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Afin de répondre aux exigences de leur production documentaire, de nombreux établissements ont recours à des méthodes innovantes de transcription, à l’instar de Philips SpeechExec Enterprise 7.0, une solution de dictée et de transcription mobile avec une puissante reconnaissance vocale intégrée (Dragon Medical). Flexible, cet outil innovant associe le flux de travail documentaire à la reconnaissance vocale basée sur l’intelligence artificielle de Nuance Communications.
Après le CHU de Martinique et le CH d’Arles, le centre hospitalier de Dunkerque revient sur sa collaboration avec les équipes de Zenidoc. Il retrace l’utilisation du module de l’éditeur et de son moteur de reconnaissance vocale français ZenReco, qui ont su s’adapter à la crise sanitaire
Alors que l’ensemble des services du Dossier Pharmaceutique (DP) - plébiscité par les praticiens - est désormais accessible en établissement de santé, Carine Wolf-Thal présidente du Conseil national de l’Ordre des pharmaciens et Patrick Rambourg, président du conseil central H de l’ordre des pharmaciens, reviennent sur les évolutions du DP et son rôle clé pour faire face aux défis du numérique en santé.
Le principe de Garantie Humaine de l’IA (Human Oversight) est introduit à l’article 14 du projet de règlement sur l’intelligence artificielle diffusé ce jour par la Commission européenne. Ce faisant, l’article 14 donne une portée applicative générale pour l’ensemble des champs et secteurs d’usage de l’IA à ce principe proposé en 2017 par Ethik-IA dans le domaine de la santé et qui n’a cessé, depuis lors, de faire l’objet de reconnaissances de plus en plus larges. Ce principe s’inscrit dans une logique de régulation positive visant à soutenir le développement de l’intelligence artificielle en France et en Europe, dans un cadre permettant d’en réguler les risques éthiques.
Bio Logbook, la start-up nantaise spécialisée dans la médecine de précision remporte avec le CHU de Liège l’appel à projets européen COVID-X. Une subvention de 150 000 euros va permettre d’accélérer la mise à disposition de sa solution. Destinée aux médecins elle détecte de manière précoce les patients atteints du COVID-19 les plus à risque, grâce à son algorithme prédictif et son logiciel d’aide à la décision.
Si plus personne, ou presque, ne conteste l’apport du numérique dans le monde des établissements de santé, la grande majorité des utilisateurs d’applications métiers rêve d’interfaces ergonomiques, conviviales, « user friendly ». Et si l’IA conversationnelle devenait La solution pour piloter l’ensemble de votre système d’information ?
Deux mois après le décret relatif à la prise en charge transitoire de certains produits ou prestations par l’assurance maladie, aucun dossier n’a été soumis. À l’occasion de la 6e Journée Start-up innovantes, le Snitem est revenu sur ce dispositif ainsi que sur le forfait Innovation.
Mais qu’est-ce qui a donc bien pu passer par la tête du ministre Dupont-Moretti ? Partant certainement d’une bonne intention – de celles dont l’enfer est pavé –, soit la volonté de rendre plus compréhensible le fonctionnement de l’institution judiciaire et de redonner confiance aux citoyens, le ministre souhaiterait filmer les procès. Revenons aux basiques du RGPD : consentement des prévenus (c’est la partie la plus facile), droit d’opposition (idem), mais surtout droit de changer d’avis : tiens, au fait, j’avais dit oui, mais en y réfléchissant je ne veux plus, merci d’arrêter de filmer et surtout d’effacer les images. Les avocats pénalistes interrogés dans la presse sont unanimes : ils conseilleront systématiquement à leurs clients de s’opposer aux prises de vues : imaginez l’effet que produiraient, 10 ou 15 années plus tard, les images sur les réseaux sociaux d’un accusé dans un box qui au final aurait été acquitté ? Rien ne se perd ni ne s’efface au xxie siècle. Certes, le premier procès filmé de l’Histoire a été celui du criminel de guerre Klaus Barbie (1987), mais les images ont été captées à des fins historiques et nullement destinées à être diffusées immédiatement puisque l’INA devait les conserver au secret pendant 20 ans[1].
L’identification d’un patient est le garant de la qualité et de la sécurité de sa prise en charge. C’est le premier acte de son parcours de soins. La multiplicité des parties prenantes et des logiciels utilisés, le manque d’harmonisation et de compatibilité des procédures internes existantes et jusqu’à encore récemment, l’absence de règlementation adéquate, a participé à la diversité des méthodes de collecte des données d’identité et au déficit d’informations sur les risques encourus.
UNIHA, le 1er acheteur public français dans le domaine de la santé, a choisi de référencer, sur le marché « Gestion du Parcours patient », Nouveal e-santé, filiale de La Poste Santé spécialisée dans la numérisation des parcours et le télésuivi des patients.
Voilà un an que l’épidémie Covid-19 a bouleversé les pratiques médicales et favorisé l’émergence rapide de solutions de e-santé. Pour réduire le risque d’exposition et faciliter l’accès des patients à une consultation, Pulsy a accompagné les professionnels de santé du Grand Est dans le déploiement de la télémédecine. Retour sur une année singulière, qui a marqué l’histoire de Pulsy… et de la télémédecine.
Face aux défis de la transformation de l’offre de soins hospitalière, les DSIs doivent composer avec un héritage applicatif complexe tout en accélérant l’innovation. La pandémie actuelle a approfondi les tendances de la télémédecine, de l’intégration des acteurs du soin, du besoin de services numériques orientés patient mais aussi de l’inclusion de l’IA et de la génomique dans l’aide au diagnostic. A moyens humains et financiers constants, leur mise en œuvre n’est possible qu’avec des infrastructures Cloud. Rendez-vous le jeudi 22 avril, de 11h à 12h pour ce séminaire exceptionnel animé par Aïssa Khelifa et Xavier Vallin, de DSIH Conseil.
La crise du Covid a fait apparaître de façon cruciale la nécessité d’avoir une vision globale de la gestion des lits pour tous les établissements de santé. Elle est essentielle pour anticiper l’occupation de l’établissement, et déprogrammer si nécessaire des interventions pour libérer des chambres.
Mi-mars, l’Anap a publié Systèmes d’information en pharmacie : boîte à outils des établissements de santé présentant les spécificités d’un SI en pharmacie avec les exigences réglementaires, organisationnelles et techniques qui en découlent afin de comprendre les processus métiers, le rôle des intervenants de même que les besoins et les outils permettant de faciliter les échanges des données pharmaceutiques.
Le 25 janvier 2021, le groupe hospitalier associatif Uneos (anciens Hôpitaux privés de Metz) a lancé la mise en production de la nouvelle suite logicielle administrative PowerStay® développée par Cerner. Une montée en version qui permet aux utilisateurs de bénéficier d’une ergonomie repensée et de nouvelles fonctionnalités.
Cela fait plusieurs années que nous entendons parler, même si c’était jusqu’à présent, du bout des lèvres, de l’arrivée de cette fameuse certification SIH qui pourrait permettre aux établissements de santé de se dispenser de sortir la planche à billets pour se payer une certification HDS afin d’héberger les données de santé d’un autre établissement membre du même GHT.
Unicancer et Roche annoncent la signature d’un partenariat ambitieux, dont l’objectif est de co-créer l’OncoDataHub, première plateforme française de référence pour accélérer la production et l’exploitation des données de vie réelle dans le cancer.
La HAS a publié le 16 mars dernier les critères d’éligibilité au télésoin et des recommandations pour son bon usage, sa qualité et sa sécurité afin de favoriser l’accès à tous des soins à distance et faciliter leur déploiement sécurisé.
L’actualité cyber de ce début 2021 a été particulièrement chargée : outre les cyberattaques dans le monde de la santé (dont certaines sont toujours en cours), nous avons assisté à un énorme incendie chez OVH, doublé d’une faille majeure dans Exchange, qui a donné quelques sueurs froides aux adminsys. Pour OVH, on en est au second incendie en à peine 15 jours[1], ça commence à faire beaucoup, on est d’ailleurs en droit de se demander s’il ne s’agit pas d’une sombre affaire de barbouzes (« Un barbu, c’est un barbu, trois barbus, c’est des barbouzes », comme disait Michel Audiard).
Lundi 15 mars, Ramsay Santé a annoncé le lancement, dans le cadre de l’article 51, de deux expérimentations en cancérologie. La première porte sur l’activité physique adaptée connectée à Lille, et la seconde sur un suivi digitalisé en intercures de chimiothérapie à Lyon.
Un webinaire de 60 minutes, animé pour DSIH par Xavier Vallin avec l’appui d’Aïssa Khelifa, le 25 mars de 11 heures à 12 heures. Venez découvrir le retour d'expérience de Dominique Loiseau, Responsable Cellule biomédicale - CHIC Alençon-Mamers et Vincent Charroin, Responsable Achats généraux - Hospices Civils de Lyon.
Lifen et Jouve annoncent l’engagement de leur partenariat stratégique et opérationnel. Il s’agit d’une percée très significative pour permettre plus de fluidité dans l’identification des patients et la gestion de leurs parcours administratifs et financiers. Concrètement, le patient pourra s’identifier à partir du système d'authentification universel baptisé “Lifen Connect” et bénéficiera d’un processus fluide et intégré permettant de gérer sa convocation, la sécurisation de son identité, son admission administrative et financière, l’incrémentation de ses documents médicaux dans le DMP et l’envoi digitalisé du compte-rendu médical aux médecins de ville. Cette avancée technologique et opérationnelle s’inscrit donc directement en ligne avec les objectifs stratégiques de la Feuille de route numérique du Plan Ma Santé 2022.
Gustave Roussy, premier centre de lutte contre le cancer en Europe et 5ème au monde est un établissement de soin, de recherche et d’enseignement qui accompagne chaque année près de 50.000 patients.
Dans un secteur en constante évolution, Hillrom se consacre aux soins centrés sur le patient en adaptant son champ d’expertise historique, le lit médical, aux innovations du numérique en santé. Ces lits intelligents connectés optimisent notamment la prévention des chutes.
En appui des professionnels exerçant dans les secteurs sanitaires, médico-sociaux et sociaux, le nouveau service e-Parcours Parceo accompagne la transformation numérique du parcours de santé en Grand Est. Pulsy et les acteurs du territoire impliqués dans son déploiement vous convient à découvrir Parceo lors de l'évènement
Un webinaire de 60 minutes, animé pour « DSIH » par Xavier Vallin, expert en systèmes d’information hospitaliers, le 25 mars de 11 heures à 12 heures sur www.dsih.fr/webinaire, présentera des retours d’expériences de terrain avec la contribution d’Hillrom, leader sur le marché des lits médicalisés, aujourd’hui intelligents et connectés.
Les acteurs du soin de La Réunion sont les premiers à bénéficier de Lien L’App, une solution 100 % mobile de coordination des professionnels de santé développée par Maincare Solutions, au sein d’IdéoPHM, sa plateforme collaborative de gestion des parcours. La solution, financée par l’ARS de La Réunion, a été déployée en partenariat avec le GCS Tesis, le groupement régional d’appui au déploiement de l’e-santé (Grades) Océan Indien.
La crise sanitaire engendre de nouvelles demandes de la part des pharmaciens hospitaliers. Les solutions développées par Computer Engineering permettent d’y apporter des réponses rapides et adaptées.
Tout établissement de santé français, public ou privé, engagé dans une démarche d’amélioration de la qualité et de la sécurité des soins en vue d’une certification par la Haute Autorité de santé, doit remplir des objectifs déclinés en critères par la HAS. L’utilisation d’une solution de reconnaissance vocale comme Dragon Medical One contribue à l’atteinte de ces objectifs et donc à la démarche d’amélioration continue de la qualité des soins.
Depuis le déploiement du dossier patient informatisé convergent dans trois des onze établissements du GHT Sud Lorraine, le CHRU de Nancy poursuit sa transformation numérique pour gagner en efficacité et améliorer le niveau de service apporté aux professionnels de santé.
Nuance Communications, Inc a annoncé hier le déploiement de sa solution Dragon Medical One au sein du Groupement Hospitalier des Alpes-Maritimes dans le cadre de la convergence territoriale de son système d’information de radiologie (RIS).
Placer la France parmi les pays à la pointe de l’innovation en santé est l’un des objectifs majeurs de Ma Santé 2022 afin de permettre au système de santé de demain de compter sur de nouvelles synergies entre les professionnels libéraux, hospitaliers et médico-sociaux, mais aussi sur des outils numériques performants mis au service de tous, patients et professionnels.
Dans un contexte où la digitalisation des établissements de santé est encouragée par le gouvernement français (Projet Ma Santé 2022, Programme HOP’EN), de plus en plus de structures de soins décident de se doter d’une plateforme d’interopérabilité biomédicale. « De nombreux acteurs de la santé doivent entamer ou continuer leur transformation numérique et leur digitalisation. Ces nouveaux défis permettent d’éliminer l’usage du papier dans les établissements et gagner en efficacité », rappelle Isabelle Verne, Product Marketing Manager chez Enovacom.
Pour surmonter ses crises actuelles et à venir, l’univers français de la santé a besoin du souffle de l’innovation. La mauvaise nouvelle est qu’elle a du mal à pénétrer un secteur fractionné, complexe, et financièrement exigeant. La bonne nouvelle est que ces barrières ne sont plus une fatalité !
D’après le Baromètre 360 Medics, 87 % des médecins utilisent au moins un outil digital dans leur pratique depuis la crise sanitaire contre 79 % auparavant, soit une augmentation de 8 %.
Le cadre règlementaire européen des dispositifs médicaux sera profondément remanié à compter du 26 mai prochain, avec l'entrée en application du règlement (UE) 2017/745. Un système d'identification unique des dispositifs médicaux ou « IUD » (UDI en anglais) sera notamment instauré.
L’année 2020 a marqué un tournant décisif pour la e-santé, tant en France qu’à l’international. Au-delà des aspects technologiques, toutes ces innovations modifient l’organisation du système de soin pour tendre vers une meilleure efficience, au profit des patients comme des professionnels de santé. D’un point de vue technologique, les avancées sont importantes et très intéressantes en matière de Cloud Computing, d’IA, de Big Data et d’IoT, c’est-à-dire l’ensemble des moyens pour collecter et analyser de grands volumes de données et en extraire de la connaissance.
Les infrastructures informatiques des hôpitaux sont constamment mises à l’épreuves. La numérisation des dossiers médicaux qui avait permis d’améliorer le suivi des patients et le partage d’information entre les praticiens représente une véritable aubaine pour les hackers désireux de tirer profit des données hautement sensibles qu’ils contiennent.
L’organisation de nos voisins helvétiques n’est pas une légende. Un atout qui aura permis aux HUG de mener en 4 mois, en pleine crise sanitaire, un AO pour la mise en place d’une VNA (Vendor Neutral Archive) destinée à remplacer en septembre 2021 leur archive PACS actuel (250 To) tout en posant les bases pour le déploiement de nouveaux usages cliniques en lien avec le dossier patient de l’institution.
Les Jeudis du Numérique de DSIH, le 25 février 2021 de 11h00 à 12h00 sur www.dsih.fr. Un webinaire de 60 minutes animé par Xavier VALLIN, de DSIH Conseil.
La montée en puissance des hôpitaux de jour dans l’administration des chimiothérapies pose de nouveaux défis aux équipes soignantes en termes d’organisation. Pour y répondre, le module Planning® de Computer Engineering permet de gérer les ressources disponibles de l’hôpital de jour.
Le secteur du médico-social fait face à d’importants défis : d’ordres démographique (en lien avec le grand âge), organisationnel (parcours de santé), technologique (progrès médical), sociétal (relation du patient au soin et place accrue du domicile) et enfin financier (maîtrise des dépenses de santé).
En appui du programme MaSanté2022, NEHS DIGITAL et Tessi ont choisi de nouer un partenariat technologique et commercial afin de proposer une offre combinée et différenciante, dédiée à la digitalisation du parcours de soins patient. L’objectif ? Faciliter l’accès aux soins du patient et simplifier le partage d’information pour chaque usager : patient, médecin prescripteur et professionnel de santé, et proposer une offre complète en réponse aux enjeux des établissements.
Après le « cas contact », la notion de personne « co-exposée » a fait son apparition dans un décret publié au Journal Officiel le 21 janvier dernier.
La 3ème édition du D4 Evolution a été l’occasion pour le groupe de dévoiler les priorités de 2021, notamment avec l’évolution de la plateforme D4U, son accélération vers la digital pathology, le lancement en France de sa gamme Clinalytix et ses services managés.
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