures phares de ce texte, un volet est dédié au développement des nouvelles pratiques médicales, en particulier du télésoin et de l’e-prescription.
Je ne suis pas lecteur habituel du magazine Harvard Business Review, mais le dernier numéro (n° 32 d’avril-mai 2019) développe dans son dossier de une la question de la fin de la cybersécurité. J’ai donc lâché les 16,50 euros demandés pour lire les quatre articles, certes assez détaillés.
Le 22 mars dernier, l’Assemblée nationale a adopté, dans le cadre de l’examen du projet de loi relatif à l’organisation et à la transformation du système de santé, la création de l’espace numérique de santé (ENS).
Le groupe WEB100T, acteur majeur dans l’édition de logiciels de santé, accélère sa stratégie et annonce aujourd’hui la signature d’un partenariat avec la société Alticap qui accompagne le développement des entreprises par l’optimisation de leur Système d’Information à travers des services et solutions expertes en matière de gestion.
Par un arrêt du 18 mars 2019, le Conseil d’État [1] vient de préciser l’obligation d’information des centres hospitaliers en matière de risques associés à un traitement médicamenteux.
ITrust, éditeur de technologies en sécurité informatique, spécialiste SOC/SIEM et leader dans les détections des cybermenaces inconnues via le machine learninget l’intelligence artificielle, vient de réaliser une levée de fonds de 2 millions d’euros auprès de quatre investisseurs.
Ce jeudi 21 Mars, découvrez au travers du webinar dédié au DMP tous les changements apportés par la relance de la CNAM, ainsi que les usages qui vont se dessiner autour du Dossier Médical Partagé dans un webinar d’une heure
La campagne #FASN organise le 2 avril à Paris en partenariat avec Unicancer une journée nationale dédiée à l’innovation en cancérologie. Tous les acteurs de santé engagés dans la lutte contre le cancer sont invités à participer à cet événement : professionnels de santé, acteurs associatifs, institutionnels et industriels du secteur.
La donnée de santé est une donnée hautement sensible, ce qui confère aux traitements inhérents un devoir de sécurisation très élevé. Sous forme dématérialisée, elle peut être transmise quasi instantanément dans n’importe quel endroit de la planète avec les outils du monde numérique.
Dans le cadre du volet numérique de la stratégie de transformation du système de santé (STSS) « Ma santé 2022 », la Direction générale de l’offre de soins (DGOS) lance le programme Hop’en qui constitue la « nouvelle feuille de route nationale de systèmes d’information hospitaliers » sur une période de cinq ans.
Face à l'essor des dispositifs médicaux connectés, la HAS publie un guide précisant les spécificités de leur évaluation clinique à l'attention des industriels qui sollicitent leur remboursement. Si l'évaluation repose sur les mêmes critères que pour tout autre type de dispositif médical, des spécificités liées à leur caractère connecté doivent être prises en compte : rapidité d'évolution de la solution technologique, interactions multiples entre patients, aidants, soignants et autres dispositifs médicaux ou objets, intégration de systèmes experts traitant les données (algorithmes avec ou sans intelligence artificielle).
Né d’une collaboration entre Computer Engineering et le fabricant de dispositifs médicaux B.Braun, ce système associant les logiciels CHIMIO® et Onco Safety® répond aux attentes des équipes soignantes pour sécuriser l’étape d’administration.
Une année jour pour jour après le lancement, par le gouvernement, de la stratégie de transformation du système de santé, la ministre des Solidarités et de la Santé a présenté le mercredi 13 février le projet de loi de santé en Conseil des ministres.
C’est ce qu’il ressort de l’analyse du décret n°2018-1254 du 26 décembre 2018, précisant les modes d'organisation de la fonction d'information médicale, et que notre Cabinet a déjà eu l’occasion d’évoquer dans un précédent article (1).
Tout le monde a encore en mémoire l’affaire du centre hospitalier de Saint-Malo, révélée fin 2013 par la presse généraliste[1]et spécialisée.[2]La Commission nationale informatique et liberté (CNIL) lui avait adressé une mise en demeure d’avoir à se conformer aux exigences du code de la santé publique et de la loi n°78-17 du 6 janvier 1978.[3]
La Commission européenne n’a pas attendu la presse pour dénoncer la manière dont les États membres de l’UE désignaient les organismes notifiés (ON). Manque de transparence dans les certifications des DM, manque d’intégrité, de compétence et/ou de rigueur des ON : les scandales sanitaires et l’absence d’uniformisation n’ont fait que rappeler l’urgence à réformer le système.
ViaTrajectoire est un service public, gratuit et sécurisé, qui propose une aide à l'orientation personnalisée dans le domaine de la santé et du médico-social pour personnes âgées ou en situation de handicap. Cette plateforme internet est déjà utilisée, pour son module Sanitaire et Grand-Âge, par tous les établissements de la région (hôpitaux, cliniques, EHPAD, USLD, Résidences Autonomie) ainsi que par les médecins libéraux et les usagers ou leurs représentants légaux.
Acetiam a désormais un nouveau Directeur Général en la personne de Lân Guichot. Nous avons rencontré cet ingénieur au parcours atypique qui prône, au sein de ses équipes, une philosophie basée sur la confiance et sur l'humain,des notions que véhicule également la maison mère nehs, qui œuvre pour prendre soin de ceux qui soignent.
Tout en offrant l’une des plus larges couvertures du marché, la base de données sur les médicaments et les produits de santé Claude-Bernard est intégrée aux outils de prescription ou de dispensation des praticiens et accessible également sur Internet ou via smartphone et tablette. BCB répond aussi bien aux besoins exprimés par les acteurs hospitaliers qu’aux différentes typologies des GHT.
Agrégats de malformations sur 3 territoires : une première victoire, reste a garantir un système de surveillance renforcé sur l'ensemble du territoire et le maintien de l'équipe du REMERA
Les dernières semaines ont encore été riches en « fails » pour le secteur de la santé, en France et à l’international.
Puisque mon illustre coauteur, Cédric Cartau, me tend la perche, je m’en voudrais de ne pas la saisir !
Les conclusions de la mission de préfiguration du « Health Data Hub (1)» ont été remises le 12 octobre 2018 à Agnès Buzyn en présence de Mounir Mahjoubi, secrétaire d’État chargé du Numérique. Un chantier stratégique pour la France dans la course planétaire à l’intelligence artificielle (IA).
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