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Konica Minolta a placé le secteur de la santé au cœur de sa stratégie de développement. Ses axes de développement tournent autour de la médecine dite des 4 P : Préventive, Participative, Prédictive et Personnalisée. Konica Minolta mise aussi sur les acquisitions pour se développer. En 2017, le Groupe a racheté Ambry Genetics, une société spécialisée dans le séquençage du génome humain, et Invicro, spécialisée dans le médicament sur mesure.
L’intégration des systèmes d’intelligence artificielle dans les SI va avoir un impact sur le diagnostic, les thérapies, la gestion des données et l’ensemble des métiers de la santé. Ce thème sera au cœur du Salon HIT 2018, notamment à travers une série de prises de parole sur l’agora IT ainsi qu’au cours du HIT Summit.
Les données recueillies dans le cadre des consultations psychothérapeutiques réalisées au sein du Centre Pierre-Janet peuvent désormais être exploitées pour la recherche. Sophie Gendarme, chef de projet au sein du pôle Recherche de cette structure, et Dominique Caclin, directeur de Micro6, décrivent l’outil, élaboré sur la base du DPI Diamm, qui permet de satisfaire à cette demande spécifique et dont le cahier des charges évolue perpétuellement.
Dans le cadre de la restructuration de leur SI de production de soins, deux grands établissements hospitaliers du Luxembourg ont choisi la solution de dossier patient Maincare IC, sous l’appellation DOP@MIN dans le Grand-Duché.
Le 17 avril, la FDA (Food & Drugs Administration), l’autorité de régulation du médicament et des produits de santé aux États-Unis, tout comme l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament) en France, a annoncée un plan d’actions en cinq points [1], détaillés dans un document intitulé « Medical Device Safety Action Plan : Protecting Patients, Promoting Public Health » [2], dans le but d’améliorer la sécurité des dispositifs médicaux.
La société Philips, recentrée aujourd’hui sur la santé, mise sur l’intelligence artificielle notamment en imagerie pour aider les médecins à poser des diagnostics plus précoces et plus précis. Des solutions existent déjà, d’autres sont en cours de développement.
Il reste à peine un mois avant l’entrée en vigueur du RGPD, et certains se demandent comment utiliser au mieux les courtes semaines qu’il leur reste : quelques conseils de bon sens.
Les missions du personnel d’une pharmacie à usage intérieur sont très variées. Face à la multiplicité des domaines d’intervention, Computer Engineering a fait évoluer sa solution de gestion de la PUI, Pharma®, en une véritable boîte à outils qui répond aux demandes des professionnels de santé.
DirectoSuivi automatise la préparation et le suivi à distance de 100 % des patients grâce à des échanges par SMS et une interface de mise en relation. Éprouvé par des cliniques, CH et CHU, ce service innovant permet de concentrer les ressources médicales disponibles sur le soin et sécurise le retour à domicile.
Ce sixième congrès de l’APSSIS [1] aura encore une fois été une grande réussite ! Devenu au fil des années la grande « messe » de la sécurité des SI de santé, un évènement incontournable tenu d’une main de maître par son créateur et organisateur, Vincent Trély .
ALICANTE, éditeur de logiciels pour la valorisation des données hospitalières, et le CEA s’associent pour renforcer le positionnement de l’industriel en intelligence artificielle. Alicante utilisera l’outil Expressif (1) du CEA pour optimiser l’offre de sa plate-forme Inquia au service des établissements de soins mais également des acteurs de la recherche clinique (dont les laboratoires pharmaceutiques), du monde mutualiste et de la santé animale. Il sera possible de proposer aux praticiens des prises en charge personnalisées pour leurs patients, dans le cadre de parcours de santé, même complexes.
La stratégie de transformation du système de santé annoncée par le gouvernement le 13 février 2018 vise notamment à améliorer le fonctionnement de l’hôpital. Reste à en connaître la feuille de route. Le gouvernement évoque l’été 2018 pour en révéler la teneur. Mais les diagnostics sont pour une bonne part connus, et des solutions existent déjà, notamment pour la gestion des lits dans l’hôpital (chirurgie programmée, ambulatoire, etc.).
Événement unique en Europe, la Paris Healthcare Week est le rendez-vous de tous les professionnels de la santé et du médico-social organisé par PG Promotion.
D’importantes étapes ont été franchies dans la mise au point de ZEMY, solution compagnon digitale développée depuis 2015 par Roche Pharma France en partenariat avec Voluntis afin d’améliorer l’accompagnement des patientes atteintes de cancer du sein.
Décidément Facebook n’en fini pas de faire couler de l’encre, ou de remplir de pixels nos écrans en ce moment.
Comment conjuguer dans un seul dossier patient numérique les données fournies par le système d’information hospitalier et les versions numérisées des documents papier du dossier patient, en disposant à la fois d’une gestion électronique des documents et des « workflows », de l’archivage électronique à valeur probatoire ainsi que d’une véritable capacité de visualisation des documents du parcours patient au travers d’une ligne de vie ergonomique et attractive adaptée à la pratique médicale ? Réponse avec Alexis Gadenne, directeur technique du pôle Dématique au SILPC.
Depuis 2014, avec son marché « Licences », la Centrale d’achat de l’informatique hospitalière, la CAIH, permet aux établissements de santé publics et privés à but non lucratif de bénéficier de l’ensemble des solutions Microsoft à des conditions très avantageuses. Un pas supplémentaire vient d’être franchi : la CAIH a retenu la société Projetlys comme partenaire de référence et expert sur les solutions Microsoft pour accompagner les établissements dans leur transformation numérique.
Quand on parle d’intelligence artificielle dans le milieu médical, Philips, qui intègre cette technologie dans ses solutions d’imagerie, préfère évoquer l’« intelligence adaptative » au service d’un « médecin augmenté » du numérique. Coup de projecteur sur une technologie permettant de fournir au clinicien une information pertinente pour son diagnostic, à partir d’une masse colossale de données d’imagerie et en croissance toujours exponentielle.
Présentation extrêmement intéressante du SI de santé de l’Estonie, qui a été pensé pour et autour d’un SI de santé, et non pas comme chez nous un SI qui été construit autour d’une organisation existante, ou plutôt d’une mosaïque d’organisations.
Les incidents liés à la sécurité des systèmes d’information se multiplient de plus en plus dans le monde. La France serait entrée en 2015 dans le top 10 des pays les plus touchés par le piratage informatique. Selon le dernier rapport Norton sur la cybercriminalité, plus de 19 millions de personnes (42% de internautes) ont été victimes d’actes de piratage en France en 2017. Le cout total de cette cyber criminalité s’élève à 6,1 milliards d’euros en 2017, soit trois fois plus qu’en 2016.
La start-up Française poursuit le déploiement de sa solution mobile de coordination des soins et signe des partenariats avec le Centre Hospitalier Emile Roux du Puy en Velay et l’Hôpital Américain de Paris.
Cet appel à projets s’inscrit dans le cadre du projet européen inDemand qui vise à créer un nouveau modèle où organismes institutionnels de santé et entreprises s’associent pour développer des solutions numériques innovantes avec le soutien financier de fonds publics régionaux.
Depuis décembre 2017, les GCS e-santé Champagne-Ardenne et Télésanté Lorraine travaillent de concert avec le Centre Hospitalier Universitaire de Reims et le Centre Hospitalier de Troyes à la mise en place de téléconsultations de suivi post-greffe rénale. Ce projet s’inscrit dans le cadre du programme national ETAPES (Expérimentation de Télémédecine pour l'Amélioration des Parcours En Santé) de la Direction Générale de l’Offre de Soins.
Le constructeur GE Healthcare annonce la mise à disposition d’importants correctifs de sécurité pour 20 dispositifs d’imagerie médicale sur 23 identifiés comme vulnérables, à la suite des travaux réalisés par le chercheur en sécurité Scott Erven. Cet expert en sécurité depuis près de 20 ans travaille depuis 2010 dans le domaine de la sécurité appliquée au monde de la santé et, ces dernières années, dans la recherche sur les dispositifs médicaux.
OpenHealth Company est mise à l’honneur aux Trophées de l’Innovation Big Data Paris. Ce prix reconnaît et valorise le savoir-faire et la dynamique d’OpenHealth Company, devenue un acteur de référence dans le traitement en temps réel des données de santé.
Depuis des années, les professionnels de santé alertent les pouvoirs publics sur les difficultés que rencontrent les services d’urgence. Faute de lits disponibles, des patients peuvent se retrouver des heures durant sur des brancards. Un problème crucial que peuvent pourtant pallier des outils numériques comme TimeWise Clinic, développé par Canyon Technologies.
Le village des start-up de HIT mettra cette année encore en avant une trentaine de sociétés innovantes en termes de technologies de l’information et de la communication dans le domaine de la santé, au service des professionnels du secteur et des patients.
Développée par Computer Engineering, l’application Sté® est destinée aux équipes du service de stérilisation et des blocs opératoires. Sté® intervient à chaque étape de lavage, conditionnement, stérilisation, distribution et traçabilité des instruments ou consommables stérilisés dans l’établissement de santé.
Les données de santé à caractère personnel vont bénéficier d’un nouveau cadre de protection avec le règlement général sur la protection des données, le RGPD, qui entre en vigueur le 25 mai 2018 et les nouvelles procédures de certification des hébergeurs de données de santé, applicables au plus tard le 1er janvier 2019. Deux éléments qui doivent contribuer à bâtir un écosystème de confiance autour de la santé numérique. Sont-ils pour autant compatibles ?
Le Syndicat National de l’Industrie des Technologies Médicales (Snitem) annonce la parution d’un livret de la collection « Les innovations technologiques médicales » dédié à la robotique. Cette révolution technologique et conceptuelle est aujourd’hui intégrée dans de très nombreuses pratiques et services hospitaliers. Ce livret propose de revenir sur les évolutions les plus importantes de la robotique médicale et chirurgicale et dresse un panorama de la médecine de précision du futur.
A l’occasion de son conseil d’administration qui s’est déroulé le 28 février dernier, le GIP Resah a présenté le bilan de son activité qui a connu une très forte progression en 2017.
Dans une première partie(1), nous avons examiné les deux grandes familles de politique d’habilitation dans les accès à un DPI d’établissement de santé. Nous en avons conclu que la seule méthode viable à terme au sein d’un GHT était celle du contrôle a posteriori. Dans une deuxième partie(2), nous avons décrit les trois conditions pour aller vers ce mode de gestion : concertation entre les CME, systèmes homogènes de sanctions au sein de tous les établissements du GHT et généralisation de l’analyse des traces d’accès. Dans une troisième partie(3), nous avons décrit les grands principes du système de contrôle d’accès aux données patients. Intéressons-nous maintenant à la question des accès aux données des administrateurs qui, à une époque pas si lointaine, faisait pas mal fantasmer dans les chaumières (j’ai connu des diplodocus qui refusaient de saisir des données dans un logiciel métier au prétexte que le DBA(4) y avait accès en direct en saisissant des requêtes SQL).
Lundi 26 février 2018, les 13 lauréats de l’appel à projet lancent officiellement le départ de la 1ère promotion du Prevent2Care Lab, le premier incubateur de start-ups dédié à la prévention santé. En plus d’un accompagnement pour leur première levée de fonds, ces start-ups bénéficieront d’un hébergement au cœur de Paris au sein de l’INCOPLEX, d’un suivi stratégique individuel, de mentorat et formations personnalisées, et de conseils dédiés d’experts santé du groupe Ramsay Générale de Santé (médecins, Directeurs d’établissements, etc.) pour leur permettre d’adapter leurs solutions aux problématiques spécifiques du secteur de la santé.
À l'heure où les technologies de la e-santé et des SIH ont atteint un haut niveau de maturité, les critères de progrès de ce secteur en pleine expansion sont désormais à chercher dans la bonne conduite de projets de parcours de soins, de parcours de vie, dans l'expertise métier au service des usages ou dans l'animation des écosystèmes, où la technologie ne se suffit plus à elle-même.
Dans une première partie(1), nous avons examiné les deux grandes familles de politique d’habilitation dans les accès à un DPI d’établissement de santé. Nous en avons conclu que la seule méthode viable à terme au sein d’un GHT était celle du contrôle a posteriori. Dans une deuxième partie(2), nous avons décrit les trois conditions pour s’acheminer vers ce mode de gestion : concertation entre les CME, systèmes homogènes de sanctions au sein de tous les établissements du GHT et généralisation de l’analyse des traces d’accès.
Depuis les années 2010, l’intelligence artificielle est en plein essor. Les établissements de soins s’emparent du sujet même si les logiciels et robots « intelligents » n’ont, pour l’heure, fait qu’une entrée timide en leur sein. Démonstration, exemples de l’AP-HP et du CHU de Nantes à l’appui.
MonDocteur, acteur majeur dans la prise de rendez-vous médicaux en ligne, et WEDA, leader du dossier patient 100% en ligne, annoncent aujourd’hui avoir conclu un partenariat stratégique. L’objectif affiché par les deux entreprises est de simplifier le quotidien des professionnels de santé en proposant une intégration totale des deux solutions.
La nouvelle reconnaissance vocale médicale pour les cabinets médicaux dopée à l’intelligence artificielle et au deep learning pour les médecins qui souhaitent retrouver du temps, alléger le poids des tâches administratives et renouer avec un meilleur équilibre de vie.
Dans une première partie(1), nous avons examiné les deux grandes familles de politique d’habilitation dans les accès à un DPI d’établissement de santé. Nous en avons conclu que, dès lors que l’établissement affichait une taille conséquente, avec des métiers de santé transversaux multiples et des accès 24/365, la seule méthode viable à terme était celle du contrôle « a posteriori » : tout est accessible au corps médical et au corps soignant, avec pour corollaire des accès systématiquement tracés, les traces minutieusement analysées et les abus nécessairement sanctionnés.
Lorsque la polyclinique Sainte-Marguerite, à Auxerre, s’est équipée du dossier patient DxCare, en 2012, deux options se sont présentées aux anesthésistes-réanimateurs pour leur dossier d’anesthésie : adopter une brique du dossier patient de l’établissement ou opter pour un logiciel métier. DirectConsult, développé par Lensys, a remporté la faveur des anesthésistes.
La conférence annuelle de l’Asip Santé a été l’occasion de questionner les grands défis de l’e-santé et de la transformation numérique, mais aussi de montrer, sondages à l’appui, que le grand public est plus ouvert aux nouvelles technologies de santé que les professionnels.
Une nouvelle procédure de certification pour l’hébergement de données de santé à caractère personnel sur support numérique va remplacer l’actuelle procédure d’agrément au 1er avril 2018. A ce titre, l’ASIP Santé encourage vivement les candidats qui souhaitent déposer des dossiers HDS à privilégier la procédure de certification plutôt que celle de l’agrément.
Les promesses et les annonces concernant les résultats des méthodes d’intelligence artificielle et l’aide à la décision en imagerie conduisent à s’interroger : pourquoi la radiologie ? Qu’est-ce qui la distingue d’autres disciplines cliniques pour lesquelles les prospectivistes ne disent rien ou sont plus réservés ? S’agit-il des caractéristiques de la discipline, des méthodes du deep learning qui seraient particulièrement bien adaptées à ce type de données, de la disponibilité des données massives, des types de décisions ou des conditions d’exercice en imagerie ?
La reconnaissance vocale au curseur de Nuance équipe les praticiens de l’Hôpital européen de Marseille pour permettre une meilleure tenue du DPI, produire les lettres de liaison à J-0 et aider l’établissement à absorber la croissance de son activité, de plus de 45 % depuis son ouverture en 2013. Choix stratégique pour la DSI de l’hôpital, Dragon Medical Direct de Nuance a déjà permis des gains d’efficience, notamment dans le service des urgences, qui a gagné 25 % en temps de prise en charge des patients.
La question de la politique d’habilitation des accès à un DPI d’établissement a fait couler beaucoup d’encre, dès que les premiers plans nationaux d’informatisation ont démarré au milieu des années 2000 : plan Hôpital 2007, puis 2011, etc. Tant que chaque service d’un hôpital était informatisé par un progiciel vertical de spécialité, la question ne se posait pas : dès lors que les DPI transversaux ont déboulé, il a bien fallu réfléchir à une politique générale, et pas seulement à l’accès des cardiologues aux dossiers des patients hospitalisés en cardiologie. Il y a, globalement, deux façons de répondre à ce besoin.
Un système de géolocalisation novateur et unique en Europe vient d’être mis en place à l’Hôpital Foch par les équipes de Sweepin. Ce système sera prochainement ouvert à l’ensemble des services de l’Hôpital.
La question peut paraître incongrue alors que la tendance est à leur promettre toujours plus de services numériques, toujours plus d’applications capables de les suivre « en mobilité », toujours plus de formulaires en ligne… et toujours plus d’incitations financières s’ils se plient à certaines exigences de collecte d’indicateurs(1).
La société Doc&You, jeune entreprise française, développe la plateforme digitale ResoDoc. ResoDoc facilite l’accès à des soins de qualité en Afrique, dans un contexte de forte croissance économique et digitale, grâce à différents services en ligne (annuaire médical et prise de rendez-vous médicaux, paiement financement participatif en ligne, forum médical professionnel en ligne…).
Début 2017, SCC – spécialiste des services informatiques et titulaire du marché multi-éditeur à l’Ugap – a noué un partenariat avec Nuance, éditeur de solutions de reconnaissance vocale. Ce rapprochement consolide l’offre de SCC, en permettant aux établissements de santé de satisfaire notamment à l’obligation de remise d’une lettre de liaison aux patients, au terme de leur séjour hospitalier.
LiFiCare d'Oledcomm, une lampe LiFi pour une connexion Internet sans fil et sans ondes radio, a été choisie pour équiper le Centre Hospitalier de Perpignan et sera présentée au salon Arab Health de Dubaï du 29 janvier au 1er février.
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